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Antonin Artaud : trad-auctor. L'acte traductif à la lumière du « théâtre de la cruauté »

Avci, Alice January 2014 (has links)
La présente thèse a pour objet de porter un regard traductologique sur l’œuvre protéiforme d’Antonin Artaud afin de dégager sa vision de l’acte traductif et du statut du traducteur. Le corpus à l’étude comprend non pas les textes traduits ou adaptés par Artaud, mais plutôt les paratextes qui les accompagnent (p. ex., préfaces, postfaces, notes, correspondance, manifestes). Nous partons du postulat qu’Artaud considère la traduction comme une forme de réécriture, c’est-à-dire un vecteur créatif dans lequel l’original et sa traduction sont deux entités interdépendantes. En guise de cadre théorique, nous faisons un survol de l’évolution du rapport entre l’original et la traduction. Il s’agit de montrer comment, dans le prolongement de la pensée poststructuraliste, ce rapport s’est inversé pour faire de l’original un texte dérivé dont le sens est tributaire du regard d’autrui. N’ayant pas laissé de « théorie » proprement dite sur la traduction, Artaud a pourtant largement écrit sur le théâtre et le cinéma. Ces deux domaines ont peut-être ceci de comparable avec la traduction qu’ils font appel à la représentation et mettent en jeu une triade quasi identique : le dramaturge/l’auteur, le metteur en scène/le traducteur et le spectateur/le lecteur. Dans Le théâtre et son double, Artaud souhaite mettre fin à l’assujettissement du metteur en scène à l’auteur et au texte, revendication qui s’apparente beaucoup à sa démarche traductive. Cet ouvrage nous sert donc d’appui pour brosser un portrait global de la vision « artaldienne » de l’acte traductif. Après y avoir puisé des notions transposables à la traduction, comme le double, le rapport subversif à l’auteur et le rôle central du spectateur, nous nous attardons sur le message qui ressort des paratextes, afin de mieux saisir comment Artaud s’approprie le texte traduit. La mise en parallèle entre les écrits d’Artaud sur le théâtre et ses paratextes sur l’acte traductif montre qu’Artaud était un poststructuraliste avant la lettre, ayant prévu certains des principaux concepts modernes liés à l’auctorialité. Notre analyse permet aussi de constater que le cas « Artaud » met en évidence le potentiel traductif de l’écriture.
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Le théâtre cruel de la répétition à l'oeuvre dans Le cri du sablier de Chloé Delaume ; suivi de, Érosive Thana

Dumont, Isabelle January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Le théâtre cruel de la répétition à l'oeuvre dans Le cri du sablier de Chloé Delaume ; suivi de, Érosive Thana

Dumont, Isabelle January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Rihm et Artaud : Tutuguri, Die Eroberung von Mexico et Séraphin - un théâtre musical de la cruauté. / Rihm and Artaud : Tutuguri, Die Eroberung von Mexico and Séraphin - a musical theater of cruelty

Portzamparc, Arianne de 24 October 2015 (has links)
Le théâtre de la cruauté d’Antonin Artaud (1896-1948) participe à une libération des langages artistiques au profit du sens déterminante dans l’histoire de l’art du XXème siècle. Dans ce théâtre, l’acteur représente le point de départ d’un langage originaire fondé sur le souffle et le geste qui favorise une communication affective avec le spectateur. Le théâtre musical de la cruauté de Wolfgang Rihm (1952) s’inspire de ce langage à travers les thématiques du rite, du mythe et du rêve, porteuses d’un théâtre inhérent à la vie. Ces thématiques sont propices au développement d’une vocalité qui rend perceptible la corporalité du chanteur grâce à une déconstruction de la matière langagière. Rihm exploite la matière phonique de la langue sous forme de glossolalies, cherche différents aspects du cri en tant qu’élément premier du langage, utilise le souffle comme une matière sonore. Cette vocalité rejoint son approche instrumentale qui travaille le son à partir du timbre, du rythme et de l’intensité sans chercher à l’enfermer dans une logique systémique. Intégrée au processus compositionnel, la disposition des musiciens et des chanteurs dans l’espace rejoint également la conception d’un espace scénique vivant dans le théâtre d’Artaud. Au fur et à mesure de son théâtre musical de la cruauté, Rihm laisse ses matériaux sonores inspirés par Artaud se réécrire dans une forme de palimpseste. / The theater of cruelty of Antonin Artaud (1896-1948) participates in a liberation of artistic language over decisive meaning in the history of 20th century art. In this theater the actor is the starting point for a language of origins founded on breath and gesture, which promotes affective communication with the audience. The musical theater of Wolfgang Rihm (1952) takes it’s inspiration from this language via the themes of ritual, myth, and dream, all which bear a theater inherent to life. These themes are developed through a vocalization, which renders visible the corporeality of the singer through a deconstruction of language matter. Rihm exploits the phonic matter of language in the form of glossolalia, seeking different aspects of the scream as the primal element of language, employing breath as sonorous matter. This vocalization rejoins his instrumental approach, which uses sound drawn from timbre, rhythm and intensity without seeking to enclose it within a logical system. Integrated into the compositional process, the spacial arrangement of the musicians and the singers rejoins the concept of a living scenic space in Artaud’s theater. As Rihm’ s musical theater of cruelty progresses, it allows the sonoral matter inspired by Artaud to rewrite itself in a form of palimpsest.
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Gilles Deleuze et Antonin Artaud : L'impossibilité de penser / Gilles Deleuze and Antonin Artaud : Impossibility of thinking

Bouillon, Anne 19 January 2013 (has links)
Au sein de la pensée de Deleuze, la poésie d'Antonin Artaud apparaît comme la ligne de fuite par excellence à partir de laquelle tout le foisonnement conceptuel deleuzien s'articule. Artaud est en effet celui qui brise l'image de la pensée – ou ce que nous voulons dire habituellement par " penser " en philosophie – en refusant son innéité et son universalité, c'est-à-dire la cogitatio natura universalis. Car pour Artaud comme pour Deleuze, le plus souvent, la pensée s'affronte à son problème véritable, qui est son impouvoir ou son impossibilité. Ainsi, la première partie de la thèse s'attaque à la compréhension de la destitution de l'image de la pensée dans Différence et répétition de Deleuze, à partir de l'idée de " génital inné " d'Artaud dans la Correspondance avec Jacques Rivière. Si l'image de la pensée ne dit rien du processus de penser, de quelle logique sommes-nous capables ? Au travers de la découverte de la logique paradoxale déployée dans les paradoxes de Logique du sens de Deleuze, il s'agira de penser le rapprochement entre Artaud et Nietzsche. L'axe principal de cette partie est la critique du jugement menée par Artaud. Enfin, jeté dans les paradoxes de la vie, la troisième partie envisage le grand impensé de la philosophie qu'est le corps : en effet, de quel corps sommes-nous capables ? L'enjeu, de l'impossibilité de penser à la question du corps - rapprochant L'Ethique de Spinoza du corps sans organes d'Artaud - est bien de renouer la pensée avec la vie, selon le projet du Gai savoir de Nietzsche et qu'Artaud ne cesse de reformuler dès ses premiers écrits. L'impossibilité de penser dit non seulement la séparation d'avec la vie, mais aussi l'impensable qu'est le corps : en effet, que dire de notre propre corps, tel que nous le vivons ? Dans quelle mesure la création de concepts en rhizome dans Mille Plateaux de Deleuze et Guattari explore-t-elle le corps sans organes d'Artaud, ce corps vécu qui reste encore mystérieux pour la pensée ? Artaud souhaitait qu'on l'aime non pas pour son œuvre mais pour sa vie, témoignant d'une grande santé contre un monde malade : l'horizon de l'impossibilité de penser est alors la pensée blessée et profonde assumant la vie elle-même dans toute son opacité. / In the thought of Deleuze, the poetry of Antonin Artaud seems like the line of convergence par excellence from which all the Deleuzian proliferation of concepts are developed. Indeed, Artaud is the person who shatters the image of thought – or what we usually mean by " thinking " in philosophy – rejecting its innateness and universality, in other words, the cogitatio natura universalis. Because, for both Artaud and Deleuze, thought is most often confronted by its real problem – its powerlessness or its impossibility. So the first part of the thesis deals with understanding the dismissal of the image of thought in Deleuze's Difference and Repetition, from Artaud's notion of " génital inné " [innate sexuality] in the Correspondence with Jacques Rivière. If the image of thought says nothing about the process of thinking, of what logic are we capable ? Through the discovery of the paradoxical logic deployed in the paradoxes in Deleuze's Logic of Sense, it is a matter of thinking about the connection between Artaud and Nietzsche. The main thrust of this section is a critique of the judgement made by Artaud. Lastly, thrown into the paradoxes of life, the third part considers the great non thought of philosophy, that is the body : indeed, of what body are we capable ? The challenge, the impossibility of thinking about the question of the body - comparing Spinoza's Ethics and Artaud's body without organs - is to reconnect thought with life, in accordance with the intention of Neitzsche's Gai saber [The Gay Science] and that Artaud did not cease to revise from his earliest writings. The impossibility of thought implies not only a separation from life, but also the unthinkable that is the body: indeed, does this mean talk of our own body as we experience it ? To what extent does the creation of a rhizome of concepts in A Thousand Plateaux by Deleuze and Guattari explore Artaud's body without organs, the body experienced that still remains mysterious for thought ? Artaud hoped that he would be loved not for his work, but for his life, testifying to a great health against a sick world: the prospect of the impossibility of thinking is then thought wounded and profound, taking on a life of its own in all its opacity.

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