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Cuba face aux défis de l'époque gorbatchévienne : le début de la fin de la guerre froide et ses implications pour les relations soviéto-cubaines et pour le processus révolutionnaire cubain (1985-1991)

Harvey, Alexandra 11 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2004-2005 / Si la poursuite du processus révolutionnaire cubain dans le contexte post-soviétique a fait l'objet de très nombreuses études, les années Gorbatchev (1985-1991) ont été quelque peu négligées par les chercheurs qui s'intéressent à la révolution cubaine ou à l’évolution des relations soviéto-cubaines. Pourtant, nonobstant le fait que l'aide économique massive accordée par l'Union soviétique à Cuba se poursuit jusqu'à la fin des années 1980, les nouvelles politiques mises de l'avant par Gorbatchev à partir de 1985 ont des répercussions directes et indirectes importantes pour le gouvernement castriste. En effet, parce que le contexte international de la guerre froide a favorisé le développement des relations soviéto-cubaines et celui de la politique intérieure et de la politique étrangère cubaines, la remise en question par Gorbatchev de la division bipolaire du monde, du bien-fondé de l'implication militaro-économique soviétique dans le Tiers-Monde et, finalement, des principes qui avaient jusque-là régi le monde socialiste représentent autant de défis pour le gouvernement cubain. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Les rapports de l'Iran et de l'Union Soviétique de 1917 à 1967

Nabavi, Djamchid January 1968 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les rapports de l'Iran et de l'Union Soviétique de 1917 à 1967

Nabavi, Djamchid January 1968 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La perception de la menace nucléaire soviétique par l'Office of Reports & Estimates, 1946-1950 : pourquoi ont-ils raté la bombe?

Demers, Marc 11 April 2018 (has links)
En 1950, la Central Intelligence Agency (CIA) fut le théâtre d'une profonde réorganisation, trois années seulement après son implantation. L'origine de cette tourmente s'appelait Joe-1, la première bombe atomique soviétique. La victime qui paya le prix pour ce manque d'efficacité fut l’Office of Reports and Estimates (ORE). Responsable d'estimer - entre autres - l'avancement de l'Union soviétique en matière d'armement nucléaire, l'ORE fut rapidement démantelé et condamné sans réserve par la communauté américaine du renseignement. Pourtant, l'ORE était un des fleurons des services secrets américains par la qualité de son personnel issu des grandes universités et des prestigieuses académies militaires. Que s'est-il passé? Où l'ORE a-t-il commis une faute? Que savait-il exactement sur le programme atomique soviétique? Quelle était sa perception de la menace stratégique soviétique? Pour répondre à ces questions, il nous faut retourner aux sources et analyser les estimations d'intérêt national (NIE) que l'ORE produisait à un rythme quasi industriel. C'est alors que nous verrons que l'ORE a péché par excès de confiance; par triomphalisme. Pour l'ORE, nul ne pouvait surpasser les Etats-Unis dans sa marche vers le progrès, il se trompa. / When the CIA's Office of Reports and Estimates (ORE) was dismantled in 1950; many were eager - in the U.S. Intelligence Community - to condemn its performance without reservation. Although many reasons were cited for reorganizing the CIA'S analytical structure, the failure to accurately predict the explosion of Joe-1, the first Soviet atomic bomb in 1949 was the foremost point. But ORE was the brainchild of highly trained militaries and recognized scholars. It was one of the «state of the art» agencies of the American secret services. What went wrong? What exactly did ORE say about the Soviet atomic energy program9 What evidence was available, and how did ORE make use of this material9 What was ORE's perception of the Soviet nuclear threat9 To answer those questions, we must go back in time, back to the roots of this dilemma that lies in the national interest estimates (NIE), which ORE produced at an industrial rate. It is then that we will see ORE's own mistake, its excessive confidence in the American way of life: its triumphalism. Because for ORE, nothing can surpass America in any domain, time will tell differently. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Des politiques européennes à l'égard de l'URSS: la France, la RFA et la Grande-Bretagne de 1969 à 1989

Vercauteren, Pierre January 1998 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les ingénieurs de l'âme : pouvoir et subjectivation sous Staline

Landry, Jean-Michel 12 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2007-2008. / On a l'habitude de penser que le système politique stalinien réprimait les subjectivités en les traquant jusque dans leurs plus intimes manifestations. Les archives soviétiques récusent pourtant cette analyse. Elles montrent que le régime de Staline accordait un soin précieux aux subjectivités; que des dispositifs avaient été aménagés afin de conduire les individus à transformer durablement la manière dont ils se percevaient. C'est le cas du roman stalinien, lequel eut pour fonction et pour effet d'inciter les citoyens soviétiques à cultiver un rapport à soi calqué sur la figure de l'« Homme Nouveau ». Ce mémoire pose en thèse que, sous Staline, le roman héroïque appartenant au genre « réaliste socialiste » se voulait un outil de transformation intérieure, et sa lecture un acte de subjectivation. Cet argument se verra étayé, entre autres, au moyen de la correspondance entre l'écrivain soviétique Nikolaï Ostrovski et ses nombreux lecteurs.
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"The Iron Curtain has been rung down 90 miles from our shores" : la menace cubano-soviétique vue par le Congrès à l'aube de la crise des missiles (automne 1962)

Conroy, Jean-François 18 April 2018 (has links)
À la suite du débarquement manqué de la baie des Cochons en avril 1961, l'Union soviétique dépêche une aide militaire substantielle afin d'assurer la protection du seul État communiste des Amériques. Des quantités impressionnantes de matériel militaire soviétique seront ainsi graduellement expédiées à Cuba. Cette action russe enflamme les passions au Congrès, plus particulièrement à l'automne 1962, où des rumeurs d'implantation de missiles nucléaires en sol cubain se font de plus en plus persistantes. Dans un contexte marqué par l'imminence d'élections législatives, les débats à Capitol Hill reproduits dans le Congressional Record se développent en trois temps. Les parlementaires livrent leurs interprétations du problème cubano-soviétique, avant de se prêter au jeu des recommandations. Ds se mobilisent enfin par le biais d'une résolution conjointe qui octroie au président démocrate John F. Kennedy, à l'aube de la crise des missiles, le soutien du Congrès avant l'ajournement de celui-ci.
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Les élites soviétiques et la création du discours pro-marché en URSS de 1986 à 1991

Pérusse, Alexandre January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La morale à l’épreuve de la politique : la pensée politique de l’intelligentsia libérale soviétique de l’époque de la perestroïka / Morality in the crucible of politics : political thought of the Soviet liberal intelligentsia during perestroika

Sauvé, Guillaume 13 December 2016 (has links)
Cette thèse est inspirée d’un phénomène paradoxal dans l’histoire politique récente de la Russie, soit le soutien d’un grand nombre de figures célèbres de l’intelligentsia libérale, au début des années 1990, à la concentration des pouvoirs dans les mains d’une élite « éclairée », contribuant ainsi à l’épuisement de la démocratie qu’ils cherchaient à consolider. Sur la base d’une étude contextualiste de la pensée politique d’auteurs qui sont au cœur des débats de la perestroïka, cette recherche met en lumière la perspective morale de l’intelligentsia libérale soviétique. Elle montre aussi comment ces postulats et idéaux moraux sont mis à l’épreuve de l’émergence de la vie politique pluraliste à partir de 1989. L’une des principales conclusions de cette étude est de remettre en question une fréquente présomption de similarité entre la pensée politique des libéraux soviétiques et le libéralisme tel qu’il est communément défini en Occident. Le projet moral de la perestroïka porté par les libéraux soviétiques, en effet, ne vise pas à assurer l’indépendance individuelle par la neutralité de l’État : c’est un projet perfectionniste confié à un pouvoir étatique réformateur visant à l’épanouissement d’un bien moral substantiel par le démantèlement du système communiste. Cela ne signifie, pour autant, que la vision politique des libéraux soviétiques soit simplement « immature » ou « utopique », comme on leur reproche parfois. Leur réflexion sur le renouvellement moral nécessaire à la démocratisation s’inscrit au contraire dans une riche tradition de réflexion, dans la philosophie politique occidentale, sur les conditions morales et institutionnelles de la fondation de la liberté. / This dissertation is inspired by a paradoxical phenomenon in recent Russian political history: the support for the concentration of power in the hands of an “enlightened elite” by a large numbers of distinguished figures of the liberal intelligentsia, who thus favored the conditions of the demise of their own political project. Based on a contextual study of the political thought of authors who were at the heart of the debates at the time, this research sheds light on the specific moral perspective of the liberal intelligentsia. It also demonstrates how these moral assumptions and ideals were challenged in the crucible of pluralist politics, from 1989 on. One of the main conclusions of this study is to question a pervasive presumption of similarity between the ideas of Soviet liberals and the Western liberal canon. Indeed, the moral project of perestroika, as it was conceived by Soviet liberals, did not aim at the guarantee of individual independence and state neutrality about the definition of the good. It was rather a perfectionist project in which the reformers were expected to create the political and economical conditions of the thriving of a substantial good, by way of the dismantling of the administrative and ideological control of the communist system. This does not mean, however, that Soviet liberals were merely ‘immature’ or ‘utopian’ in their understanding of politics, as they are also accused of. We argue that it is more fruitful to situate their association of democratization with moral renewal in a long tradition of reflection, in Western political philosophy, on the institutional and moral conditions for the foundation of freedom.
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Les anciens détenus du Goulag : libérations massives, réinsertion et réhabilitation dans l'URSS poststalinienne, 1953-1964

Elie, Marc 21 March 2007 (has links) (PDF)
Staline mort, le 5 mars 1953, les membres de son entourage définirent de nouvelles orientations pour le système soviétique dont ils avaient désormais la charge. Une fois les portefeuilles redistribués, ils s'attaquèrent en urgence à l'héritage répressif colossal laissé par le dictateur. En quelques années seulement, ils firent relâcher plusieurs millions de détenus des camps du Goulag. Cette thèse pose le caractère fondamental de ces libérations massives pour les transformations de la société soviétique dans la période dite du " Dégel " et pour la redéfinition du modèle soviétique sous la direction de Nikita Khrouchtchev (Premier secrétaire du Comité central du PCUS de 1953 à 1964). Souvent supposée, la portée des libérations massives n'a jamais fait l'objet d'une étude complète, intégrant tous les prisonniers, et non les seuls " politiques ", et portant sur les aspects sociaux, politiques et pénitentiaires du démontage du Goulag et du retour à la liberté de millions de réclusionnaires. Quatre questions ont guidé cette recherche. Quels desseins présidèrent aux amnisties massives, qui menaçaient d'être impopulaires et qui sabordaient un modèle économique fondé sur le travail forcé des détenus ? Pour comprendre comment les héritiers de Staline en vinrent à démonter le Goulag, il faut interroger les connaissances qu'ils avaient des réalités économiques et sociales du système pénitentiaire, leur hiérarchie des problèmes et les solutions qu'ils avaient à leur disposition pour les résoudre. De plus, il faut faire la part de la prise de risque, favorisée par l'atmosphère de lutte pour le pouvoir qui encourageait les actions hardies chez les membres du Présidium du Comité central en concurrence. Il faut également prendre en compte que les conséquences des libérations massives étaient souvent inattendues, essentiellement parce que les opérations elles-mêmes étaient mal préparées. Enfin, l'époque du " Dégel " est une ère d'expérimentation. En quête de moyens de réactiver le projet socialiste, les dirigeants, Khrouchtchev en tête, croyaient à la nécessité de réformer les criminels pour les intégrer à la société. Deuxième interrogation à la base de ce travail : quel a été l'impact du retour de millions d'anciens détenus sur la société soviétique ? C'est par l'intermédiaire des dispositifs administratifs, policiers et judiciaires que nous accèderons aux conditions de leur réinsertion. Cela commence par l'organisation logistique du rapatriement des multitudes libérées, rendue difficile par l'éloignement de certains centres pénitentiaires géants et l'engorgement des transports. La plupart des anciens détenus étaient astreints à des règles extrêmement limitatives de séjour et d'établissement connues sous le nom de " réglementation spéciale " des passeports intérieurs. D'autres dispositifs, plus lâches, étaient à l'œuvre pour favoriser leur " mise au travail ". Enfin, la répression pénale menaçait les repris de justice. Nous verrons que les libérés vinrent gonfler les marges sociales du chômage, du vagabondage, de la mendicité et de la prostitution, hors d'atteinte des dispositifs susmentionnés. Quelle fut la profondeur de la politique de "réhabilitation" ? La reconnaissance de préjudices infligés à des innocents, hier encore stigmatisés comme les principaux ennemis du régime, est l'un des événements sociopolitiques majeurs du Dégel. Ce travail montre comment les hommes de l'entourage de Staline, qui appliquèrent docilement ses ordres les plus sanglants, en sont venus néanmoins à faire annuler un grand nombre de condamnations pour crimes " contre-révolutionnaires " au nom du retour à la légalité. Il analyse si cette déclaration d'innocence a été suivie de mesures concrètes en faveur des réhabilités et comment étaient traitées les revendications de ceux qui estimaient avoir été injustement stigmatisés et réclamaient de recouvrer leurs biens, leur emploi et leur honneur. Une quatrième et dernière problématique concerne la redéfinition du maintien de l'ordre public. En effet, si les libérations massives du Goulag s'enchâssent dans la thématique du retour des populations déplacées par la contrainte pendant la période stalinienne, elles ne s'y épuisent pas. Le système carcéral a continué à recevoir de nouveaux contingents de prisonniers après la mort de Staline. Dès lors, le contrôle sur les libérations occupait une place primordiale dans le maintien de l'ordre et la lutte contre la criminalité. Les mécanismes optimums de libération des détenus ne pouvaient être inventés qu'en prenant en considération la récidive et généralement les conséquences criminogènes des sorties. Le contrôle des flux carcéraux devint un enjeu considérable dans les nouveaux schémas de maintien de l'ordre qui se développèrent sous Khrouchtchev.

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