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Cartographie, évolution et modélisation de l'utilisation du sol en milieu urbain. Le cas de Bruxelles.

Van den Steen, Isabelle 12 September 2005 (has links)
Ce travail s'inscrit dans un processus de réflexion qui vise à améliorer la compréhension de l'étalement urbain depuis la seconde guerre mondiale en périphérie bruxelloise, en particulier au travers de la cartographie et de l'analyse de l'utilisation du sol. Depuis cette date, l'urbanisation au sein des espaces ruraux à proximité des villes, processus qualifié de périurbanisation, s'est nettement renforcée. L'examen de la littérature dans ce domaine révèle que peu d'approches se basent sur l'emprise physique des modes d'utilisation du sol. C'est ce constat qui nous a amenée à envisager l'étude de la périurbanisation bruxelloise au travers des formes qu'elle a engendrées en se concentrant sur la notion d'utilisation du sol. Nous l'avons abordée au travers de trois aspects. Tout d'abord, nous avons exploré l'apport des nouvelles techniques d'interprétation numérique à l'élaboration de cartes d'utilisation du sol à moyenne échelle (1:100 000) à partir d'images satellitaires. L'analyse des différentes étapes du processus de classification a montré que, lors de l'utilisation de classifications supervisées, la localisation et l'échantillonnage aléatoire des sites d'entraînement ainsi que la combinaison des caractéristiques des paramètres de classification (informations spectrales, texturales et contextuelles) améliorent considérablement l'exactitude du résultat. On constate également, dans ce dernier cas, l'importance de travailler avec une forme de voisinage isotrope et de pouvoir en faire varier la taille en fonction des classes considérées. L'utilisation de classificateurs multiples a permis de tendre vers une plus grande généralisation et de supprimer une série d'artefacts. Enfin, les essais ont montré que la classification par segmentation se rapproche fortement de la généralisation de l'interprétation visuelle tout en diminuant sensiblement le nombre d'objets à classer. Dans un second temps, une analyse approfondie de la structure et de l’évolution de l’utilisation du sol à Bruxelles et dans sa périphérie au cours du dernier demi-siècle a été réalisée à partir d'une base de données diachronique à grande échelle (1:25 000). Elle confirme la vision d'une périphérie bruxelloise peu dense où le poids de la classe de tissu urbain résidentiel clairsemé discontinu s'intensifie au cours du temps. Les espaces privilégiés de l'urbanisation ont été identifiés de manière systématique à l'aide de canevas d'analyse radio-concentriques et directionnels. Le croisement entre les données d'utilisation du sol et d'autres indicateurs spatialisables comme les plans de secteur a montré les marges d'évolution potentielles, tant au moment de la mise en place de ces plans que plus récemment. D'autres combinaisons avec des statistiques socio-économiques ou démographiques ont fourni de nouveaux indicateurs permettant d'explorer les densités de l'occupation de l'espace périurbain et de s'interroger sur les discordances entre réalité physique et enregistrement statistique. Enfin, l'arrangement spatial des différentes classes d'utilisation du sol a été exploré. L'ensemble de ces analyses ont fait l'objet d'une synthèse thématique ainsi que régionale, au sein de compartiments paysagers. La dernière approche de la problématique de l'utilisation du sol en milieu urbain s'est faite au travers d'une démarche basée sur la modélisation spatiale. La calibration des relations de voisinage à l'aide des règles d'autocorrélation spatiale a démontré que les affinités entre classes décrivent bien la structuration de l'agglomération bruxelloise et traduit le renforcement des structures héritées. L'analyse des résidus de la modélisation a montré le rôle contraignant de l'introduction des plans de secteur pour la classe du tissu urbain résidentiel clairsemé discontinu, laissant beaucoup plus de place qu'attendu dans les parties sud de la zone d'étude. La modélisation dynamique a aussi clairement mis en évidence le changement de logique de localisation de l'industrie et des services, qui rompent avec leurs localisations traditionnelles au cours de la période étudiée. En conclusion, la thèse a permis de confirmer les atouts d'une approche sous l'angle de l'utilisation du sol pour appréhender le phénomène de périurbanisation. Elle montre aussi le rôle unificateur de cette approche, qui peut s'insérer aisément dans les études thématiques ou susciter des questionnements nouveaux du fait des avancées apportées par le caractère quantitatif des exploitations régionales. Enfin, des outils communs et des enrichissements mutuels, acquis ou potentiels, sont identifiés entre les différents champs de la discipline (télédétection, géographie urbaine, modélisation spatiale) mobilisés pour cette exploration de la production, de l'analyse et de la modélisation des données d'utilisation du sol.
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Settlement structure of eastern colonial India /

Majumdar, Paramita, January 2007 (has links)
Dissertation. / Bibliogr. p. 264-268.
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Développement et évaluation de méthodes d'isolation des spores de champignons contenues dans l'eau des rivières

Hobeila, Joël January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Dynamique locale et transformation de l'environnement : le cas de la gestion des conflits fonciers à Mopti au Mali dans un contexte d'adaptation au changement climatique

Berteau, Geneviève January 2007 (has links) (PDF)
La commune Mopti, au Mali, est située à la confluence des fleuves Bani et Niger, les deux plus grands cours d'eau du Mali. À cause de la fragilité de son écosystème, il suffit d'une perturbation climatique pour déclencher une crise entraînant la famine, les conflits et la dégradation accélérée de l'environnement. La commune est une zone économique importante qui est occupée de façon séquentielle par les éleveurs, les pêcheurs et les agriculteurs suivant la période d'inondation du delta. La raréfaction des ressources causée par une forte variabilité du climat avec des changements dans les caractéristiques de celui-ci peut exacerber les conflits fonciers en accroissant la demande pour des territoires fertiles. Avec la décentralisation, la répartition des pouvoirs concernant la gestion foncière est en négociation tant au plan traditionnel, ethnique que politique. Les conflits fonciers comprennent donc un enjeu de légitimité entre les autorités traditionnelles, les élus des collectivités territoriales et les autorités déconcentrées. Ainsi, les populations doivent s'adapter à la fois à la situation environnementale et au cadre institutionnel décentralisé de la commune. Comment le cadre institutionnel et les mécanismes socioculturels interagissent-ils face aux besoins d'adaptation dans un contexte de bouleversements climatiques? L'objectif principal de cette recherche est d'inventorier et d'évaluer les stratégies d'adaptation mises en place par la commune de Mopti et de savoir dans quelle mesure celles-ci sont influencées par les modèles culturels dominants. Si la variabilité du climat a longtemps été considérée comme un problème technique, elle apparaît aujourd'bui comme indissociable de problèmes d'ordre social, culturel, économique et politique. Nous avons préconisé un type de recherche qualitatif comprenant des entrevues semi-dirigées auprès de différents représentants des sphères traditionnelles, politiques et administratives de la commune de Mopti. Nos résultats permettent de constater qu'au niveau relationnel, les représentants adoptent des stratégies d'adaptation basées sur des codes traditionnels. Pourtant au niveau professionnel, ils utilisent les ressources mises à leur disposition par la décentralisation afin d'assurer leurs intérêts personnels. Cette participation active dans différents espaces publics de Mopti leur permet de prendre part aux actions liées à l'allocation et à l'exploitation du territoire ainsi qu'à la lutte pour la sécurité alimentaire. Cependant, nous avons remarqué que certains éléments nuisent à une gestion effective de l'espace communal et des ressources naturelles. Il faut noter à ce sujet, la concordance entre le droit traditionnel et le droit moderne vis-à-vis des enjeux liés à la gestion foncière ainsi que tout le débat autour de l'appropriation du territoire. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Décentralisation, Commune, Mali, Changement Climatique, Variabilité du climat, Changement institutionnel, Dynamique locale, Sahel, Transformation environnementale, Adaptation, Vulnérabilité, Conflit foncier.
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Développement et évaluation de méthodes d'isolation des spores de champignons contenues dans l'eau des rivières

Hobeila, Joël January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Aide à la détermination de faciès pédopaysagers à partir de données satellitaires /

Mathieu, Sandrine. January 1900 (has links)
Th. doct.--Méthodes physiques en télédétection--Paris 7, 1994. / En appendice, choix de documents en français et en anglais. 1995 d'après la déclaration de dépôt légal. Bibliogr. p. 117-123. Résumé en français et en anglais.
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Démystifier la gestion intégrée des ressources et du territoire (GIRT) au Québec, un acteur à la fois

Bernard, Anne 14 January 2022 (has links)
Les forêts sont caractérisées par les nombreuses fonctions et les biens et services qu'elles offrent à la société. Toutefois, les diverses utilisations du territoire forestier posent un défi fondamental : la cohabitation des acteurs. Généralement associée à des conflits d'usages, mais aussi à des utilisations complémentaires, la diversité des biens et services de la forêt met en exergue la complexité associée à la gestion forestière. La gestion intégrée des ressources et du territoire (GIRT) est un concept théorique qui tente de faciliter l'utilisation multiple du territoire forestier. Cependant, la GIRT intègre à son tour plusieurs concepts qui, pris individuellement, sont tous aussi complexes les uns que les autres. Pensons notamment au processus de gestion coopératif, à la concertation, au développement du territoire, à la conservation, à la mise en valeur des ressources et des fonctions du milieu, aux bénéfices et retombées économiques, aux collectivités forestières et à l'optimisation de l'utilisation des ressources qui sont inclus dans la définition de la GIRT. Cette thèse permet ainsi de démystifier la GIRT en explorant les différentes facettes, théoriques et appliquées, tout en se basant sur les perceptions des acteurs qui sont au cœur même de cette approche. Avant tout, la GIRT est un concept englobant qui prend forme grâce à la dynamique des acteurs sur le territoire forestier. Cette thèse, divisée en quatre chapitres, considère la perception de ces acteurs, passés et actuels, qui ont été impliqués dans la mise en œuvre de la GIRT. Premièrement, dans le but de comprendre le concept et ses origines, un bilan des trente dernières années, soit depuis le changement de régime forestier en 1986, a été dressé pour le Québec. Ce sont ici les experts d'hier et d'aujourd'hui, issus de différents secteurs du milieu forestier, qui ont été mobilisés. Ainsi, les conclusions s'appuient sur leurs témoignages, sur l'analyse de documents gouvernementaux, d'actes de colloques et de la littérature scientifique. Deuxièmement, pour comprendre les subtilités, les enjeux et les opportunités associés à la mise en œuvre de la GIRT telle que définie dans la législation forestière québécoise, une étude de la perception des professionnel(le)s responsables de son implantation a été menée. Au moyen d'entrevues semi-dirigées, il a été possible d'identifier les principaux défis et de proposer une nouvelle définition du concept pour mieux correspondre aux enjeux contemporains. Troisièmement, au-delà du concept théorique, la GIRT est avant tout un concept pratique qui s'intéresse aux multiples utilisations du territoire forestier. Ce sont donc les acteurs qui utilisent le territoire forestier qui sont au cœur de la GIRT. Cette thèse vise à connaître leurs perceptions de la mise en œuvre de la GIRT. Au moyen d'un sondage réalisé en ligne et destiné aux membres des Tables locales de gestion intégrée des ressources et du territoire (TLGIRT) et qui sont les représentants officiels des acteurs présents sur le territoire forestier, il a été possible d'identifier les forces et les faiblesses associées à la GIRT. Bien que tout soit en place pour faciliter une prise en compte équitable des acteurs, des écarts sont toujours observés. Quatrièmement, la GIRT se déploie localement sur l'ensemble des forêts publiques et elle prend en compte les retombées générées par l'utilisation des ressources. Le dernier chapitre permet de cartographier la valeur économique des usages directs dans des territoires ciblés où cohabitent plusieurs usagers, soit les réserves fauniques. Les résultats permettent ainsi de visualiser la GIRT en fonction des caractéristiques biophysiques et anthropiques du territoire, dans le but de développer des scénarios d'aménagement qui facilitent la cohabitation des utilisations dans le temps et dans l'espace. En conclusion, les résultats de cette thèse proposent un nouveau modèle théorique de la GIRT qui met en lumière l'importance des relations qui se sont bâties entre les acteurs au fil du temps. Afin de faire face aux défis que pose la présence d'intérêts multiples, il faut s'appuyer sur des approches qui prennent en compte les enjeux sociaux en amont de la planification forestière. Pour y arriver, il faut octroyer aux parties prenantes impliquées sur le territoire forestier un pouvoir décisionnel en matière de gestion intégrée et ultimement d'aménagement forestier intégré. / Forests are characterized by the many goods and services they provide to the society. However, the various uses of the forest territory pose a fundamental challenge: the cohabitation of actors. Usually related to usage conflicts, but also with complementary uses, the diversity of goods and services highlights the complexity associated with forest management. Integrated land and resource management (ILRM) is a theoretical concept that aims to achieve multiple uses of forest lands. The ILRM definition also includes various concepts that, analyzed individually, are as complex as ILRM itself. This includes the cooperative management process, concertation, land development, conservation, enhancement of forest resources and functions, economic benefits, forest communities, and optimization of resource use. This thesis demystifies ILRM by exploring its different facets, theoretical and applied, while focusing on the perceptions of stakeholders that represent the very heart of this approach. Above all, ILRM is an all-encompassing concept that takes shape through the dynamics of the actors in the forest territory. This thesis, divided into four chapters, considers the perceptions of these actors, past and present, who have been involved in the implementation of ILRM. First, in order to understand the concept and its origins, a review of the last thirty years was made for Quebec. Experts from the past and present, from different sectors of the forestry industry, were mobilized. Thus, the conclusions are based on their testimonies, on the analysis of government documents, symposium proceeding sand scientific literature. Secondly, in order to understand the subtleties, issues and opportunities associated with the implementation of IWRM as defined in Quebec's forestry legislation, a study of the perceptions of the professionals responsible for its implementation was conducted. Through semi-directed interviews, it was possible to identify the main challenges to propose a new definition of the concept to better correspond to contemporary issues. Thirdly, beyond the theoretical concept, ILRM is above all a practical concept that focuses on the multiple uses of the forest territory. It is therefore the actors who use the forest territory who are at the heart of ILRM. This thesis aims to fin out their perceptions of the implementation of IRTWM. By means of a survey carried out online and intended for the members of the Integrated land and resource management panels (ILRMP), who are the official representatives of the actors present on the forest territory, it was possible to identify the strengths and weaknesses associated with ILRM. Although everything is in place to facilitate equitable consideration of stakeholders, gaps are still observed. Fourth, ILRM is being implemented locally across the public forest and is considering the benefits generated by resource use. The last chapter maps the economic value of direct uses in targeted areas where several users coexist, i.e. wildlife reserves. The results allow us to visualize the ILRM according to the biophysical and anthropic characteristics of the territory, with the aim of developing management scenarios that facilitate the cohabitation of uses in time and space. In conclusion, the results of this thesis propose a new theoretical model of IWRM that highlights the importance of the relationships that have been built between actors overtime. To address the challenges posed by the presence of multiple interests, it is necessary to rely on approaches that take social issues into account at the beginning of forest planning. To achieve this, stakeholders involved in the forest area must be given decision making power in integrated management and ultimately in integrated forest management.
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Présence, occupation et gestion territoriale des Wolastoqiyik au Bas-Saint-Laurent : une perspective archéologique

Morissette, Marie-Eve 28 June 2024 (has links)
Ce projet de mémoire s'intéresse aux occupations autochtones anciennes au Bas-Saint-Laurent dans un corridor de circulation utilisé par la nation Wolastoqiyik Wahsipekuk et ses ancêtres. L'objectif général est de combler le vide documentaire archéologique entre la région du lac Témiscouata et l'estuaire du Saint-Laurent par une étude des caractéristiques des sites archéologiques connus et la combinaison de facteurs communs entre ces derniers et les données sur les schèmes d'utilisation et d'occupation du territoire par la nation Wolastoqey. Pour ce faire, nous nous sommes appuyés sur des principes de l'archéologie autochtone, ou *Indigenous Archaeology*, et des théories de l'archéologie du paysage. La démarche adoptée est celle d'une approche holistique afin de pouvoir intégrer à la fois des données archéologiques, historiques, ethnohistoriques, géographiques et géomorphologiques et à la fois le point de vue de la nation sur sa propre histoire. Nous nous sommes également intéressés à toutes les périodes, soit de 10 000 ans AA aux périodes récentes, afin d'en conserver la continuité d'occupation et d'y déceler les modifications dans les schèmes d'utilisation et d'occupation du territoire. Ce mémoire présente les informations collectées, leurs analyses et leurs interprétations, ainsi que le processus méthodologique permettant de tirer des conclusions. Le croisement de nos données ont permis plusieurs interprétations que nous avons utilisées pour tenter de décrire des modèles de fréquentation et d'utilisation du territoire. Nos résultats font ressortir quelques éléments marquants dans l'utilisation du territoire et sont également présentés avec nos réflexions sur ces aspects. / This thesis project focuses on ancient Indigenous occupations in the Bas-Saint-Laurent region in a corridor used by the Wolastoqiyik Wahsipekuk Nation and its ancestors. Our overall objective is to fill the archaeological and documentary gap that exists between the Lake Témiscouata region and the St. Lawrence River coast by studying the characteristics of known archaeological sites and combining common factors between them with data on the Wolastoqey Nation's land use and occupation patterns. To do so, we drew on principles of Indigenous Archaeology and theories of landscape archaeology. The approach adopted is that of a holistic approach to be able to integrate archaeological, historical, ethnohistorical, geographical, geomorphological data and at the same time the point of view of the nation on its own history. We also looked at all periods to maintain continuity of occupancy and to detect changes in usage and occupancy patterns. Our thesis presents the information collected, our analyses and interpretations, as well as the methodology used to draw our conclusions. The cross-referencing of all our data allowed several interpretations that we used to try to describe patterns of land use. Our results highlight some key elements in the use of the territory covered by our research and are presented with our thoughts on these aspects.
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La spécialisation de l'espace intra-urbain

Pampalon, Robert. 07 June 2022 (has links)
No description available.
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Land use patterns in the Laurentides between the Saint-Maurice and Rouge valleys (Québec).

Clibbon, Peter Brooke 25 April 2018 (has links)
Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, l'utilisation du sol, les paysages et l'économie régionale de vastes sections des petites Laurentides du Québec ont été radicalement transformés. Aujourd'hui, 160 ans après l’arrivée des premiers bûcherons et des premiers colons dans la région, la période agricole tire définitivement vers sa fin; les chantiers remontent de plus en plus vers le nord, à cause principalement de l'épuisement des ressources commerciales de la forêt; enfin, la région est devenue, en grande partie, un hinterland récréationel très développé pour Montréal, Québec, Hull-Ottawa, Trois-Rivières, Shawinigan-Grand’Mère, et les autres villes des vallées du Saint-Laurent et de l’0utaouais. La région du bouclier qui s'étend entre les vallées de la rivière Rouge et du Saint-Maurice (comprenant la plus grande partie des comtés d'Argenteuil, de Terrebonne, de Montcalm, de Joliette, de Berthier, de Maskinongé et de Saint-Maurice), largement comprise dans la zone a-i influence de Montréal, est peut-être le secteur des Laurentides qui évolue le plus rapidement. Le "pattern" actuel de l'utilisation du sol de ce secteur et son évolution - c'est le thème de cet essai - présentent donc un intérêt particulier. On a divisé le secteur en six méso-régions: Mauricie, rivière du Loup, Maskinongé, Mattawin, Assomption-Ouareau, et enfin, la région "laurentienne", cette dernière s'étendant au nord-ouest de Montréal le long de l'axe fourni par la route 11. Le "pattern" actuel de l'utilisation du sol de chacune de ces ré6ions est décrit en détail. À cela s'ajoute une analyse des facteurs: roche-mère, topographie, matériaux de surface, climat, historique du peuplement, exploitation forestière, tourisme, communications et urbanisation, qui expliquent le mieux ce "pattern" de même que son évolution. Les autorités coloniales britanniques commencèrent à établir des plans de colonisation de la région des Laurentides à la fin du dix-huitième siècle. Aux environs de 1790, leurs arpenteurs divisèrent t la région en cantons de 100 milles carrés portant des noms comme Rawdon, Kilkenny, Chilton et Brandon. Parmi les premiers colons, outre quelques éléments canadiens français, fissuraient une poignée de Loyalistes, d'Américains, et d'officiers et de soldats britanniques à la retraite . Cependant, le gros des colons d'expression anglaise était composé d'immigrants irlandais et écossais, qui arrivèrent dans la région entre 1820 et 1840, attirés par des offres alléchantes: terres, instruments, rations alimentaires, transports offerts gratuitement. Les attributions considérables de terres et les concessions accordées aux compagnies forestières et aux spéculateurs anglophones pendant la même période, ont concouru également à l'ouverture de l'arrière-pays à la colonisation, principalement dans la région de Maskinongé, de la rivière du Loup et de la Mauricie. La vague de colonisation britannique prit fin vers l'année 1840, mais à cette époque, les Canadiens français, venant des seigneuries surpeuplées des basses terres, commencèrent à se déverser dans la région . S'appropriant d'abord des fermes du rebord du bouclier abandonnées par les Britanniques, ils gagnèrent par la suite les hautes terres légèrement ondulées et les plaines alluviales encore non - cadastrées de l'intérieur (par exemple, la région de la Mattawin et la haute vallée de la rivière Rouge). Cette poussée vers le nord, fortement encouragée par le gouvernement provincial, l'Église catholique romaine et les sociétés de colonisation de Montréal, se prolongea durant cinquante a ' soixante -dix ans, et fut suivie par une période d'abandon des terres qui s'est poursuivie jusqu'aujourd'hui. Le rétrécissement de l'écoumène agricole (lequel est passé de 110 000 à 26 000 acres dans la seule région "laurentienne" entre 1921 et 1961) et la substitution des exploitations agricoles marginales à des usages plus profitables ont eu pour résultat l'établissement de rapports plus rationnels entre la "capacité" du sol et son utilisation dans l'ensemble de la région. Cependant, des améliorations apportées au réseau de communications et le développement continuel du tourisme d'été et d'hiver, la spéculation sur les terres et l'urbanisation menacent maintenant même les zones d ' agriculture pros pères. Depuis 1945, dans la vallée de la rivière du Nord en particulier, et dans d'autres régions, les facteurs ci-haut mentionnés se sont combinés pour amener la disparition de l’agriculture. Les projets d'extension de l'Autoroute des Laurentides et de l'Autoroute 40 (laquelle suit le côté nord de la vallée du Saint-Laurent entre Montréal et Berthierville ) aura sans nul doute pour résultat la création éventuelle de nouveaux développements récréationnels et urbains dans des rég ions telles que les bassins de Saint-Jovite et de Saint-Gabriel . Ces projets devraient aider à l'ouverture prochaine au tourisme de vallées peu développées comme celle de la Maskinongé, de la rivière du Loup et de la Mauricie. L’annulation des baux des clubs de pêche et de chasse dans les régions qui connaîtront un développement imminent serait souhaitable. D'ici peu (vingt ou trente ans, peut-être ), on verra que l'utilisation du sol à des fins urbaines et récréationnelles prédominera presque partout dans les Laurentides entre la vallée de la rivière Rouge et celle du Saint-Maurice. L'agriculture, jadis activité économique de base ici, ne sera plus qu’un souvenir. / Since the end of World War II, the land use, landscapes, and regional economy of large sections of Québec’s Laurentide hills have been radically transformed. Now, 160 years after the arrival of the first colonists and lumbermen in the area , the death knell is finally sounding for farming, the "chantiers" are moving farther and farther north, mainly because of the depletion of the commercial forest resources, and the region has become, in large part, a highly-developed recreational hinterland for Montréal, Québec, Hull-Ottawa, Trois-Rivières, Shawinigan - Grand'Mère, and the other towns of the Saint Lawrence and Ottawa valleys. The Shield area between the Rouge and Saint-Maurice valleys, lying largely within the orbit of Montréal and comprising most of Argenteuil, Terrebonne, Montcalm, Joliette, Berthier, Maskinongé and Saint-Maurice counties, is perhaps the most rapidly evolving sector of the Laurentides, and so the evolution and present pattern of its land use, the theme of this dissertation, is of particular interest. The area has been divided into six regions - the Mauricie, rivière du Loup, Maskinongé, Mattawin, Assomption-Ouareau, and 11 Laurentian" zones (the latter lies northwest of Montréal a long the axis provided by Route 11). The present patterns of land use in each of these regions are described in detail, along with an analysis of the factors and elements bedrock·and topography, surface materials, climate, history of settlement, forest exploitation, tourism, communications and urbanization which best explain them. British colonial authorities began to plan the settlement of the Laurentide region in the late eighteenth century, and during the 1790s their surveyors broke the area up into 100 square mile townships with names such as Rawdon, Kilkenny, Chilton and Brandon. The first settlers were a handful of Loyalists, Americans, and retired British army officers and enlisted men, but the bulk of the English- speaking colonists were Irish and Scotch immigrants who arrived in the area between 1820 and 1840) attracted by offers of free passage) land, tools and rations. The large land grants and timber concessions which were made to English lumbermen and speculators during the same period also helped to open the interior to settlement, notably in the Maskinongé, rivière du Loup and Mauricie regions. The wave of British settlement died out around 1840, but at this time French-Canadians from the overcrowded lowland seigneuries began to spill over into the area, first appropriating many of the Shield-edge farms abandoned by the British, and later moving onto the gently rolling highlands and flat alluvial plains of the unsurveyed interior (Mattawin region, upper Rouge valley). This push toward the north, strongly encouraged by the provincial government, the Roman Catholic church, and Montréal-based colonization societies, lasted from fifty to seventy years, and was followed by a period of land abandonment which has continued until the present. The shrinking of the agricultural ecumene (which dropped from 110,000 to 26,000 acres in the "Laurentian" area alone between 1921 and 1961), and the transfer of marginal farmland to more profitable uses, has brought about a more rational relationship between land capability and land use throughout the area. However, improvements to the communications network, and the continuing development of summer and winter tourism, land speculation and urbanization, now threaten even the areas of good farmland, and since 1945, have combined to bring about the virtual disappearance of farmland in the Nord river valley and other areas. Projected extensions to the Autoroute des Laurentides and Autoroute 40 (which follows the north side of the Saint Lawrence valley between Montréal and Berthierville) will undoubtedly stimulate additional recreational and urban growth in areas such as the Saint-Jovite basin and the Saint-Gabriel lowland, and should help to open up to tourism hitherto lightly-developed valleys such as the Maskinongé, rivière du Loup and Saint-Maurice. Cancellation of fishing and hunting club leases in these areas of imminent development would be desirable, and now seems likely. It would now appear that within a very short time, perhaps twenty or thirty years, urban and recreational land use will predominate almost everywhere in the Laurentides between the Rouge and Saint-Maurice valleys, and farming, once the basic economic activity here, will be no more than a distant memory. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2016

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