• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 34
  • 4
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 51
  • 51
  • 19
  • 17
  • 14
  • 7
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 5
  • 5
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
41

Les stratégies de gestion foncière des Paston, d'après leur correspondance (1425-1503)

Leclerc, Marie-Hélène 24 April 2018 (has links)
Les Paston, une famille de la gentry anglaise du XVe siècle, sont connus surtout pour la riche correspondance qu'ils ont rédigée et dont une partie importante a subsisté jusqu'à aujourd'hui. Tout au long de cette correspondance, ils relatent les problèmes de gestion foncière auxquels ils durent faire face. Ils vivaient également sous le régime de la common law, un système juridique propre à l'Angleterre, et qui était dépourvu d'agents publics pour produire, valider et conserver les documents relatifs aux droits fonciers. Quelles furent alors les stratégies adoptées par les Paston pour gérer leurs domaines et pour défendre leurs droits en cas de contestation? La question est abordée selon la perspective de la communication orale et écrite : dans un premier temps, nous analyserons les rapports des Paston avec le mode de communication écrite. Ensuite, nous tenterons de cerner le rôle des réseaux de communication orale et écrite dans les stratégies de gestion foncière des Paston. Enfin, nous explorerons l'usage des preuves écrites et des témoins oraux par les Paston dans leurs rapports avec le système juridique anglais. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
42

Coexistence et compatibilité des usages dans les territoires ruraux québécois : étude de cas

Mathis, Marianne 23 April 2018 (has links)
Au cours de la dernière décennie, les espaces ruraux québécois, utilisés principalement à des fins agricoles, ont été mis sous tension par la multiplication des porcheries, le développement de la filière éolienne et l’exploration gazière. Au Québec, le modèle de développement sous-jacent à la Loi sur la protection du territoire et des activités agricoles n’encourage pas la multifonctionnalité de la zone agricole, puisque le régime de zonage n’autorise l’inclusion d’activités non agricoles qu’au cas par cas. Depuis les années 2000, le gouvernement a consenti à une planification d’ensemble pour les usages résidentiels. Mais cet ajustement, dont la valeur reste encore à établir, ne concerne que l’usage résidentiel. Or, cette conjoncture entre la volonté gouvernementale de favoriser l’occupation dynamique du territoire et la demande croissante pour l’exploitation des ressources naturelles engendre un défi de coexistence des usages. Face à cet enjeu d’actualité, le gouvernement du Québec a mis sur pied la Commission sur l’avenir de l’agriculture et de l’agroalimentaire québécois, qui a permis d’identifier une volonté des acteurs de la société civile de mieux encadrer l’expression de la multifonctionnalité des territoires ruraux, ce qui exige maint ajustement. C’est pourquoi il a semblé intéressant de se pencher sur les outils et mécanismes de planification, de réglementation et de consultation découlant des lois en vigueur afin d’examiner s’ils favorisent ou non la coexistence d’usages en milieu agricole à travers l’examen du cas de la MRC de Bécancour. Une matrice est proposée comme outil pouvant optimiser la planification territoriale. Selon l’analyse effectuée, les conflits d’usages répertoriés peuvent être classés en deux catégories. La différence s’opère dans l’objet et dans la manifestation du conflit au sein de l’espace public. Subséquemment, l’échelle des conflits sera déterminante quant aux outils auxquels recourir ou à instaurer, et dans l’évaluation de l’efficacité de ces outils. Mots-clés : coexistence des usages, multifonctionnalité du territoire, conflit d’usage.
43

Ville de polders : la géographie historique des marais de la ville de Baie-Saint-Paul (Québec)

Bolger, Laura Lee 10 November 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 30 octobre 2023) / Les marais salés et polders sont des composants importants du paysage de la Ville de Baie-Saint-Paul. Alors qu'ils sont naturellement et culturellement importants, ils sont mal compris par la plupart des citoyens. La problématique de ce mémoire est de comprendre comment les processus naturels et humains ont influencé l'évolution des marais depuis les débuts de la colonisation européenne. L'hypothèse est que les marais sont un milieu hybride qui est le résultat de processus naturels et culturels. Pour tester l'hypothèse, l'étude a privilégié une méthodologie basée sur l'analyse par ordinateur (HGIS) des cartes anciennes, photographies aériennes et images satellitaires afin de suivre l'évolution des marais à travers le temps. Les résultats montrent qu'au cours des siècles les modifications naturelles des marais ont été limitées, la plus importante étant le rebond isostatique entraînant une hausse de près d'un demi-mètre de l'élévation des marais. Les changements anthropiques ont été de loin le plus grand moteur de changement. Alors que des siècles de chasse, de pêche, de pâturage et de récolte de foin de marais ont eu peu d'impact sur le milieu, l'utilisation croissante du drainage et la création de polders ont diminué la superficie des marais. Étonnamment, les changements les plus importants sont liés à la montée d'une économie postindustrielle où les marinas, les quais et la fréquentation touristique ont eu des impacts importants sur les mouvements de sédiments et la stabilité des dunes et des zones végétales des marais. Le mémoire se termine par un appel à des plans de gestion plus cohérents qui reconnaissent les marais pour leur biodiversité en plus d'être des lieux de culture et d'utilisation durable. / Salt marshes and polders are important components of the landscape of the City of Baie-Saint-Paul. While they are naturally and culturally significant, they are misunderstood by most citizens. The problematic is to consider how natural and cultural processes have influenced the evolution of the marshes since European colonization. The hypothesis is that the marshes are a hybrid environment resulting from natural and cultural processes. To test this hypothesis, the study privileged a methodology based on computer analysis (HGIS) of old maps, aerial photographs, and satellite images to follow the progression of the marshes over time. The results show that over the centuries the natural modifications of the marshes have been limited, the most important being isostatic rebound resulting in a rise of nearly half a meter in the elevation of the marshes. Anthropogenic changes have been by far the biggest driver of change. While centuries of hunting, fishing, pasturing, and marsh hay harvesting had little impact on the environment, the increasing use of drainage and the creation of polders reduced the area of the marshes. Surprisingly, the most significant changes are related to the rise of a post-industrial economy where marinas, wharves and tourist traffic have had significant impacts on sediment movements and the stability of dunes and marsh vegetation zones. The thesis ends with a call for more coherent management plans that recognize marshes for their biodiversity in addition to being places of culture and sustainable use.
44

Les impacts du transport en commun sur les constructions immobilières commerciales et résidentielles : le cas du métro de Montréal

Champagne, Marie-Pier 22 April 2021 (has links)
Ce mémoire a pour objectif d'évaluer l'impact de l'extension de la ligne orange du métro de Montréal à Laval sur le développement immobilier. L'analyse empirique s'intéresse à l'effet des nouvelles stations de métro sur la localisation et la quantification des constructions commerciales et résidentielles, entre 1998 et 2017. L'hypothèse principale est que le nombre de nouvelles constructions commerciales est spatialement concentré autour des stations, laissant moins de place pour les nouvelles constructions résidentielles, qui se localisent en périphérie de cette zone. Pour tester cette hypothèse, une approche par appariement est choisie, dans laquelle le nombre de nouvelles constructions commerciales et résidentielles jouent le rôle des variables dépendantes. Une zone de 2 kilomètres autour des stations est divisée à l'aide d'un maillage hexagonal, où les hexagones représentent les entités individuelles. Afin de comparer l'effet sur les nouvelles constructions, une comparaison entre deux groupes, un susceptible d'être influencé par l'arrivée des nouvelles stations (traitement) et un autre supposé moins touché (contrôle), est effectuée à l'aide d'une approche incrémentale. Chacun des groupes est formé de zones basées sur la distance critique à la station la plus près. Cette distance varie entre 250 et 1 750 mètres. L'analyse décompose également les zones par période afin de vérifier la présence d'effets liés à la spéculation, l'anticipation et l'ajustement. Les principaux résultats confirment en grande partie l'hypothèse émise. Une plus grande concentration spatiale des nouveaux bâtiments commerciaux est notée dans un rayon d'au plus 750 mètres des stations et le développement de nouveaux immeubles résidentiels, quant à lui, est identifié entre 1 000 et 1 250 mètres. La hausse conjointe des nouvelles constructions résidentielles et commerciales à grande proximité des stations après la mise en service souligne également l'essor des quartiers mixtes, accueillant à la fois des activités résidentielles et commerciales. / This master thesis aims to evaluate the impact of the extension of the orange line of the metro from Montreal to Laval on real estate development. The empirical analysis focuses on its impact on the location and quantification of commercial and residential constructions, between 1998 and 2017. The main hypothesis is that new commercial constructions will be spatially concentrated around the stations, leaving less room for new residential construction, which will be located just outside the commercial zone. To test this hypothesis, a pairing approach is chosen, in which the number of new commercial and residential constructions are the dependent variables. A 2 kilometers area around the stations is separated into a hexagonal mesh, where the hexagons represent the individual entities. In order to compare the effect of new constructions, a comparison between two groups, one likely to be influenced by the arrival of new stations (treatment) and another most likely less affected (control), is carried out with an incremental approach. Each of the groups is generated by zones based on the distance to the nearest station and a radius varying between 250 and 1 750 meters defines these zones. The analysis also divided the zones by period to identify the effects related to speculation, anticipation, and adjustment. The main results largely confirm the hypothesis. A greater spatial concentration of new commercial buildings is noted within a radius of, at most, 750 meters from the stations and the development of new residential buildings is noted between 1 000 and 1 250 meters. The joint increase in new residential and commercial construction near stations after the launch also underlines the rise of mixed neighbourhood, accommodating both residential and commercial activities.
45

Colonisation, structures agraires et gestion des ressources naturelles dans le Samnium romain (IIIe siècle av. J.-C.-IVe siècle ap. J.-C.)

Pagé, Marie-Michelle 17 April 2018 (has links)
Véritable laboratoire régional de l'expérience coloniale romaine en Italie, le Samnium a été la cible de vagues d'interventions coloniales tout aussi nombreuses que diversifiées dans leurs formes. Sous la République, cette région montagneuse du sud de l'Italie - que les auteurs anciens et modernes ont eu tendance à présenter comme plus reculée économiquement et culturellement - a successivement été le théâtre : de la colonisation latine (IIIe siècle av. J.-C), d'un transfert massif de population (IIe siècle av. J.-C.) et des grandes entreprises coloniales gracquienne (fin IIe siècle av. J.-C), syllanienne, césarienne et triumvirale (Ier siècle av. J.-C). Encore sous l'Empire, dans un contexte politique et administratif complètement renouvelé, Auguste (27 av. J.-C-14 ap. J.-C), suivi des empereurs Néron (54-68), Vespasien (69-79), Hadrien (117-138) et Sévère Alexandre (222-235), ont réalisé des interventions coloniales dans le Samnium. Perceptibles à travers la longue durée de l'histoire coloniale régionale, la densité et la constance de la colonisation romaine du Samnium suggèrent un apport évolutif et continu du phénomène à l'évolution des structures agraires dans les milieux coloniaux. Dès la phase primitive de colonisation romaine (IIIe siècle av. J.-C.) jusqu'à la fin du Haut-Empire (IIIe siècle ap. J.-C), les autorités romaines ont procédé à une organisation et à une structuration des territoires coloniaux du Samnium, en mettant en valeur les normes et les pratiques cadastrales. Cette thèse a pour objectif de déterminer la contribution de la colonisation romaine, plus précisément des structures agraires évolutives qu'elle a implantées, à l'établissement d'une gestion des ressources naturelles dans les milieux coloniaux du Samnium d'époque républicaine et impériale (IIIe siècle av. J.-C. - IVe siècle ap. J.-C). Par la valorisation d'un riche corpus de sources littéraires, épigraphiques et archéologiques, elle propose d'établir un examen systématique des structures agraires caractéristiques des milieux coloniaux du Samnium romain, selon les trois grandes phases (implantation, normalisation, maturation) qui ont composé son évolution. En plus de suggérer l'existence d'un mode de gestion des ressources déterminé par le phénomène colonial, elle incite à concevoir que les structures agraires des milieux coloniaux ont favorisé le développement d'une dynamique particulière entre les sociétés coloniales du monde romain et leur environnement naturel.
46

Contribution à la définition d'E iteritakok notcimik : système d'occupation atikamekw nehirowisiw du Nitaskinan. Pour repenser l'aménagement forestier

Lusignan, Marie-Laure 07 February 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 1er février 2024) / Au Québec, la volonté du ministère des Ressources naturelles et des Forêts d'accorder aux Premières Nations une influence significative dans la planification forestière demeure un défi difficile à mettre en pratique. Chez les communautés autochtones, dont la Nation atikamekw nehirowisiw, l'inquiétude pour l'équilibre et la santé du territoire ancestral est grandissante. Leur mécontentement face au processus de consultation distincte en place est criant, notamment en raison d'un manque d'écoute et de prise en compte de leurs préoccupations. Pour répondre à ce défi, notre équipe de recherche a décrit un système d'occupation du territoire ancestral atikamekw nehirowisiw. Pour ce faire, nous nous sommes inspirés du concept innu de Bellefleur (2019) « E nutshemiu itenitakuat », qui décrit l'ambiance forestière nécessaire pour assurer le maintien du mode de vie autochtone. Nous avons d'abord procédé à l'analyse d'un corpus de textes sur les recherches menées majoritairement avec les Atikamekw, puis réalisé un travail de coconstruction avec un groupe d'experts de la nation atikamekw. Cette méthode nous a permis de nous assurer de bien refléter la réalité nehirowisiw de l'occupation du territoire (Nitaskinan) et la perspective atikamekw de la forêt et des défis de sa gestion. Quatre sous-systèmes ont été identifiés pour décrire le système d'occupation atikamekw nehirowisiw du Nitaskinan : 1) Orocowewin (sous-système d'organisation de l'occupation territoriale), 2) Notcimi pimatisiwin (sous-système des pratiques d'occupation), 3) E ici aitakok notcimik (sous-système des ressources de notcimik) et 4) Atikamekw nehirowisiw tipahiskan (sous-système de gouvernance territoriale). Le système socio-écologique (SSE) atikamekw nehirowisiw met en évidence un paradigme atikamekw qui prend racine dans une forêt habitée et une gestion holistique du territoire. Les résultats permettent d'entrevoir la multitude d'acteurs atikamekw participant à la gouvernance territoriale, en interaction avec le système de gestion forestière québécois. Ils illustrent aussi la complexité de la cohabitation sur le Nitaskinan ainsi que les enjeux qui en résultent. Les résultats de cette recherche soulignent que lorsqu'une préoccupation liée au territoire est exprimée, elle considère l'interdépendance des enjeux socio-culturels et écologiques, le dynamisme des frontières dans les territoires autochtones, l'importance du système familial dans la gouvernance, l'organisation territoriale ainsi que le rôle clé des chefs de territoire comme portes-paroles de la réalité de leur territoire. L'un des grands défis auxquels sont confrontés les acteurs du secteur forestier québécois est le bas niveau de compréhension de la vision atikamekw de l'aménagement des forêts et du rôle que les communautés veulent y jouer. Le cadre du SSE est un outil pouvant faciliter l'identification des composantes d'un paradigme forestier cohérent avec la culture et le mode de vie atikamekw nehirowisiw ainsi que la richesse de leur rapport à la forêt. / In Quebec, the willingness of the Ministry of Natural Resources and Forestry to give First Nations a significant say in forestry planning remains a difficult challenge to put into practice. Aboriginal communities, including the Nehirowisiw Atikamekw Nation, are increasingly concerned about the balance and health of their ancestral territory. Their dissatisfaction with the distinct consultation process in place is blatant, notably due to a lack of listening and consideration of their concerns. To address to this challenge, our research team described a system of occupation of the Atikamekw Nehirowisiw ancestral territory. To do so, we drew inspiration from Bellefleur's (2019) Innu concept of "E nutshemiu itenitakuat", which describes the forest atmosphere needed to ensure the maintenance of the aboriginal way of life. We began by analyzing a corpus of texts on research carried out mainly with the Atikamekw, and then carried out co-construction work with a group of experts from the Atikamekw nation. This method ensured that the Nehirowisiw reality of land use (Nitaskinan) and the Atikamekw perspective of the forest and its management challenges were well reflected. Four sub-systems were identified to describe the Atikamekw Nehirowisiw occupation system of Nitaskinan: 1) Orocowewin (territorial occupation organization sub-system), 2) Notcimi pimatisiwin (occupation practices sub-system), 3) E ici aitakok notcimik (notcimik resources sub-system) and 4) Atikamekw nehirowisiw tipahiskan (territorial governance sub-system). The Atikamekw Nehirowisiw socio-ecological system (SES) highlights an Atikamekw paradigm rooted in an inhabited forest and holistic land management. The results provide a glimpse of the multitude of Atikamekw actors involved in territorial governance, interacting with Quebec's forest management system. They also illustrate the complexity of cohabitation on Nitaskinan and the resulting issues. The results of this research underscore the fact that when concerns about territory are expressed, they consider the interdependence of socio-cultural and ecological issues, the dynamism of boundaries in native territories, the importance of the family system in governance and territorial organization, and the key role of territory chiefs as spokespersons for the reality of their territory. One of the major challenges facing players in Quebec's forestry sector is the low level of understanding of the Atikamekw vision of forest management and the role the communities want to play in it. The SES framework is a tool that can help identify the components of a forest paradigm consistent with the Atikamekw Nehirowisiw culture and way of life, as well as the richness of their relationship with the forest.
47

Quantifying landscape anthropisation patterns: concepts, methods and limits / Quantification de la structure spatiale de l'anthropisation des paysages: concepts, méthodes et limites

Vranken, Isabelle 24 February 2015 (has links)
Since human beings began to use and shape the land, their influence on their<p>environment has kept on growing so that little or no ecosystem in the world is now<p>considered as untouched. This induces pressures on ecosystem health and land scarcity.<p>Africa is of particular concern because it still presents broad undisturbed zones and<p>key ecosystem services, despite being submitted to increasing anthropogenic pressures.<p>Landscape ecology appears suitable for the study of such phenomena, thanks to its spacebased<p>integrative nature and geographical level of focus. It studies the impact of spatial<p>pattern transformation — especially heterogeneity and its components — on ecological<p>processes and provides powerful analytical tools of landscape anthropisation.<p>The main objective of this thesis is to organise the concepts and methods, from<p>landscape ecology and related disciplines, into a consistent logic, to pinpoint missing<p>analytical frameworks for response-oriented anthropisation assessment, and to apply them<p>to African cases to explore the spatial patterns of anthropisation. In order to address<p>landscape anthropisation, we assemble diverse disciplines into a logical network (DPSIR).<p>The new theoretical framework is tested on Lubumbashi (DRC). In order to address<p>spatial patterns, we first evaluate the thermodynamic connection of the term entropy in<p>landscape ecology: spatial heterogeneity, unpredictability and scale influence. Then, based<p>on 20 landscapes, we highlight the complex relationship between spatial heterogeneity<p>and landscape anthropisation. We finally use the modelled relationships to test the<p>anthropogenic origin of the spatial pattern of a land cover class in Lubumbashi.<p>The main results of this research show that several concepts are used to describe different<p>aspects of anthropisation and that its quantification strongly depends on the reference states.<p>Data formats can be combined into a new assessment method ensuring more precision<p>and comparability, but a good field knowledge is required. As for heterogeneity, the<p>existing definitions of landscape entropy follow the logic of thermodynamics or information<p>theory, that are not compatible. Only unpredictability could be properly interpreted in<p>thermodynamic terms if energy transfer measurements were performed at the appropriate<p>level. The anthropogenic effects on heterogeneity completely diverge depending on the<p>amount of already anthropised surface, on the land cover type (natural or anthropogenic),<p>and on the heterogeneity components.<p>The aforementioned findings could be adapted to include functional aspects and<p>better address the relationship between spatial pattern and ecological processes. Such<p>integration would help designing response actions that can recommend human activities<p>and spatial patterns that could optimise the use of land to ensure ecological functioning<p>while supporting human development. / <p>L’influence croissante de l’homme sur son environnement affecte désormais le monde<p>entier, ce qui induit des pressions sur la santé des écosystèmes et raréfie les ressources<p>en terres. L’Afrique présente un intérêt particulier à cet égard car elle contient de vastes<p>zones quasi vierges et fournit des services écosystémiques importants mais est soumise<p>à des pressions anthropiques croissantes. L’écologie du paysage étudie ces phénomènes<p>de façon intégrative au moyen de sa composante spatiale et de son échelle d’intérêt. Elle<p>étudie l’impact des transformations de la structure spatiale — en particulier l’hétérogénéité<p>et ses différentes composantes—sur les processus écologiques et fournit de puissants outils<p>analytiques de l’anthropisation.<p>L’objectif de cette thèse est d’organiser les concepts et méthodes de différentes disciplines<p>de façon à mettre en évidence leurs forces et faiblesses pour proposer une nouvelle<p>quantification de l’anthropisation, orientée vers la gestion, et de la tester sur des paysages<p>africains pour examiner la structure spatiale de l’anthropisation. Le DPSIR est utilisé pour<p>assembler les différents concepts. La nouvelle méthodologie est testée sur Lubumbashi<p>(RDC). Ensuite, le lien entre la thermodynamique et l’utilisation du terme entropie en<p>écologie du paysage est examiné. Vingt paysages servent alors à mettre en évidence la<p>complexité de l’impact de l’anthropisation sur l’hétérogénéité du paysage. Enfin, cette<p>modélisation sert à mettre en évidence l’origine anthropique de la structure spatiale d’une<p>classe d’occupation du sol à Lubumbashi.<p>Les résultats principaux de cette recherche sont que pléthore de termes sont utilisés<p>pour représenter différents aspects de l’anthropisation et que sa quantification dépend de<p>la définition d’états de référence. Cependant, la combinaison de différents formats de<p>données peut aboutir à une nouvelle méthodologie plus précise et adaptable, mais cela<p>nécessite une bonne connaissance de terrain. Les définitions de l’entropie dépendent soit de<p>la thermodynamique soit de la théorie de l’information, qui ne sont pas compatibles. Seule<p>l’imprévisibilité pourrait être interprétée thermodynamiquement, si les mesures de transfert<p>d’énergie étaient effectuées à l’échelle appropriée. L’impact humain sur l’hétérogénéité<p>diverge selon la quantité de surface déjà anthropisée, le type de couverture du sol pris en<p>compte ainsi que les composantes de l’hétérogénéité mesurées.<p>Ces découvertes peuvent être adaptées pour intégrer des aspects fonctionnels de la<p>structure spatiale et mieux cerner le lien entre celle-ci et le fonctionnement écologique, ce qui<p>permettrait de proposer des activités humaines et des structures spatiales qui optimiseraient<p>l’utilisation des ressources en sol pour assurer tant le fonctionnement écologique que le<p>développement humain. / Doctorat en Sciences agronomiques et ingénierie biologique / info:eu-repo/semantics/nonPublished
48

Region-based classification potential for land-cover classification with very high spatial resolution satellite data

Carleer, Alexandre 14 February 2006 (has links)
Abstract<p>Since 1999, Very High spatial Resolution satellite data (Ikonos-2, QuickBird and OrbView-3) represent the surface of the Earth with more detail. However, information extraction by multispectral pixel-based classification proves to have become more complex owing to the internal variability increase in the land-cover units and to the weakness of spectral resolution. <p>Therefore, one possibility is to consider the internal spectral variability of land-cover classes as a valuable source of spatial information that can be used as an additional clue in characterizing and identifying land cover. Moreover, the spatial resolution gap that existed between satellite images and aerial photographs has strongly decreased, and the features used in visual interpretation transposed to digital analysis (texture, morphology and context) can be used as additional information on top of spectral features for the land cover classification.<p>The difficulty of this approach is often to transpose the visual features to digital analysis.<p>To overcome this problem region-based classification could be used. Segmentation, before classification, produces regions that are more homogeneous in themselves than with nearby regions and represent discrete objects or areas in the image. Each region becomes then a unit analysis, which makes it possible to avoid much of the structural clutter and allows to measure and use a number of features on top of spectral features. These features can be the surface, the perimeter, the compactness, the degree and kind of texture. Segmentation is one of the only methods which ensures to measure the morphological features (surface, perimeter.) and the textural features on non-arbitrary neighbourhood. In the pixel-based methods, texture is calculated with mobile windows that smooth the boundaries between discrete land cover regions and create between-class texture. This between-class texture could cause an edge-effect in the classification.<p><p>In this context, our research focuses on the potential of land cover region-based classification of VHR satellite data through the study of the object extraction capacity of segmentation processes, and through the study of the relevance of region features for classifying the land-cover classes in different kinds of Belgian landscapes; always keeping in mind the parallel with the visual interpretation which remains the reference.<p><p>Firstly, the results of the assessment of four segmentation algorithms belonging to the two main segmentation categories (contour- and region-based segmentation methods) show that the contour detection methods are sensitive to local variability, which is precisely the problem that we want to overcome. Then, a pre-processing like a filter may be used, at the risk of losing a part of the information. The “region-growing” segmentation that uses the local variability in the segmentation process appears to be the best compromise for the segmentation of different kinds of landscape.<p>Secondly, the features calculated thanks to segmentation seem to be relevant to identify some land-cover classes in urban/sub-urban and rural areas. These relevant features are of the same type as the features selected visually, which shows that the region-based classification gets close to the visual interpretation. <p>The research shows the real usefulness of region-based classification in order to classify the land cover with VHR satellite data. Even in some cases where the features calculated thanks to the segmentation prove to be useless, the region-based classification has other advantages. Working with regions instead of pixels allows to avoid the salt-and-pepper effect and makes the GIS integration easier.<p>The research also highlights some problems that are independent from the region-based classification and are recursive in VHR satellite data, like shadows and the spatial resolution weakness for identifying some land-cover classes.<p><p>Résumé<p>Depuis 1999, les données satellitaires à très haute résolution spatiale (IKONOS-2, QuickBird and OrbView-3) représentent la surface de la terre avec plus de détail. Cependant, l’extraction d’information par une classification multispectrale par pixel devient plus complexe en raison de l’augmentation de la variabilité spectrale dans les unités d’occupation du sol et du manque de résolution spectrale de ces données. Cependant, une possibilité est de considérer cette variabilité spectrale comme une information spatiale utile pouvant être utilisée comme une information complémentaire dans la caractérisation de l’occupation du sol. De plus, de part la diminution de la différence de résolution spatiale qui existait entre les photographies aériennes et les images satellitaires, les caractéristiques (attributs) utilisées en interprétation visuelle transposées à l’analyse digitale (texture, morphologie and contexte) peuvent être utilisées comme information complémentaire en plus de l’information spectrale pour la classification de l’occupation du sol.<p><p>La difficulté de cette approche est la transposition des caractéristiques visuelles à l’analyse digitale. Pour résoudre ce problème la classification par région pourrait être utilisée. La segmentation, avant la classification, produit des régions qui sont plus homogène en elles-mêmes qu’avec les régions voisines et qui représentent des objets ou des aires dans l’image. Chaque région devient alors une unité d’analyse qui permet l’élimination de l’effet « poivre et sel » et permet de mesurer et d’utiliser de nombreuses caractéristiques en plus des caractéristiques spectrales. Ces caractéristiques peuvent être la surface, le périmètre, la compacité, la texture. La segmentation est une des seules méthodes qui permet le calcul des caractéristiques morphologiques (surface, périmètre, …) et des caractéristiques texturales sur un voisinage non-arbitraire. Avec les méthodes de classification par pixel, la texture est calculée avec des fenêtres mobiles qui lissent les limites entre les régions d’occupation du sol et créent une texture interclasse. Cette texture interclasse peut alors causer un effet de bord dans le résultat de la classification.<p><p>Dans ce contexte, la recherche s’est focalisée sur l’étude du potentiel de la classification par région de l’occupation du sol avec des images satellitaires à très haute résolution spatiale. Ce potentiel a été étudié par l’intermédiaire de l’étude des capacités d’extraction d’objet de la segmentation et par l’intermédiaire de l’étude de la pertinence des caractéristiques des régions pour la classification de l’occupation du sol dans différents paysages belges tant urbains que ruraux. / Doctorat en sciences agronomiques et ingénierie biologique / info:eu-repo/semantics/nonPublished
49

Cartographie, évolution et modélisation de l'utilisation du sol en milieu urbain: le cas de Bruxelles

Van Den Steen, Isabelle 12 September 2005 (has links)
Ce travail s'inscrit dans un processus de réflexion qui vise à améliorer la compréhension de l'étalement urbain depuis la seconde guerre mondiale en périphérie bruxelloise, en particulier au travers de la cartographie et de l'analyse de l'utilisation du sol. Depuis cette date, l'urbanisation au sein des espaces ruraux à proximité des villes, processus qualifié de périurbanisation, s'est nettement renforcée. L'examen de la littérature dans ce domaine révèle que peu d'approches se basent sur l'emprise physique des modes d'utilisation du sol. C'est ce constat qui nous a amenée à envisager l'étude de la périurbanisation bruxelloise au travers des formes qu'elle a engendrées en se concentrant sur la notion d'utilisation du sol. Nous l'avons abordée au travers de trois aspects.<p><p>Tout d'abord, nous avons exploré l'apport des nouvelles techniques d'interprétation numérique à l'élaboration de cartes d'utilisation du sol à moyenne échelle (1:100 000) à partir d'images satellitaires. L'analyse des différentes étapes du processus de classification a montré que, lors de l'utilisation de classifications supervisées, la localisation et l'échantillonnage aléatoire des sites d'entraînement ainsi que la combinaison des caractéristiques des paramètres de classification (informations spectrales, texturales et contextuelles) améliorent considérablement l'exactitude du résultat. On constate également, dans ce dernier cas, l'importance de travailler avec une forme de voisinage isotrope et de pouvoir en faire varier la taille en fonction des classes considérées. L'utilisation de classificateurs multiples a permis de tendre vers une plus grande généralisation et de supprimer une série d'artefacts. Enfin, les essais ont montré que la classification par segmentation se rapproche fortement de la généralisation de l'interprétation visuelle tout en diminuant sensiblement le nombre d'objets à classer. <p><p>Dans un second temps, une analyse approfondie de la structure et de l’évolution de l’utilisation du sol à Bruxelles et dans sa périphérie au cours du dernier demi-siècle a été réalisée à partir d'une base de données diachronique à grande échelle (1:25 000). Elle confirme la vision d'une périphérie bruxelloise peu dense où le poids de la classe de tissu urbain résidentiel clairsemé discontinu s'intensifie au cours du temps. Les espaces privilégiés de l'urbanisation ont été identifiés de manière systématique à l'aide de canevas d'analyse radio-concentriques et directionnels. Le croisement entre les données d'utilisation du sol et d'autres indicateurs spatialisables comme les plans de secteur a montré les marges d'évolution potentielles, tant au moment de la mise en place de ces plans que plus récemment. D'autres combinaisons avec des statistiques socio-économiques ou démographiques ont fourni de nouveaux indicateurs permettant d'explorer les densités de l'occupation de l'espace périurbain et de s'interroger sur les discordances entre réalité physique et enregistrement statistique. Enfin, l'arrangement spatial des différentes classes d'utilisation du sol a été exploré. L'ensemble de ces analyses ont fait l'objet d'une synthèse thématique ainsi que régionale, au sein de compartiments paysagers.<p><p>La dernière approche de la problématique de l'utilisation du sol en milieu urbain s'est faite au travers d'une démarche basée sur la modélisation spatiale. La calibration des relations de voisinage à l'aide des règles d'autocorrélation spatiale a démontré que les affinités entre classes décrivent bien la structuration de l'agglomération bruxelloise et traduit le renforcement des structures héritées. L'analyse des résidus de la modélisation a montré le rôle contraignant de l'introduction des plans de secteur pour la classe du tissu urbain résidentiel clairsemé discontinu, laissant beaucoup plus de place qu'attendu dans les parties sud de la zone d'étude. La modélisation dynamique a aussi clairement mis en évidence le changement de logique de localisation de l'industrie et des services, qui rompent avec leurs localisations traditionnelles au cours de la période étudiée.<p> <p>En conclusion, la thèse a permis de confirmer les atouts d'une approche sous l'angle de l'utilisation du sol pour appréhender le phénomène de périurbanisation. Elle montre aussi le rôle unificateur de cette approche, qui peut s'insérer aisément dans les études thématiques ou susciter des questionnements nouveaux du fait des avancées apportées par le caractère quantitatif des exploitations régionales. Enfin, des outils communs et des enrichissements mutuels, acquis ou potentiels, sont identifiés entre les différents champs de la discipline (télédétection, géographie urbaine, modélisation spatiale) mobilisés pour cette exploration de la production, de l'analyse et de la modélisation des données d'utilisation du sol.<p> / Doctorat en sciences, Spécialisation géographie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
50

Le Delta du Rhin de César à Julien : les représentations d'un environnement deltaïque aux frontières du monde romain

Simard Morin, Mélissa 20 April 2018 (has links)
Dans le grand ensemble géographique de l’Empire romain, la région du delta du Rhin demeurait une zone marginale, aux frontières du monde connu : son environnement deltaïque et son éloignement du centre méditerranéen attisaient son caractère sauvage et méconnu. Néanmoins, pendant plus de quatre siècles, la région des embouchures rhénanes fut incluse dans le vaste empire de Rome, hôte d’une occupation humaine dynamique. L’historien s’intéressant au delta du Rhin à l’époque romaine sera toutefois rapidement confronté à des sources classiques insuffisantes, subjectives, généralement l’œuvre de témoins indirects. Plusieurs chercheurs choisissent ainsi de se tourner vers un matériel archéologique jugé plus fiable, plus au diapason des réalités régionales. Or, le décalage entre témoignages littéraires et données matérielles, loin d’entraîner un désaveu des auteurs anciens, offre un angle d’approche prometteur puisque, en réalité, les représentations véhiculées dans les sources littéraires anciennes constituent non pas un reflet réaliste de la situation régionale, mais bien un reflet réaliste des représentations que se faisait Rome de la situation régionale. La position périphérique du delta du Rhin, loin du centre méditerranéen, aux limites de l’œkoumène, participa ainsi à la construction dans la société gréco-romaine d’une image déformée de la région, une image qui exacerbait l’hostilité de l’environnement naturel, qui exagérait l’austérité de l’occupation humaine, qui surestimait l’assujettissement des hommes aux contraintes du milieu. Cette étude montre ainsi que les représentations romaines de l’environnement deltaïque permettent de mieux saisir la nature de l’occupation régionale, la vision romaine des populations locales ainsi que les interactions des hommes avec un milieu naturel caractérisé à la fois par sa situation deltaïque et frontalière. Elle exploite de façon novatrice le concept de représentations et crée un dialogue fécond entre sources historiques et données paléoenvironnementales. / Among the Roman Empire’s great geographical reach, the Rhine delta area remained a marginal zone, at the frontier of the known world : its deltaic environment and its remoteness from the Mediterranean center emphasized its savage and obscure character. Nevertheless, during more than four centuries, the Rhine delta area was included in the vast Roman Empire, host of a dynamic human occupation. An historian interested by the Rhine delta area during the Roman era will, however, rapidly be confronted by insufficient and subjective classical sources which are generally the work of indirect witnesses. Many researchers choose therefore to turn themselves toward archaeological material considered as more reliable, a more accurate depiction of regional realities. Yet, discrepancies between literary testimonies and material data, far from resulting in the rejection of ancient authors, offer a promising approach angle because, in truth, representations conveyed by ancient literary sources do not constitute a realistic reflection of the regional situation but do constitute a realistic reflection of Rome’s representations of the regional situation. The Rhine delta’s peripheral position, far from the Mediterranean center, at the limit of the oikoumene, contributed to the construction of a deformed image of the region within Greco-Roman society, an image which exacerbated the natural environment’s hostility, which exaggerated the human occupation’s austerity, which overestimated the subjection of men to the area’s constraints. This study thus demonstrates that Roman representations of the deltaic environment allow a better understanding of the regional occupation’s nature, the Roman vision of local populations as well as the interactions of men with a natural environment characterized by both its deltaic and frontier situation. The study innovates in its use of the concept of representations and creates a fertile dialogue between historic sources and paleoenvironmental data.

Page generated in 0.1267 seconds