Spelling suggestions: "subject:"utilisation duu soil"" "subject:"utilisation duu solo""
41 |
Système prototype pour le suivi des changements de l'occupation du sol en milieu urbain fondé sur les images du satellite RADARSAT-1Fiset, Robert January 2005 (has links)
No description available.
|
42 |
Fatores determinantes da qualidade da água na Bacia Hidrográfica do Rio Preto (MG/RJ)Casquin, Antoine Philippe 30 August 2016 (has links)
Submitted by Renata Lopes (renatasil82@gmail.com) on 2017-08-29T19:36:13Z
No. of bitstreams: 1
antoinephilippecasquin.pdf: 13270422 bytes, checksum: 1cbe3af7facd7e3a2ef51493b33cc893 (MD5) / Approved for entry into archive by Adriana Oliveira (adriana.oliveira@ufjf.edu.br) on 2017-08-30T11:49:52Z (GMT) No. of bitstreams: 1
antoinephilippecasquin.pdf: 13270422 bytes, checksum: 1cbe3af7facd7e3a2ef51493b33cc893 (MD5) / Made available in DSpace on 2017-08-30T11:49:52Z (GMT). No. of bitstreams: 1
antoinephilippecasquin.pdf: 13270422 bytes, checksum: 1cbe3af7facd7e3a2ef51493b33cc893 (MD5)
Previous issue date: 2016-08-30 / CAPES - Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / A Bacia Hidrográfica do rio Preto (BHRP) é uma bacia estratégica por representar 15% em superfície da bacia hidrográfica do rio Paraíba do Sul. A BHRP também é um território onde vivem 700.000 habitantes, sendo mais de 500.000 concentrados na área urbana de Juiz de Fora. As pequenas cidades e as florestas muito fragmentadas se destacam no meio das pastagens que dominam a paisagem. Os solos são em geral pobres e susceptíveis a erosão, além das declividades acentuadas. A qualidade da água é alterada por fontes pontuais (indústrias, lixões, aterros, incineradores) e fontes difusas mais difíceis de identificar. Essa pesquisa teve como objetivo relacionar a qualidade da água na BHRP com fatores físicos (relevo, solos, morfometria e pluviometria) e antrópicos (uso e cobertura da terra e densidade de população). Esses fatores foram quantificados com o emprego do Geoprocessamento para as 17 sub-bacias da BHRP, cobrindo seus quatros rios principais: rio Preto, rio do Peixe, rio Paraibuna e rio Cágado. Essas sub-bacias correspondem aos pontos de monitoramento de qualidade da água do IGAM. A evolução espacial da qualidade da água do Eixo Paraibuna-Peixe-Preto foi avaliada ao atravessar a área urbana de Juiz de Fora e ao ser diluída a jusante pelos rios principais dessa Bacia. Essa primeira etapa permitiu determinar que os parâmetros OD e DBO foram os mais impactados pela área urbana de Juiz de Fora e que os parâmetros Ferro Dissolvido, Manganês Total, Fósforo Total e Escherechia Coli sofriam alterações crónicas na globalidade da BHRP, classificando assim a suas águas como incompatíveis com os usos pretendidos. Contaminações com metais (cádmio, chumbo e zinco) foram detectadas a montante e a jusante de Juiz de Fora, indicando o impacto pontual de indústrias nesses parâmetros. Correlações não paramétricas foram calculadas entre os fatores e as variáveis. Observou-se uma grande interdependência dos fatores físicos e antrópicos. A análise das correlações entre os fatores e as variáveis de qualidade da água apontou que o uso e cobertura da terra foi o fator mais determinante da qualidade da água da BHRP. Concentrações altas de manganês, de chumbo e de cianetos livres foram encontradas na BHRP sem explicação pelas características das suas sub-bacias. A classe “área urbana densa” piorou quase todos os parâmetros e a classe “vegetação arbórea e arbustiva” melhorou em quase todos. A classe “vegetação rasteira” piorou os parâmetros relativos a contaminação fecal e os nutrientes, sobretudo na estação chuvosa. Esses resultados indicam que as contaminações pontuais e difusas da água devem ser investigadas e fiscalizadas com mais efetividade na BHRP, com destaque para a difusa, e que, no mínimo, as leis de preservação e proteção dos recursos hídricos devem ser aplicadas. / Le bassin hydrographique du la rivière Preto (BHRP) est un bassin stratégique représentant 15% de la surface du bassin hydrographique de la rivière Paraíba do Sul. La BHRP est aussi un territoire où vivent 700.000 habitants, dont plus de 500 000 concentrés dans la zone urbaine de Juiz de Fora. De petites villes et des fragments de forêts au milieu de vastes pâturages composent le paysage. Les sols sont généralement pauvres et sensibles à l'érosion, en plus des pentes raides. La qualité de l'eau est altérée par des sources ponctuelles (industries, décharges, incinérateur) et des sources diffuses plus difficiles à identifier. Cette étude a eu pour objectif de relier la qualité de l'eau dans BHRP à des facteurs physiques (topographie, sols, morphométries et précipitations) et anthropiques (occupation et utilisation du sol et densité de population). Ces facteurs ont été déterminés à travers l’utilisation de la géomatique pour les 17 sous-bassins de la BHRP couvrant ses quatre principaux fleuves : le rio Preto, le rio do Peixe, le rio Paraibuna et le rio Cágado. Ces sous-bassins correspondent aux points de contrôle de la qualité de l’eau de IGAM (Institut de Gestion des Eaux du Minas Gerais). L'évolution spatiale de la qualité de l’eau suivant un axe Paraibuna-Peixe-Preto a été étudiée de la traversée de la zone urbaine de Juiz de Fora et jusqu’aux dilutions en aval par les principales rivières de ce bassin. Cette première étape a permis de déterminer que les paramètres OD et de DBO ont été les plus touchés par la zone urbaine de Juiz de Fora et que les paramètres « fer dissous », « manganèse total », « phosphore total » et « Escherechia Coli » subissent des altérations chroniques dans la globalité de la BHRP, classifiant ainsi ses eaux comme incompatibles avec l'utilisation prévue par la législation. Des contaminations aux métaux (cadmium, plomb et zinc) ont été détectées en amont et en aval de Juiz de Fora, indiquant l’impact ponctuel des industries. Des corrélations non paramétriques ont été calculées entre les caractéristiques naturels et anthropiques des sousbassins (facteurs) et les paramètres de qualité de l’eau. Une grande interdépendance des facteurs physiques et humains a été constatée. L'analyse des corrélations entre les facteurs et les paramètres de la qualité de l'eau a montré occupation et utilisation du sol a été le facteur le plus déterminant de la qualité de l’eau de la BHRP. Des concentrations élevées de manganèse, de plomb et de cyanure libre ont été trouvés dans BHRP sans pouvoir être expliqués par les caractéristiques de leurs sous-bassins. La classe «aire urbaine dense" a empiré presque tous les paramètres et la classe "végétation arborée ou arbustive" classe les a presque tous améliorée. La classe "pâturage" a empiré les paramètres relatifs à la contamination fécale et augmenté les concentrations de macronutriments (azote et phosphore), en particulier pendant la saison des pluies. Ces résultats indiquent que la contamination ponctuelle et particulièrement la contamination diffuse de l'eau doit être étudiée et surveillée de manière plus efficace dans la BHRP, et qu'au minimum, les lois de conservation et de protection des ressources hydriques doivent être appliquées.
|
43 |
L'impact de Trois-Rivières sur sa zone péri-urbaineNobert, Yves 23 February 2022 (has links)
No description available.
|
44 |
Coexistence et compatibilité des usages dans les territoires ruraux québécois : étude de casMathis, Marianne 31 January 2025 (has links)
Au cours de la dernière décennie, les espaces ruraux québécois, utilisés principalement à des fins agricoles, ont été mis sous tension par la multiplication des porcheries, le développement de la filière éolienne et l’exploration gazière. Au Québec, le modèle de développement sous-jacent à la Loi sur la protection du territoire et des activités agricoles n’encourage pas la multifonctionnalité de la zone agricole, puisque le régime de zonage n’autorise l’inclusion d’activités non agricoles qu’au cas par cas. Depuis les années 2000, le gouvernement a consenti à une planification d’ensemble pour les usages résidentiels. Mais cet ajustement, dont la valeur reste encore à établir, ne concerne que l’usage résidentiel. Or, cette conjoncture entre la volonté gouvernementale de favoriser l’occupation dynamique du territoire et la demande croissante pour l’exploitation des ressources naturelles engendre un défi de coexistence des usages. Face à cet enjeu d’actualité, le gouvernement du Québec a mis sur pied la Commission sur l’avenir de l’agriculture et de l’agroalimentaire québécois, qui a permis d’identifier une volonté des acteurs de la société civile de mieux encadrer l’expression de la multifonctionnalité des territoires ruraux, ce qui exige maint ajustement. C’est pourquoi il a semblé intéressant de se pencher sur les outils et mécanismes de planification, de réglementation et de consultation découlant des lois en vigueur afin d’examiner s’ils favorisent ou non la coexistence d’usages en milieu agricole à travers l’examen du cas de la MRC de Bécancour. Une matrice est proposée comme outil pouvant optimiser la planification territoriale. Selon l’analyse effectuée, les conflits d’usages répertoriés peuvent être classés en deux catégories. La différence s’opère dans l’objet et dans la manifestation du conflit au sein de l’espace public. Subséquemment, l’échelle des conflits sera déterminante quant aux outils auxquels recourir ou à instaurer, et dans l’évaluation de l’efficacité de ces outils. Mots-clés : coexistence des usages, multifonctionnalité du territoire, conflit d’usage.
|
45 |
L'impact de Trois-Rivières sur sa zone péri-urbaineNobert, Yves 23 February 2022 (has links)
No description available.
|
46 |
La place des paysanneries dans la colonisation agricole du Nord-Ouest du Cambodge: les paysanneries, l'Etat et le contrôle de l'accès à la terreDupuis, David 17 February 2014 (has links)
Le Nord-Ouest du Cambodge est le théâtre d'un important processus d'expansion agraire depuis les plaines rizicoles centrales du pays vers ses marges. Ce mouvement est remarquable pour la rapidité et l'ampleur des transformations spatiales qu'il engendre. Il a en particulier mené à une dynamique de déforestation massive depuis une quinzaine d'années dans la région, associée au développement de cultures commerciales (manioc et maïs). L'objectif général de ce travail est de comprendre la place des paysanneries dans ce processus de colonisation agricole ; c'est-à-dire sa situation par rapport aux logiques de restructuration et de contrôle de l'espace et de la production agricole au sein des nouveaux systèmes agraires post-forestiers qui émergent. Notre intérêt se porte sur la nature des relations entre les paysanneries et l'État en construction dans cet espace disputé. Le Nord-Ouest du Cambodge est en effet le cadre d'un jeu d'acteurs dominé par les luttes pour le territoire national qui opposent l’État actuel moderne et les réminiscences de l’État des Khmers Rouges. Historiquement, l'accès à la terre et aux ressources qu'elle contient est au cœur de l'exercice du pouvoir dans la région. L'opposition entre ces deux formes d’État se matérialise aujourd'hui également dans les luttes et négociations pour le contrôle de l'accès à la terre ; tandis que l'une maîtrise l'accès réel à la terre (les ex-Khmers Rouges), l'autre est en charge officiellement de la définition des règles de la propriété (l’État moderne). Nous adoptons dès lors une perspective centrée sur les rapports entre acteurs qui luttent pour l'accès à la terre afin de comprendre comment les relations entre les paysanneries et l’État polymorphe participent à construire l'autorité de cet État et à transformer la société rurale. L'angle d'analyse est rendu opérationnel par l'adoption d'une double perspective focalisée sur les pratiques réelles de l'accès à la terre : le contrôle direct de l'accès à la terre par les élites en place, et le contrôle indirect. Le premier se matérialise par les multiples contrats/arrangement relatifs à l'accès à la terre, formels ou informels, qui lient les paysanneries aux élites rurales. Le second se manifeste sous forme de l'instrumentalisation que font ces élites des transformations dans les processus de travail que connaissent les paysanneries (marchandisation du travail, développement du salariat agricole et des migrations de travail) du fait de l'intégration croissante de la région à une agriculture organisée de façon capitaliste. Les résultats montrent que les paysanneries sont profondément divisées face à ce jeu d'acteurs qui définit les contours d'une économie politique post-conflit très singulière. Plus encore, les paysanneries nous apparaissent instrumentalisées par les élites rurales au travers des multiples formes de contrôle de l'accès à la terre. / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
|
47 |
Etude multi-échelles des précipitations et du couvert végétal au Cameroun : analyses spatiales, tendances temporelles, facteurs climatiques et anthropiques de variabilité du NDVIDjoufack-Manetsa, Viviane 30 September 2011 (has links) (PDF)
De par sa géométrie et sa situation géographique (2°N-13°N - 8°E-16°E ; ouverture sur l'océan Atlantique), le Cameroun offre l'avantage de proposer un ensemble représentatif des climats régionaux rencontrés en Afrique tropicale. La diminution des cumuls de précipitations enregistrée dans la région pendant la seconde moitié du XXe siècle, est associée à la récurrence de périodes anormalement sèches, essentiellement au cœur de la saison des pluies. Ces conditions ont amplifié la dégradation du couvert végétal au travers ses contraintes socioéconomiques et démographiques (déforestation, extension des surfaces d'activité). Les conséquences souvent dommageables de la variabilité climatique en général, et des sécheresses en particulier, sur les hommes et leurs activités suscitent l'intérêt de développer des études pour mieux comprendre comment le climat et les pressions naturelles et environnementales interagissent localement. Ainsi, l'objectif de cette thèse est de diagnostiquer la variabilité multiéchelle (saisonnière, interannuelle, intra-saisonnière, synoptique) des précipitations et les relations qu'elle entretient avec le couvert végétal au sens large qui, à ces latitudes, est associé directement ou non, à la dynamique d'occupation et d'utilisation du sol, particulièrement sur la période 1951-2002. A partir de données de précipitations observées (CRU/ponctuelles), les modes spatiaux de la variabilité ont été définis aux échelles annuelles et interannuelles, par Analyses en Composante Principale (ACP) et la Classification Ascendante Hiérarchique (CAH). Ces méthodes de classifications ont permis de discriminer cinq zones climatiques, différentes les unes des autres par l'intensité des cumuls et la saisonnalité (unimodal/bimodal). Pour chaque zone, l'attention a été portée sur les paramètres intrasaisonniers qui modulent la variabilité annuelle telle que, les séquences sèches (nombre, longueur, périodes d'occurrence) et les variations des dates de début et de fin des périodes végétatives. La répartition du couvert végétal dans l'espace et dans le temps (1982-2002) a été étudiée, en utilisant des méthodes de classification non supervisée (ISODATA) sur les données de NDVI (Normalized Difference Vegetation index) à 8km de résolution. Enfin, des méthodes statistiques et de télédétection ont permis d'évaluer l'impact des facteurs pluviométriques et anthropogéniques (croissance démographique et utilisation du sol) sur la dynamique du couvert végétal en utilisant des bases de données à plus fine résolution (NDVI/1Km ; Global Land Cover (GLC 2000/1Km)). Ces dernières investigations ont été menées dans le Nord-Cameroun (6°N-13°N - 11°E-16°E), qui est la région la plus sensible des points de vue climatique, économique et environnemental.
|
48 |
Les stratégies de gestion foncière des Paston, d'après leur correspondance (1425-1503)Leclerc, Marie-Hélène 24 April 2018 (has links)
Les Paston, une famille de la gentry anglaise du XVe siècle, sont connus surtout pour la riche correspondance qu'ils ont rédigée et dont une partie importante a subsisté jusqu'à aujourd'hui. Tout au long de cette correspondance, ils relatent les problèmes de gestion foncière auxquels ils durent faire face. Ils vivaient également sous le régime de la common law, un système juridique propre à l'Angleterre, et qui était dépourvu d'agents publics pour produire, valider et conserver les documents relatifs aux droits fonciers. Quelles furent alors les stratégies adoptées par les Paston pour gérer leurs domaines et pour défendre leurs droits en cas de contestation? La question est abordée selon la perspective de la communication orale et écrite : dans un premier temps, nous analyserons les rapports des Paston avec le mode de communication écrite. Ensuite, nous tenterons de cerner le rôle des réseaux de communication orale et écrite dans les stratégies de gestion foncière des Paston. Enfin, nous explorerons l'usage des preuves écrites et des témoins oraux par les Paston dans leurs rapports avec le système juridique anglais. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
|
49 |
Colonisation, structures agraires et gestion des ressources naturelles dans le Samnium romain (IIIe siècle av. J.-C.-IVe siècle ap. J.-C.)Pagé, Marie-Michelle 17 April 2018 (has links)
Véritable laboratoire régional de l'expérience coloniale romaine en Italie, le Samnium a été la cible de vagues d'interventions coloniales tout aussi nombreuses que diversifiées dans leurs formes. Sous la République, cette région montagneuse du sud de l'Italie - que les auteurs anciens et modernes ont eu tendance à présenter comme plus reculée économiquement et culturellement - a successivement été le théâtre : de la colonisation latine (IIIe siècle av. J.-C), d'un transfert massif de population (IIe siècle av. J.-C.) et des grandes entreprises coloniales gracquienne (fin IIe siècle av. J.-C), syllanienne, césarienne et triumvirale (Ier siècle av. J.-C). Encore sous l'Empire, dans un contexte politique et administratif complètement renouvelé, Auguste (27 av. J.-C-14 ap. J.-C), suivi des empereurs Néron (54-68), Vespasien (69-79), Hadrien (117-138) et Sévère Alexandre (222-235), ont réalisé des interventions coloniales dans le Samnium. Perceptibles à travers la longue durée de l'histoire coloniale régionale, la densité et la constance de la colonisation romaine du Samnium suggèrent un apport évolutif et continu du phénomène à l'évolution des structures agraires dans les milieux coloniaux. Dès la phase primitive de colonisation romaine (IIIe siècle av. J.-C.) jusqu'à la fin du Haut-Empire (IIIe siècle ap. J.-C), les autorités romaines ont procédé à une organisation et à une structuration des territoires coloniaux du Samnium, en mettant en valeur les normes et les pratiques cadastrales. Cette thèse a pour objectif de déterminer la contribution de la colonisation romaine, plus précisément des structures agraires évolutives qu'elle a implantées, à l'établissement d'une gestion des ressources naturelles dans les milieux coloniaux du Samnium d'époque républicaine et impériale (IIIe siècle av. J.-C. - IVe siècle ap. J.-C). Par la valorisation d'un riche corpus de sources littéraires, épigraphiques et archéologiques, elle propose d'établir un examen systématique des structures agraires caractéristiques des milieux coloniaux du Samnium romain, selon les trois grandes phases (implantation, normalisation, maturation) qui ont composé son évolution. En plus de suggérer l'existence d'un mode de gestion des ressources déterminé par le phénomène colonial, elle incite à concevoir que les structures agraires des milieux coloniaux ont favorisé le développement d'une dynamique particulière entre les sociétés coloniales du monde romain et leur environnement naturel.
|
50 |
Quantifying landscape anthropisation patterns: concepts, methods and limits / Quantification de la structure spatiale de l'anthropisation des paysages: concepts, méthodes et limitesVranken, Isabelle 24 February 2015 (has links)
Since human beings began to use and shape the land, their influence on their<p>environment has kept on growing so that little or no ecosystem in the world is now<p>considered as untouched. This induces pressures on ecosystem health and land scarcity.<p>Africa is of particular concern because it still presents broad undisturbed zones and<p>key ecosystem services, despite being submitted to increasing anthropogenic pressures.<p>Landscape ecology appears suitable for the study of such phenomena, thanks to its spacebased<p>integrative nature and geographical level of focus. It studies the impact of spatial<p>pattern transformation — especially heterogeneity and its components — on ecological<p>processes and provides powerful analytical tools of landscape anthropisation.<p>The main objective of this thesis is to organise the concepts and methods, from<p>landscape ecology and related disciplines, into a consistent logic, to pinpoint missing<p>analytical frameworks for response-oriented anthropisation assessment, and to apply them<p>to African cases to explore the spatial patterns of anthropisation. In order to address<p>landscape anthropisation, we assemble diverse disciplines into a logical network (DPSIR).<p>The new theoretical framework is tested on Lubumbashi (DRC). In order to address<p>spatial patterns, we first evaluate the thermodynamic connection of the term entropy in<p>landscape ecology: spatial heterogeneity, unpredictability and scale influence. Then, based<p>on 20 landscapes, we highlight the complex relationship between spatial heterogeneity<p>and landscape anthropisation. We finally use the modelled relationships to test the<p>anthropogenic origin of the spatial pattern of a land cover class in Lubumbashi.<p>The main results of this research show that several concepts are used to describe different<p>aspects of anthropisation and that its quantification strongly depends on the reference states.<p>Data formats can be combined into a new assessment method ensuring more precision<p>and comparability, but a good field knowledge is required. As for heterogeneity, the<p>existing definitions of landscape entropy follow the logic of thermodynamics or information<p>theory, that are not compatible. Only unpredictability could be properly interpreted in<p>thermodynamic terms if energy transfer measurements were performed at the appropriate<p>level. The anthropogenic effects on heterogeneity completely diverge depending on the<p>amount of already anthropised surface, on the land cover type (natural or anthropogenic),<p>and on the heterogeneity components.<p>The aforementioned findings could be adapted to include functional aspects and<p>better address the relationship between spatial pattern and ecological processes. Such<p>integration would help designing response actions that can recommend human activities<p>and spatial patterns that could optimise the use of land to ensure ecological functioning<p>while supporting human development. / <p>L’influence croissante de l’homme sur son environnement affecte désormais le monde<p>entier, ce qui induit des pressions sur la santé des écosystèmes et raréfie les ressources<p>en terres. L’Afrique présente un intérêt particulier à cet égard car elle contient de vastes<p>zones quasi vierges et fournit des services écosystémiques importants mais est soumise<p>à des pressions anthropiques croissantes. L’écologie du paysage étudie ces phénomènes<p>de façon intégrative au moyen de sa composante spatiale et de son échelle d’intérêt. Elle<p>étudie l’impact des transformations de la structure spatiale — en particulier l’hétérogénéité<p>et ses différentes composantes—sur les processus écologiques et fournit de puissants outils<p>analytiques de l’anthropisation.<p>L’objectif de cette thèse est d’organiser les concepts et méthodes de différentes disciplines<p>de façon à mettre en évidence leurs forces et faiblesses pour proposer une nouvelle<p>quantification de l’anthropisation, orientée vers la gestion, et de la tester sur des paysages<p>africains pour examiner la structure spatiale de l’anthropisation. Le DPSIR est utilisé pour<p>assembler les différents concepts. La nouvelle méthodologie est testée sur Lubumbashi<p>(RDC). Ensuite, le lien entre la thermodynamique et l’utilisation du terme entropie en<p>écologie du paysage est examiné. Vingt paysages servent alors à mettre en évidence la<p>complexité de l’impact de l’anthropisation sur l’hétérogénéité du paysage. Enfin, cette<p>modélisation sert à mettre en évidence l’origine anthropique de la structure spatiale d’une<p>classe d’occupation du sol à Lubumbashi.<p>Les résultats principaux de cette recherche sont que pléthore de termes sont utilisés<p>pour représenter différents aspects de l’anthropisation et que sa quantification dépend de<p>la définition d’états de référence. Cependant, la combinaison de différents formats de<p>données peut aboutir à une nouvelle méthodologie plus précise et adaptable, mais cela<p>nécessite une bonne connaissance de terrain. Les définitions de l’entropie dépendent soit de<p>la thermodynamique soit de la théorie de l’information, qui ne sont pas compatibles. Seule<p>l’imprévisibilité pourrait être interprétée thermodynamiquement, si les mesures de transfert<p>d’énergie étaient effectuées à l’échelle appropriée. L’impact humain sur l’hétérogénéité<p>diverge selon la quantité de surface déjà anthropisée, le type de couverture du sol pris en<p>compte ainsi que les composantes de l’hétérogénéité mesurées.<p>Ces découvertes peuvent être adaptées pour intégrer des aspects fonctionnels de la<p>structure spatiale et mieux cerner le lien entre celle-ci et le fonctionnement écologique, ce qui<p>permettrait de proposer des activités humaines et des structures spatiales qui optimiseraient<p>l’utilisation des ressources en sol pour assurer tant le fonctionnement écologique que le<p>développement humain. / Doctorat en Sciences agronomiques et ingénierie biologique / info:eu-repo/semantics/nonPublished
|
Page generated in 0.1469 seconds