Thesis (M.S.)--University of Alabama at Birmingham, 2008. / Title from first page of PDF file (viewed Feb. 16, 2009). Includes bibliographical references.

Thesis (Ph. D.)--Indiana University, 2008. / Title from screen (viewed June 24, 2009). Department of Biochemistry and Molecular Biology, Indiana University-Purdue University Indianapolis (IUPUI). Advisor(s): Maureen Harrington. Includes vita. Non-Latin script record. Includes bibliographical references (leaves 126-132).

Thesis (M.S.)--University of Michigan, 1977.

Thesis (M.S.)--University of Michigan, 1977.

Thesis (Ph.D.) - University of Queensland, 2006. / Includes bibliography.

Thesis (Ph.D. in Pharmaceutical Sciences) -- University of Colorado, 2006. / Typescript. Includes bibliographical references (leaves 191-216). Free to UCDHSC affiliates. Online version available via ProQuest Digital Dissertations;

S’intégrant dans une époque moderne souvent définie par la déstabilisation des institutions et du rapport intersubjectif, les nouvelles de Katherine Mansfield présentent de nombreux exemples d’échecs intersubjectifs. Il s’agit donc d’effectuer un retour aux sources de la relation pour trouver les formes et modes de rencontre possibles et interroger leur potentiel fondateur. Telle que l’envisage Mansfield, la rencontre en tant que problématique de l’altérité – trouvée en soi ou en l’autre – s’organise selon trois espaces, symboliques ou réels : dans l’espace intime et intersubjectif, la rencontre déploie des enjeux ontologiques et existentiels ; dans l’espace géographique, elle invite à adopter une perspective qui interroge la place du politique dans les mouvements coloniaux et internationaux ; dans l’espace artistique, les déclinaisons infinies de la rencontre laissent envisager la possibilité d’une poétique originale façonnée par la convergence des arts, des genres et styles. La poétique de la rencontre se manifeste dans une logique qui n’est pas aristotélicienne au sens strict et où la création artistique est en jeu. / Modernity has been defined as a destabilizing time for both the institution and the subject. Katherine Mansfield’s short stories fit in this definition as they provide many examples of inter-subjective failure. It is thus fundamental to go back to the origins of the relationship in order to uncover the various types and modes of encounter and to interrogate their constructive potential. The encounter as Mansfield conceives of it addresses the question of otherness within three different spaces. The encounter displays ontological and existential stakes in the intimate space; it invites the reader to displace the critical perspective on colonial and global movements from the political to the cultural in the geographic space; and it unveils its countless variants in an artistic space, thus generating an original poetics shaped by the convergence of arts, genres, and styles. The poetics of the encounter manifests itself according to a definition that goes beyond the Aristotelian frame. What is at stake is artistic creation itself.

L’île de Saint-Domingue a gravé pour toujours dans la mémoire collective le souvenir de l’esclavage des noirs. Mais l’histoire de cette île ne se résume pas au malheureux sort des milliers d’Africains transportés dans cette colonie où ils furent réduits à n’être que des instruments de travail. Elle est aussi et avant tout l’histoire de ces nombreux Européens, avides de richesses, qui s’y ruèrent dans le but, soit d’acquérir une fortune qu’ils avaient du mal à se faire en métropole, soit d’accroître un potentiel déjà acquis. Les Galliffet dont nous nous proposons d’étudier l’expérience à travers cette recherche font partie de la seconde catégorie.Vers la fin du XVIIe siècle, ils acquéraient à Saint-Domingue par le biais Joseph de Galliffet (Gouverneur de Saint-Domingue de 1700 à 1703), leur premier bien situé à la Petite Anse dans la Plaine du Nord. Un siècle plus tard, ils étaient propriétaires de plusieurs milliers de carreaux de terres et de cinq habitations prospères, comptant un millier d’esclaves et dont les revenus les hissèrent au sommet d’une des plus grandes fortunes coloniales de l’île, mais aussi de France. L’histoire des Galliffet, si elle ne diffère pas trop de celle de bien d’autres planteurs, dont certains ont déjà fait l’objet de travaux (les Cottineau, les Noé, les Laborde, les Beauharnais), fascine en de nombreux points qui nous interpellent. Ainsi nous nous intéresserons à leur mode d’accession aux habitations, à l’organisation du travail sous la houlette du gérant, Nicolas Odelucq, de même qu’à sa façon de mener ‘’le cheptel humain’’ chargé des travaux. Nous nous pencherons également sur le rendement des plantations après leur rachat par les Galliffet. Par ailleurs, il courait à Saint-Domingue l’expression suivante : « heureux comme les esclaves à Galliffet ». Un bref rappel des conditions de vie des esclaves ne sera donc pas exclu, même si la question a, semble-t-il, déjà été évoquée dans une étude plus générale sur les habitations de la Plaine du nord par Karen Bourdier dans sa thèse soutenue en 2005 ou encore par Elyette Benjamin-Labarthe et Éric Dubesset dans un ouvrage commun. Le travail dans son ensemble sera basé sur des documents d’archives contenant des livres de comptes, des actes notariés de vente ou de conclusion de partenariat entre les Galliffet et leurs associés. On y étudiera aussi la correspondance personnelle des Galliffet avec leur gérant, dont nous attendons de précieux renseignements; notamment sur la vie quotidienne des habitations. Une série d’inventaires réalisés sur celles-ci dans les années 1770, 1780 et 1790, nous informeront sur les maladies des esclaves, leur taux de natalité et de mortalité, la division des tâches quotidiennes sur les différentes habitations. Enfin, il sera aussi question de voir les effets des révolutions (française et haïtienne) sur l'avenir des habitations Galliffet. / L'auteur n'a pas fourni de résumé en anglais

The aim of the work is an analysis influence of years and altitude above sea levels on the honey production of sample localitys in different altitude above sea levels. For observation of the years 2002{--}2006 was choice five localitys in different altitude above sea levels (472 {--} 650 m). The interaction sea level and year is a determine factor wich influence honey production of one bee colony from 89.77%. On increase sea level about 100 m is speeding of the honey production about 5 kg of one bee colony. Than the direct influence one factor (altitude above sea level, year) is strikinger on the honey production their interaction.

Essa pesquisa trata da análise do processo territorial que sucedeu a antiga Colônia Africana, dando origem, posteriormente, ao bairro Rio Branco e Mont”Serrat. A origem da inquietação foi a percepção, através dos dados do censo das Casas de Religião de Matriz Africana de Porto Alegre (2006), conhecidos como terreiros, que revelou a inexistência desse tipo de estabelecimento na área de estudo (Rio Branco). Contraditoriamente, um século atrás, era o local que, junto com a outra área periférica da cidade, o Areal da Baronesa (atual Cidade Baixa), concentrava a maioria dos terreiros e se organizavam através de um arranjo territorial, manifestado pela sua territorialidade. Esse fenômeno, na Colônia Africana, é o objeto de análise da pesquisa, percebido através dos processos sucessórios de ocupação da área, transformada em bairro Rio Branco em 1912, que resultaram no desmantelamento daquela territorialidade, instalada naquele local, de cunho étnico e, manifesta, nos dias de hoje, nos terreiros. As escalas de abordagem perpassam pelo papel do poder público, representado pelo governo municipal, através dos decretos e leis que interferiram diretamente na regulação do espaço e do poder privado, representado pela sociedade de maior poder aquisitivo, que organizou os espaços de acordo com a criação do solo urbano e sua consequente valorização. Diante desse quadro, ao longo do tempo, as parcelas populacionais de menor poder aquisitivo, representadas, majoritariamente, pelo povo negro de Porto Alegre, experimentam os processos de deslocamento pela cidade, num processo contínuo de fragmentação. Na cidade, esses processos ocorrem em diferentes vetores: culturais, econômicos, políticos, num emaranhado interminável, chamado, por Milton Santos, de espaço banal. / This research deals with the analysis of the territorial process which arose from the former African Colony, leading subsequently to the neighborhood of Rio Branco and Mont'Serrat. The origin of the concern was the perception through the data from the census of the Casas de Religião de Matriz Africana de Porto Alegre (2006), (Porto Alegre’s Religion Houses of African descent (2006)) known as terreiros (backyards), which revealed the lack of this type of elucidation in the field of study (Rio Branco). Contradictorily, a century ago, it was the area that, along with other peripheral part of the city, Areal da Baronesa (currently Cidade Baixa), concentrated most terreiros and it was organized through a territorial arrangement, expressed by its territoriality. This phenomenon, in the African Colony, is the object of analysis in this research, perceived through the subsequent processes of occupation in the area, turned into the neighborhood called Rio Branco in 1912, which resulted in the dismantling of that territoriality, installed at the site, to ethnic imprint, and manifested, nowadays, in the terreiros. The scales of approach pervade the role of public authority, embodied by the municipal government, through the decrees and laws that interfered directly in the regulation of space and private power, represented by those with greater purchasing power, which organized the areas in accordance with the creation of urban soil and its consequent evaluation. In this context, over time, segments of the population with lower purchasing power, represented mostly by black people of Porto Alegre, experience the processes of displacement around the city in a continuous process of fragmentation. In the city, these processes occur in different spheres: cultural, economic, political, in an endless tangle, named by Milton Santos, “banal space”.