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Les rites féminins dans les sanctuaires du Latium et de l’Étrurie méridionale (IVe siècle av. – Ier siècle apr. J.-C.)

Thibaut, Émilie 18 December 2015 (has links)
L'étude des pratiques cultuelles féminines dans l'Italie antique constitue un domaine attrayant depuis une vingtaine d'années. Cela dit, alors que les lieux de culte présents sur le sol de Rome forment des terrains d'investigation très privilégiés avec l'avantage d'une documentation littéraire, ceux des cités des régions alentours, telles que le Latium et l'Étrurie, seulement connus à travers l'analyse de certaines catégories d'offrandes, le sont beaucoup moins. Or, entre le IVe siècle av. J.-C. et le Ier siècle apr. J.-C., la façon de demander l'aide divine se précise grâce à l'emploi d'offrandes plus spécialisées : les ex-voto anatomiques et les figures anthropomorphes. Ce travail se propose donc d'utiliser à bon escient celles mises au jour dans les aires sacrées du Latium et de l'Étrurie méridionale et de les compléter par des témoignages littéraires afin de reconstituer des pratiques cultuelles qui auraient pu être effectuées par les femmes en leur sein. À la lumière de vestiges archéologiques impliquant la sphère féminine, il s'agit véritablement de reconsidérer le rapport que les femmes entretenaient avec la religion tout autant que leur participation à la vie de leur communauté. Dépassant les préjugés véhiculés par des sources partiales, masculines et tardives faisant état de personnes dont la nature les rendait incapables de composer avec la religion, c'est une nouvelle vision des femmes que nous proposons de réviser. / The study of female cultural practices in Ancient Italy has been an attractive area for the last twenty years. Although places of worship, present in Roma, have been really privileged themes with the advantage of literary materials, those of cities of surrounding areas, such as the Latium and the Etruria, only famous through the analysis of some offering types, are much less. However, between the fourth century B.C. and the first century A.D., the way to ask for the divine help is becoming clearer, thanks to the use of more specialized offerings: the anatomical ex-voto and the anthropomorphic figures. This works intends to use, in the right way, those discovered in the sacred areas of the Latium and the southern Etruria and to complete it with the literary testimonies, so as to re-build cultural practices that could have been done by women on their own. In the light of archaeological remains, implying the female sphere, it is about to really re-think the relation that women maintained with the religion, as well as their participation in their communities. Going beyond prejudices inherited by biased and ancient sources as well as male world; considering persons whose nature made them incapable of coping with the religion; it is a new vision of women that we intend to review.
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La danse étrusque (VIIIe-Ve siècle avant J.-C.) : étude anthropo-iconologique des représentations du corps en mouvement dans l'Italie préromaine / Etruscan Dance (8th-5th cent. B.C.) : Anthropological and Iconological Study of the Representations of Body Movements in Preroman Italy

Gouy, Audrey 08 December 2017 (has links)
A partir de la seule documentation disponible, à savoir l’iconographie, il a été dressé un corpus de 526 objets, tous supports confondus, à partir de l’Etrurie tyrrhénienne, de l’Etrurie campanienne et de l’Etrurie padane. Cette thèse propose dans un premier temps, en plus de justifier et de délimiter le corpus des scènes de la danse étrusque et de poser les fondements historiographiques, de penser et définir la représentation même de la danse. Quels éléments dans l’image permettent de définir une scène de danse comme telle ? S’agit-il véritablement de danse ? La confusion que l’on note dans les textes grecs et latins entre pratiques dansées, sportives et guerrières se rencontrent aussi dans l’image, ce qui a amené à appréhender la danse au sens large, en termes de performance et d’évènement. Cette première définition permet de délimiter les scènes de danse par rapport aux scènes de cortège, de parade, de duel, et de distinguer les danseurs d’autres personnages récurrents de l’iconographie étrusque comme les « orants ». Dans un second temps, l’étude typologique et l’analyse sérielle des scènes de danse permet de dresser un répertoire étrusque de 2143 positions corporelles, et ainsi de préciser la définition de l’image de la danse. Cet axe permet d’identifier les différentes positions corporelles, ainsi que les gestes, les accessoires des acteurs, leurs caractéristiques physiques, et les objets et les lieux de la danse. Cette identification systématique est accompagnée de l’étude des interactions corporelles, gestuelles, vestimentaires, ou colorés. Délimiter le répertoire iconographique de la danse étrusque implique aussi d’en définir les modalités d’élaboration et la porosité. Les données sont ainsi replacées dans un contexte géographique et historique afin de repérer les particularités de l’iconographie étrusque, de distinguer les modèles étrangers et les réélaborations. La mise en série révèle que la comparaison avec l’iconographie grecque s’impose pour certaines postures. Mais les imagiers sélectionnent et agencent selon une disposition qui s’adapte aux pratiques étrusques de l’image. Les Étrusques ont ainsi puisé dans un répertoire grec des postures puis les ont adaptées et enrichies, à l’image de l’adaptation de l’alphabet grec en Étrurie. La diffusion des éléments constitutifs de l’image étrusque de la danse d’une cité étrusque à une autre permet de délimiter un répertoire iconographique préromain commun, mais aussi des choix locaux. Nous relevons en particulier les cas de Chiusi et de Tarquinia. A côté d’un répertoire commun, les deux cités ont développé chacune des solutions différentes qui répondent à des constructions propres de l’image. Dans un dernier temps enfin, sont étudiés les différents types de danse relevés, ainsi que le statut et la fonction des différents acteurs. Il s’agit de comprendre, par une orientation historique et anthropologique, et lorsqu’il est possible de le relever, l’enchaînement de ces danses, leur fonction, leurs différentes phases et leur place dans les pratiques rituelles de l’Italie préromaine. De cette étude découlent des questions quant à l’utilisation de l’image étrusque de la danse. Il s’avère en effet qu’une sélection des types de danse et des postures est opérée par les imagiers. Dans ce cadre, c'est sur le fonctionnement et le système de l'image, comparée à un langage, que nous avons mis l'accent. La direction adoptée dans ce troisième axe est aussi iconologique et vise à déchiffrer l'image de la danse étrusque en s'orientant vers le structuralisme et la sémiotique. L’étude a abouti à la conclusion selon laquelle les postures et les éléments visuels qui composent l’iconographie étrusque de la danse étaient sélectionnés et agencés dans des programmes iconographiques donnés, selon leur signification, leur portée discursive, et la fonction et la temporalité du rituel auquel ils font référence, puis adaptés à la fonction rituelle du médium sur lequel ils sont agencés. / From the iconographical sources, the only available, a corpus of 526 objects has been selected, irrespective of the medium, and from Tirrenian, Campanian and Po plain Etruria. Besides explaining and delineating the corpus of the representations of Etruscan dance and posing the historiographical bases, this thesis proposes in the first instance to think and define the representation itself of dance. Indeed, which elements in pictures permit to define a scene of dance as such ? Can we really consider it as dance ? The confusion we note in Greek and Latin texts between danced, sports and war practices are also present in pictures. This brings to consider dance in a large sens, in terms of performance and event. This first definition permits to delineate the scenes of dance from the scenes of processions, of dueling, and to draw a distinction between dancers and other recurrent actors in the Etruscan iconography such as the « orans ». In a second phase, the typological and serial analysis of representations of dance has permitted to raise an Etruscan repertoire of 2143 body postures, and thus to precise the definition of the pictures of dance. This axis has thus contributed to identify the different body positions, but also the gestures, the actors’ props, the actors’ physical features, the objects and places of dance. This systematic identification is accompanied by the study of coloured, clothing, gestural, and body interactions. Delineating the iconographical repertoire of Etruscan dance also implies to define the conditions of its elaboration and its porosity. The datas are thus replaced in a geographic and historic – Ancient Mediterranean – context in order to identify the foreign patterns and the reworked ones. The connection in series reveal that the comparison with Greek iconography is necessary to better understand some body positions. But the painters select and dispose according to the Etruscan practices of pictures making. Thus, the Etruscans digged into a Greek repertoire for some postures and then adapted and enriched them, such as their adaptation of the Greek alphabet in Etruria. The spread of the constitutive éléments of the Etruscan pictures of dance from a city to another permits to delineate a mutual and shared Preroman iconographical repertoire, but also local choices and adaptations. On this point, the cases of Tarquinia and Chiusi has been studied. Besides a common iconographical repertoire, in the two cities different visual solutions has been developped, linked to own pictures constructions. As a final step, the different types of dance previously delineated are studied further, such as the status and the function of the different actors. It aims to understant, thanks to an anthropological and historical approach – and when it’s possible –, the sequences and chaining of the different dances, their diffent phases and their place in the ritual practices of Preroman Italy. From this point, the question of the use of the Etruscan pictures of dance has been raised. And it has been highlighted that a precise selection of types of dance and of body positions has been made by the artists. In this frame, it’s the functioning and the system of the pictures – compared to a language –, which have been emphasized. The orientation taken in this third axis is also iconological and aim to decrypt and better understand the Etruscan pictures of dance in which the visual elements and the body postures are selected and disposed, in the iconographical program in which they are used, according their signification and their discursive dimension, and adapted to the ritual function of the medium on which they are disposed.
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Rome et l'Étrurie méridionale aux Ve et IVe siècles : les modes de contacts / Rome et l'Étrurie méridionale aux cinquième et quatrième siècles

Goupil, Chantal 19 April 2018 (has links)
La présente étude porte sur les premières phases de la conquête romaine en Etrurie méridionale au IVe siècle av. J.-C. Elle vise à faire ressortir le saut qualitatif qui s'est produit dans les modes de contacts entre Rome et l'Etrurie méridionale durant ce siècle. Les villes de Caere et de Véies constituent le coeur de cette étude puisqu'elles furent les deux premières villes étrusques qui subirent la conquête romaine. La description de la géographie et des peuples latin et étrusque ainsi que celle des modes de contacts tels qu'ils se présentaient avant le début de la conquête ont rendu possible l'analyse de la conquête et de l'annexion de Véies, puis celle de la conquête et de la formation du municipium sine suffragio de Caere. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Recherches sur les chasses étrusques, latines et italiques : une préhistoire des chasses romaines ? / Researches on Etruscan, Latin and Italic hunts : a prehistory of the Roman hunts ?

Nazarian-Trochet, Marlène 31 January 2017 (has links)
La chasse est l’un des sujets dominant l’iconographie étrusque dès l’émergence des premières représentations figurées. S’intégrant au décor des armes et parures des premières élites protohistoriques, elle s’enrichit bientôt de nouveaux modèles importés des cultures proche-orientales et helléniques dont elle intègre à la fois le bestiaire et les schémas de mise en scène. Cette prédominance des scènes cynégétiques invite à se poser la question de leur utilisation symbolique, sur le mobilier comme sur les monuments publics et privés commandés par les aristocraties étrusques, et conduit à s’interroger sur la place de la chasse dans une « idéologie du pouvoir » dont nous ne possédons que des témoignages figurés. Un large cadre d’étude allant du VIIIè au IVè siècle av. J.-C. permettra de saisir les mutations de ce thème, parallèlement aux changements sociaux et politiques traversés par les différentes cités. Plus largement c’est une imagerie traitant du rapport entre l’homme et l’animal comprenant des chasses animalières, des scènes d’élevage, voire des exemples d’apprivoisement d’animaux sauvages, qui sera prise en compte pour tenter de saisir l’importance du thème de la maîtrise du monde animal en Etrurie. La singularité de la culture étrusque semble en effet s’exprimer par l’importance quantitative et la variété de ce type de représentations qui trouve un accueil favorable sur le mobilier comme dans les monuments funéraires. La chasse, qu’elle revête une dimension réaliste, héroïque, mythique ou funéraire est donc l’objet d’une mise en scène importante à des fins idéologiques ou rituelles. La confrontation entre le corpus étrusque et d’autres répertoires, empruntés au monde grec mais aussi aux autres cultures du territoire italique, latine et lucanienne notamment, invite ainsi à repenser la question de la symbolique de la chasse dans l’imaginaire de l’Italie préromaine, avant que ne se développent les chasses spectacles romaines. / Hunting is one of the dominant subjects of Etruscan iconography as soon as the first figurative representations emerged. It fitted perfectly in the scenery of weapons and the jewellery of the first protohistoric elites. Furthermore, hunting was quickly enhanced by new methods coming from Middle Eastern and Hellenic cultures, in which the bestiary and the staging patterns are both included. This predominance in hunting scenes tempts to make us wonder about their symbolic use, on the furniture or on the private and public monuments ordered by Etruscan aristocrats. It also arouses our interest about the place of hunting in an “ideology of power” of which we only have figurative testimonies. Thus, the long period studied –from the VIIIth to the IVth century B.C.- will allow us to understand the various mutations of this topic, as well as the social and political changes through the different city-states. More broadly, an imagery about the relationship between humans and animals- including animal hunts, farming scenes and even the taming wild animals- will be taken into account to try to understand the relevance of the topic of mastery of wild animals in Etruria. Indeed, the singularity of the Etruscan culture seems to be expressed through the various and numerous representations usually seen on furniture as well as funerary monuments. Hunting, be it with a realistic, heroic, mythic or funerary dimension is thus the object of an important staging for ideological or ritual purposes. The consideration of the Etruscan corpus against other collections- taken from the Greek civilisation but also from other cultures such as Italic, Latin or Lucanian- encourages us to reconsider the question of the symbolic of hunting in the imaginary of this pre-Roman Italy, before the Roman hunt performances had developed.
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Le mobilier funéraire des nécropoles hellénistiques d'Etrurie méridionale : Musarna et le territoire de Tarquinia / Funerary set of hellenistic necropolis in South Etruria : Musarna and the territory of Tarquinia

Lovergne, Edwige 14 December 2017 (has links)
Cette thèse porte sur l'étude des mobiliers funéraires en Etrurie méridionale à la période hellénistique. Elle se proposait de faire le point sur l'ensemble des données livrées par les nombreuses nécropoles du territoire de Tarquinia, en accordant une attention particulière à l'Étrurie rupestre. En partant de l'étude ponctuelle des nécropoles du site étrusco-romain de Musarna, l'analyse détaillée des mobiliers funéraires, couplée à celle des structures funéraires, a représenté la première étape d'une réflexion à plus grande échelle sur les pratiques et les rituels funéraires attestés dans la région. Au travers de la composition des assemblages funéraires, on a tenté d'identifier des éléments pouvant permettre de mieux comprendre les coutumes funéraires et leur évolution entre la fin du IV" siècle av. J.-C. et le début du 1°' siècle av. J.-C., période chronologique caractérisée par le phénomène de conquête et de « romanisation » des territoires étrusques, jusqu'à l'intégration complète des grandes métropoles dans l'État romain. Par le biais des éléments mis en évidence, on a cherché à apporter des réponses à une série de questions relatives à plusieurs aspects du monde funéraire, en relation directe avec le contexte historique : statut des défunts, spécificité sexuelle, valeur matérielle ou symbolique des dépôts. L'étude de chaque déposition a permis de mettre en évidence plusieurs aspects de la gestualité qui se déroule autour de la mort du défunt au sein de ce grand groupe culturel, et leur évolution au cours des différentes époques considérées. / This thesis deals with the study of funerary set in Southern Etruria during the Hellenistic period based on a systematic gathering of all the data supplied by the numerous necropolis of the territory of Tarquinia, with particular attention to the « Etruria rupestre ». The detailed analysis of funerary set, coupled with that of funerary structures of the Etruscan-Roman site of Musarna, was the first step in a larger-scale reflection on the funeral and rituals practices attested in this region. Through the composition of the funerary assemblages, attempts have been made to identify elements that can better illustrate funerary customs and their evolution between the end of the 4th century BC. and the beginning of the 1st century BC., a chronological period characterized by the gradual conquest and colonization of the Etruscan territories, until the complete integration of the great metropolises in the Roman state. Through the elements highlighted, an attempt was made to answer a series of questions concerning several aspects of the funerary world directly related to the historical context: the status of the deceased, the gender specificity, the material or symbolic value of the deposits. The study of each deposition made it possible to highlight several aspects of the gestuality that takes place around the death of the deceased within this great cultural group, and its evolution during the different periods considered.
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De l’Étrurie à Rome : Mécène et la fondation de l’Empire / From Etruria to Rome : Maecenas and the founding of the Roman Empire

Chillet, Clément 30 November 2012 (has links)
Mécène est plus connu pour son rôle de « politique culturelle » sous Auguste que pour son action purement politique. Celle-ci couvrit pourtant des domaines variés : fiscalité, diplomatie, sécurité intérieure, vraisemblablement levée de certaines troupes. Le travail ici présenté peut-être défini comme une explicitation complète et une réévaluation des sources relues sous un angle essentiellement politique. L’étude minutieuse de sa famille et de son entourage permet, en effet, de mettre en évidence sa part dans l’élaboration de l’idéologie impériale et la postérité de ses traits. L’explicitation des éléments de sa carrière et leur intégration dans l’histoire politique générale de la fin de la République et du début de l’Empire permettent également de définir sa place dans le modèle de transition institutionnelle où le non-dit joua un rôle immense. Ses fonctions doivent ainsi être envisagées sous un triple rapport : en regard des institutions républicaines permettant ainsi d’évaluer la part de vérité ou de réalité de la res publica restituta proclamée par Auguste ; en regard du contexte immédiat, permettant d’évaluer la portée des circonstances ou du caractère planifié des réformes d’Octavien/Auguste ; enfin en regard des institutions impériales dont il pourra être considéré comme le « laboratoire ». La fixation de la chronologie de cette carrière permet d’éclairer le champ politique depuis l’année 44 : la nature de ses pouvoirs et sa manière d’occuper ses fonctions permettent de déterminer la coloration politique du régime naissant en constante évolution. Enfin, il est bien clair que Mécène trouve sa spécificité dans ses origines étrusques qu’il revendiquait fermement, quitte à s’opposer aux modèles de restauration morale et « nationale » développés par Auguste de manière contemporaine. Toléré et parfois courtisé parce qu’il portait avec lui le soutien de l’Étrurie et de l’Italie, et qu’il contribuait ainsi à faire entrer ces dernières dans le jeu politique romain, Mécène nous permet de définir avec plus de précision la place occupée par les Italiens dans la politique augustéenne et dans la construction d’identités locales en Italie / C. Maecenas is best known for his role in culture at the beginning of Augustus’ principate than for his political role. He acted however in various fields: taxation, diplomacy, home security and probably levied troops. This work aims at presenting a thorough explanation and reevaluating the sources from a political point of view. The close examination of his family and acquaintances enables me to show the part he played in the elaboration of the imperial ideology and the posterity of his own characteristics as they were depicted. Explaining his carrier and integrating it into the general history of politics at the end of the Republic and the beginning of the Empire, also allows a definition of his position in the institutional transition in Rome. His role must be considered from a triple point of view: in comparison with the republican institutions so as to estimate how true or real was the res publica restituta proclaimed by Augustus; in view of the current context so as to assess the importance of circumstances or the possible planning of Octavian/Augustus’ reforms; finally, in view of the imperial institutions of which he was a sort of laboratory or test bed. Fixing the chronology of his carrier makes it possible to shed light on the Roman political world from 44 b.C. onwards: the nature of his powers, the way of holding his offices makes it possible to determine the real nature of the new regime in constant evolution. Finally, it is very clear that C. Maecenas owes his specificity to his Etruscan origins that he proudly claimed, even if it meant being against the Augustan moral and “national” restoration program. C. Maecenas was tolerated for bringing the support of Etruria and Italy to Augustus: he made them enter the Roman political system and he makes it possible to estimate their positions in Augustan politics and the degree of elaboration of local identities in Italy
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Le mythe de Volta chez Pline l’Ancien et l’iconographie d’urnes étrusques du IIe siècle av. J.-C.

Morency, Xavier B. 12 1900 (has links)
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