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Une comparaison de l’utilisation de l’appareil mobile et des traits de personnalité selon le niveau de stress psychologique chez de jeunes adultesMajeur, Danie 04 1900 (has links)
No description available.
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Association entre la maltraitance à l’enfance et les symptômes dépressifs à l’âge adulte : une étude des profils de méthylation de l’ADN et de réactivité au stressComtois-Cabana, Maude 08 1900 (has links)
De nombreuses études suggèrent que la maltraitance à l’enfance est un facteur de risque important lié à l’émergence de symptômes dépressifs à l’âge adulte. Toutefois, les mécanismes biologiques qui sous-tendent cette association demeurent méconnus. Ainsi, cette étude vise à examiner le rôle de la méthylation de l’ADN et de la réactivité au stress dans l’association entre les expériences de maltraitance à l’enfance et les symptômes dépressifs à l’âge adulte. L’échantillon est composé de 156 hommes âgés entre 18 et 35 ans. Les expériences de maltraitance et les symptômes dépressifs ont été mesurés à l’aide de questionnaires auto- rapportés. La sécrétion de cortisol, une hormone sécrétée en situation de stress, a été mesurée en réponse au Trier Social Stress Test. La méthylation de l’ADN de neufs gènes candidats (COMT, FKBP5, IL-6, IL-10, MAOA, NR3C1, OXTR, SLC6A3 et SLC6A4) a été quantifiée à l’aide du système Sequenom EpiTYPER suite à l’extraction de l’ADN salivaire. Les résultats indiquent que la méthylation de l’ADN n’explique pas l’association entre les expériences de maltraitance à l’enfance et les symptômes dépressifs à l’âge adulte et les associations sous-jacentes à l’effet indirect de la méthylation de l’ADN ne varient pas en fonction de la réactivité cortisolaire au stress. Néanmoins, les résultats de l’étude suggèrent que les expériences de maltraitance et les symptômes dépressifs sont associées à des changements dans les profils de méthylation de l’ADN. Enfin, ces résultats soulignent l’importance de réduire la prévalence de la maltraitance à l’enfance afin de limiter l’apparition de symptômes dépressifs à l’âge adulte. / Increasing evidence suggests that child maltreatment is a significant risk factor for the emergence of depressive symptoms in adulthood. However, the mechanisms underlying this association remain poorly understood. The present study examined the mediating role of DNA methylation and the moderating role of stress reactivity in the association between child maltreatment and depressive symptoms in emerging adulthood. The sample comprised 156 young male adults aged between 18 and 35 years. Maltreatment experiences and depressive symptoms were assessed using self-reported questionnaires. Cortisol, a hormone secreted in response to stress, was measured in response to the Trier Social Stress Test. DNA methylation of nine candidate genes (COMT, FKBP5, IL-6, IL-10, MAOA, NR3C1, OXTR, SLC6A3 et SLC6A4) was quantified using the Sequenom EpiTYPER technology after the extraction of salivary DNA. Results suggest that DNA methylation did not explain the association between child maltreatment and depressive symptoms in emerging adulthood, and that the associations underlying the mediating effect of DNA methylation did not vary according to the cortisol stress response. Nonetheless, the results suggest that maltreatment experiences and depressive symptoms are both associated with changes in DNA methylation profiles. Finally, these findings underscore the importance of reducing the prevalence of child maltreatment in order to limit the onset of depressive symptoms in emerging adulthood.
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Utilité d’une application, adaptée du programme APAP (Augmentation de la Psychothérapie par Amorçage Préconscient) pour l’autogestion des difficultés liées à l’anxiété et à l’insomnie dans la population généraleDjomo Djomo, Wuilliam Lameo 08 1900 (has links)
L’anxiété et l’insomnie représentent des affections parmi les plus répandues, avec plusieurs conséquences négatives pour les personnes qui en souffrent, leur famille et la société en général. Parmi les solutions les plus communément utilisées pour la prise en charge de l’anxiété et de l’insomnie, nous avons l’option pharmacologique qui, malgré une certaine efficacité initiale présente plusieurs conséquences à long terme comme la présence d’effets indésirables et l’installation progressive du phénomène de tolérance. Une autre possibilité thérapeutique est la psychothérapie et dans cette catégorie, le traitement de choix recommandé pour la solution à long terme de ces troubles est représenté par la thérapie cognitivo- comportementale. Mais, malheureusement, les ressources pour l’administrer sont limitées et couteuses et les temps d’attente sont souvent longs. Il a été alors question de trouver des alternatives pour permettre à plus de personnes souffrant d’anxiété et d’insomnie d’avoir accès rapidement à des solutions pour leur problème. C’est ainsi que notre réflexion s’est tournée vers les nouvelles technologies qui se sont répandues à grande échelle dans la population et qui montrent progressivement leur utilité pour remédier à la difficulté d’accès à certaines ressources traditionnelles dans la prise en charge de problématiques reliées à la santé mentale.
Notre équipe, déjà impliquée dans le développement de plusieurs approches thérapeutiques par internet, a pris l’initiative de tester l’efficacité de l’application Muzzz, conçue pour réduire l’anxiété et améliorer le sommeil et qui consiste en l’écoute de suggestions positives inspirées du training autogène de Schultz. Ces suggestions ont la particularité d’être progressivement masquées par une musique relaxante et deviennent donc préconscientes. Muzzz est une dérivée du programme APAP (Augmentation de la Psychothérapie Par Amorçage Préconscient) dont le concept, basé sur l’écoute de suggestions positives personnalisées masquées par de la musique relaxante, a été évalué positivement en termes de validité et de faisabilité dans l’étude de Borgeat et collaborateurs réalisée en 2013 [augmentation des cognitions positives (d = 0,53) et diminution des cognitions négatives (d = 0,73) au Test d’Auto-Évaluation des Pensées en Interaction Sociale (TAPIS)]. Pour évaluer l’efficacité de l’application, 20 personnes (parmi lesquelles 10 hommes et 10 femmes, qui avaient un âge moyen de 41,25 ans, variant de 20 à 67 ans avec écart-type de 15,82) ont été recrutées dans les CLSC (centre local de services communautaires) Saint-Michel et Rosemont de la région de Montréal et ont été invitées à utiliser l’application pendant 4 semaines, dans un contexte de psychoéducation. Les effets ont été mesurés en les soumettant à l’index d’anxiété de Beck (mesure principale) ainsi qu’à l’index de sévérité de l’Insomnie et au questionnaire pour les inquiétudes du Penn State (mesures secondaires), respectivement au début de l’étude, puis après 2 et 4 semaines. L’anxiété, l’insomnie et les inquiétudes ont aussi été mesurées quotidiennement avec l’application Emax qui sert à recueillir les données en temps réel. Nous avons aussi évalué les processus cognitifs avec la mesure idiosyncratique de la conviction dans les pensées au début et à la fin de l’étude.
Les résultats ont montré une réduction statistiquement significative de l’anxiété (d=0,78) au terme de la période d’intervention. Le même résultat a été observé avec les autres variables avec une amélioration de la qualité du sommeil (d=0,78) et une réduction des inquiétudes (d=0,77) toutes deux significatives. Une amélioration des cognitions, reflétée par la diminution significative des valeurs de la mesure idiosyncratique de la conviction dans les pensées (d=1,59), a aussi été observée. L’utilisation de l’application Muzzz dans un contexte de psychoéducation a montré son utilité pour soulager temporairement les symptômes de personnes souffrant d’anxiété et d’insomnie, dans l’attente de consulter un professionnel de la santé. Notre étude ne disposait que d’une faible taille d’échantillon. Ces résultats devraient donc être confirmés par d’autres études futures de plus grande ampleur. / Anxiety and insomnia are among the most common mental health disorders with negative consequences for patients, their families and society as a whole. Pharmacological treatment options with initial efficacy are available but are associated with unwanted side effects and tolerance in the longer term. Cognitive-behavioral therapy is a treatment of choice that provides an effective and longer-term solution, but availability is limited with long waiting-lists. Alternative effective options are needed to address the needs of all those suffering from anxiety and insomnia in a cost effective and timely manner. In particular, the development of new applications of technologies that are already widely used in the general population hold the potential to address the lack of access to traditional resources for those with mental health problems.
Our team took the initiative to evaluate the efficacy of the Muzzz app, which consists of listening to positive suggestions inspired by Schultz's autogenic training., and is designed to reduce anxiety and to improve sleep These suggestions are masked by relaxing music and delivered in a subliminal format as a derivative of the APAP (Augmentation of Psychotherapy through Alternative Preconscious Priming) program. The APAP program developed by Borgeat et al. (2013) consists of listening of positive personalized suggestions masked by relaxing music, which has previously shown effectiveness in increasing positive cognitions (d = 0.53) and decreasing negative cognitions (d = 0.73). To assess the effectiveness of the Muzzz app and its application among those with anxiety and insomnia a total of 20 participants (10 men and 10 women were recruited at the Saint-Michel and Rosemont CLSCs (local community service centers) and invited to use the app for 4 weeks in a psychoeducational context. To measure the effects of the app they were administered the Beck Anxiety Inventory, the Insomnia Severity Index and the Penn State Worry Questionnaire at the beginning of the study and then at 2 and 4 weeks respectively. Anxiety, insomnia and worry was also assessed with the Emax app which is used to collect data in real time. In addition, change in cognitions were assessed with the Idiosyncratic Measure of Convictions in Thoughts at the beginning and at the end of the study.
The results showed a statistically significant reduction in anxiety (d=0.78) at the end of the intervention period. In addition, there was a significant improvement in the quality of sleep (d=0.78) and reduction in worries (d=0.77). Finally, a significant improvement in cognitions was observed with the decrease in negative cognitions as assessed by the Idiosyncratic Measure of Convictions in Thoughts (d=1.59). We can therefore conclude that the use of the Muzzz app in a psychoeducational context is effective for temporarily relieving symptoms of people with anxiety and insomnia, while they are on waiting-list to see a healthcare professional. Results are limited by a relatively small size and await confirmation in future larger-scale studies.
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La psychothérapie pour les personnes autistes adultes sans handicap intellectuel ni trouble du langage : revue systématique et principes directeursPaquette Houde, Chloée 06 1900 (has links)
Les personnes adultes autistes sans déficience intellectuelle ni trouble du langage représentent une population clinique en croissance avec une forte prévalence de comorbidité psychiatrique. Ceux-ci nécessitent des soins en psychothérapie, mais les services actuels en santé mentale sont rarement adaptés à leur besoin. Une revue systématique des guides de traitement a donc été menée afin de faire ressortir les principes suivis par la psychothérapie adaptée aux personnes autistes adultes sans déficience intellectuelle ni trouble du langage. Les adaptations recommandées sont présentées et leurs preuves d’efficacité ont été révisées. Puis, des principes directeurs pour la psychothérapie des personnes autistes adultes sans déficience intellectuelle ni trouble du langage sont proposés et critiqués. Enfin, les principaux défis de la psychothérapie et des pistes de solution futures sont discutés. / Autistic adults without an intellectual disability or language impairment represent a growing clinical population with a high prevalence of psychiatric comorbidity. They require psychotherapy, but current mental health services are rarely adapted to their needs. A systematic review of treatment guides was therefore carried out to highlight the principles followed by the psychotherapy adapted to autistic adult people without intellectual disabilities or language disorders. Recommended adaptations are presented, and their evidence of effectiveness has been reviewed. Then, guiding principles for the psychotherapy of adults with autism without intellectual disability or language disorder are proposed and criticized. Finally, the main challenges of psychotherapy and possible future solutions are discussed.
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Étude des modérateurs cognitifs d’une intervention ciblée sur les traits de personnalité pour les symptômes dépressifs et les pensées suicidaires chez les adolescentsNgombé, Marthiale 03 1900 (has links)
La dépression chez les adolescents est une préoccupation majeure en raison de son impact sur la santé mentale et sur le risque de suicide qui constitue la quatrième cause de décès chez les 15- 29 ans. Malgré l’existence d’alternatives thérapeutiques, la gestion des troubles dépressifs demeure complexe en raison de la résistance aux traitements. Comprendre les facteurs influençant la réponse aux thérapies est donc crucial. L'intervention préventive cognitive- comportementale PreVenture, conçue pour cibler des traits de personnalité spécifiques comme le désespoir, un facteur de risque pour le développement de la dépression, offre une alternative de traitement prometteuse pour les adolescents. Des résultats préliminaires ont démontré le potentiel de PreVenture à réduire les symptômes dépressifs et les pensées suicidaires chez des adolescents canadiens. Ce projet vise à étudier les modérateurs cognitifs impliqués dans la réponse à cette intervention, en évaluant leur influence sur les symptômes dépressifs et les idées suicidaires chez des adolescents de 12 à 13 ans. Un modèle de croissance latent a été utilisé pour étudier la croissance des symptômes dépressifs et des pensées suicidaires. L’analyse de modération a permis d’étudier l’interaction entre PreVenture et la cognition. Les résultats indiquent que les adolescents rencontrant des difficultés de mémoire avant l'intervention montrent une réduction significative de leurs idées suicidaires dans les années suivantes. Cependant, aucun des modérateurs cognitifs n'a été identifié pour les symptômes dépressifs. En incluant les profils cognitifs d’adolescents à risque, ce projet met en avant la contribution des caractéristiques individuelles dans la prévention du suicide chez les adolescents. / Depression among adolescents is a major concern due to its impact on mental health and the risk of suicide, which ranks as the fourth leading cause of death among 15- to 29-year-olds. Despite the existence of therapeutic alternatives, managing depressive disorders remains complex due to treatment resistance. Understanding the factors influencing treatment response is therefore crucial. The cognitive-behavioral preventive intervention PreVenture, designed to target specific personality traits such as hopelessness, a risk factor for depression development, offers a promising treatment alternative for adolescents. Preliminary results have demonstrated PreVenture's potential to reduce depressive symptoms and suicidal thoughts among Canadian adolescents. This project aims to study the cognitive moderators involved in the response to this intervention by assessing their influence on depressive symptoms and suicidal ideation in adolescents aged 12 to 13. A latent growth model was used to examine the growth of depressive symptoms and suicidal thoughts. Moderation analysis allowed the investigation of the interaction between PreVenture and cognition. The results indicate that adolescents with memory difficulties prior to the intervention show a significant reduction in suicidal ideation in the following years. However, none of the cognitive moderators were identified for depressive symptoms. By including cognitive profiles of at-risk adolescents, this project highlights the contribution of individual characteristics to adolescent suicide prevention.
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Examining the role of food bank knowledge, healthy food behaviors, and depression on family food insufficienciesLandess, Mark W. January 1900 (has links)
Master of Science / School of Family Studies and Human Services / Farrell J. Webb / The Food Sufficiency Status Model is a conceptual model that was devised to help explain why some individuals are at an increased risk of becoming food insufficient. This model proposes that there are four factors that can influence an individual’s food status they are—demographics, family status/household size, food risk factors, and depression. This study uses data from the National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES, 2007-2008)—Flexible Consumer Behavior Survey Module (n = 3,413), collected by the Centers for Disease Control and Prevention (CDC). The overall results generally supported the Food Sufficiency model and explained 22% (R[superscript]2adj = 0.215) of the variance in food sufficiency in the study’s population.
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A formative evaluation of a systemic infant mental health program designed to treat infants and their families through a rural community mental health centerSchliep, Corey Dale January 1900 (has links)
Doctor of Philosophy / Department of Family Studies and Human Services / Anthony Jurich / Ann Murray / Despite the intensified research efforts into the field of Infant Mental Health and Marriage and Family Therapy, a truly systemically designed program has not been developed. This formative evaluation study illuminates the design phase, its developmental process, and the professional staff member’s experience of this newly implemented “Options” program.
I focused specifically on Crawford County Community Mental Health Center’s innovative systemic approach to issues related to infant mental health. In this body of work, I describe the process of creating this innovative approach, identified how the program originators made decisions about their approach and how the approach is being operationalized on a daily basis by interviewing the clinicians, who are providing the services and the administrators who created and oversee the program.
I utilized a qualitative approach in the design, transcription categorization, and data analysis. This formative evaluation used the “flashback approach” to tell the story of the evaluation findings, this included an Executive Summary. This study’s exploration yielded a clearer understanding of the developmental process of the infant mental health program and its initial implementation.
The results of this evaluation revealed that there are a number of core program components (three levels of focus: child and family, program, and community and catchment area) that were organized and clearly disseminated throughout the staff. The interviews revealed that the program has encountered problematic issues including; policy and procedural agreements and mandates, staff turnover, program ownership and funding limitations. It grew increasingly clear that the value of the program’s positive
impact on families outweighed the perceived hassle of establishing and implementing the program.
This evaluation produced a number of program recommendations for program perpetuation and potential improvements. The program recommendations addressed the challenges facing the “Options Program” are explained. The future research implications of this formative evaluation are enumerated.
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Affective Processing in Major Depressive Disorder: Neuroanatomical Correlates of State and Trait AbnormailitiesKonarski, Jakub Z. 21 April 2010 (has links)
Patients with MDD demonstrate impairments in various components of affective processing, which are believed to persist in the remitted phase of the illness and are believed to underlie the vulnerability for future relapse. Despite advances in neuropsychiatry, the neuroanatomical site of action of various treatment modalities remains unclear, leaving clinicians without an algorithm to guide optimal treatment selection for individual patients.
This thesis sought to characterize differences in brain activation during affective processing between MDD treatment responders (RS) and non-responders (NR) by combining clinical and neuroimaging variables in a repeat-measure functional magnetic resonance imaging (fMRI) investigation. We induced increases in positive and negative affect using visual stimuli under fMRI conditions in 21 MDD subjects and 18 healthy controls (HC).
Based on previous neuroimaging investigations and preclinical animal data, we hypothesized that increased activation of the amygdala and the pregenual cingulate during negative affect induction (NAI), and decreased activity of the ventral striatum during positive affect induction (PAI), would differentiate ultimate NR from RS. Following the first scan, treatment with fluoxetine and olanzapine was initiated in the MDD group, with follow-up scans at one- and six-weeks thereafter. We hypothesized that decreases in depressive symptoms would be associated with decreased activation of the ventromedial prefrontal cortex (PFC) and amygdala during NAI and increased activation of the hippocampus during PAI.
Eleven MDD subjects met criteria for clinical remission at study endpoint. Based on trait differences between MDD and HC, we hypothesized that differences observed during NAI would be limited to brain regions involved in regulation of the affective state, including the dorsolateral PFC and the anterior midcingulate cortex.
The results of the analyses confirmed the a-prior hypotheses and additionally demonstrated differential activation of the insular, medial temporal, and premotor cortex during repeat PAI and NAI between HC, RS, and NR. These findings provide: i) a neuroanatomical target of successful antidepressant therapy during PAI/NAI; ii) a differential effect of depressive symptoms and dispositional affect on brain activation during PAI/NAI; and iii) an a-prior method to differentiate RS from NR, and iv) demonstrate the need for additional treatment to prevent relapse in the remitted state.
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Ex vivo Binding of the Agonist PET Radiotracer [11C]-(+)-PHNO to Dopamine D2/D3 Receptors in Rat Brain: Lack of Correspondence to the D2 Recepor Two-affinity-state ModelMcCormick, Patrick N. 18 February 2011 (has links)
The dopamine D2 receptor exists in vitro in two states of agonist affinity: a high-affinity state mediating dopamine’s physiological effects, and a physiologically-inert low-affinity state. Our primary goal was to determine the in vivo relevance of this two-affinity-state model for the agonist PET radiotracer [11C]-(+)-PHNO, developed for measurement of the D2 high-affinity state. Our second goal was to characterize the regional D2 versus D3 pharmacology of [3H]-(+)-PHNO binding and assess its utility for measuring drug occupancy at both receptor subtypes.
Using ex vivo dual-radiotracer experiments in conscious rats, we showed that, contrary to the two-affinity-state model, the binding of [11C]-(+)-PHNO and the antagonist [3H]-raclopride were indistinguishably inhibited by D2 partial agonist (aripiprazole), indirect agonist (amphetamine) and full agonist ((-)-NPA) pretreatment. Furthermore, ex vivo [11C]-(+)-PHNO binding was unaffected by treatments that increase in vitro high-affinity state density (chronic amphetamine, ethanol-withdrawal), whereas unilateral 6-OHDA lesion, which increases total D2 receptor expression, similarly increased the ex vivo binding of [11C]-(+)-PHNO and [3H]-raclopride. These results do not support the in vivo validity of the two-affinity-state model, suggesting instead a single receptor state for [11C]-(+)-PHNO and [3H]-raclopride in conscious rat. Importantly, we also demonstrated that the increased amphetamine-sensitivity of the agonist radiotracers [11C]-(+)-PHNO and [11C]-(-)-NPA, commonly seen in isoflurane-anaesthetized animals and cited as evidence for the two-affinity-state model, is due to the confounding effects of anaesthesia.
Using in vitro and ex vivo autoradiography in rat and the D3 receptor-selective drug SB277011, we found that [3H]-(+)-PHNO binding in striatum and cerebellum lobes 9 and 10 was due exclusively to D2 and D3 receptor binding, respectively, but in other extra-striatal regions to a mix of the two receptor subtypes. Surprisingly, the D3 contribution to [3H]-(+)-PHNO binding was greater ex vivo than in vitro. Also surprising, several antipsychotic drugs, at doses producing 80% D2 occupancy, produced insignificant (olanzapine, risperidone, haloperidol) or small (clozapine, ~35%) D3 occupancy, despite similarly occupying both receptor subtypes in vitro. These data reveal a significant discrepancy between in vitro and ex vivo measures of dopamine receptor binding and suggest that the D3 occupancy is not necessary for the therapeutic effect of antispychotic drugs.
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L'impact de la commotion cérébrale d'origine sportive sur la capacité d'imagerie mentale visuelle d'athlètesCharbonneau, Yves 06 1900 (has links)
Les études sont mitigées sur les séquelles cognitives des commotions cérébrales, certaines suggèrent qu’elles se résorbent rapidement tandis que d’autres indiquent qu’elles persistent dans le temps. Par contre, aucunes données n’existent pour indiquer si une tâche cognitive comme l’imagerie mentale visuelle fait ressortir des séquelles à la suite d’une commotion cérébrale. Ainsi, la présente étude a pour objet d’évaluer l’effet des commotions cérébrales d’origine sportive sur la capacité d’imagerie mentale visuelle d’objets et d’imagerie spatiale des athlètes. Afin de répondre à cet objectif, nous comparons les capacités d’imagerie mentale chez des joueurs de football masculins de calibre universitaire sans historique répertorié de commotions cérébrales (n=15) et chez un second groupe d’athlète ayant été victime d’au moins une commotion cérébrale (n=15). Notre hypothèse est que les athlètes non-commotionnés ont une meilleure imagerie mentale que les athlètes commotionnés. Les résultats infirment notre hypothèse. Les athlètes commotionnés performent aussi bien que les athlètes non-commotionnés aux trois tests suivants : Paper Folding Test (PFT), Visual Object Identification Task (VOIT) et Vividness of Visual Imagery Questionnaire (VVIQ). De plus, ni le nombre de commotions cérébrales ni le temps écoulé depuis la dernière commotion cérébrale n’influent sur la performance des athlètes commotionnés. / The research is mitigated on the cognitive after-effects of a concussion. Some studies suggest the effects disappear rapidly whereas others observe a continuation in their manifestation. However, no research has been done to indicate whether a cognitive task like mental imagery brings out these effects following a concussion. This study will evaluate the effects of sport-related concussions on object and spatial visual mental imagery of athletes. To achieve this goal, we compare the mental imagery capacity between two groups of male football athletes of University level. The first group (n=15) with no history of concussions and the second group (n=15) with one or more concussions. We hypothesize that the non-concussed athletes visualize better than the concussed athletes. Our results invalidate our hypothesis. Both groups have similar results on the three following measures: Paper Folding Test (PFT), Visual Object Identification Task (VOIT) and Vividness of Visual Imagery Questionnaire (VVIQ). Furthermore, the quantity of concussions and the time past since the last concussion seems to have no impact on the visual mental imagery performance of concussed athletes.
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