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Postures et impostures du juspositivisme : une histoire critique de la notion de positivisme juridique dans la littérature savante anglo-saxonne, XIXe-XXe siècles

Hardy, Hugo 18 April 2018 (has links)
Cette thèse porte sur un courant de pensée en théorie du droit appelé le positivisme juridique. Dans la littérature savante anglo-saxonne, on définit généralement le positivisme juridique (legal positivism) comme une tradition fondée au XIXe siècle par le philosophe anglais Jeremy Bentham sur le principe d'une séparation nette entre « le droit tel qu'il est » et « le droit tel qu'il devrait être », en opposition avec les doctrines du droit naturel, et dont les juristes Hans Kelsen et Herbert Hart seraient les héritiers au XXe siècle. Cette thèse entend démontrer qu'il n'existe pas de telle tradition et que ce mythe d'une école de pensée juridique fondée sur le principe d'une séparation entre être et devoir-être est l'effet de la quête de reconnaissance institutionnelle des juristes-chercheurs aux États-Unis à partir des années 1920. C'est dans ce contexte de débats disciplinaires et méthodologiques que la notion de positivisme juridique a été forgée, et c'est à tort qu'on s'est ensuite mis à l'employer, jusqu'à nos jours, comme catégorie de l'histoire de la pensée juridique.
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Historique de la Faculté des Arts de l'Université Laval, 1852-1902

Provost, Honorius 25 April 2018 (has links)
Dans le langage académique, les facultés d'une université correspondent aux maîtresses branches de l'enseignement supérieur qu'on y dispense. Les professeurs et élèves affectés à chacune de ces branches constituent telle faculté en particulier. C'est du moins le sens métonymique de ce terme, en français. Car, selon le sens traditionnel, et les Anglais y sont restés plus fidèles, la faculté désigne seulement le corps professoral. Chaque faculté a son conseil ou bureau de direction, dont le président s'appelle doyen. La faculté jouit ainsi d'une certaine autonomie: elle a sa régie interne, ses règlements, ses responsabilités; elle est une petite université dans la grande. Deux ou trois facultés au moins sont nécessaires pour constituer une université, laquelle, d'ailleurs, ne peut être légalement fondée qu'au moyen d'une charte octroyée par les autorités compétentes. L'Université Laval comprend maintenant onze facultés distinctes. Mais, à sa fondation et pendant longtemps, elle en eut seulement quatre. La Faculté des Arts était du nombre. C'est de celle-ci que nous avons entrepris de raconter le premier demi-siècle d'existence. Les seules sources de première main qui ont été mises à contribution sont celles que contiennent les précieuses archives du Séminaire de Québec et de l'Université Laval. Elles suffisaient, d'ailleurs, étant donné la circonscription du sujet. Il ne s'agissait pas de faire l'histoire, même en abrégé, de chacun des collèges affiliés qui constituent, en un sens, la Faculté des Arts. C'est plutôt du lien moral établi entre eux et l'Université qu'il s'agissait, de la coordination des efforts communs pour le progrès de l'enseignement secondaire et sa plus grande adaptation aux exigences de l'enseignement supérieur qui en est le débouché. Pendant plus de cinquante ans, la Faculté des Arts n'a guère été qu'une commission de contrôle des études en vue de l'obtention du diplôme de baccalauréat; et toutes ses opérations étaient polarisées dans ce sens. Ce n'était pas de l'enseignement supérieur. Ce n'était même pas la voie obligée pour y conduire; car, l'Université devait reconnaître, en plus de ses propres diplômes de baccalauréat es arts et d'inscription, des brevets obtenus en dehors de son contrôle, pour l'admission à l'étude des carrières libérales. On conçoit donc combien étaient ingrates les conditions de travail, quel dévouement, quel tact il fallait déployer. Les maîtres éducateurs de ce temps-là avaient besoin d'une trempe surhumaine, si l'on tient compte, en plus, des oppositions tantôt ouvertes, tantôt sournoises, auxquelles ils eurent à faire face. C'est donc dire que la Faculté des Arts n'a pas conquis sans lutte les franchises et le prestige dont elle s'auréole aujourd'hui. Son plus grand mérite a été d'obtenir l'uniformité et une coopération presque parfaite, quant aux normes de l'enseignement secondaire, au Canada français, entre des institutions d'origines et de mentalités souvent divergentes. Le fait que ces institutions furent presque toujours sous la direction exclusive du clergé n'a pas été autant qu'on pourrait croire un facteur d'union et de bonne entente. Sans dénigrer à plaisir, il faut bien admettre que les cercles ecclésiastiques canadiens, durant presque tout le XIXème siècle et même le début du XXème, ne furent pas toujours édifiants de calme et de fraternité. C'est au travers et à l'encontre d'une foule de mesquineries de clocher, de susceptibilités, de polémiques virulentes, parfois entre personnages de premier rang, que l'Université Laval a réussi à se faire accepter. Et ce ne fut pas sans voir arracher un jour de son giron une progéniture formée du meilleur de son sang, engendrée Dieu sait au prix de quelles angoisses et qui lui paraissait encore si peu viable par elle-même. Sait-on ce qu'on inflige à une mère, quand on lui arrache son enfant? La séparation finale, par le haut, entre l'Université Laval et sa Succursale de Montréal, en 1922, a entraîné, dans la Faculté des Arts, le départ de la moitié des collèges affiliés, passés sous le contrôle de la nouvelle Université de Montréal. Mais les places restées vides, à Québec, ont été graduellement comblées par autant et plus de nouveaux collèges, masculins ou féminins, affiliés subséquemment. C'est aussi dans cette période récente que la Faculté des Arts, engagée de plus en plus dans certaines branches de l'enseignement supérieur spécialisé, a vu craquer ses cadres devenus trop étroits, pour accorder existence et autonomie à toutes les facultés plus récentes, sauf celle du Droit canonique. Ainsi donc, la Faculté des Arts, partie de plus bas, a été la plus féconde des facultés primitives de Laval. Et, sans s'être épuisée pour autant, elle continue d'étendre son champ d'action dans les domaines qui lui sont dévolus. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Quebec city, 1765-1831 : the evolution of a colonial town

Ruddell, David Terence 25 April 2018 (has links)
L'impérialisme britannique a modifié les structures urbaines de Québec à un point tel que les habitants de l'ancienne ville française vivaient en 1820 dans un environnement largement britannique. Une population peu nombreuse et fragile de même qu'une économie rurale faible ont aidés les nouveaux maîtres coloniaux à prendre rapidement le contrôle de la ville. La ville de Québec est devenue britannique en raison du Changement politique d'abord, mais c'est davantage à cause du contrôle exercé par les anglophones tant sur le gouvernement civil et militaire que sur l'économie. Le pouvoir politique et économique des marchands britanniques a augmenté graduellement, atteignant son point culminant vers 1825 avec l'essor du commerce du bois. Ce pouvoir a donné aux marchandas anglophones la possibilité de dominer la plupart des secteurs de la vie urbaine, y compris la politique locale et les services municipaux. Ils ont même pu influencer le pouvoir religieux de l'église canadienne. Par exemple, c'est à cause de l'importance de l'économie impériale que les juges de paix locaux ont pus mettre en place un système de règlements britanniques qui facilitait la tâche des anglophones dans divers secteurs de l'économie et du gouvernement. Quand le pouvoir impérial s'impose dans une situation où la population est fragile et l'économie locale faible, l'influence est très profonde; elle affecte autant l'orientation générale de la ville que les mœurs des individus. La transformation des habitudes socio-culturelles suscite toute une gamme de réponses de la part de la population qui témoigne à la fois de son désir de préserver ses traditions et de profiter des changements. L'impérialisme britannique a commencé dès 1760 à modifier la situation de l'élite française et canadienne d'abord, mais vers I860, son influence s'étendait à toute la population de la région de Québec. C'est en grande partie à cause de la dépendance de la ville de Québec des structures coloniales que ses habitants étaient incapables de s'adapter aux changements survenus vers 1860, lorsque la ville commence sa période de déclin. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Transitions et reflets de société dans la prise en charge de la maternité hors-norme : l'exemple de l'Hospice Saint-Joseph de la Maternité de Québec, 1852-1876

Gagnon, France 11 April 2018 (has links)
Ce mémoire a pour but l'analyse des caractéristiques socio-économiques des filles-mères (âge, métiers, origines sociale, géographique, religieuse...), et des comportements vécus (séjours, destins à la sortie) à l'Hospice Saint-Joseph de la Maternité de Québec dans les années 1852-1876. La prise en charge de la maternité hors-norme, les mentalités concernant la place de la femme et celle de l'enfant, les normes entourant la sexualité, subissent des changements qui reflètent le contexte de transition qui prend place au Québec à cette époque. Le traitement qualitatif et sériel, par support informatique, des registres des pensionnaires ainsi que des registres des enfants trouvés, de même que des divers documents émanant de l'Hospice Saint-joseph, a permis de mettre au jour le paradoxe vécu par les filles-mères dans une société où la définition de la féminité devient plus rigide et contredit en partie la réalité des femmes. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La vision du monde dans l'oeuvre de Pierre la Gorce

Gervais, Jean-Francis 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Le Collège-de-Sainte-Anne au temps de l'abbé François Pilote : les conflits du personnel enseignant

Gagnon, Serge 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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La réaction de l'épiscopat québécois à l'industrialisation de la presse, 1884-1914

Guérin, Andréanne 11 April 2018 (has links)
Dans le Québec de la fui du XIXe siècle, l'Église catholique règle le rythme de la vie d'une majorité de la population québécoise. L'épiscopat détient une force d'influence très puissante sur la société. Dans le domaine des communications, la période est marquée par le passage de la presse d'opinion à la presse d'information, alors que le journal se transforme en une entreprise de presse et que la nouvelle sensationnaliste remplace le débat d'idées du journal traditionnel. L'émergence d'un nouveau genre de journal à même d'influencer une large part de la population du Québec ne laisse pas l'épiscopat indifférent et entraîne une redéfinition des rapports entre les évêques et les éditeurs. L'étude de la correspondance privée des évêques sur le thème de la presse révèle la perception qu'ont les prélats de ces transformations ainsi que les actions qu'ils entreprennent pour endiguer la vague de l'influence des journaux à grand tirage.
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La mixité culturelle au sein des élites québécoises au XIXe siècle : l'exemple de la famille Marchand, 1791-1900

Tremblay, Alex 20 April 2018 (has links)
Ce mémoire met en lumière la mixité culturelle au sein des élites québécoises entre 1791 et 1900 en se penchant sur une de ses dimensions les plus intimes : la famille. En nous penchant sur l’exemple de la famille de l’ancien premier ministre Félix-Gabriel Marchand, nous montrons que ces couples s’inscrivent dans les mêmes stratégies de reproduction sociale que les élites endogames. Toutefois, la mixité les amène à revoir les structures familiales et à adopter une culture mixte qui n’est pas très éloignée de chacun des deux milieux. En effet, les élites partagent une culture commune tout en ayant leurs particularités à cette époque. En nous appuyant essentiellement sur la correspondance de cette famille et, dans une moindre mesure, sur le journal intime de Joséphine Marchand, nous montrons également que les enfants nés de ces unions adoptent rapidement la culture d’un des deux parents – dans ce cas-ci, celle du père. Cependant, cela ne les empêche pas de conserver une plus grande ouverture au groupe ethnolinguistique duquel est issu leur second parent et de s’imposer comme un pont entre ces deux communautés.
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L'influence qu'exercent certains rôles d'opéra français romantique, requérant à la fois plusieurs types différents de voix de soprano, sur le développement vocal de l'interprète

Latouche, Jessica 27 March 2023 (has links)
Plusieurs opéras français de l'époque romantique comportent des rôles pour soprano possédant un registre particulièrement étendu, requérant aussi de l'agilité, de la puissance et une largeur. Pensons ici aux rôles de Juliette (Roméo et Juliette, Charles Gounod), Marguerite (Faust, Charles Gounod), Manon (Manon, Jules Massenet), Louise (Louise, Gustave Charpentier), Leila (Les pêcheurs de perles, Georges Bizet), ou même Olympia, Stella, Antonia et Giulietta (Les Contes d'Hoffmann, Jacques Offenbach), qui ont tous été composés à l'origine pour une seule et même interprète. Dans ces opéras, le personnage évolue en même temps qu'une orchestration de plus en plus intense. Ces rôles ont un principal point en commun : ils demandent une grande souplesse, mais également une puissance pour surpasser un orchestre parfois très étoffé avec une ligne vocale dramatique et grave, tout en gardant la brillance. Ainsi, une partie de ces rôles pourrait être soutenue par une voix légère, et l'autre partie par une voix large. Malgré certaines croyances, seules certaines sopranos sont en mesure d'interpréter ces grands rôles. Ayant les deux facettes dans ma voix, je me suis dirigée vers ce répertoire tout destiné pour mon type de voix. J'ai donc appris et travaillé quatre rôles de l'opéra français de l'ère romantique, soient Marguerite (Faust, C. Gounod), Leila (Les pêcheurs de perles, G. Bizet), Juliette (Roméo et Juliette, C. Gounod) et Manon (Manon, J. Massenet). Dans cette recherche, je me suis fiée à mon expérience personnelle ainsi qu'à celle d'interprètes et de chefs d'orchestre de renommée internationale afin de recueillir des données pour répondre à la question "Comment développer les caractéristiques vocales nécessaires pour une interprète qui désire chanter les rôles de soprano français romantiques qui requièrent plusieurs types de voix différents?" Par cette recherche, j'ai tenté de répondre à cette question, tout en trouvant des réponses auxquelles je ne m'attendais pas... le but direct étant d'interpréter ces rôles de la façon la plus rapprochée de ce qu'aurait désiré le compositeur. / Several French operas of the Romantic period which we find roles for a type of soprano voice with a particularly extensive register, also requiring agility, but also power and width. Think here of Juliette (Roméo et Juliette, Charles Gounod), Marguerite (Faust, Charles Gounod), Manon (Manon, Jules Massenet), Louise (Louise, Gustave Charpentier), Leila (Les pêcheurs de perles, Georges Bizet), or even Olympia, Stella, Antonia, and Giulietta (Contes d'Hoffmann, Jacques Offenbach), all of which were originally composed for the same performer. In these operas, the character evolves at the same time as an increasingly intense orchestration. These roles have one main point in common: they require both a great flexibility, but also a power to surpass an orchestra sometimes very rich with a dramatic and low vocal line, while keeping the brilliance. Thus, one part of these roles could be supported by a light voice, and the other part by a wide voice. Despite certain beliefs, only certain sopranos are able to interpret these great roles. Having both facets in my voice, I turned to this repertoire, which was designed for my type of voice. I therefore learned and worked on four roles from French opera of the romantic era, namely Marguerite (Faust, C. Gounod), Leila (Les pêcheurs de perles, G. Bizet), Juliette (Roméo et Juliette, C. Gounod) and Manon (Manon, J. Massenet).In this research, I relied on my personal experience as well as that of internationally renowned performers and conductors to gather data to answer the question, "How is it possible to develop the vocal characteristics necessary for a performer who wishes to sing the romantic French soprano roles that require many different voice types?" Through this research, I attempted to answer this question, while finding answers that I did not expect...the direct goal being to perform these roles as close to what the composer would have desired.
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Le libéralisme de Jean-Baptiste-Eric Dorion

Carrier, Maurice 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012

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