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Quantity and reality : the bases of an Aristotelian mathematical philosophyHennessey, Richard E. 25 November 2024 (has links)
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La distinction aristotélicienne entre l'acte et la puissance chez Leibniz (1690-1698)Latour, Annick January 1996 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le rôle du doute dans la méthode d'AristoteSauder, Kathleen Kraychy 27 November 2024 (has links)
L'une des principales causes qui nous empêchent de bien comprendre la pensée des philosophes du passé réside assurément dans la question de leur méthode. Quand il s'agit d'Aristote, pour qui la méthode est primordiale, toute défaillance dans la compréhension de ce qu'il fait et de la nature exacte de la méthode qu'il utilise est fatale et mène à une incompréhension de sa philosophie. Il est bien connu que depuis quelques siècles, la logique du Stagirite a subi des déformations radicales que seul un retour aux sources pourrait rectifier; mais d'autres aspects de sa méthode ont eux aussi subi des interprétations peu conformes à la pensée la plus authentiquement aristotélicienne. Parmi ces principes de méthode aucun ne nous paraît aussi digne d'être rétabli à sa place légitime que celui du rôle du doute, et cela pour deux raisons: premièrement, certains penseurs prétendent que le doute ne joue aucun rôle chez Aristote (du moins, aucun rôle vraiment important). Deuxièmement, on peut confondre le doute, tel que préconisé par Descartes ou par d'autres philosophes modernes, avec celui d'Aristote. Notre recherche part de ce texte crucial de la Métaphysique (B, 1) où Aristote affirme que «la conclusion définitive et satisfaisante qu'on obtient n'est que la solution des doutes qu'on avait tout d'abord soulevés.» Afin de comprendre la pleine portée de ce texte, nous avons commencé par examiner la nature de l'étonnement, principe de la recherche philosophique. Dans un deuxième temps, nous avons scruté les différentes sortes de certitude. Dans le troisième chapitre, nous nous sommes tournée vers l'investigation du doute lui-même. D'abord, les mots «problème», «doute» et «objection» se sont vus clarifiés; ensuite, la notion du doute a été examinée, surtout par rapport à l'étonnement, duquel elle diffère surtout en ce que l'étonnement est naturel, tandis que le doute est produit par notre esprit en considération des difficultés que présente un problème. Puisque c'est par la dialectique qu'on arrive aux problèmes qui donnent lieu au doute, le quatrième chapitre est consacré à la dialectique comme façon de soulever des doutes. Le dernier chapitre considère l'usage qu'avait fait Aristote du doute dans les différentes parties de sa philosophie, afin de montrer que cet usage est conforme aux principes qu'il a énoncés.
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La philautia chez AristoteRochefort, Joane 21 January 2022 (has links)
La philautia surgit grâce au «problème de l'autre». L'importance de la présence affective de Vautre dans le temps rivalise aujourd'hui avec une vie dans l'instant, comme si tout était toujours la première fois, comme si l'immédiat sensible annihilait toute mémoire. Au cœur de ce besoin illusoire de nouveauté constante et de cette exclusion affective, il y a la domination des sens sur l'intelligence. Et comme conséquence, un manque de l'affectivité du soi avec l'autre dans une vie relationnelle stable et durable. Mais la qualité de la relation à l'autre dépend de la relation du soi à soi-même. Davantage, l'amour de soi est au fondement de l'amour de l'autre. La possession du bien en l'âme les dévoile, car elle est ce par quoi s'organise la relation du soi à soi-même, et de ce fait même, elle est ce par quoi s'organisent la relation à l'autre et toutes les activités humaines.
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La magnanimitéNadeau, Jean, Nadeau, Jean. 27 November 2024 (has links)
La présente thèse se propose d'examiner et d'illustrer la vertu de magnanimité en s'appuyant principalement sur l'Ethique à Nicomaque d'Aristote et sur le commentaire qu'en fit s. Thomas d'Aquin. A partir de réactions fort opposées qu'avait suscitées la description de cette vertu, nous avons indiqué dans l'introduction, outre les buts visés et la méthode employée, les diverses étapes que nous entendions franchir. D'abord nous avons porté notre examen sur l'honneur en tant qu'il constitue la matière de la magnanimité ; nous avons dégagé les significations qu'il revêt depuis les temps aristocratiques jusqu'à nos jours pour nous tourner ensuite vers sa nature véritable, les éléments qui le composent, ce qui le distingue de la louange et de la gloire. Ensuite, dans le chapitre suivant, nous avons abordé les tout premiers traits que le Philosophe trace du magnanime: le magnanime se juge digne et de grandes choses et de grands honneurs. Ce faisant, nous avons, d'une part, fait ressortir le discernement et les conditions que doit rencontrer celui qui prétend à de grandes choses; nous avons fait ressortir les vices qui s'y opposent avec les facteurs qui les font naître ou qui les accompagnent; nous avons insisté sur quelques exemples, afin de montrer à quel point le magnanime ne craint pas d'affirmer la pleine conscience qu'il a de sa valeur. D'autre part, nous avons montré, en conformité avec ses grandes aspirations et le sentiment de sa valeur, comment le magnanime aspire non seulement aux grands honneurs, mais encore à ceux qu'on accorde en récompense pour une grande vertu. L'ambition qui s'y oppose avec ses funestes effets, l'importance que revêt l'honneur vis-à-vis les autres biens et vis-à-vis le bonheur, les récompenses accordées au chef d'Etat et les séquelles d'une poursuite exclusive de la gloire sont autant d'éléments qui ont permis d'éclairer les visées et les prétentions du magnanime. Suit une analyse du comportement de ce dernier en ce qui a trait aux honneurs et aux richesses. Nous avons mis l'accent sur son dédain et sur sa négligence à l'égard de tout ce qui importe aux autres hommes, sur son attitude face aux honneurs petits et grands, sur son égoïsme de bon aloi, sur ses réactions devant les injustices subies et devant les caprices de la fortune, sur sa modération devant ses réussites ou ses échecs, sur son peu d'empressement et son peu d'admiration, sur les biens, enfin, qui l'inclinent à agir avec promptitude. Au chapitre quatrième, il s'agit de la spécificité de la vertu de magnanimité, de sa dépendance et de son rôle à l'égard des autres vertus, de sa ressemblance avec la magnificence, de l'importance des biens extérieurs pour le meilleur exercice de la grandeur d'âme, des traits inusités de la générosité du magnanime et des motifs qui l'incitent à pareil comportement. A l'avant-dernier chapitre, nous avons tenté de dissiper l'impression d'avoir à assister davantage aux manifestations du vice qu'à celles de la vertu. Cette impression repose, pensons-nous, sur trois facteurs: la personnalité du magnanime, qui répond aux exigences de son naturel et à celles de sa vertu; l'influence qu'exerce le christianisme, qui incline certains à considérer la conduite du magnanime comme empreinte d'un orgueil méprisant; l'influence prépondérante de l'esprit démocratique. Le dernier chapitre traite de la vertu de force, de sa nature et des conditions de sa réalisation, pour faire ressortir le courage singulier du magnanime, les dangers qu'il affronte et les motifs qui l'aiguillonnent, l'espoir qui l'anime, la confiance et la persévérance qui lui donnent sa vertu propre. En conclusion, nous avons avancé l'idée que la magnanimité, en tant que vertu morale, se retrouvait d'abord chez ceux qui vaquaient aux affaires militaires et politiques, pour se retrouver ensuite chez ceux qui s'adonnent à la vie spéculative tant celle-ci exige de la grandeur d'âme de quiconque s'y consacre.
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La question de la vertu-science chez Platon et AristoteDoyon, Pierre, Doyon, Pierre 25 November 2024 (has links)
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La notion de proposition chez les logiciens arabes au Moyen ÂgeMoursli, Mohamed 07 February 2022 (has links)
Dans l'histoire générale de la logique, l'étape que constituent les travaux des logiciens arabes du Moyen Âge demeure en grande partie encore aujourd'hui terra incognita (Rescher, 1963). Portant sur la notion de proposition chez ces auteurs, la thèse se veut une contribution à l'exploration de cette étape importante du développement de la logique. Dans une première partie, on y trouve un exposé analytique de leur théorie de la signification. Une deuxième partie examine l'enseignement particulier des commentateurs arabes d'Aristote à propos des parties intégrales de la proposition. Une troisième et dernière partie, enfin, analyse les diverses définitions de la proposition que l'on trouve dans les écrits de cette époque. Les résultats de cette recherche tendent à montrer que la logique arabe, du moins pour le sujet et l'époque étudiés, même si elle a sa source chez Aristote, n'en demeure pas moins très fortement influencée dans son développement par le contexte général de la pensée arabo-musulmane, contexte dominé par la langue arabe (et sa grammaire) et la religion islamique (et son texte sacré, le Coran).
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La théorie platonicienne des idées et sa critique par AristoteLacroix, Francis 20 April 2018 (has links)
Ce mémoire a d’abord pour but de présenter la théorie platonicienne des Idées, pour ensuite évaluer si, et le cas échéant dans quelle mesure, sa critique par Aristote est justifiée. À cette fin, nous avons tenté de bien comprendre la théorie des Idées à travers les différents dialogues de Platon. Nous avons par la suite identifié certaines critiques qu’Aristote a adressées à son maître en Métaphysique A, et évalué chacune d’entre elles en tentant d’offrir une réponse appropriée à partir des dialogues de Platon. Nous concluons de ce débat entourant la théorie des Idées qu’il faut maintenir l’hypothèse des Idées, malgré les difficultés considérables qu’elles laissent subsister.
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Poésie et prudence : beaux-arts et morale selon Aristote et Thomas d'AquinRioux, David B., Rioux, David B. 22 November 2024 (has links)
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La France et la construction européenne : de la souveraineté à la subsidiarité Vers un changement de paradigme ? / The French state and the European construction process : from sovereignty to subsidiarity. A paradigm shift ?Salabert, Edouard 01 July 2014 (has links)
Au premier abord, la subsidiarité s’opposerait à la souveraineté. Si les mots et les concepts ont un sens, ils ont également une histoire. Ainsi faut-il souligner que l’environnement dans lequel a pu éclore la théorie de la subsidiarité aura pu, entre autres, influencer le principe inscrit en droit de l’Union européenne. Dès leurs origines, il appert que de profondes divergences imprègnent le binôme subsidiarité/souveraineté. Divergences d’abord, de théories qui éloignent et marquent profondément les deux concepts étudiés ; divergences ensuite, de logiques qui sont insufflées de part et d’autre au sein de la construction européenne. Ces contradictions mises à jour, il devient possible de trouver des zones de convergences entre ces deux pôles conceptuels. Convergences d’abord, qui font la promotion de la figure et de la sphère de l’Etat par la réintroduction et la réapparition de la souveraineté étatique ; convergences ensuite, qui déterminent les frontières – malléables – des pouvoirs à l’intérieur desquelles chaque échelon conduit et développe ses propres sphères de compétences / At first sight, subsidiarity would be opposed to sovereignty. If the relevant words and the concept meaning make sense, they have also a history. So we must emphasize that the environment in which appeared the theory of the subsidiarity might have influence, among others, the principle of subsidiarity such as registered in the European Union law. Since their origins, profound differences appear which imbued the subsidiarity/sovereignty combination. First, different theories putting at a distance and deeply impressing the two concepts discussed. Then divergences, which are infused logic from both sides within the European construction. These contradictions updated, it becomes possible to find areas of convergences between these two concept poles. Convergences initially, which promote the figure and the sphere of the State by the reintroduction and the reappearance of the official sovereignty; then convergences, which determine the frontiers – pliables ones – powers inside which each level leads and develops its own spheres of competence
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