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L'adaptation des agriculteurs vivriers du Sénégal au changement climatique : cas de la communauté rurale de Sessène

Fabre, Coline C. 10 1900 (has links)
Le Sénégal est situé dans une zone soudano-sahélienne particulièrement exposée aux changements du climat, ce dernier rendant l’agriculture, activité principale du pays, précaire. La modification des conditions climatiques, en particulier depuis la fin des années 1960, a fortement affaibli le secteur agricole, majoritairement vivrier et pluvial. Face à l’importance de l’activité agraire vivrière du pays, il apparaît primordial de savoir comment les agriculteurs vivriers du Sénégal ont modifié ou prévoit modifier leurs pratiques en vue de satisfaire leurs besoins alimentaires dans un contexte de changement et de variabilité du climat. Cette étude a été effectuée au sein de la communauté rurale de Sessène selon une approche qualitative et à l’aide d’entretiens, de l’observation participante et d’analyse phénoménologique. Elle a permis de mettre en avant les caractéristiques générales des familles agraires et des exploitations de cette zone, de montrer comment les agriculteurs ont vécu le changement climatique et comment ils envisagent les prochaines années et enfin de discuter de leur capacité d’adaptation. Face au raccourcissement de la saison des pluies, à la diminution des précipitations, à l’intensification des évènements extrêmes et aux impacts de ces modifications sur l’environnement naturel, les agriculteurs vivriers adoptent des mesures aussi bien techniques que socio-économiques. / Senegal is located in a sudano-sahelian region vulnerable to climate change that renders agriculture, the country's main activity, precarious. In fact, changing climate conditions, particularly since the late 1960s, have considerably weakened the agricultural sector, which is mostly subsistence and pluvial in nature. Because of the importance of the country’s subsistence agriculture, it is imperative to know how subsistence farmers in Senegal have changed or will change their practices in order to satisfy their nutritional requirements in the context of climate change and variability. This study was undertaken in the rural community of Sessène using a qualitative approach composed on interviews, participant observation and phenomenological analysis. The research revealed the general characteristics of the agrarian families and farms, demonstrated how farmers dealt with climate change in the recent past and how they envisage doing so in the next few years, all aimed at contributing to a discussion of their adaptive capacity. In response to the shortening of the rainy season, the decrease in rainfall, the increased frequency of extreme events and the impacts of these changes on the natural environment, subsistence farmers are adopting both technical and socio-economic measures.
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L'adaptation des agriculteurs vivriers du Sénégal au changement climatique : cas de la communauté rurale de Sessène

Fabre, Coline C. 10 1900 (has links)
Le Sénégal est situé dans une zone soudano-sahélienne particulièrement exposée aux changements du climat, ce dernier rendant l’agriculture, activité principale du pays, précaire. La modification des conditions climatiques, en particulier depuis la fin des années 1960, a fortement affaibli le secteur agricole, majoritairement vivrier et pluvial. Face à l’importance de l’activité agraire vivrière du pays, il apparaît primordial de savoir comment les agriculteurs vivriers du Sénégal ont modifié ou prévoit modifier leurs pratiques en vue de satisfaire leurs besoins alimentaires dans un contexte de changement et de variabilité du climat. Cette étude a été effectuée au sein de la communauté rurale de Sessène selon une approche qualitative et à l’aide d’entretiens, de l’observation participante et d’analyse phénoménologique. Elle a permis de mettre en avant les caractéristiques générales des familles agraires et des exploitations de cette zone, de montrer comment les agriculteurs ont vécu le changement climatique et comment ils envisagent les prochaines années et enfin de discuter de leur capacité d’adaptation. Face au raccourcissement de la saison des pluies, à la diminution des précipitations, à l’intensification des évènements extrêmes et aux impacts de ces modifications sur l’environnement naturel, les agriculteurs vivriers adoptent des mesures aussi bien techniques que socio-économiques. / Senegal is located in a sudano-sahelian region vulnerable to climate change that renders agriculture, the country's main activity, precarious. In fact, changing climate conditions, particularly since the late 1960s, have considerably weakened the agricultural sector, which is mostly subsistence and pluvial in nature. Because of the importance of the country’s subsistence agriculture, it is imperative to know how subsistence farmers in Senegal have changed or will change their practices in order to satisfy their nutritional requirements in the context of climate change and variability. This study was undertaken in the rural community of Sessène using a qualitative approach composed on interviews, participant observation and phenomenological analysis. The research revealed the general characteristics of the agrarian families and farms, demonstrated how farmers dealt with climate change in the recent past and how they envisage doing so in the next few years, all aimed at contributing to a discussion of their adaptive capacity. In response to the shortening of the rainy season, the decrease in rainfall, the increased frequency of extreme events and the impacts of these changes on the natural environment, subsistence farmers are adopting both technical and socio-economic measures.
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Le vivrier marchand dans la lutte contre la pauvreté des ménages en milieu rural : le cas du département de la Mvila dans le sud du Cameroun / Food-producing trade in the struggle against poverty of the households in rural areas : the case of the Mvila department in south of Cameroon

Ebela, Amélie Philomène 29 June 2017 (has links)
Ce travail aborde l’enjeu du vivrier marchand dans la lutte contre la pauvreté des ménages dans l’espace rural du département de la Mvila. L’agriculture vivrière est encore pratiquée par plus de 80% de la population active dans les villages de la Mvila. Pendant longtemps, les cultures vivrières sont exclusivement autoconsommées dans la cellule familiale. Aujourd’hui, s’il est vrai qu’une grande partie de leur production est encore destinée à cette fin, quelques ménages font progressivement du vivrier marchand une réelle ressource économique. L’augmentation de la commercialisation vivrière est souvent une réponse à la baisse du pouvoir d’achat de nombreux ménages agricoles ou à la croissance de la population urbaine non agricole. Cependant, indépendamment des motivations qui guident le choix du vivrier marchand, il semble souvent une opportunité financière qui peut contribuer à l’amélioration des conditions de vie dans les villages. Depuis 1960, l’État multiplie des tentatives visant à réduire les stéréotypes qui associent exclusivement l’agriculture vivrière à l’autoconsommation. Après la crise agricole de la fin des années 1980, la relance de la promotion du vivrier marchand s’intensifie. Pour atteindre cet objectif, il s’ensuit la légalisation des GIC et le financement de divers programmes de subventionnement et d’accompagnement des producteurs. Pourtant, dans les villages du département de la Mvila, la commercialisation vivrière évolue timidement. Et pour beaucoup de ménages, le vivrier marchand reste une source de revenus accessoire. Par conséquent, de façon générale, la contribution de cette activité à la réduction de la pauvreté rurale est encore insuffisante. De nombreuses raisons permettent de comprendre l’insuffisance des résultats de cette stratégie gouvernementale de lutte contre la pauvreté rurale. Il s’agit par exemple de la dépendance paysanne à la cacaoculture ou de la baisse des dynamiques des ménages ruraux autour de la commercialisation vivrière. Cette situation est aussi entretenue par l’absence de modernisation des appareils productifs et commerciaux des cultures vivrières. Un environnement qui entraîne une baisse des volumes, augmente les risques et diminue la rentabilité économique de cette activité. Et, malgré l’évidence de quelques dynamiques des organisations paysannes, l’ampleur des défis actuels restreint beaucoup la faisabilité des initiatives de lutte contre la pauvreté des ménages ruraux avec le vivrier marchand. / This research examines the role of food-producing trade in fighting against poverty in the rural households of Mvila division in Cameroon. Subsistence agriculture appears to be the principal production activity in the target villages 80% of the active population interviewed is involved in such activities. For a long time, self-consumption has been the main orientation of crop production. However, food-producing trade has gained a lot of economic importance these last years. By so doing farmers find alternative income source after cocoa price has dropped while the urban population, not involved in agriculture, has significantly increased. Regardless of the motivations behind the choice of farmers, food-producing trade leads to income diversification and financial power aiming at improving the living conditions of rural people. Since 1960, the central government of Cameroon has been trying to change believes that restrict food crop production to self-consumption in the households. The crucial economic crisis associated with agricultural export products led to Food-producing trade intensification. This objective has been accompanied by Common Group Initiative (CGI) encouragement and other financing subsidy bodies in the rural areas. It is however worthy noticing that, the villages of Mvila division are far to emerge in income generating activities as many households are still timid in adopting food-producing trade. Therefore, the contribution of such activities to poverty reduction is still insufficient. This kind of contradiction can be justified by several factors, including farmer dependence on cocoa farming or farmer fatigue on agriculture and marketing in general. This situation is also sustained by the lack of modernization of the productive and commercial food crop equipments. That global environment leads to decrease of agricultural production volumes and economic return while the risks increase in rural areas. Although some farmer organizations obtain good results, the scale of the current challenges greatly restricts the feasibility of rural households' poverty alleviation initiatives.
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La vie rurale en Syrie centrale à la période protobyzantine (IVe-VIIe siècle). / Rural life in Central Syria in the early Byzantine period (4th-7th century).

Rivoal, Marion 15 March 2011 (has links)
La Syrie centrale connaît au début de la période byzantine, et en particulier au Ve et au VIe siècle, un fort mouvement d’expansion des sédentaires vers l’est, qui coïncide avec une importante mise en valeur de ces nouveaux territoires. Comme pour d’autres régions de Syrie et du Proche-Orient à la même époque, un optimum climatique – pourtant déclinant – semble avoir permis la conquête et l’exploitation agricole de nouveaux terroirs dans une zone marginale qui n’avait jusqu’alors connu qu’une occupation sédentaire ponctuelle. La Syrie centrale est caractérisée par des milieux aux potentiels agronomiques très différents, souvent imbriqués. Le peuplement et la mise en valeur y sont soumis à la double contrainte de l’aridité climatique et édaphique, qui s’exerce avec une prégnance croissante vers le sud et l’est. Ces conditions, qui s’améliorent localement à la faveur de niches écologiques, ont permis à des politiques de mise en valeur et à des économies distinctes, souvent complémentaires, de voir le jour.Dans une région où les cités paraissent en grande partie absentes, l’économie repose d’abord sur les villages et sur quelques bourgs qui possédaient manifestement une orientation commerciale spécifique. Aux côtés des agglomérations, et souvent d’autant plus nombreux que les conditions d’implantation sont délicates, des fermes et des monastères s’affirment comme des acteurs économiques apparemment indépendants et souvent prospères. Des entités géographiques relativement homogènes ont donné lieu à une répartition des différentes formes de peuplement et à des économies microrégionales spécifiques. Si l’agriculture vivrière reste la règle, il semble bien cependant qu’on observe une spécialisation locale des productions : culture du blé et accessoirement plantations à l’ouest, oléiculture et peut-être viticulture dans les plateaux basaltiques du nord-ouest et vraisemblablement un élevage spéculatif, qu’on doit probablement attribuer à des populations sédentaires, dans les secteurs sud et est. / In Late Antiquity, especially between the 5th and 6th centuries, Central Syria witnessed a strong expansion of sedentary settlements eastward, which coincided with a significant agricultural development of these new territories. As for other areas in Syria and Near-East at the same period, a waning climatic optimum seems to have allowed byzantine population to settle down in marginal areas which barely experienced hitherto sedentary occupation and farm nearly unbroken lands.Central Syria is made up of various landscapes, sometimes deeply nested, with contrasted agricultural potential. Settlements and agricultural exploitation are affected by an increasingly significant climatic and edaphic aridity eastward and southward. These conditions, which may locally improve thanks to ecological niches, enabled specific and often complementary substance strategies to develop.In a country whence cities are virtually absent, villages and a few market towns seem to be at the very root of the regional economy. Along with agglomerations, scattered habitats – namely farmsteads and monasteries –, more numerous under heavy bioclimatic constraints, would appear as independent and apparently prosperous economic players.Homogeneous geographic areas led to specific settlement patterns and different economic orientations. Food-producing agriculture remains the rule, but a local productive specialization may be noticed: mainly wheat production and incidentally plantations westward, olive-growing and maybe wine-growing as well in the north-west basaltic plateaus and presumably speculative livestock exploitation eastward and southward, probably mostly due to sedentary populations.

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