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Monotheismus und neuplatonische Philosophie : eine Untersuchung zum Pseudo-aristotelischen "Liber de causis" und dessen Rezeption durch Albert den Grossen /Bächli-Hinz, Andreas, January 1900 (has links)
Habilitationsschrift--Philosophisch-historische Fakultät--Universität Bern, 2001. / Bibliogr. p. 207-214.
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Die Lehre von Materie und Form nach Albert dem Großen : nach den Quellen bearbeitet /Fronober, Hugo. January 1909 (has links)
Inaug.-Diss.--hohen philosophischen Fakultät--Breslau--Königlichen universität, 1909. Titre de soutenance : Die Bedeutung Alberts des Großen für die christliche Philosophie des Mittelalters. / Notes bibliogr.
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La théorie du Fluxus chez Albert le Grand : principes philosophiques et applications théologiques : le De fluxu causatorum a causa prima et causarum ordine : introduction, texte, traduction, notes et commentaire / The theory of fluxus in Albert the Great's work : philosophical principales and theological implementation : the de fluxu causatorum a causa prima et causarum ordine : introduction, text, translation, notes and commentaryMilazzo, Sébastien 22 November 2007 (has links)
L'objet de cette étude concerne un langage de la procession et de la création trop longtemps oublié dans le contexte de la réception du néoplatonisme et de l’aristotélisme au XIIIe siècle : celui de fluxus, ou écoulement, chez Albert le Grand (1200-1280). Nous proposons ici la situation descriptive, historique et philosophique du texte dans lequel le Doctor universalis expose sa théorie du fluxus : le De fluxu causatorum a causa prima et causarum ordine, quatrième traité du De causis et processu universitatis a prima causa (1264-1267). La doxographie albertinienne, loin d'être une succession de digressiones ou encore de simples paraphrases des opiniones antiquorum, apparaît comme la formation d'une véritable conscience de l'histoire de la philosophie, de sa continuité et des ses ruptures. Plus encore, la doxographie albertinienne a pour fonction de répondre à des problématiques issues non seulement du passé mais aussi du monde contemporain de notre Doctor universalis : car, en effet, à travers la critique du panthéisme d'Hermès Trismégiste ou encore du matérialisme d'Ibn Gebirol, c’est bien l’horizon d’une critique du panthéisme matérialiste de David de Dinant et du panthéisme formaliste d'un Amaury de Bène qui se profile. Nous proposons, en outre, une traduction de travail de ce texte ainsi que son commentaire philosophique linéaire. Albert définit le fluxus comme emanatio et comme processio. Le flux pose la question de la relation du Premier Principe avec les réalités qu'il crée. Comment Albert réussira-t-il à résoudre l’articulation d’une théorie panthéiste et crypto-néoplatonicienne de la procession à une théorie monothéiste et chrétienne de la procession ? / The purpose of this study consists in the language of procession and creation that has fallen into oblivion for too long within the contextual framework of Neo-Platonism and XIII th century Aristotelian understanding : that of the fluxus theory – namely that of the flux one, in Albert the Great’s works ( 1200- 1280). Our ain is to provide the reader with a descriptive , historical and philosophical outlook over the text in which the "Doctor universalis" exposes his flux theory: the “De fluxu causatorum a causa prima et causarum ordine”, the fourth treaty of the "De causis et processu universitatis a prima causa" ( 1264- 1267).Albert's doxography, far from being a series of digressions or still mere paraphrases of "opiniones antiquorum", is to be regarded as the setting up of a genuine awareness process in the history of philosophy, of its never-ending existence and its critical moments. What's more still, the overall purpose of Albert’s doxography is to provide answers to problematic issues non only originating from the past but also rooted in the contemporary world of our "Doctor universalis". Indeed, throughout the criticism of Trismegist’s pantheism or even more clearly, that of Gebirol's materialism, what rises into view is the criticism of Amaury de Bène's formalist pantheism. Besides, the reader is to find a workshop translation of the text as well as its linear-related philosophical commentary. Albert used to define the "fluxus" as an emanation and as a procession. How was Albert, however philosophical-oriented he might have been, to succeed in tackling the argumentation of a Crypto-Neo- Platonism theory of procession and inserting it into a Christian one?
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Il concetto di materia nell'opera di Alberto Magno : Anna Ridolfi.Rodolfi, Anna. January 2004 (has links)
T. Dott.--Filosofia--Pisa--Università degli studi. / Bibliogr. p. 195-207. Index.
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De forma resultante in speculo des Albertus Magnus : handschriftliche Überlieferung, literargeschichtliche und Textkritische Untersuchungen, Textedition, Übersetzung und Kommentar /Albert le Grand, Anzulewicz, Henryk. January 1999 (has links)
Diss.--Katholisch-Theologische Fakultät--Bonn--Rheinische Friedrich-Wilhelms-Universität, 1998. / Résumé en anglais. Bibliogr. vol. I p. 305-329, vol. II p. 299-309. Index.
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La théorie du Fluxus chez Albert le Grand. Principes philosophiques et applications théologiques Le De fluxu causatorum a causa prima et causarum ordine Introduction, texte, traduction, notes et commentaire /Milazzo, Sébastien Vannier, Marie-Anne Speer, Andreas January 2007 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Théologie philosophie : Metz : 2007. Thèse de doctorat : Théologie philosophie : Universität zu Köln. Thomas-Institut : 2007. / Thèse soutenue en co-tutelle. Bibliogr. f. 667-700. Index nominum f. 702-705.
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Essai sur la mariologie de Saint Albert le Grand : la Sainteté de la Mère de Dieu /Mellet, Marcellin, January 1935 (has links)
Thèse de doctorat -- facultés catholiques de Lyon, 1935.
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An exposition of a treatise written by saint Albert the Great, entilled De natura logicaeConnell, Richard J. 05 March 2019 (has links)
Montréal Trigonix inc. 2018
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« De Relativis » : La doctrine des relatifs jusqu’aux synthèses d’Albert le Grand et de Thomas d’Aquin / "De Relativis" : the doctrine of relative beings until the synthesis of Albert the Great and Thomas AquinasRaffray, Matthieu 09 October 2015 (has links)
Le primat de la relation est une caractéristique fondamentale des philosophies contemporaines comme des évolutions récentes de la théologie : le but de cette étude est de retracer les développements de la notion de relation jusqu’aux grandes synthèses théologiques du 13è siècle, afin d’évaluer les fondements historiques et la légitimité conceptuelle des relationalismes contemporains. Après avoir étudié la naissance d’une ontologie des êtres relatifs chez Platon et Aristote, ainsi qu’à travers les ambiguïtés de leurs transmissions, nous montrons comment les théologiens de l’Antiquité ont exploité ces fondements philosophiques, autour des modèles de « l’attribution différenciée » chez Augustin et de « l’accidentalité différenciée » chez Boèce. Au 12è siècle, ces modèles antiques ont à leur tour donné lieu à un changement de paradigme, au sujet de la predicatio in divinis, de Gilbert de Poitiers jusqu’à Pierre Lombard. Nous centrons alors notre étude sur les synthèses sententiaires d’Albert le Grand et de Thomas d’Aquin, qui exploitent l’un et l’autre la notion comme l’élément clef d’une description unitaire et structurée de l’édifice théologique. Albert emploie une notion typiquement aristotélicienne de la relation comme instrument pour édifier une théologie cohérente et rationnelle ; Thomas développe ces intuitions albertiennes et met en œuvre une vue ordonnée du Monde dans ses rapports avec Dieu, dont la condition, contrairement à de nombreuses lectures thomistes, est la stricte accidentalité de l’être relatif. A l’issue de ce parcours historique, on aura donc mis en évidence la tentation platonisante qui constitue la source conceptuelle des relationalismes contemporains. / The primacy of relation is a fundamental characteristic of contemporary philosophies as well as recent evolutions of Christian theology: the goal of this study is to describe the first developments of the notion of relation up to the great theological synthesis of the 13th century, in order to evaluate the historical foundations and the conceptual validity of the contemporary “relationalisms”. After studying the birth of the ontology of relative beings by Plato and Aristotle, as well as through the ambiguities of their transmissions, we show how the theologians of Antiquity exploited those philosophical sources using two models: the “differentiated attribution” with Augustine, and the “differentiated accidentality” with Boethius. During the 12th century, those two antique models became in their turns the origin of a change of paradigm on the problem of predicatio in divinis, from Gilbert of Poitiers to Peter Lombard. We then center our study on the sentential synthesis of Albert the Great and Thomas Aquinas, who both exploited the notion of relation as a key-element of a united and well-structured description of their theological thought. Albert uses a typical Aristotelian notion of relation as a tool for building a coherent and rational theology; Thomas develops those albertian intuitions and organizes a well-ordered view of the World in its relations to God, whose condition, contrary to many thomistic interpretations, is a strictly accidental conception of the relative beings. At the end of this historical path, we will then have shown the Platonist temptation which constitutes the conceptual source of the contemporary “relationalisms”.
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Parler de "la Femme" au Moyen-Age. Comparaison épistémologique entre corpus d'auteurs universitaires du XIIIe et XVIème siècle / Talking about “Woman” in Middle Age. An epistemological comparison between academical corpora in the 13th and the 14th centuryPortes, Francois-Marie 14 December 2019 (has links)
Comment parler de « la femme » ? En effet, ce thème sollicite bon nombre de discours qui n’appartiennent pas au même domaine scientifique et n’ont pas la même méthode. Quelle science doit donc être employée pour déterminer la hiérarchie des discours qui ont la différence sexuelle pour objet ? Quelle est la place de la philosophie dans la constellation des savoirs que le XIIIème siècle a vu se croiser à l’occasion d’un tel « thème » ? Que ce soit dans les discours universitaires d’Albert le Grand, de Thomas d’Aquin, de Bonaventure ou de Gilles de Rome, il appert que l’objet d’étude qu’est la « femme » est épistémologiquement cohésif. Les autorités comme Aristote, Galien, Avicenne et Averroès sont confrontées à Augustin, Pierre Lombard, Paul de Tarse et aux « Saintes Ecritures ». Est-ce donc à la Révélation de donner les principes des discours sur « la femme », ou bien à la médecine de discriminer ou de prouver les thèses morales et politiques concernant la différence sexuelle ? Chaque auteur semble avoir une réponse qui témoigne de son épistémologie sous-jacente et c’est la cohérence scientifique pour parler de la sexuation et, en définitive, de la femme, qui est visée par ces auteurs du Bas Moyen-Age. / How can we speak about « woman »? Indeed, many discourses refer to this subject without belonging to the same scientific field and without sharing the same methodology. Which science should be selected to determine the hierarchy of the discourse about sexual difference? What part did philosophy play in this subject among the manifold fields of knowledge of the 13th century? In the academical corpus of Albert the Great, Thomas Aquinas, Bonaventure, Giles of Rome and many others, the study of woman looks epistemologically cohesive. Authoritative voices such as those of Aristotle, Galen, Avicenna and Averroes are confronted with those of Augustine, P. Lombard, Paul, and with the “Holy Scriptures”. Is it hence up to the Book of Revelation to provide the principles underpinning the discourses on “woman”, or up to medical authorities to distinguish between or prove the moral and political theses on sexual difference? Each author’s answer to this question seems to testify to his underlying epistemology and it is the scientific consistency which characterizes the talk about the gender, and ultimately about the woman, which is targeted by these Late Middle Ages authors.
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