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Masque de l’écriture, écriture du masque. Amélie Nothomb et le courant « posthumain » / Mask of the writing, writing of the mask. Amélie Nothomb and the “posthuman” movement

Revial, Gaëlle 13 January 2012 (has links)
Ce travail se propose d’étudier la représentation du masque et l’influence de ce concept dans l’œuvre d’Amélie Nothomb, notamment pour lever le voile sur la monstruosité supposée de son écriture. Après avoir décrit le champ littéraire belge francophone et les différents courants littéraires dans lesquels semble évoluer la romancière, il s’intéresse tout d’abord aux masques utilisés par ses personnages pour tromper leur entourage et se tromper eux-mêmes, ainsi qu’à la vision du monde conjointement proposée au lecteur. Dans un second temps, il présente le masque comme une constance de la voix nothombienne, qu’elle se manifeste au travers de l’écriture thématique et stylistique de la romancière ou des émissaires constitués par ses personnages littéraires ou son personnage public. Enfin, il examine l’esthétique proprement caricaturale et grotesque des masques nothombiens, apte à faire basculer l’intrigue dans un cycle de type carnavalesque. / This thesis proposes to examine the representation of the mask and the influence of this concept in Amélie Nothomb’s work, in particular to throw light on the unproven monstrousness of her writing. Before the description of the Belgian French languaged literature and the different literary currents in which the novelist seems to belong to, it takes an interest in masks used by her characters to deceive their surroundings or deceive themselves, and in the world vision that is proposed to the reader. Secondly it describes mask as a permanent feature of the Amélie Nothomb’s voice, in the novelist’s thematic and stylistic writing or in her public or literary characters. Then, it examines the caricatural and grotesque aesthetic of the Amélie Nothomb’s masks, which can make the story beginning a carnival cycle.
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O duplo em Cosmétique de l’ennemi / Le double en Cosmétique de l'ennemi

Thomann, Larissa Cristina [UNESP] 21 June 2016 (has links)
Submitted by Larissa Cristina Thomann null (35359280875) on 2016-08-08T16:14:37Z No. of bitstreams: 1 O duplo em Cosmétique de l'ennemi de Amélie Nothomb.pdf: 2207937 bytes, checksum: 4c5cdd4d39ab776ced43cc954122c0ef (MD5) / Approved for entry into archive by Ana Paula Grisoto (grisotoana@reitoria.unesp.br) on 2016-08-11T12:41:50Z (GMT) No. of bitstreams: 1 thomann_lc_me_arafcl.pdf: 2207937 bytes, checksum: 4c5cdd4d39ab776ced43cc954122c0ef (MD5) / Made available in DSpace on 2016-08-11T12:41:50Z (GMT). No. of bitstreams: 1 thomann_lc_me_arafcl.pdf: 2207937 bytes, checksum: 4c5cdd4d39ab776ced43cc954122c0ef (MD5) Previous issue date: 2016-06-21 / Dans l’oeuvre Cosmétique de l’ennemi (2001), de la romancière belge Amélie Nothomb (1967), les personnages, le temps et l’espace sont construits en tenant compte des característiques doubles dans le récit. Le double est considéré facteur prédominant dans la construction narrative, parce que l’espace se divise en deux – la salle d’attente d’un aéroport et l’imagination de Jérôme -, le temps – chronologique et psychologique – les personnages qui se dedoublent. En ce qui concerne le temps, le travail est composé de deux histoires, celle qui coïncide avec le début de l’intrigue - qui est marquée par le temps chronologique - et présente un narrateur à la troisième personne, oniscient. Mais le temps psychologique existe dans le récit où Textor commence à raconter sa vie. Otto Rank a donné au double ce nom basé sur des analyses litteraires et antropologiques, mais ce sont les travaux de Freud, principalement, qu’on a utilisé pour faire l’analyse psychologique. Freud, dans L’inquiétante étrangeté (Das Unheimlich), écrit en 1919, se penche sur le double comme le sentiment d'étrangeté causé par la perte, soudaine, de la notion de ce qui est réel et de ce qui est imaginaire, qui provoque crainte et tremblement . L’inquiétante étrangeté c’est, donc, une expérience secrète familère qui a été une fois refoulée, puis relâchée. Dans Cosmétique de l’ennemi (2001), il y a le même point de vue du psychanalyste parce que, face à son double, Jérôme ne croit pas être l’assassin de sa femme. Textor, toutefois, lui dit que les deux sont la même personne et, en plus, qu’il est l’ennemi intérieur de Jérôme et sa partie destructrice, qui n’oublie rien, en faisant allusion à la memoire et à son inconscient, partie de l'être humain qui n’oublie rien et dont rien ne se perd, mais qu’est réprimée, citant Freud. Le début du travail et la fin sont similaires dans la forme: au début, nous avons un paragraphe séparé des autres provoquant le doute chez le lecteur en ce qui concerne les personnages, et pour donner une explication rationnelle sur cela il y a aussi un paragraphe final seul, sur une page non numérotée à la fin du récit. Pourtant, après l'explication, il y a une certaine ambiguïté dans laquelle le lecteur ne peut pas distinguer ce qui est vrai de l’imagination de Jérôme. / Na obra Cosmétique de l’ennemi (2001), da escritora belga Amélie Nothomb (1967), tanto as personagens, quanto o tempo e o espaço são construídos de forma a garantir características duplas à narrativa. O duplo é analisado como fator predominante na construção da narrativa, sendo parte do espaço que se divide em dois: sala de espera de um aeroporto e imaginação de Jérôme; bem como parte do tempo – cronológico e psicológico; e, ainda, como característica das personagens. No que se refere ao tempo, a obra é composta de duas narrativas. Uma que é marcada pelo tempo cronológico e coincide com o início da obra, apresentando um narrador em terceira pessoa e onisciente. Já na outra, o tempo psicológico compõe a narrativa em que Textor começa a contar sobre sua vida. Otto Rank deu ao duplo esta denominação baseando-se em análises literárias e antropológicas, mas é em Freud, principalmente, que baseamos nossa análise psicológica. Freud, em O estranho (Das Unheimlich), de 1919, analisa o duplo como sendo o sentimento de estranheza causado pela perda, súbita, de noção do que é realidade e do que é imaginação, o que provoca o temor e o tremor. Logo, o estranho é uma experiência secretamente familiar e que foi um dia reprimido e, depois, liberado. Em Cosmétique de l’ennemi há indícios do mesmo ponto de vista do psicanalista, pois, ao ser deparado com o seu duplo, Jérôme não acredita ter assassinado sua esposa. Textor, no entanto, o confronta dizendo ser a mesma pessoa, além de ele próprio ser o inimigo interior e, portanto, a parte destrutiva de Jérôme. Textor diz, ainda, ser a parte de Jérôme que não se esquece de nada, aludindo à memória e ao inconsciente, parte do ser humano que não se esquece de nada e da qual nada é perdido, apenas recalcado, citando Freud. Tanto o começo da obra quanto o final são parecidos em sua forma: no início, temos um parágrafo separado dos demais, causando uma dúvida no leitor sobre quem são as personagens; já no final, para dar uma explicação racional à dúvida do leitor, também há um parágrafo separado dos demais, numa página não numerada ao final da obra. Ainda assim, depois da explicação, há certa ambiguidade em que o leitor não consegue discernir o que é realidade ou imaginação de Jérôme.
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Entre désincarnation et réincarnation : la poétique du corps dans le récit d'un soi anorexique suivi de Carnet d'une désincarnée

Demeule, Fanie 04 1900 (has links)
Mémoire de recherche et création, incluant une partie essai et un texte de création. / Ma recherche questionne la relation entre anorexie et écriture, omniprésente en littérature, mais dont la problématique du récit de soi reste un objet assez obscur; le potentiel de réincarnation de l’être ascétique à travers le récit de soi a faiblement été soulevé. Amélie Nothomb (Biographie de la faim) et Geneviève Brisac (Petite) se sont remémorées, par le biais de romans autofictionnels, leur passé anorexique dans une poétique elle-même ascétique. À travers l’analyse de cette performativité textuelle, ainsi que des procédés d’écritures d’autodérision et de distanciation narrative sollicités par ces auteures, mon essai propose que ces manifestations poétiques contribuent à une réincarnation indépendante du corps anorexique en œuvre littéraire, et de ce fait, poser un regard nouveau sur les souffrances antérieures. Prenant la forme d’un recueil de fragments scellé d’un pacte autofictionnel, Carnet d’une désincarnée expérimente l’écriture mémorielle de mon adolescence marquée par l’anorexie mentale. Ainsi, chacun des fragments relate, dans un « je » autodiégétique, une situation isolée d’un quotidien en lutte perpétuelle contre soi, lutte dont l’ultime et unique but est la désincarnation. Or, suite à cette désincarnation, l’objectif de mon projet était de me réincarner à travers les mots dans un carnet de chair et d’os. À cheval entre réalité et fiction, Carnet d’une désincarnée explore la possibilité de créer un texte performatif afin de projeter l’émaciation physique de l’anorexie sur l’échafaudage même du texte, qui deviendrait à part entière un corps amaigri, mais bien vivant. / My research questions the relation between anorexia and writing, omnipotent in literature, but which the question of self-writing is still really obscure; the potential of reincarnation of the ascetic individual through writing being barely tackled. Amélie Nothomb (Biographie de la faim) and Geneviève Brisac (Petite) have been both remembering themselves, through autobiographical novels, their anorexic past through an ascetic poetic in itself. Analysing this textual performativity, as well as writing process such as self-mockery and narrative detachment solicited by these authors, my essay observes that these poetical features lead altogether to an independent corporeal reincarnation of the anorexic body into literary work, and therefore, draw a new vision on the past sufferings. Taking the form of a fragmented text sealed by an autofictionnal pact, Carnet d’une désincarnée (Disembodied’s Diary) experiment the reminiscence of my adolescence marked by anorexia. In this way, each fragment recall, using the pronoun « I » as talking to myself, an isolated situation of a routine in a perpetual battle with the self, battle which the unique goal is disembodiment. Further to this disembodiment, the objective of my project was to reincarnate myself with words through the production of a diary made out of flesh and bones. In between fiction and reality, Carnet d’une désincarnée is exploring the possibility of creating a performative text that projected the emaciation of anorexia, becoming a barebonned but alive body in itself.
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Manières de voir et d’être vue : l’impact des regards télévisuels dans Acide sulfurique d’Amélie Nothomb et Les Sorcières de la République de Chloé Delaume

Leduc, Marie 06 1900 (has links)
Depuis 1984 (1949) de George Orwell, la télévision et les regards (panoptiques et synoptiques) qu’elle engendre constituent un leitmotiv du genre dystopique. Dans les dystopies Acide sulfurique (2005) d’Amélie Nothomb et Les Sorcières de la République (2016) de Chloé Delaume, ils occupent une place centrale. Imposant une façon de voir au moyen du cadrage de la caméra et transmettant le contenu filmé à un nombre illimité de téléspectateurs, ils sont responsables de l’horrible traitement des protagonistes. Les héroïnes, Pannonique et la Sybille, sont exposées sans leur accord sur les écrans des habitants de leur pays qui se divertissent de leurs malheurs. Les œuvres des autrices à l’étude critiquent toutes deux, chacune à leur manière, la « société du spectacle » (Guy Debord, 1967) qu’encourage la télévision. Suivant des perspectives intermédiales et féministes, ce mémoire s’intéresse aux conséquences de la contamination non seulement des personnages féminins mais également du genre romanesque lui-même par les regards télévisuels. Il semble avant tout qu’ils aient un effet non négligeable sur les protagonistes, puisqu’elles sont jugées selon leur apparence par les téléspectateurs et que leur sexe conditionne l’image qui leur est attribuée (la sorcière, la vierge, l’amoureuse, etc.). Or, l’impact des regards télévisuels ne se limite guère à l’intrigue des romans, puisqu’ils contaminent aussi la forme, la structure et la narration des œuvres. Acide sulfurique et Les Sorcières de la République apparaissent comme des « livres-écrans » qui font adopter la position de téléspectateur à leur lectorat et accueillent simultanément le virus télévisuel au sein du livre, tout en le combattant de l’intérieur. / Since George Orwell’s 1984 (1949), television and the (panoptic and synoptic) gazes that it generates have been a leitmotif of dystopian fiction. In the dystopian novels Acide sulfurique (2005) by Amélie Nothomb and Les Sorcières de la République (2016) by Chloé Delaume, they play a central role. By imposing a way of seeing through the framing of the camera and by transmitting the filmed content to an unlimited number of viewers, televisual gazes are responsible for the horrible treatment of the protagonists. The heroines, Pannonique and Sybille, are exposed without consent on the screens of fellow citizens who are entertained by their misfortunes. The works by the two authors examined both critique, each in their own way, the “society of the spectacle” (Guy Debord, 1967) that television encourages. From an intermedial and a feminist perspective, this research analyses the televisual gazes’ contamination of the novel that occurs through the portrayal of the female characters, but also through the form of the works themselves. Firstly, it seems that they have a significant effect on the protagonists, since they are judged by the viewers according to their appearance and because their sex conditions the image assigned to them (the witch, the virgin, the lover, etc.). However, the impact of televisual gazes is not limited to the intrigue of the novels : they also contaminate the form, structure and narration of the works. Acide sulfurique and Les Sorcières de la République appear as “screening books” inviting readers to adopt a viewer’s role and hosting televisual gazes like a virus, all while fighting them from the inside.

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