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Temporalité et historicité : étude heideggérienne

Sauvé, Madeleine 30 November 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2018
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La réforme de l'éducation et ses anthropologies

Boissonneault, Charles 23 April 2018 (has links)
Ce mémoire porte sur la Réforme de l’éducation au Québec. Plus précisément, nous posons la question suivante : quelles sont les anthropologies philosophiques sur lesquelles repose la Réforme de l’éducation au Québec? Cette question est pertinente étant donné le contexte culturel et intellectuel de notre époque. Pour y répondre, nous avons fait une analyse thématique de contenu de ses textes officiels à l’aide d’une grille d’analyse mixte composée de huit catégories (anthropologies philosophiques) et leurs énoncés associés (unités de sens). Cette analyse qualitative nous permet de tirer quatre conclusions. Premièrement, tous les textes évoquent, à degré divers, les huit catégories à partir desquelles nous les analysions. Deuxièmement, l’être rationnel et autonome et l’animal égal à ses pairs y sont récurrents. Troisièmement, l’être de culture et l’être entrepreneur y cohabitent avec une certaine tension. Quatrièmement, l’être compétent est l’homme que la Réforme de l’éducation considère comme étant éduqué.
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Progrès et perfectibilité un dilemme des Lumières françaises (1755-1814) /

Lotterie, Florence. January 2006 (has links)
Based on the author's Thesis (doctoral)--Université de Paris X, 1997. / Includes bibliographical references (p. 193-198) and index.
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L'articulation des perspectives objective et subjective en éthique chez Bernard Williams et Thomas Nagel /

Binet, Yanick. January 1998 (has links)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 1998. / Bibliogr.: f. [143]-145. Publié aussi en version électronique.
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L’intrigue anthropologique : conceptions, descriptions et narrations de l’homme dans l’œuvre de Hans Blumenberg / The anthropological intrigue : conceptions, descriptions and narrations of Man in Hans Blumenberg’s Work

Schumm, Marion 23 November 2017 (has links)
L’œuvre de Hans Blumenberg, reçue d’abord pour son apport au débat sur la sécularisation et sa proposition d’une « métaphorologie », trouve son centre de gravité dans une anthropologie philosophique originale et complexe. C’est à celle-ci que notre thèse se consacre, en prenant acte du fait qu’« anthropologie » et « homme » sont les noms de deux problèmes avant d’être ceux d’un champ de savoir et de son objet. Si la pensée de Blumenberg s’élabore en premier lieu dans un dialogue critique avec la phénoménologie, ce n’est pas pour lui adjoindre le chapitre anthropologique qu’elle aurait omis, mais pour réformer de fond en comble ses thèses, sa méthode et ses principes implicites. Il ne s’agit pas non plus de retourner simplement aux questions et réponses traditionnelles que la philosophie a formulées à propos de l’homme. S’interrogeant, dans la lignée de l’anthropologie philosophique allemande, sur la possibilité de l’homme, Blumenberg oriente sa réflexion dans une voie « négative », dont notre travail s’attache à rendre raison autant qu’à interroger les limites. Avec l’image d’un homme fondamentalement « démuni », un être lacunaire, que les descriptions et narrations de l’auteur mettent en scène, ne retrouve-t-on pas une conception « prométhéenne », qui reconduit les présupposés qu’elle critiquait pourtant ? Notre interprétation vise, dans une analyse des procédures discursives que l’auteur met en œuvre et une discussion des thèses qu’il propose, à faire valoir leurs ambivalences, tout autant que leur fécondité. Ce qui est à lire, en dernière instance, dans l’œuvre de l’auteur, c’est un ensemble d’approches historiques et philosophiques de la « seconde nature » de l’homme, qui décrit les inquiétudes inhérentes à sa condition culturelle, autant que les intermittences du sujet. / First appreciated for the contribution made to the ‘Secularisation’ debate, along with its conception of ‘Metaphorology’, the work of Hans Blumenberg represents a complex and original philosophical anthropology, the core reflections of which form the central focus of this dissertation. We begin from a point of questioning whether “anthropology” and “man” are not simply terms used to describe a field of academic practice and it’s topic of study, but rather two distinct issues to be examined. The dominant motive of Blumenberg’s thought is to be found in a critical dialogue with phenomenology, but he is not interested in simply contributing an anthropological ‘chapter’ to the field, rather he works to criticise and seek a total reform of the theses, methodology and implicit principles therein. He similarly refuses to rerun the familiar philosophical debates regarding man, instead questioning the possibility of man, inspired by the German philosophical tradition. This thesis will assess and critically consider this ‘negative’ turn in Blumenberg’s thought. Do his descriptions and narrative conveying the human as a fundamentally lacking being not tend to invoke a ‘promethean’ conception of man, the very assumptions of which they seek to criticise?Through analysis of Blumenberg’s discursive procedures and consideration of his theses, our interpretation intends to demonstrate their sense of ambivalence as well as their considered abundance. Ultimately, what is to be found in the work of this author is a collection of approaches to the ‘second nature’ of man which together describe the unease inherent in the cultural condition, as well as the intermittencies of the subject.
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Le face à face : la relation éthique chez Lévinas

Martin, Kurt 11 March 2021 (has links)
La pensée éthique d'Emmanuel Lévinas accorde une grande place au face à face », où le moi se trouve en présence d'autrui. La relation pacifique du langage, qui s'instaure entre ces deux êtres distincts, dénote une intention de justice profonde. La misère d'autrui réclame justice d'abord, elle appelle et juge l'ego, et le produit dans sa vérité. Cet appel engendre la réponse du moi, où se noue sa responsabilité morale, comme impossibilité de laisser l'autre homme sans réponse, comme impossibilité de l'aborder les mains vides. La charité du moi, qui est sollicitée dans le face à face, se traduit également dans le langage qui fait des propositions en nommant les choses, qui les offre de la sorte à autrui. Notre travail tentera d'exposer la pensée de Lévinas en partant du face à face, en interprétant Totalité et Infini surtout, où cette notion est omniprésente et suivie dans tous ses méandres.
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Représentations interculturelles de la maladie et de la guérison : prolégomènes à une anthropologie spirituelle

Badiambile, Berthin-Bakenga 27 February 2021 (has links)
Thèse offerte à l'Université de Sherbrooke en vertu d'un protocole d'entente avec l'Université Laval pour l'obtention du grade de Philosophiæ Doctor (Ph. D). / La question est notamment de savoir si la dimension de la transcendance est essentielle à la constitution de l’être humain au point d'être omniprésente à l'étiologie et au traitement des maladies. Une analogie imparfaite peut illustrer les termes de la préoccupation anthropologique dont il est question ici : de quoi l’humain est-il fait pour que puissent s’expliquer certaines expériences paranormales de maladies et guérisons? Un ordinateur ne peut répondre à une commande externe que si dans sa configuration interne il existe une structure ou un logiciel (qu’il faut parfois activer) à même de reconnaître la commande envoyée. Quelle est cette structure de la configuration interne de l’humain qui soit sensible et réponde à la commande d’une guérison à distance, d’une télépathie, par exemple? De la réponse à cette question dépend la direction que prennent les médecines, que la réponse soit consciente ou inconsciente.
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Entre histoire et vérité : Paul Ricœur et Michel Foucault : généalogie du sujet, herméneutique du soi et anthropologie

Bourgoin-Castonguay, Simon 20 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2014-2015 / Cette thèse cherche, par le biais des concepts d’histoire et de vérité, à placer en position de dialogue deux des plus grands philosophes français contemporains : Paul Ricœur et Michel Foucault. L’hypothèse avancée est que l’histoire du concept de subjectivité oscille entre la volonté de savoir et le désir de comprendre. Ces deux postures, irréductibles l’une à l’autre, inaugurent les deux méthodes à l’étude : une généalogie du sujet relevant d’une historicisation de la volonté de vérité (Foucault) et une herméneutique du soi érigée dans le besoin d’interpréter notre finitude (Ricœur). Alors que Ricœur élabore une anthropologie philosophique voulant prendre en charge la capacité interprétative de l’homme, Foucault développe pour sa part une critique de notre « âge anthropologique de la raison » (la modernité). Mais en dépit de cet écart apparent, tant l’herméneutique que la généalogie demeurent fondées dans une pensée de la finitude. Celle-ci motive une critique de la philosophie de l’histoire ainsi qu’une critique de son corollaire, la philosophie de la conscience : Foucault et Ricœur proposent ainsi deux images inversées d’une même problématisation historique du rapport à soi. Il s’agit en bref de poser la question de la subjectivité en évitant de la réduire à la « volonté de savoir » caractérisant les sciences humaines. La compréhension du rapport à soi passe avant tout par la reconnaissance, qui est ici tenue pour le fondement anthropologique de la subjectivation. Une analyse comparative des pratiques de véridiction (aveu, promesse, parrêsia) sert à cet effet de terrain commun sur le plan de l’éthique. Mais cette comparaison ne cherche pas la réconciliation. Il s’agit plutôt de relever, chaque fois, une tache aveugle rendant ces deux pensées complémentaires dans ce qui les oppose : faire jouer la distance, tel pourrait être le leitmotiv de cette recherche. Mots-clés : Michel Foucault ; Paul Ricœur ; histoire ; vérité ; herméneutique ; généalogie ; anthropologie philosophique ; épistémologie ; ontologie ; critique ; modernité ; structuralisme ; objectivation ; interprétation ; compréhension ; soi ; sujet ; subjectivité ; subjectivation ; pouvoir ; éthique ; reconnaissance ; capacité ; véridiction ; attestation ; aveu ; confession ; parrêsia ; promesse ; souci. / Through a philosophical analysis of the concepts of history and truth, this dissertation aims at creating a dialogue between the works of two of the most important contemporary French philosophers: Paul Ricœur and Michel Foucault. Our main hypothesis is that through its history, the concept of subjectivity fluctuates between the will to know and the desire of understanding. These two positions, irreducible to one another, reveal the two methods under study: a genealogy of the subject ensuing from a historicization of the will of truth (Foucault) and a hermeneutics of the self based on a universal need for interpreting our finitude (Ricœur). Whereas Ricœur develops a philosophical anthropology focusing on the interpretive capacity of man, Foucault, for his part, criticizes our ‘anthropological age of the reason’ (i.e. modernity). Despite this apparent gap, however, both hermeneutics and genealogy prove to be based on a philosophy of finitude. The latter motivates a critical analysis of both the philosophy of history and its corollary, the philosophy of consciousness: Foucault and Ricœur thus offer opposite views of a common historical problematizing of subjectivity. In short, the purpose of this work is to investigate the notion of subjectivity without restraining it to the will to know which characterizes the humanities. We argue that the comprehension of the self depends above all on acknowledgment, which is considered here to be the actual anthropological foundation of ‘subjectivation’. To this end, a comparative analysis of different ‘veridiction’ practices (confession, promise, parrhesia) acts as a common ground in terms of ethics. However, this comparison does not aim at reconciliation. The idea is rather to reveal a blind spot by which it becomes possible to grasp the complementary aspects of these thoughts through what actually separates them: therefore, this thesis could be considered as a playful use of the distance. Key-words : Michel Foucault ; Paul Ricœur ; history ; truth ; hermeneutics ; genealogy ; philosophical anthropology ; epistemology ; ontology ; critic ; modernity ; structuralism ; objectivation ; interpretation ; comprehension ; self ; subject ; subjectivity ; subjectivation ; power ; ethics ; acknowledgement ; capacity ; veridiction ; testimony ; confession ; parrhesia ; promise ; care.
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Ludwig Feuerbach, penseur de la mort de Dieu

Chaput, Emmanuel 04 1900 (has links)
Le présent mémoire porte sur la question de la mort de Dieu dans la philosophie allemande du XIXe siècle. Plus précisément elle entend mettre en lumière le rôle qu’un auteur comme Ludwig Feuerbach (1804-1872) a pu jouer dans la réception d’un tel événement pour la philosophie de cette époque. On observe en effet chez Hegel et Nietzsche, certainement les deux philosophes les plus importants à s’être intéressés au thème de la mort de Dieu, deux manières tout à fait différentes, voire antinomiques, d’interpréter un tel événement. Ce qui fera dire à certains auteurs comme Deleuze et Foucault notamment, qu’entre Hegel et Nietzsche il ne saurait y avoir qu’une coupure radicale tant leurs compréhensions de la mort de Dieu diffère. Un tel geste trahit cependant un certain arbitraire qui empêche de comprendre la genèse philosophique d’un tel déplacement, entre Hegel et Nietzsche, dans la manière d’aborder la mort de Dieu. C’est ici que l’étude de la philosophie feuerbachienne s’avère fructueuse, car si elle demeure dans un dialogue critique par rapport à la conception hégélienne de la mort de Dieu, sa réponse opère cependant un déplacement qui anticipe certains aspects de la pensée nietzschéenne. C’est à partir de l’analyse de sa critique de la religion chrétienne et de l’anthropologie philosophique nouvelle qui l’y oppose que l’on sera en mesure de saisir la nature de ce déplacement feuerbachien. / This Master’s Thesis focuses on the topic of the death of God in the nineteenth century German philosophy. More specifically, it highlights the role played by Ludwig Feuerbach (1804-1872) in the development of this problematic, i.e. his influence on the way this decisive “death” has been interpreted philosophically. The two major philosophical figures who have reflected on the death of God, namely Hegel and Nietzsche, have done so in very different, some would say antinomian, ways. Authors such as Deleuze or Foucault have even argued that between Hegel’s and Nietzsche’s way of addressing the question of the death of God there can be no common ground, but only an irrevocable clash. Unfortunately, such a statement forbids further investigations enabling a more rigorous understanding of the philosophical development that occurs between Hegel and Nietzsche on that specific topic, that is, on the death of God in nineteenth century German philosophy. Here, I shall argue, the study of Ludwig Feuerbach’s thought becomes essential to such an understanding, since it develops a critical dialogue with Hegel’s stance on the death of God, while at the same time anticipating some aspects of Nietzsche’s approach to the problem of the death of God.
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L'éthique spinoziste comme devenir. Variations affectives et temporalité de l'existence / Spinozian Ethics as Becoming. Affective variations and the temporality of existence

Henry, Julie 29 June 2013 (has links)
Ce travail se propose de comprendre l’éthique élaborée par Spinoza comme cheminement individuel dans le cadre d’une nature déterminée de part en part, et au sein de laquelle aucune finalité n’est assignée aux hommes. La question consiste donc à se demander comment l’on peut passer à une autre manière d’exister sans postuler de distance de soi à soi ; et cela revient à incarner différemment, singulièrement, le déterminisme commun. S’appuyant sur l’étude de concepts tels fabrica, constitutio, occasio, ou encore aptitudes, ce travail part du dynamisme des choses singulières afin d’établir l’historicité propre à l’existence humaine. Dans ce cadre, les rencontres déterminantes sans être librement choisies sont parties prenantes du cheminement éthique, comme autant de circonstances propices à l’occasion desquelles on peut accroître son aptitude à être diversement affecté. Il s’agit ainsi de constituer une « anthropologie éthique » qui permette de concevoir l’éthique à partir de l’existence courante des hommes du commun, mais sans jamais la réduire à une science des comportements. Cela requiert ainsi de penser la possibilité de changements sur fond de continuité, en incluant dans le cheminement tout ce qui est à même d’alimenter des variations orientées, comme le désir, l’imagination d’un modèle ou la sensation de soi à divers moments de son existence. Est requis pour cela de constituer un concept de « singularité », qui se distingue de ce qui est simplement particulier, mais qui ne s’oppose pas cependant à un cheminement commun. Cela revient alors à considérer l’éthique non comme un état à atteindre (un devenir « quelque chose »), mais comme le fait même d’être « en devenir ». / The aim of this study is to conceive of Spinoza’s ethics as an individual progression within the framework of a completely determined existence wherein no finality is assigned to man. Hence, the question is how to pass from one mode of existence to another without distancing one from oneself or, that which amounts to the same, how to embody, differently and in a singular way, the common determinism. Taking our point of departure in concepts such as fabrica, constitutio, occasio or aptitude, this study thus begins by looking at the dynamics of individual things in order to determine the historicity proper to human existence. Within this framework, encounters that are determining but not freely chosen are integral parts of the ethical progression, constituting so many circumstances propitious for the production of the occasions where one’s aptitude to be affected in many ways can be augmented. The objective is then to establish an “ethical anthropology” allowing to conceive of an ethics taking its point of departure in the everyday existence of common people but without ever reducing to a science of behaviors. This also requires that the possibility of change must be thought on the basis of continuity by including in the progression everything that supports the different variations and their orientations, such as desire or the imaginary models or senses of self that we have at different moments of our existence. In order to do that, one must construct a concept of “singularity” as of something different from the merely “particular” but that nonetheless is not opposed to a common progression. This amounts to considering ethics, not as a state to achieve (a “becoming something”) but rather as the very fact of being “in becoming.”

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