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Un pied-à-terre sur Barbuda : le Strombus Line et l'archaïque des Petites Antilles du Nord

Rousseau, Vincent 20 April 2018 (has links)
Barbuda est une petite île calcaire relativement isolée au nord-est des Petites Antilles. Peu peuplée, elle a été moins affectée par les grands bouleversements engendrés par la colonisation occidentale et l’industrialisation. Cette île offre donc une opportunité exceptionnelle d’étude des peuples préhistoriques. En 2011 et 2012, dans le cadre du projet Islands of Change dirigé par Dre Sophia Perdikaris et subventionné par la National Science Fundation américaine, trois sites de la période archaïque ont été localisés et fouillés par une équipe internationale notamment composée de membres du City Université of New York à Brooklyn, de l’Institut Islandais d’archéologie et de l’Université Laval. L’analyse de ces sites, composés de coquillages et d’éclats de chert exogène, permet de mieux concevoir la place de Barbuda dans l’Archaïque des Petites Antilles du Nord. Ce mémoire présente toutes les étapes de ces fouilles, examine les résultats obtenus et contextualise l’importance de Barbuda pour l’économie régionale. / Barbuda is a small, relatively isolated, calcareous island in the northeastern West Indies. Since it is sparsely populated, it has been less affected by the large scale changes that were the result of European colonization. Therefore, it offers an exceptional opportunity to research intact prehistoric archaeological sites. This master’s thesis examines the earliest human occupation on Barbuda. During the 2011 and 2012 field campaigns of the Islands of Change project, directed by Dr. Sophia Perdikaris and funded by the National Science Fundation (USA), three Archaic Age sites were identified and excavated by an international team. The analysis of these sites and their respective collections which were solely composed of shell and lithics, helps to better understand Barbuda’s place in the Archaic Age of the Northern West Indies. This thesis presents these excavations, discusses the results of the analysis and contextualizes the importance of Barbuda in the regional economy.
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Mythes et rites des vingtaines du Mexique central préhispanique

Graulich, Michel January 1980 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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History and Archeology of Dhofar

Phillips, Wendell 05 1900 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La pipe de pierre dans la société canadienne des XVIIe, XVIIIe, et XIXe siècles : une approche archéologique

Daviau, Marie-Hélène 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / Ce mémoire porte sur l'étude de pipes à fumer en pierre, des objets qui sont relativement peu étudiés. Ces pipes sont souvent appelées pipes "micmac" et proviennent de sites amérindiens et euro-canadiens, de contextes archéologiques datant des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Si notre premier objectif est d'en effectuer un inventaire et de mieux cerner les caractéristiques de cet artefact, nous désirons aussi vérifier la place que pouvait prendre un tel objet dans la société canadienne et quel était son contexte d'utilisation. Les pipes de pierre sont souvent reliées à la traite des fourrures, mais nous proposons que cet artefact ait pu aussi être associé à l'expression d'une identité canadienne et soit devenu un objet de distinction au sein de la société habitant la Nouvelle-France. Afin de réaliser cette étude, nous avons consulté différentes sources historiques à la recherche de l'origine et l'utilisation du terme "calumet", examiné une centaine d'artefacts provenant de sites situés sur le territoire québécois pour en reconstituer les techniques de fabrication, et élaboré une classification de ces pipes. Nous identifions au passage certaines caractéristiques assez répétitives qui portent à croire en une production organisée. Pour nos analyses archéométriques, nous avons eu recours au microscope électronique à balayage à pression variable, à la cathodoluminescence et à la diffraction-X pour connaître la composition chimique d'une partie de la collection, dévoilant ainsi toute la complexité de la fabrication des pipes de pierre en Nouvelle-France.
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Contribution à l'étude des objets en pierre en Mésopotamie au dynastique archaïque

Bellemare, France 25 April 2018 (has links)
Ce mémoire a pour but principal de mieux -faire connaître certains artefacts en pierre du Ille millénaire en Mésopotamie. Un profil général en a été tracé à partir de l'analyse d'objets provenant de huit sites mésopotamiens. Un chapitre est consacré à l'étude du matériau et des techniques de fabrication des objets. Ensuite, le matériel lithique provenant du site de tell Atij (campagne 1986) a été étudié en détail. En conclusion, les résultats obtenus sur ce site ont été mis en parallèle avec le profil général établi précédemment. Par l'application d'une méthode assistée par ordinateur, je crois avoir été en mesure, malgré les informations lacunaires dont je disposais, de relever les caractéristiques propres à ces objets. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Contenants et contenus d'usage domestique dans la seconde moitié du XIXe siècle : forme, origine, fabrication, utilisation

Décarie-Audet, Louise 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Le quartzite à mica de la Haute-Côte-Nord : approche pétroarchéologique et technologique sur l'outillage lithique du site de Longue-Rive (DdEh-8), Haute Côte-Nord

Guérette, Antoine 19 August 2021 (has links)
Les fouilles archéologiques menées dans le cadre des travaux de contournement de la municipalité de Longue Rive, en Haute-Côte-Nord, par le Ministère des Transports du Québec en 2013 ont permis la récolte d'un nombre impressionnant d'artefacts en pierre taillée associés à une occupation à influence Meadowood (3 000 à 2 400 AA). Plus de 80 % des artefacts sont issus du façonnage d'outils dans une matière première d'origine régionale, le quartzite à mica. Ce mémoire a pour but d'apporter des précisions quant à la nature de ce matériau important dans la technologie lithique nord-côtière. Nous analysons sa variabilité au sein de l'assemblage récolté sur le site DdEh-8 et proposons une caractérisation plus précise basée sur la pétrographie sur lames minces. L'analyse pétrographique suggère qu'un phénomène de mylonitisation en marge d'une zone de cisaillement pourrait être à l'origine de la formation du quartzite à mica. Quatre variétés sont décrites et leur utilisation dans l'outillage est documentée au moyen d'analyses typomorphologiques et technologiques détaillées. La production bifaciale dont l'importance dans le corpus technologique de DdEh-8 est accentuée par le façonnage systématique de « préformes quaternaires » de style Meadowood est examinée en profondeur. Le classement par stade de réduction des pièces bifaciales est confronté à une méthode de classification dite en continuum et qui corrèle les données objectives relatives à la longueur de la marge bifaciale et au nombre d'enlèvements. Il appert que la réduction bifaciale menée sur le site n'est pas aussi phasée que l'on pourrait s'y attendre bien que l'objectif de cette taille se concentre vers la production de préformes quaternaires. Le quartzite à mica semble hautement privilégié dans cette industrie bifaciale pour des raisons pratiques, en ce qui a trait à l'accès à cette matière régionale, et des raisons idéologiques, par la valeur associée ailleurs au quartzite blanc. / Archaeological excavations at the DdEh-8 site carried out by the Ministère du Transport du Québec in 2013 as part of the Longue-Rive municipality highway bypass project in the Upper North Shore region produced an artifact collection associated with a Meadowood occupation (3000 to 2400 AA). More than 80% of the artifacts recovered are derived from the production of tools from a micaceous quartzite specific to this region. Lithologic variability of this regional micaceous quartzite remains poorly understood and its origin unknown. This thesis seeks to clarify the nature of this raw material which is ubiquitous in lithic assemblages from North Shore archaeological sites. We analyze the lithological variability of this material within the assemblage recovered at the DdEh-8 site and propose a more precise characterization based on thin-section petrography. This micaceous quartzite appears to be the result of mylonitization through shear zone deformation. Four main varieties are described and their use in tool production is documented using detailed typo-morphological and technological analyses. This thesis examines the production of lithic bifaces at DdEh-8 in depth; bifacial tools are a particularly significant part of the collection due to the systematic production of Meadowood-style “quaternary preforms” at the site. The classification of bifaces by stage of reduction was undertaken with a continuum approach correlating bifacial margin length with flake removal scar frequency. It appears that the reduction of bifaces at DdEh-8 is not strictly phased in clear technological steps although the objective of this reduction is indeed focused on the production of quaternary preforms. Mica quartzite is a highly favoured raw material in this bifacial industry for reasons that appear to us to be both practical and ideological; this material is both suitable and widely available in the region, while white quartzites appear to have been preferred in general elsewhere in the Meadowood Interaction Sphere.
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Configuration de l'espace domestique des Inuits historiques du nord du Labrador pendant la période de contacts - approches archéologique, micromorphologique et géochimique

Couture, Andréanne 23 April 2018 (has links)
Dans le contexte de changements climatiques et d’intensification des contacts avec les Européens de la fin du XVIIe siècle, on dénote l’apparition de maisons multifamiliales dans le paysage labradorien. Afin de documenter la configuration interne de ces habitations, les approches micromorphologique, sédimentologique et géochimique sont utilisées. Notre étude porte sur trois maisons multifamiliales situées sur les sites archéologiques d’Oakes Bay-1 et d’Uivak Point, au nord de la côte du Labrador. Les indicateurs anthropiques identifiés par nos analyses ont été associés à des résidus d’activités domestiques tels que la préparation et la consommation des repas et l’entretien de la lampe en stéatite. On note une différenciation des signatures anthropiques dans la Maison 1, mais les données des maisons 2 et 7 reflètent une dispersion des indicateurs anthropiques à travers la maison. Cette dispersion pourrait résulter d’épisodes de nettoyage ou indiquer que les activités pratiquées n’étaient pas spécialisées ou bien délimitées.
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Vestiges matériels et mode de vie : archéologie de six maisonnées bourgeoises de Québec et de Louisbourg au milieu du XVIIIe siècle

L'Anglais, Paul-Gaston 25 May 2024 (has links)
« Le présent ouvrage s'intéresse au mode de vie de six familles dans les colonies françaises d'Amérique, au milieu du XVIIIe siècle, à partir de leur culture matérielle. Il se divise en trois parties, chacune regroupant un ou plusieurs chapitres. La première partie, qui englobe les trois premiers chapitres, se veut l'étude de deux collections archéologiques retrouvées à Place-Royale à Québec, soit les dépôts des latrines des maisons Dunière et Perthuis. Après avoir survolé l'historique des différentes occupations qu'ont connues ces terrains, depuis leur première concession jusqu'à nos jours, nous nous arrêtons à l'étude du mode de vie des familles pour lesquelles des vestiges matériels ont été récoltés. Ces artefacts sont examinés et classés selon deux facettes, soit leur matériau et les usages auxquels ils ont pu être soumis. La seconde partie, étalée sur deux chapitres, nous amène à Louisbourg, capitale de la colonie française de l'île Royale. Nous y avons choisi cinq dépôts de nature semblable, retrouvés sur les terrains des maisons Rodrigue, de La Perelle, Verrier, Bigot et de Gannes. Chacun, étudié distinctement, est traité de manière identique aux dépôts de Québec. Le cinquième chapitre s'attarde sur la comparaison des assemblages de ces collections. Nous laissons toutefois de côté la collection Dunière, trop peu représentative. Enfin, un sixième et dernier chapitre nous amène à tracer et à comparer, de façon globale, le mode de vie de ces familles bourgeoises d'administrateurs, ingénieurs, marchands et militaires. Nous nous intéressons alors tant à leurs vestiges matériels qu'à leurs possessions foncières, leurs biens immobiliers, l'aménagement de leur propriété et au nombre de personnes occupant la résidence. »--Page iii
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La séquence d'utilisation de la terre Pachirini, au site de la place d'Armes des Trois-Rivières (CcFd-19) : fin XVIᵉ - fin XVIIIᵉ siècles

Duguay, Françoise 03 August 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 24 juillet 2023) / Notre thèse s'appuie sur une réflexion amorcée en lien avec une mention historique connue de tous : celle de Laviolette, le père fondateur des Trois-Rivières, et la date de 1634. Le questionnement quant à cet énoncé est basé sur le fait que les évènements surgissent rarement du néant. Il a conduit à utiliser des données archéologiques (vestiges structuraux, strates de sols et collection), ethno-historiques, historiques et biophysiques, afin de reconstruire une séquence évènementielle étoffée et d'identifier les acteurs en présence, ainsi que leurs activités. Le site archéologique d'échantillonnage pour éclairer notre questionnement gravite autour de la terre initialement concédée en 1648 à Charles Pachirini, un chef algonquin ; cette ancienne propriété est intégrée au parc de la place d'Armes (code Borden : CcFd-19 ; lieu classé en 1960). Les données archéologiques et ethno-historiques concordent pour démontrer la présence de deux groupes ethniques à cet emplacement, depuis au moins la fin du XVIᵉ siècle : Autochtones et Français. En effet, les Trois-Rivières servaient de lieu de regroupement estival à diverses nations algonquiennes ce qui permettaient les échanges entre elles, mais aussi avec des groupes iroquoiens. Ces échanges peuvent impliquer le transfert de biens, mais aussi de trais culturels et de technologie. Les Français y viennent à prime abord en été pour le commerce des fourrures, avant d'y implanter un poste de traite fortifié en 1634. Un bourg prendra ensuite forme, à partir des années 1650. La terre Pachirini est incluse dans cette évolution car partiellement scindée en censives urbaines attribuées à des colons français, notamment en bordure de la rue Saint-Louis, ce qui permettra l'émergence d'une spécialisation dans l'utilisation de l'espace. Trois de ces lots ont fournis des indices archéologiques, ceux initialement attribués à : Barthelémy Bertaut, Jacques Aubuchon et Michel Pelletier dit Laprade. L'emplacement connu sous le toponyme de « place d'Armes » deviendra la première place du marché, lieu où l'on peut se procurer biens, denrées et services. Le tout se fait en parallèle avec une utilisation de l'emplacement par les peuples autochtones, qui y disposent d'un bâtiment fixe et où ils installent également des campements du printemps jusqu'à l'automne. Cela fait de la place d'Armes un centre de rencontre et d'échange, dont l'accès est relativement public. Le tout se poursuit depuis les années 1650 jusqu'à la fin du XVIIIᵉ siècle, moment où la décision est prise de déplacer la place du marché vers l'ouest et de retirer l'ensemble du bâti sur la terre Pachirini initiale. L'inclusion de données archéologiques permet d'apprécier le fait que la trame événementielle des Trois-Rivières est beaucoup plus complexe que ne le laisse croire une prémisse réductrice, imprimée tel un dogme dans l'historiographie locale. Par contre, la notion d'espace public se poursuit quant à elle à travers les siècles et ce jusqu'à ce jour, car la place d'Armes demeure un lieu d'accès public, sous la forme d'un parc municipal. L'aspect collectif semble y avoir primauté et s'être perpétué dans l'inconscient collectif, sans faire l'objet d'une évaluation critique sur la nature de cet état de fait. / Our thesis is constructed around the well-known historical assertion that Laviolette is the founding father of Trois-Rivières, in 1634. Something in the story seemed to be missing, for such events rarely occur out of the blue. Questioning this statement led to the use of archaeological data (structural remains, soil strata, artifacts and ecofacts), as well as ethnohistorical, historical and environmental data in order to trace an expanded sequence of events, in an effort to identify the people involved and their activities. Our archaeological sample was collected on a piece of land conceded in 1648 to an Algonkian chief, Charles Pachirini, land which is now included in Place d'Armes park (Borden code: CcFd-19; protected by law since 1960). Archaeological and ethnohistorical data demonstrate that two ethnic groups, First Nations and French, had shared the use of this area from at least the end of the XVIth century. Indeed, Trois-Rivières used to be a traditional summer gathering centre for various Algonkian nations, who also had contacts with Iroquoians. Such gatherings were used for the exchange of goods, but most probably also of cultural traits as well as technology. French traders first came into the mix to initiate fur trade, which led to the establishment of a fortified trading post in 1634. A village started developing during the 1650's, a process which included space use specialization on Pachirini's land after plots were allotted to French settlers. Three of these plots are included in our archaeological sample, the ones initially allocated to: Barthelémy Bertaut, Jacques Aubuchon and Michel Pelletier dit Laprade. The park now named "Place d'Armes" would become Trois-Rivières' first market place, where one could acquire goods, food and services. Such activities took place alongside Aboriginal groups, who had the use of a permanent building and could also build encampments there during summer; such common usage qualifies Place d'Armes as a public space. The pattern went on from the 1650's to the end of the XVIIIᵗʰ century, when the market place was transferred westward, leading to the dismantling of all buildings from what used to be Pachirini's land. Including archaeological data in the historical sequence's modelling brings forth the fact that Trois-Rivières' history is far more complex than the reductive premise that has become dogma. However, the notion that the area called "Place d'Armes" is considered a public space has lived on through the ages, even to this day, since the municipal park is still a common gathering place. It is as if the notion of a public space has made its way into the collective unconscious mind, as a primordial idea never submitted to a critical assessment of its cause.

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