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Le syncrétisme religieux en Égypte dans l'Antiquité tardive : l'apport des papyrus iatromagiques grecs

Bélanger Sarrazin, Roxanne January 2015 (has links)
À une époque où le multiculturalisme est devenu un enjeu important pour les sociétés contemporaines, les historiens ont développé un nouvel intérêt par rapport aux phénomènes de contacts interculturels et de syncrétisme religieux dans l’Antiquité. Les papyrus magiques grecs, produits entre le 2e siècle avant notre ère et le 6e siècle de notre ère, représentent une source idéale pour qui désire étudier les interactions culturelles et le syncrétisme religieux en Égypte, en particulier dans l’Antiquité tardive (4e au 7e siècle de notre ère). Les papyrus iatromagiques plus précisément – des textes magiques ayant pour but de guérir ou prévenir des maladies – présentent un double intérêt puisqu’ils contiennent non seulement des éléments de différentes religions (égyptienne, grecque, romaine, judaïsme et christianisme), mais aussi les riches connaissances médicales des divers peuples qui se sont rencontrés en Égypte. En présentant un examen détaillé du vocabulaire et des connaissances médicales, ainsi que des études de cas de documents contenant divers éléments religieux, cette thèse démontre comment les papyrus iatromagiques grecs reflètent les différents types de syncrétisme religieux présents en Égypte dans l’Antiquité tardive.
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La régénération de la France par l'Antiquité : les références antiques dans la presse révolutionnaire (1789-1794)

Guilbault, Marie-Hélène 29 August 2012 (has links)
Alors que les Français de 1789 souhaitaient s’éloigner de tout ce qu’avait été l’Ancien Régime, ils se tournèrent vers les civilisations antiques afin d’y trouver des modèles d’institutions à reproduire et de comportements politiques et moraux pour les citoyens. Cette présence de références antiques ne se retrouva pas seulement dans les discours tenus à l’Assemblée nationale, mais fut aussi très importante dans les journaux révolutionnaires grâce à la liberté de la presse nouvellement acquise. Les journalistes souhaitaient faire de leurs journaux l’agora des citoyens français. Cette thèse étudie donc l’utilisation des références antiques dans la presse révolutionnaire française. Elle s’intéresse à la manière dont les Révolutionnaires français s’en servirent et à la façon dont elles créèrent une rhétorique propre à chaque élément du spectre politique, qui donna naissance à divers types d’hommes politiques. Effectuée à partir d’un échantillonnage de journaux révolutionnaires couvrant l’ensemble du spectre politique, soit le courant radical, modéré et contre-révolutionnaire, de la période allant de 1789 à 1794, la méthode employée permit de démontrer les évolutions au sein des idéaux politiques et à travers le temps. Ce furent les événements tels que la fuite de Louis XVI à Varennes, le procès du roi ou encore les luttes de factions entre les Girondins et les Montagnards qui justifièrent le recours à l’Antiquité. Confrontés à l’inconnu, les journalistes tentèrent de se rassurer en cherchant des précédents chez les peuples romain et grecs. Ils se firent tour à tour tribuns du peuple pour éduquer leurs concitoyens, orateurs patriotes pour les secouer alors que la liberté était en danger, et « fils de Brutus » pour juger et condamner le roi. Ce phénomène longtemps associé aux Révolutionnaires était aussi présent dans les journaux contre-révolutionnaires. Alors que ces premier s’en servirent pour se distancier de l’Ancien Régime, les royalistes l’utilisèrent plutôt pour démolir les arguments de leurs ennemis et pour glorifier la monarchie. Ainsi l’Antiquité servit à l’ensemble du spectre politique de la Révolution. Sa présence fut plus significative en 1789 alors que la liberté de presse était totale et plus générique et moins recherchée à mesure que la censure fut rétablie.
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L'occupation du sol et le peuplement de la Vôge (Vosges et Haute-Saône) dans l'Antiquité / The organization of the territory and people of the Vôge

Fetet, Pierre 10 October 2009 (has links)
Situé au sud de la Lorraine, la Vôge est un plateau faisant partie du massif forestier dénommé dans l'Antiquité sylva Vosegus. Il abrite la ligne de partage des eaux entre la Méditerranée et la mer du Nord. Ses faibles reliefs ont permis, au moins depuis la Protohistoire, de relier les deux bassins versants par des itinéraires terrestres protégés par des éperons barrés. Dès le Haut Empire, de nouvelles voies pénétrantes ont traversé l'espace forestier à partir de Corre, facilitant entre autres la jonction entre la Saône et la Moselle ou la Meuse. Deux barrages, l'un sur la Saône, l'autre sur le Coney, semblent ainsi avoir été destinés à faciliter la navigation dans les hautes vallées, à l'intérieur d'un réseau de jonction commerciale entre le nord et le sud. Escles et Arches, qui restent avant tout des agglomérations rurales, constituent des jalons de ce réseau. L'habitat est principalement dispersé, marqué à l'ouest par une acculturation romaine plus forte qu'à l'est, ce qui s'explique par la proximité des grands axes routiers. Le plateau à l'est n'est pas désert pour autant, comme en témoignent de nombreux vestiges funéraires ou cultuels. Un sanctuaire de bordure de voie, dédié à Mercure, les aménagements de la source de la Saône et le complexe thermal de Plombières-les-Bains démontrent également que l'espace de la Vôge était parfaitement connu et maîtrisé par les Gallo-Romains. On y devine des activités économiques liées aux ressources de la forêt, du sous-sol et du commerce. Lieu de passage, la Vôge formait aussi une frontière entre les cités leuque et séquane ; la localisation précise des vestiges et l'observation minutieuse du relief permettent aujourd'hui de mieux connaître cette limite. / Located south of Lorraine, the Vôge is a table-land forming part of the forest called in the Antiquity sylva Vosegus. It houses the partition line of the waters going to the Mediterranean and the North Sea. Low hills allowed one, at least since the Protohistory, to link the two river basins by land routes protected by defensive spurs. Since the Roman Empire, penetrating roads crossed the forest from Corre, facilitating among others the junction between the Saône and the Meuse or the Moselle. Two dams, one on the Saône, the other on the Coney, seem to have been intended to facilitate navigation in the high valleys, within a network of commercial junctions between the north and the south. Escles and Arches, which remain primarily little rural agglomerations, are milestones of the network. The habitat is rather scattered, stronger marked by the Roman acculturation in the west than in the east, which is explained by the proximity of major roads. However, the plateau in the east was not a desert, as it is evidenced by many vestiges of worship or burial. A road?s sanctuary, dedicated to Mercury, the ruins in the source of the Saône, and the thermal complex in Plombières-les-Bains, also show that the space of Vôge was well known and used by the Gallo-Romans. Many clues suggest economic activities related to resources of the forest, of the subsoil, and of the trade. Besides being a place of passage, the Vôge formed also a border between the territories of Sequani and Leuci. The precise location of the remains, and the careful observation of the terrain, now allow to identify better this limit.
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Possessions et exorcismes dans l'hagiographie byzantine primitive (IVe-VIIe siècle)

Goudal, Aurélie January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La régénération de la France par l'Antiquité : les références antiques dans la presse révolutionnaire (1789-1794)

Guilbault, Marie-Hélène 29 August 2012 (has links)
Alors que les Français de 1789 souhaitaient s’éloigner de tout ce qu’avait été l’Ancien Régime, ils se tournèrent vers les civilisations antiques afin d’y trouver des modèles d’institutions à reproduire et de comportements politiques et moraux pour les citoyens. Cette présence de références antiques ne se retrouva pas seulement dans les discours tenus à l’Assemblée nationale, mais fut aussi très importante dans les journaux révolutionnaires grâce à la liberté de la presse nouvellement acquise. Les journalistes souhaitaient faire de leurs journaux l’agora des citoyens français. Cette thèse étudie donc l’utilisation des références antiques dans la presse révolutionnaire française. Elle s’intéresse à la manière dont les Révolutionnaires français s’en servirent et à la façon dont elles créèrent une rhétorique propre à chaque élément du spectre politique, qui donna naissance à divers types d’hommes politiques. Effectuée à partir d’un échantillonnage de journaux révolutionnaires couvrant l’ensemble du spectre politique, soit le courant radical, modéré et contre-révolutionnaire, de la période allant de 1789 à 1794, la méthode employée permit de démontrer les évolutions au sein des idéaux politiques et à travers le temps. Ce furent les événements tels que la fuite de Louis XVI à Varennes, le procès du roi ou encore les luttes de factions entre les Girondins et les Montagnards qui justifièrent le recours à l’Antiquité. Confrontés à l’inconnu, les journalistes tentèrent de se rassurer en cherchant des précédents chez les peuples romain et grecs. Ils se firent tour à tour tribuns du peuple pour éduquer leurs concitoyens, orateurs patriotes pour les secouer alors que la liberté était en danger, et « fils de Brutus » pour juger et condamner le roi. Ce phénomène longtemps associé aux Révolutionnaires était aussi présent dans les journaux contre-révolutionnaires. Alors que ces premier s’en servirent pour se distancier de l’Ancien Régime, les royalistes l’utilisèrent plutôt pour démolir les arguments de leurs ennemis et pour glorifier la monarchie. Ainsi l’Antiquité servit à l’ensemble du spectre politique de la Révolution. Sa présence fut plus significative en 1789 alors que la liberté de presse était totale et plus générique et moins recherchée à mesure que la censure fut rétablie.
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Le vide physique dans l'Antiquité : analyse du débat, de ses influences et de son dénouement

Girard, Guillaume 12 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire a pour but d'analyser le débat sur l'existence du vide dans la matière. Il n'existe présentement aucune étude récente qui effectue la synthèse de ce débat, qui présente les philosophes qui y ont participé et l'évolution des arguments des uns et des autres. De plus, les études antérieures traitant du sujet ont près d'un siècle et n'incluent pas les dernières théories d'analyse des débats scientifiques, savants ou philosophiques. Pour pallier à ce manque historiographique, différentes méthodologie d'analyse sont utilisées. En premier lieu, une présentation des acteurs du débat et de leurs arguments est effectuée pour établir les bases de l'analyse. L'approche de Kuhn a l'avantage d'identifier cette crise comme une « crise de la connaissance ». Le débat commence effectivement avec la disparition du courant philosophique moniste et la naissance de l'atomisme et de la théorie des quatre éléments, ce qui correspond à la description que fait Kuhn des périodes de crise. Ensuite, on s'inspire de Collins et de Bourdieu pour expliquer comment le débat antique s'est terminé. Le débat s'est naturellement essoufflé à la fin de l'Antiquité puisqu'il n'y avait plus assez de philosophes s'y intéressant pour le soutenir. Ceci porte à conclure que le débat antique n'a essentiellement servi qu'à jeter les bases qui traversent le Moyen Âge et la période moderne sans connaître de dénouement avant le XVIIIe siècle. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Antiquité, Vide, Débat, Atomisme, Pluralisme, Monisme
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Possessions et exorcismes dans l'hagiographie byzantine primitive (IVe-VIIe siècle)

Goudal, Aurélie January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les exemples grecs des Institutions grammaticales, héritages et doctrines / The Greek examples of institutiones grammaticae : legacies and doctrines

Conduché, Cécile 13 October 2012 (has links)
Le corpus de cette thèse est fourni par les exemples en langue grecque de la grande grammaire de Priscien, ouvrage rédigé dans le premier tiers du VIe siècle à Constantinople. La première partie est une longue introduction, qui présente un historique des recherches et évalue la fiabilité de l'édition de référence établie par Martin Hertz en 1855-1859. Un retour à la tradition manuscrite permet de proposer des amendements au texte grec. La deuxième partie présente une typologie de l'utilisation du grec dans la grammaire, à l'exclusion du vocabulaire technique. Ainsi, le recours au grec de Priscien est mis en relation avec la pratique des autres grammairiens latins de l'Antiquité tardive. Elle permet de relativiser l'idée d'une fonction purement heuristique du grec, éclaircissement du latin. La troisième partie consiste en une étude des sources grecques des exemples de Priscien, qu'elles soient nommées comme Apollonios Dyscole ou Hérodien, ou implicites comme la métrique ou les dialectologues. Priscien apparaît très proche, dans son maniement de la littérature technique d'époque romaine, de ses successeurs grammairiens d'époque byzantine. La quatrième et dernière partie se concentre sur la théorie et la pratique comparatistes de Priscien, en particulier dans son étude syntaxique. On y avance l'hypothèse que la recherche d'une correspondance entre faits de langue grecs et latins conduit à transférer des notions et des règles grammaticales du latin vers le grec. Le développement est complété par deux annexes : comparaison du texte des citations grecques de Priscien avec la tradition directe, accords entre les analyses de Priscien et celles des grammairiens grecs. / The Greek examples included in Priscian's comprehensive grammar of latin (Constantinople, ca. 525) make the corpus of this dissertation. The first part is an extended introduction which presents previous research on the topic and evaluates the reliability of Martin Hertz's received edition, established in 1855-59. Some emendations to the Greek text are argued for on the basis of a de visu examination of the manuscript tradition. The second part elaborates a typology of the uses of greek in the grammar, save for technical terms. Through that framework, Priscian's use of greek is confronted to late antique grammatical practice. Thus the idea of greek serving as an explanation of latin put in perspective. The third part studies the Greek sources of Priscian's examples, either quoted by name like Apollonius Dyscolus and Herodian, or tacitely used like metrics and dialectology. Priscian appears to handle imperial grammatical authors as later, Byzantine era grammarians do. The fourth focuses on Priscian's comparativist theory and practice, with particular attention to his syntax. We put forward the idea that the quest for conformity between Greek and Latin languages results in a transfer of grammatical rules and notions from latin to greek. Two appendices follow : a comparison of Priscian's text of Greek quotes with the direct tradition, and agreements between Priscian's analysis and that of Greek grammarians.
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Le corps féminin et ses représentations poétiques dans la latinité tardive / The Female Body and his Representations in Late Latin Poetry

Malick-Prunier, Sophie 21 June 2008 (has links)
La mise en évidence, dans les traditions classique et chrétienne, d’un principe dominant de dysfonctionnement et d’infériorité du corps féminin, aboutit au constat d’une stabilité notable dans les thèmes, les images et les procédés littéraires utilisés dans les poèmes figurant ce dernier, depuis la période classique jusqu’à la latinité tardive. Qu’il s’agisse de la puella, de la sponsa ou de la uirgo, le corps de la femme est le support d’un discours le plus souvent édifiant, où dominent les canons traditionnels de la beauté, associés aux vertus de fides, pietas et pudor. Pour autant, on observe un infléchissement remarquable dans la tonalité d’ensemble du discours poétique tardif sur le corps féminin : du fait, notamment, de la prédominance progressive des textes chrétiens, celui-ci bénéficie peu à peu des implications du mystère de l’Incarnation, jusqu’à devenir, nonobstant le discours de certains Pères, le paradigme de la glorification de la chair, permise par le sacrifice du Christ et chantée, grâce à toutes les ressources d’un art de la profusion, par les poètes. / A striking constancy in the use of themes, images and literary techniques in poems spanning from the Classical to the late Latin periods emerges once a prevailing principle in the Classical and Christian traditions is brought to the fore. According to this principle as revealed by these poems the female body is both dysfunctional and inferior. Whether it be the puella, the sponsa or the uirgo, the female body serves as the medium for an oft edifying discourse dominated by the traditional canons of beauty together with the virtues fides, pietas and pudor. It is nevertheless possible to underscore a notable shift in the tone of the late poetic discourse taken as a whole with respect to the female body : little by little the latter reaps the benefits from the growing influence of Christian texts and, in particular, from the implications of the mystery of Incarnation, to become the paradigm of the glorification of the flesh allowed by the sacrifice of Christ – this, notwithstanding the discourse of certain Fathers – and sung by the poets thanks to the resources afforded by a generous art form.
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La régénération de la France par l'Antiquité : les références antiques dans la presse révolutionnaire (1789-1794)

Guilbault, Marie-Hélène January 2012 (has links)
Alors que les Français de 1789 souhaitaient s’éloigner de tout ce qu’avait été l’Ancien Régime, ils se tournèrent vers les civilisations antiques afin d’y trouver des modèles d’institutions à reproduire et de comportements politiques et moraux pour les citoyens. Cette présence de références antiques ne se retrouva pas seulement dans les discours tenus à l’Assemblée nationale, mais fut aussi très importante dans les journaux révolutionnaires grâce à la liberté de la presse nouvellement acquise. Les journalistes souhaitaient faire de leurs journaux l’agora des citoyens français. Cette thèse étudie donc l’utilisation des références antiques dans la presse révolutionnaire française. Elle s’intéresse à la manière dont les Révolutionnaires français s’en servirent et à la façon dont elles créèrent une rhétorique propre à chaque élément du spectre politique, qui donna naissance à divers types d’hommes politiques. Effectuée à partir d’un échantillonnage de journaux révolutionnaires couvrant l’ensemble du spectre politique, soit le courant radical, modéré et contre-révolutionnaire, de la période allant de 1789 à 1794, la méthode employée permit de démontrer les évolutions au sein des idéaux politiques et à travers le temps. Ce furent les événements tels que la fuite de Louis XVI à Varennes, le procès du roi ou encore les luttes de factions entre les Girondins et les Montagnards qui justifièrent le recours à l’Antiquité. Confrontés à l’inconnu, les journalistes tentèrent de se rassurer en cherchant des précédents chez les peuples romain et grecs. Ils se firent tour à tour tribuns du peuple pour éduquer leurs concitoyens, orateurs patriotes pour les secouer alors que la liberté était en danger, et « fils de Brutus » pour juger et condamner le roi. Ce phénomène longtemps associé aux Révolutionnaires était aussi présent dans les journaux contre-révolutionnaires. Alors que ces premier s’en servirent pour se distancier de l’Ancien Régime, les royalistes l’utilisèrent plutôt pour démolir les arguments de leurs ennemis et pour glorifier la monarchie. Ainsi l’Antiquité servit à l’ensemble du spectre politique de la Révolution. Sa présence fut plus significative en 1789 alors que la liberté de presse était totale et plus générique et moins recherchée à mesure que la censure fut rétablie.

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