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A position on architectural educationWitter, Kevin Glenn 12 March 2009 (has links)
PART I
I believe we are products of the age in which we live. Contemporary thinking shapes our historical present and reinterprets our historical past. This world is shaped by many keyhole views. The cornerstones of knowledge are built on a foundation of theory and objective reality. However, the fundamental underpinning of knowledge and theory lies in our perception of reality itself. The old cliche, “you don’t know what you have until you lose it,” is a perspective from which we can evaluate that which preceded as well as the threshold of new thought. A construction of reality is fundamental, yet particular to the temporal context. I propose to explore these issues and their relationship to judgement and decision making processes in design. The approach will be essentially pluralistic.
PART II
The uncertainty of the historical present is coupled with a hope for the future. For many architects the future holds their vision and inspiration. The future is, after all, the horizon we travel toward. Man is now expanding this horizon to space and other planets with alternative environments. Part II will explore architecture as atmosphere, landscape and dwellings through a collection of paintings free of the constraints of existing technology and theory. Architecture must first exist in the mind and heart before it can come into being. / Master of Architecture
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Perspective vol. 14 no. 5 (Oct 1980)Middleton, J. Richard, Westerhof, Jack, Marshall, Paul A. 31 October 1980 (has links)
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Perspective vol. 14 no. 5 (Oct 1980) / Perspective: Newsletter of the Association for the Advancement of Christian ScholarshipMiddleton, J. Richard, Westerhof, Jack, Marshall, Paul A. 26 March 2013 (has links)
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Concevoir le contexte de l'architecture: réalité habitée et réalité projetée dans trois doctrines du 20e siècleMarbehant, Sylvain 21 October 2014 (has links)
Cette thèse de doctorat développe un questionnement de nature épistémologique à propos du domaine architectural et des connaissances qui lui sont associées. La théorie architecturale se distingue par la grande diversité de ses formes, par la multiplicité des acteurs qui la mobilisent et surtout par la grande complexité de l'objet qu'elle vise :l'œuvre architecturale. Pour pouvoir aborder de manière lucide ces différents filtres, nous proposons d'en décoder les origines pour une notion théorique particulière: le contexte de l'œuvre architecturale.<p>Le contexte d'une œuvre rassemble l'ensemble des conditions matérielles, sociocognitives et culturelles qui contribuent à sa signification. Cependant l'interprétation d'un contexte est souvent faite de manière équivoque tant les sources du sens sont multiples et variées pour l'architecture. <p>Un examen rapide de l'évolution de la culture architecturale dans le courant du 20e siècle permet de situer la grande popularité de la question du contexte dans la seconde moitié de ce siècle. L'importance du contexte y apparaissait comme une force effective pour endiguer la crise du sens que connaissait l'architecture. Une sensibilité commune émergea au sein de trois courants architecturaux – appelés dans cette étude la Team 10, les Italiens et les Américains. Tous fondaient leurs interprétations sur l'idée que les conditions matérielles et historiques d'une situation donnée participent à la signification que prend l'œuvre architecturale chez ses habitants. Ils en déduisirent une série de notions originales qui constituent l'objet de cette étude.<p>Au moment du repli théorique amorcé au moment du postmodernisme, ces interprétations furent formalisées au sein de trois doctrines :le structuralisme, le rationalisme et le contextualisme. Dans ce cadre doctrinal, à chaque situation donnée pouvaient correspondre plusieurs contextes élaborés a priori et conditionnant sans détour l'œuvre architecturale qui y prenait place. Ainsi, alors que la signification d'un contexte est liée à sa spécificité, ces interprétations formalisées encourageaient la reproduction de stratégies d'interventions architecturales abstraites de toute contingence. <p>La critique du postmodernisme expliqua ces pratiques caricaturales par l'oubli du rôle actif des auteurs architectes dans le travail d'interprétation du contexte d'une œuvre. Un contexte ne doit pas être interprété seulement en tant que réalité habitée – trouvant son sens chez les habitants de l'œuvre – mais aussi en tant que réalité projetée. – trouvant son sens dans la conception de l'œuvre. <p>La première hypothèse de cette recherche avance qu'au sein des trois courants à l'origine des doctrines du structuralisme, du rationalisme et du contextualisme s'exprimait consciemment cette différence entre réalité habitée et réalité projetée. Si les formalisations doctrinales écartèrent l'importance de l'engagement créatif des architectes dans l'interprétation d'un contexte n'avait pas été oubliée chez les principaux auteurs de ces trois courants. La seconde hypothèse de cette recherche avance que l'interprétation d'un contexte en tant que réalité projetée est nécessaire pour renouveler le sens de l'œuvre qui y est associée. Par l'engagement de l'auteur architecte, peut naître une relation spécifique entre l'œuvre architecturale et son contexte, spécificité garante de la signification.<p>Ces deux hypothèses s'appuient sur deux développements. D'abord un double inventaire des principales notions relatives à la compréhension du contexte de l'œuvre architecturale en tant que réalité habitée et en tant que réalité projetée. Ces inventaires sont illustrés par quelques projets exemplaires traduisant l'impact de ces interprétations sur l'architecture construite. Ensuite par une réflexion théorique plus générale développant la relation possible entre la connaissance architecturale et l'œuvre au sein d'une réalité projetée. A la suite de ce second développement de nature épistémologique, nous avançons que par la nature intermédiaire que prennent les connaissances dans le cadre d'une réalité projetée, il s'instaure une relation de réciprocité – et non pas d'autorité - entre le théorique et le pratique.<p> / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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A Productive Misunderstanding? Architecture Theory and French Philosophy 1965 to 1990Berankova, Jana January 2023 (has links)
In this dissertation, I investigate connections between French philosophy and the theory of architecture from the mid-1960s to the early 1990s. In the mid-1960s, many architects became acutely aware of the crisis of modern architecture embodied in the failings of social housing, the routinized corporate modernism of the postwar period, and the commodification of design. They questioned the principles of the Modern Movement and emphasized the “arbitrary” nature of the relationship between form and function while turning to French structuralism, semiology, and post-structuralism for potential answers. My period of study spans from the the period of political uprisings of the 1960s to the advent of digital design in the early 1990s.To date, little in-depth research has been done on the close relation between French philosophy and architecture in this period and its role in foreshadowing postmodern developments.
My dissertation addresses this gap by presenting case studies of the theoretical work of six different architects: Aldo Rossi, Alan Colquhoun, Mario Gandelsonas and Diana Agrest, Bernard Tschumi, and Peter Eisenman. These case studies share a common thread: a preoccupation with structuralist and poststructuralist concerns with language. However, concepts such as “structure,” “event,” and “meaning” often have different meanings for each of these architects. Thus, my project could be described as a history and criticism of architectural theory—one that focuses specifically on the dissonances and contradictions present within the theoretical writings of these architects, while examining the polemics and discussions between them. I consider their built work only to the extent that it helps to elucidate or challenge theoretical concepts.
Thus, in my case study on Aldo Rossi’s writings, I interrogate the analogy between the structuralist concern for articulating discrete and finite linguistic units and the latter’s notion of “type” and urban morphology. In the chapter on Alan Colquhoun, I discuss the influence that the work of Roland Barthes, Claude Lévi-Strauss, and Ferdinand de Saussure had on his reflections about “meaning” and “convention” in architecture. In the case study on the work of Diana Agrest and Mario Gandelsonas, I examine the extent to which their understanding of “theory” and of “ideology” is indebted to the work of Louis Althusser and trace the influence of Roland Barthes, whose seminar on S/Z they attended in Paris before moving to New York in 1971. Likewise, I analyze the role that thinkers such as Henri Lefebvre, Roland Barthes, and the Tel Quel circle in the late 1970s, and Jacques Derrida in the early 1980s had on Bernard Tschumi’s writings on the “polysemy of meaning” and on the “event.” Finally, I examine Peter Eisenman’s collaboration with Jacques Derrida in the 1980s questioning Eisenman’s eclectic appropriation of Derrida’s philosophical concepts.
Besides elucidating this significant period of architecture in which many of the fundamental principles of modern architecture were overturned, in the conclusion of this study, I discuss briefly the “post-critical turn” in the architectural scholarship of the past two decades with the hope of challenging its basic assumptions. My hope is to contribute, through its critical reevaluation, to theory’s renewal.
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Association des idées et intuition: la réponse des architectes anglais à la Querelle des Anciens et des ModernesBigonville, Delphine 27 May 2011 (has links)
Ce travail s’intéresse au problème de la relativisation de l’expression architecturale liée à la remise en question, durant le XVIIe siècle, de l’origine divine et de la valeur des canons proportionnels qui sous-tendent la tradition classique. Emblématique de la Querelle qui opposa Claude Perrault et François Blondel au sein de l’Académie royale de Paris, ce problème recevra une formulation privilégiée dans la tradition théorique anglaise qui se caractérise par la volonté de préserver une forme d’objectivité à l’expression formelle tout en cherchant à y intégrer la valeur subjective de l’usage. A travers l’étude de textes esthétiques et de théories d’architecture produits en Angleterre durant le XVIIIe siècle et le début du XIXe siècle, nous avons cherché à identifier les différentes solutions proposées par les théoriciens pour parvenir à concilier le sujet et l’objet dans la forme architecturale et ainsi aboutir à une expression qui autorise l’appropriation individuelle tout en satisfaisant à l’impératif du consensus. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La rythmanalyse chez Henri Lefebvre (1901-1991) : contribution à une poétique urbaine / Henri Lefebvre's Rhythmanalysis as a form of Urban PoeticsRevol, Claire 05 October 2015 (has links)
Cette thèse propose d'explorer les textes que Henri Lefebvre (1901-1991) a consacré à un projet de connaissance des rythmes, une « rythmanalyse », terme qu'il emprunte à Gaston Bachelard, pour contribuer à ce que nous appelons une poétique urbaine. Henri Lefebvre a laissé une œuvre fondatrice dans les études urbaines contemporaines en théorisant l'avènement de la société urbaine moderne et en produisant une théorie critique de l'urbanisme et des espaces et des temps sociaux qui en résultent. Nous montrons que la théorie critique est solidaire d'une poétique issue du romantisme révolutionnaire de l'auteur, qu'il développe au contact de pratiques artistiques, notamment celles de l'Internationale Situationniste. À l'encontre de ce qu'il analyse comme le processus d'abstraction de l'espace et du temps urbain, la rythmanalyse fait partie de la quête d'un espace-temps approprié à même de métamorphoser la société urbaine et de restituer le corps total, afin que l'urbain devienne l’œuvre de l'homme. Lefebvre ne propose pas seulement une méthodologie qualitative d'observation des rythmes, mais une expérimentation rythmanalytique, dont nous pouvons imaginer la pratique sous la forme de l'utopie expérimentale. La rythmanalyse fournit ainsi les idées directrices d'une poétique appliquée, à même de créer des formes, des textures et des styles pour l'habiter urbain. Cette poétique urbaine, à la fois création et connaissance, procède par des pratiques expérimentales et restitue le jeu rythmique qui enrichit l'expérience esthétique de l'espace et du temps urbain. / This thesis proposes to explore the texts that Henri Lefebvre (1901-1991) devoted to his project of understanding rhythms, his « rhythmanalysis », a term borrowed from Gaston Bachelard, to contribute to what we call an urban poetics. Henri Lefebvre has produced fundamental work in contemporary urban studies in both his theorization of the advent of modern urban society, and his elaboration of a critical theory of urban planning with its resultant social spaces and temporalities. We show that this critical theory unfolds in line with his construction of a poetics, which is inspired by the revolutionary romanticism that the author developed through his contact with artistic practices, especially those of the Situationnist International. Against his analysis of abstraction as an inherent process of urban space and time, his rhythmanalysis contributes to the creation of an appropriate space-time, with its ability to transform urban society and reconfigure the Total body so that what is urban can be instead considered a work of art. Lefebvre provides not only a qualitative methodology for the observation of rhythms, but also the outline of a rhythmanalytic experimentation, which can be associated with the practices of an experimental utopia. Rhythmanalysis offers guidelines for an applied poetics; it goes as far as creating forms, textures and styles for urban living. This urban poetics, simultaneously a creative act and one steeped in knowledge, proceeds through experimentation and restores the rhythmic game that enriches our aesthetic experience of urban space and time.
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