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Arrowmont at Loghaven craft and art /

Bailey, Karen January 2009 (has links)
Thesis (M. Arch.)--University of Tennessee, Knoxville, 2009. / Title from title page screen (viewed on Mar. 11, 2010). Thesis advisor: William Rudd. Vita. Bailey appendix II.pdf (18364 KB) link located at bottom of [Article summary page]. Includes bibliographical references.
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Sacred and civic stone monuments of the northwest Roman provinces

McGowen, Stacey Lynne January 2009 (has links)
No description available.
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Tracer des reprises du Pragmatisme en architecture (1990-2010). Penser l'engagement des architectes avec le réel.

Lefebvre, Pauline 28 September 2016 (has links)
Cette thèse porte sur les récents succès du pragmatisme en architecture. Elle s’intéresse particulièrement aux moments où le terme ‘pragmatisme’ prend un sens philosophique, lorsqu’une alliance est établie avec le courant de pensée entamé par Peirce, James et Dewey à la fin du 19ème siècle. L’objectif est de considérer à nouveaux frais la manière dont le terme a été discuté quand le milieu (principalement nord-américain) de la théorie de l'architecture s’est mis à aspirer à « un nouveau pragmatisme architectural » dans les années 1990 et 2000. Certains architectes ont commencé à réclamer une refocalisation sur les aspects pratiques de l’architecture, face à une discipline qui était devenue très théorique, surtout du fait des récents succès de la théorie critique allemande et du structuralisme et poststructuralisme français. Ils se désintéressaient de ces influences théoriques difficiles et mettaient surtout en cause la forme discursive que l’architecture s’était mise à prendre. Ils défendaient un retour à la pratique, à son aspect expérimental, projectif. Ce mouvement a soulevé beaucoup d’objections de la part de penseurs qui craignaient que ce tournant pro-pratique, anti-théorique ou encore « post-critique » ne prive les architectes des garde-fous assurés par la distance critique et ne les mène tout droit dans les affres de l’instrumentalisme, de l’anti-intellectualisme, et surtout de la complicité avec le marché ou le pouvoir. Mes recherches explorent les rares occasions où une philosophie alternative – le Pragmatisme – a été introduite pour tempérer ce mouvement anti-théorie. Dans ce contexte, certains ont considéré le Pragmatisme comme une alternative américaine secourable pour succéder aux philosophies continentales. Malgré ces tentatives, le Pragmatisme est très rarement considéré comme une véritable alternative à la théorie critique, du point de vue de la posture politique qu’il engendrerait :ceux qui redoutent les conséquences de l’attitude désinvolte des post-critiques n’admettent pas que le Pragmatisme puisse offrir des formes différentes d’engagement politique et de responsabilités morales, qui soient plus ancrées dans la pratique, sans être pour autant moins exigeantes. La thèse s’empare de cet angle mort, de ce manque de confiance face aux promesses du Pragmatisme. Elle met en évidence les contributions qui ont choisi le Pragmatisme comme alternative à la critique ou du moins comme moyen de repenser les engagements des architectes à nouveaux frais, loin du réquisit de distanciation et d’autonomie imposé par la critique. La thèse prolonge encore cette exploration par un travail spéculatif, sous la forme de « et si ». Au travers d’une lecture approfondie des premiers pragmatistes, une série d’essais ponctuent la cartographie des récents succès du Pragmatisme en architecture, afin de penser – avec cette philosophie – l’engagement des architectes avec le réel. / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme (Architecture) / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'Église et le monument religieux : le diocèse de Nantes pendant la période concordataire (1802-1905) / Catholic Church and religious monument : the Diocese of Nantes during the Concordat (1802- 1905)

Haugommard, Stéphane 13 October 2011 (has links)
Le Concordat, qui permet le retour à la paix civile et le rétablissement du culte, est accueilli avec soulagement dans un diocèse de Nantes durement éprouvé par la décennie révolutionnaire. Il instaure un régime neuf dans lequel la religion catholique, de même que les autres cultes reconnus, est protégée et financée par l'État mais également placée sous la surveillance du pouvoir civil. Les édifices et les objets religieux nationalisés en 1789 sont mis à la disposition du clergé et des fidèles mais demeurent des propriétés publiques. L'affectation exclusive à l'exercice du culte place néanmoins l'Église dans un rôle qui lui permet de faire prévaloir les besoins religieux sur le droit de propriété ou sur les considérations archéologiques qui apparaissent au cours du XIXe siècle. Le système concordataire crée les conditions d'une transformation spectaculaire des édifices religieux, agrandis, modifiés ou remplacés pour répondre aux besoins du culte, laissant peu de place à la conservation des monuments anciens et prenant dans le diocèse de Nantes le caractère d'unevéritable table rase. L'Église semble pourtant adhérer au mouvement général de reconnaissance des monuments religieux, apportant son concours aux politiques publiques et contribuant aux initiatives du milieu érudit. Cette participation reste cependant superficielle et révèle des motivations inconciliables avec les préoccupations archéologiques. L'engouement pour un passé monumental largement idéalisé provoque, au lieu de la conservation de ses vestiges matériels, la naissance d'une architecture et d'un art religieux nouveaux, inspirés des formes médiévales mais répondant aux besoins contemporains du culte et à des constructions symboliques propres à l'Église du XIXe siècle / The French Concordat, which brings back civil peace and restores the exercise of worship, is welcomed by the diocese of Nantes after the Revolution decade. A new regime is established for the Catholic religion, which is protected and financed by the State but also placed under control of civil authorities. The churches and the liturgical objects nationalized in 1789 are left at the disposal of the clergy and the believers but remain in the public domain. With this exclusive use for worship, the Catholic Church is given a preponderant role, in which the needs of religion prevailing over the property right and the archaeological considerations born in the 19th century. The Concordat system creates the conditions of an entiretransformation, particularly impressive in the diocese of Nantes: the religious buildings are enlarged, modified or replaced to satisfy religious needs without taking into account archaeological conservation. Nevertheless, the Church seems to provide support to the public policies and to private initiatives for the recognition of religious monuments. However, the ecclesiastical contribution remains superficial and reveals motives inconsistent with archaeological concerns. The infatuation for an idealized past does not produce the conservation of material remains but on the contrary the birth of a new religious art, adapted to the contemporary needs of the exercise of worship and to the symbolic constructions specific to the 19th century Church
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Le tournant esthétique de la participation urbaine à l'épreuve de la société civile: Une recherche en terrains bruxellois

Houlstan-Hasaerts, Rafaella 14 February 2019 (has links) (PDF)
Cette thèse porte sur les articulations entre esthétique et politique au sein de la participation urbaine, et, plus particulièrement sur les promesses politiques d’une participation urbaine qui ferait la part belle à l’expression, la figuration, l’imagination et la création, ainsi qu’aux dimensions incarnée, sensible, attachée, affective et émotionnelle de nos rapports à la ville. Ainsi, il semblerait que des engagements et des intérêts « esthétiques » puissent favoriser l’empowerment et l’émancipation ;l’inclusion démocratique et la symétrisation des pouvoirs ;des manières renouvelées de vivre ensemble et de créer en commun. Des promesses de cet ordre sont au cœur de ce que je propose de nommer un tournant esthétique de la participation urbaine institutionnelle, c’est-à-dire, le passage d'une conception délibérative de la participation, pensée sur le modèle du « forum » à une conception esthétique de la participation, pensée sur le modèle de l’« atelier ». Or, déjà, des voix critiques s’élèvent. Certains soulignent les risques de dépolitisation qui accompagnent l’esthétisation de la participation et de l’expérience urbaines. D’autres, a contrario, soulignent le risque de subordination de l’esthétique au consensus démocratique et à l’éthique, au détriment de la qualité urbaine et de l’autonomie de la création. Certains pointent moins l’articulation esthético-politique, que des facteurs externes susceptibles de la mettre en péril. En cause, les suspects usuels :les institutions et le capitalisme. L’objectif de cette thèse est de prendre au sérieux ces critiques, sans abandonner les exigences politiques d’une participation où la part qualitative de notre expérience urbaine trouverait une place. La proposition ici faite pour y parvenir est de décentrer le regard, en ne s’intéressant pas directement aux dispositifs institutionnels de participation. Ma première hypothèse, plutôt de nature factuelle, pose que les promesses politiques du tournant esthétique de la participation urbaine débordent son versant institutionnel, qu’elles prennent entre autres leurs sources dans des mobilisations et initiatives de citoyens, de militants, de créateurs engagés qui, depuis les luttes urbaines des années ’60, scandent l’histoire de la production de la ville. Cette hypothèse a des implications « généalogiques », dans la mesure où elle incite à relire l’histoire de la participation urbaine institutionnelle non seulement à l’aune de son « esthétisation », mais également en mettant en évidence les liens de parenté voire parfois de filiation directe entre cette esthétisation et des dynamiques participatives émanant de mouvements sociaux et de la contre-culture. La seconde hypothèse est plutôt de nature normative et a des implications évaluatives et prospectives. Elle pose que c’est au sein de mobilisations et d’initiatives de la société civile que des promesses dont est également assorti le tournant esthétique de la participation urbaine institutionnelle se sont le mieux incarnées, et que celles-ci fournissent des leviers de résistance face aux critiques dont il est l’objet. Enfin, les deux hypothèses mises bout à bout nous invitent à nous interroger sur les manières dont l’institution a plus ou moins bien accueilli ces tentatives. Mesurer les écarts entre ces moments de politique vivante et leurs éventuelles percolations dans des dynamiques participatives ultérieures, permet de saisir comment nous avons hérité de ces mobilisations et initiatives de la société civile et, éventuellement, comment nous pourrions mieux en hériter. / This thesis is about the connections between aesthetics and politics in urban participation and, more particularly, about the political promises of an urban participation that seemingly gives priority to expression, figuration, imagination and creation as well to the embodied, sensitive, attached, affective and emotional dimensions of our relations to the city. It would therefore seem that ‘aesthetic’ engagements and interests can promote empowerment and emancipation; democratic inclusion and the symmetrization of power; renewed ways of living together and creating collectively. Such promises are at the heart of what I propose to call an aesthetic turn of institutional urban participation, i.e. the passage from a deliberative conception of participation, conceived following the model of the “forum”, to an aesthetic conception of participation, conceived following the model of the “workshop”. And yet critical voices are already being raised. Some underline the risk of depoliticization that accompanies the aestheticization of urban participation and experience. Others, by contrast, emphasize the risk that aesthetics will be subordinated to democratic consensus and to ethics, at the expense of urban quality and of creative autonomy. Some highlight less the politico-aesthetic connection than external factors liable to jeopardize it. At issue, the usual suspects: the institutional framework and capitalism. The objective of this thesis is to take these critiques seriously without losing sight of the political demands of a participation in which the qualitative part of our urban experience would find a place. The proposal made here to achieve this objective is to decentre the gaze by not taking a direct interest in institutional mechanisms of participation. My first hypothesis, of a rather factual nature, posits that the political promises of the aesthetic turn of urban participation exceed its institutional facet, that they find their source in, among other things, mobilizations and initiatives taken by citizens, activists, engaged creators who, since the urban struggles of the 1960s, have marked the history of urban production. This hypothesis has “genealogical” implications, insofar as it encourages a rereading of the history of urban institutional participation not only in the context of its “aestheticization” but also by highlighting the at times direct relations between this aestheticization and participatory dynamics emanating from social movements and the counterculture. The second hypothesis is of a rather normative nature and has both evaluative and prospective implications. It posits that it is within the mobilizations and initiatives of civil society that the promises which also come with the aesthetic turn of institutional urban participation were best embodied, and that these provide levers of resistance against the critiques of which it is the target. Lastly, placed back to back, the two hypotheses invite us to question the extent to which the institutions have welcomed these attempts. Measuring the distances between these moments of live politics and their potential percolations to ulterior participatory dynamics makes it possible to understand how we inherited these mobilizations and initiatives from civil society and, possibly, how we could better inherit them. / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme (Architecture) / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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DU DEDANS AU DEHORS. Connexions à partir d’un espace public d'une ville multiple :Ajacẹ́, Xọgbonú, Porto-Novo (Sud-Bénin)

Tassi, Sara 16 December 2019 (has links) (PDF)
La présente recherche s’intéresse à la notion d’espace public dans les villes d’origine précoloniale du Sud-Bénin.À partir d’un travail de terrain dans la région de Porto-Novo, elle se focalise sur la dimension concrète de cette notion. Elle interroge les formes spatiales qui y sont associées et la manière dont ces dernières se transforment en interaction avec des pratiques, des discours, des normes. L’hypothèse suggère que ces formes spatiales peuvent fonctionner comme des indices. Leur qualification permet d’investiguer les manières dont la notion d’espace public – forgée dans l'histoire des sciences sociales européennes – a été interprétée, digérée, détournée dans des contextes où les principes d’aménagements européens ne sont que partiellement opérants (quartiers d’origine précoloniale, lieux sacrés, ). Concrètement, la recherche trouve son origine dans un constat :aujourd’hui à Porto-Novo, le terme espace public désigne des espaces aux statuts très divers, dont un grand nombre sont directement rattachés aux maisons familiales. Cette constatation nous a poussé à construire la thèse à partir de mouvements d’aller-retour entre l’intérieur et l’extérieur des maisons familiales. Dans ces mouvements, une attention particulière est accordée aux détails concrets. Ces derniers sont ici appréhendés comme des traces, des indices de la manière dont une pluralité d'êtres cohabitent dans un même espace. Chaque élément permet alors de faire émerger des rapports de continuité et de discontinuité autres que ceux suggérés par la proximité spatiale ;des rapports qui engagent à dépasser les limites conventionnelles du quartier, du tissu historique ainsi que de la ville administrative.Pour ce faire, la thèse s’appuie sur un travail situé de relevé et d’écoute en action. Ce qui implique une contamination entre les outils propres aux architectes et urbanistes (le dessin d’architecture, principalement) et ceux qui relèvent d’autres champs disciplinaires tels que la géographie, les sciences sociales, etc. C’est par le biais de cette contamination que la présente recherche tente de problématiser le concept moderne de ville et de rejouer les oppositions binaires qui l’accompagnent (public/privé, sacré/profane.). / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme (Architecture) / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Inhaltsverzeichnis und Vorwort

Müller-Bechtel, Susanne, Jahn, Peter Heinrich 06 September 2019 (has links)
No description available.
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Modest attachments: An inquiry into the potentialities of material spaces in a psychiatric day care centre

D'Hoop, Ariane 20 June 2018 (has links)
Les lieux de soin institutionnels ont été fortement transformés par les secousses qu’a connu le champ psychiatrique depuis un demi-siècle. Aujourd’hui, des équipes de soignants travaillent dans des centres de soin plus petits, à l’intérieur des villes, plutôt que dans les espaces disciplinaires des hôpitaux. Cette thèse conduit le lecteur dans l’un de ces lieux, un centre de jour pour adolescents à Bruxelles. Elle plonge dans les détails de ses aménagements matériels et ordinaires, et pose ces questions :Comment fonctionnent les espaces matériels dans la pratique quotidienne d’un centre psychiatrique ?Comment contribuent-ils au soin institutionnel ?Quelles en sont les potentialités, avec leurs tensions, leurs réussites, leurs échecs ?Au long de sept chapitres, la thèse décrit la manière dont ces espaces contribuent à faire émerger des attachements modestes. Les attachements modestes sont des inclinations modérées et variées, qui prolifèrent alors que les soignants tentent de susciter la moindre de ces appréciations par le biais de l’environnement matériel. Ces espaces jouent un rôle actif dans la constitution de diverses manières de devenir attaché, allant des petites affinités qui se manifestent au fil de la journée jusqu’aux goûts qui finissent par revêtir une grande importance. Le récit suit trois fils conceptuels enchevêtrés, chacun accentuant une dimension de l’enquête. Le premier fil est une ethnographie du soin institutionnel, hérité des communautés thérapeutiques. Ce travail communautaire est déconsidéré dans le champ psychiatrique actuel. Or il crée des possibilités pour les patients – particulièrement pour les plus réticents à la prise en charge :il les invite à répondre par le biais de leurs affinités et désintérêts, au lieu de se voir compris au prisme des déficiences d’une maladie. Cette thèse suit comme second fil le développement d’une approche des espaces matériels saisis du point de vue de leurs potentialités. Cette approche prête une attention ethnographique aux possibilités qu’ouvrent ou non les espaces dans leurs interactions avec ceux qui donnent ou reçoivent le soin. Elle développe par là une sensibilité matérielle-sémiotique à l’égard de la matérialité d’un lieu, afin de voir comment des idées prennent forme dans et avec les aménagements matériels, au cours de la pratique de soin. Le troisième fil met au travail le concept d’« attachement ». Celui-ci désigne la co-constitution d’affinités, de choses, d’engagements corporels et de collectifs, qui se développe quand une personne ou un groupe en vient à tenir à quelque chose. Dans le centre de jour, les attachements sont souvent des appréciations modestes, d’intensité tranquille, diffuses et diluées dans des moments informels et des activités journalières :une place assise devient familière, un regard s’attarde sur une peinture exposée ou encore un jeu vidéo déclenche un intérêt temporairement partagé. La thèse témoigne des potentialités des espaces matériels pour éveiller et renforcer de tels attachements modestes et montre comment ceux-ci contribuent de façon significative au travail de soin. / Institutional care buildings have been largely transformed as the psychiatric field has undergone significant changes over the last fifty years. Instead of the disciplining spaces of hospitals, teams of caregivers now work in smaller centres located in the community. This thesis brings the reader into one of these places, a psychiatric day care centre for teenagers in Brussels. It dives into the details of its everyday material arrangements, and asks, How do material spaces work in the everyday practice of a psychiatric centre? How do they contribute to institutional care? What are their potentialities, with their tensions, successes, and failures? Presented over seven chapters, the dissertation describes how these spaces help make modest attachments emerge. ‘Modest attachments’ proliferate as caregivers attempt to spark even the smallest appreciations by mediation of the material environment. Material spaces play active roles in enacting various ways of becoming attached, from small affinities in the everyday flow, towards appreciations that become of great concern. The narrative follows three conceptual threads, each accentuating a dimension of the inquiry. The first thread of the thesis is an ethnography of institutional care, shaped by the notion of therapeutic communities. This community work with patients is given less importance in today’s psychiatric field. Yet, such a care work creates possibilities for patients – especially for those most reluctant to being cared for: it invites them to respond with their specific affinities and disinterests, rather than being understood through the deficiencies of a disease. The thesis develops an approach towards the potentialities of material spaces. This approach pays ethnographic attention to the possibilities that material spaces unleash in interactions with those giving and receiving care. It therefore develops a material-semiotic sensibility regarding the materiality of a place, looking at how ideas take shape in and with the material arrangements of the space involved in the ongoing care practice.The third thread elaborates the concept of ‘attachments’, a term that designates the co-creation of affinities, things, bodily engagements, and collectives, that develop when a person or a group comes to strongly like something. In the day centre, attachments are often modest appreciations, of quiet intensity, diffuse and dilute in informal moments and daily activities: a seat that become familiar, a displayed drawing that draws a lingering gaze, or a videogame that spark a momentary shared interest. The thesis witnesses the potentialities of material spaces for awakening and strengthening such modest attachments and shows how these significantly contribute to the care work. / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme (Architecture) / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Concevoir le contexte de l'architecture: réalité habitée et réalité projetée dans trois doctrines du 20e siècle

Marbehant, Sylvain 21 October 2014 (has links)
Cette thèse de doctorat développe un questionnement de nature épistémologique à propos du domaine architectural et des connaissances qui lui sont associées. La théorie architecturale se distingue par la grande diversité de ses formes, par la multiplicité des acteurs qui la mobilisent et surtout par la grande complexité de l'objet qu'elle vise :l'œuvre architecturale. Pour pouvoir aborder de manière lucide ces différents filtres, nous proposons d'en décoder les origines pour une notion théorique particulière: le contexte de l'œuvre architecturale.<p>Le contexte d'une œuvre rassemble l'ensemble des conditions matérielles, sociocognitives et culturelles qui contribuent à sa signification. Cependant l'interprétation d'un contexte est souvent faite de manière équivoque tant les sources du sens sont multiples et variées pour l'architecture. <p>Un examen rapide de l'évolution de la culture architecturale dans le courant du 20e siècle permet de situer la grande popularité de la question du contexte dans la seconde moitié de ce siècle. L'importance du contexte y apparaissait comme une force effective pour endiguer la crise du sens que connaissait l'architecture. Une sensibilité commune émergea au sein de trois courants architecturaux – appelés dans cette étude la Team 10, les Italiens et les Américains. Tous fondaient leurs interprétations sur l'idée que les conditions matérielles et historiques d'une situation donnée participent à la signification que prend l'œuvre architecturale chez ses habitants. Ils en déduisirent une série de notions originales qui constituent l'objet de cette étude.<p>Au moment du repli théorique amorcé au moment du postmodernisme, ces interprétations furent formalisées au sein de trois doctrines :le structuralisme, le rationalisme et le contextualisme. Dans ce cadre doctrinal, à chaque situation donnée pouvaient correspondre plusieurs contextes élaborés a priori et conditionnant sans détour l'œuvre architecturale qui y prenait place. Ainsi, alors que la signification d'un contexte est liée à sa spécificité, ces interprétations formalisées encourageaient la reproduction de stratégies d'interventions architecturales abstraites de toute contingence. <p>La critique du postmodernisme expliqua ces pratiques caricaturales par l'oubli du rôle actif des auteurs architectes dans le travail d'interprétation du contexte d'une œuvre. Un contexte ne doit pas être interprété seulement en tant que réalité habitée – trouvant son sens chez les habitants de l'œuvre – mais aussi en tant que réalité projetée. – trouvant son sens dans la conception de l'œuvre. <p>La première hypothèse de cette recherche avance qu'au sein des trois courants à l'origine des doctrines du structuralisme, du rationalisme et du contextualisme s'exprimait consciemment cette différence entre réalité habitée et réalité projetée. Si les formalisations doctrinales écartèrent l'importance de l'engagement créatif des architectes dans l'interprétation d'un contexte n'avait pas été oubliée chez les principaux auteurs de ces trois courants. La seconde hypothèse de cette recherche avance que l'interprétation d'un contexte en tant que réalité projetée est nécessaire pour renouveler le sens de l'œuvre qui y est associée. Par l'engagement de l'auteur architecte, peut naître une relation spécifique entre l'œuvre architecturale et son contexte, spécificité garante de la signification.<p>Ces deux hypothèses s'appuient sur deux développements. D'abord un double inventaire des principales notions relatives à la compréhension du contexte de l'œuvre architecturale en tant que réalité habitée et en tant que réalité projetée. Ces inventaires sont illustrés par quelques projets exemplaires traduisant l'impact de ces interprétations sur l'architecture construite. Ensuite par une réflexion théorique plus générale développant la relation possible entre la connaissance architecturale et l'œuvre au sein d'une réalité projetée. A la suite de ce second développement de nature épistémologique, nous avançons que par la nature intermédiaire que prennent les connaissances dans le cadre d'une réalité projetée, il s'instaure une relation de réciprocité – et non pas d'autorité - entre le théorique et le pratique.<p> / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le plan libre, syncrétisme de la modernité corbuséenne: essai de clarification du concept de plan libre dans l'oeuvre architectural de Le Corbusier

Burniat, Patrick 11 June 2008 (has links)
Le sujet de la thèse —la clarification du concept de plan libre dans l’œuvre architectural de Le Corbusier— s’inscrit dans un cadre général de recherches portant sur les modes de conception architecturale en contexte de modernité. Cette préoccupation prend comme horizon la compréhension des processus qui servent l’architecture comme construction d’idées et qui permettent d’en articuler les différentes phases, depuis l’amont des intentions exprimées par le concepteur, jusqu’à l’aval des expressions prises par la solution, en passant par les moyens qui, précisément, permettent d’articuler une pensée abstraite à un objet concret. C’est un champ d’interrogation qui s’appuie sur le constat d’un double déficit disciplinaire :l’intérêt général porté aux formes de l’architecture plutôt qu’aux processus qui les ont fait naître ;l’absence de vocabulaire réellement partagé des concepts utilisés par la discipline, ce qui forme, dans l’un et l’autre cas, “obstacles” à la connaissance de l’architecture et à son enseignement.<p><p>A cet égard, le concept de plan libre occupe une position de choix. Célèbre « mot-force » du manifeste corbuséen de 1927 —« Les Cinq points d’une nouvelle architecture »—, devenu un concept central —mais aussi “nomade”— de l’historiographie de l’architecture moderne, il se trouve donc à l’articulation des questions relatives à la modernité et à la conception. De plus, une simple confrontation de sa définition originale, tant à l’œuvre de Le Corbusier qu’à l’historiographie du Mouvement Moderne, révèle la polysémie du concept et, en particulier, les ambiguïtés et paradoxes que suscitent sa double interprétation :comme “modèle d’organisation spatiale” d’une part et comme “intention libératoire” de l’autre, au point qu’elle laisse le chercheur perplexe à l’égard de ce qu’en l’état, un tel concept peut bien apporter à la connaissance de l’architecture. <p><p>Pour surmonter ces difficultés d’interprétations, deux hypothèses sont proposées. <p>La première envisage le plan libre comme mode opératoire de “libre” conception propre à Le Corbusier. La seconde renvoie à la construction discursive du plan libre comme oxymore, c’est-à-dire comme figure de rhétorique qui, en associant deux termes de sens contraires, construit un ou plusieurs sens nouveaux. <p><p>En conclusion, leur vérification conduit à interpréter le plan libre comme mode spécifique de conception —qui assure tout autant l’autonomie du créateur que la fertilité du processus de création—, lui-même basé sur un processus récurrent de “mises en tension” et de recherches de nouveaux “équilibres” :du regard dialogique que Le Corbusier porte sur le monde —en particulier sur le processus de modernisation— à l’expression duale qu’il donne à ses compositions. Au final, cette double optique fonde notre interprétation du plan libre comme syncrétisme de la modernité corbuséenne. Elle se valide également comme clés de lecture particulièrement riches pour la compréhension de l’oeuvre corbuséenne et des processus de conception qui l’animent.<p><p>x x x<p>Développement<p><p>Tout au long des chapitres de l’étude, nous nous sommes attaché à interroger le concept de plan libre au-delà des compréhensions conventionnelles et “familières” qu’on pouvait en avoir de prime abord, à savoir :d’une part, le plan libre comme “modèle d’organisation spatiale” —défini par opposition au “plan paralysé”—et, d’autre part, le plan libre comme “intention libératoire”, lequel marque un large désir d’émancipation, en particulier —sans y être restreint— à l’égard des pratiques académiques. Dès le premier chapitre en effet, nous avions montré que ces premières définitions “communes” du plan libre —clairement identifiables tant dans l’œuvre corbuséenne que dans les instrumentalisations dont il fut l’objet par la critique spécialisée— formaient “obstacles”, dans ces deux champs, à une claire compréhension de ce qu’il pouvait signifier.<p><p>Bien que l’on ne puisse douter de la validité des définitions proposées par Le Corbusier lui-même, nous avons dû relever à leur égard un certain nombre d’ambiguïtés ou de contresens qui nous obligeaient à questionner ces termes au-delà de ce qu’on y voit habituellement. De la sorte, nous mettions aussi en évidence qu’il n’y avait pas, dans le concept de plan libre, un, mais bien deux “niveaux de libération” à identifier :d’une part, un mouvement d’émancipation de la nouvelle architecture à l’égard de tout ce qui pouvait, de manière hétéronome, “préformer” sa conception ;d’autre part, une liberté interne au système mis en place, assurant à l’auteur de projet la mise à disposition de moyens innovants et permettant la « permanente mise à l’épreuve » (A. Rivkin) de l’architecture face aux conditions changeantes du projet. <p><p>Ces différentes observations nous invitaient à approfondir la réflexion et, surtout, à la déplacer vers ce processus qui, justement, permettait de lier la “virtualité” de l’intention à la “matérialité” d’une solution, soit le propre de la conception architecturale. En effet, entre ces premières définitions du plan libre qui, déjà, le situaient aux “extrêmes” de la conception architecturale — intention versus expression— il semblait opportun d’en revenir là aussi à l’investigation de cette problématique “intermédiaire” :par quels moyens Le Corbusier passait-il du plan libre comme intention au plan libre comme expression ?<p><p>L’hypothèse fut alors posée de considérer le plan libre corbuséen comme “méta-opérateur” d’une libre conception du projet, le terme désignant selon Robert Prost « l’ensemble des modes opératoires que réclame toute formulation de solution ». Dans ce sens, on pouvait aisément présumer que ce mode de conception était lui-même animé par le regard doctrinal porté par Le Corbusier sur cette même modernité au service de laquelle il avait précisément défini la « nouvelle architecture » et les « Cinq points » qui en étaient « les moyens ». <p><p>L’objectif de nos développements ultérieurs fut dès lors, tout à la fois, de montrer ce “statut” opératoire du plan libre comme libre conception; de déterminer les moyens —procéduraux et substantiels— qui l’organisaient ;de montrer ce qu’ils construisaient dans l’œuvre en termes d’innovation ;de relever, en parallèle, en quoi et comment ils étaient révélateurs du point de vue de Le Corbusier sur la modernité. <p><p>Les hypothèses et l’intérêt des questions soulevées furent définitivement fondés après l’exposé des cadres généraux à l’intérieur desquels elles devaient être discutées :les champs de la conception d’une part et de la modernité de l’autre. C’est l’objet du chapitre 2. <p><p>L’étude s’est alors développée en quatre parties, basées sur des temporalités et/ou des corpus spécifiques et orientées vers des questions particulières. <p><p>Dans un premier temps —chapitre 3—, nous avons pris comme cadre d’interrogation l’exposition du Weissenhof à Stuttgart en 1927, moment de la publication du célèbre manifeste corbuséen des « Cinq points d’une nouvelle architecture » et lieu de la construction de ces maisons par lesquelles Le Corbusier exposa concrètement ses points de vue théoriques. <p><p>Le concept de plan libre y a été évalué à l’aune :des Cinq points dans le cadre desquels il a été énoncé; de l’ossature Dom-Ino qui en fonde l’émergence et la nature particulière; des maisons du Weissenhof qui en concrétisent la portée et les ambitions. Bien que cette matière ait déjà été abondamment retournée par les labours de la critique architecturale, un exposé exhaustif se devait d’être fait pour fonder notre propre compréhension des événements, construire nos propres observations et conclusions, eu égard à nos hypothèses. Par ailleurs, ce chapitre a permis d’éclaircir le mode de fonctionnement des Cinq points et de l’ossature Dom-Ino quant à leurs rôles et objectifs dans le processus de conception corbuséen.<p><p>Dans le 4e chapitre, nous nous sommes plus particulièrement interrogé sur ce qui fondait le choix et la définition de ces moyens particuliers. Il fut donc consacré à l’étude du plan libre comme édification d’une “théorie” du projet. Jamais Le Corbusier n’a produit un discours coordonné sur sa pratique —à la manière du traité d’Alberti— et les nombreux textes par lesquels il commente son œuvre et justifie les Cinq points comme « Eléments objectifs de discussion sur le phénomène architectural » présentent ces questions selon des points de vue fragmentaires :seul l’enchaînement des sources a permis d’extraire des thèmes dont la récurrence, voire la redondance, fait sens. La variation des énoncés des Cinq points que nous avons pu relever invitait par ailleurs à voir là une pensée en “construction” plutôt qu’une doctrine “arrêtée”, le manifeste étant dès lors compris comme un “arrêt sur images” ponctuant le parcours d’une pensée elle-même en permanente évolution. <p><p>Le corpus de cette analyse fut constitué de conférences, articles et livres rédigés par Le Corbusier, pour l’essentiel entre 1918 et la fin des années 20. Sur base de ce matériel, un certain nombre de thèmes récurrents ont été identifiés qui étayent la compréhension de ce que peuvent être les éléments de doctrine qui sous-tendent la conception du projet corbuséen et la manière dont il construit la validation de son propos. L’intérêt de cet examen fut aussi de permettre l’identification de quelques-unes de ces références procédurales qui font partie du fond culturel du concepteur et par lesquelles Le Corbusier organise ses processus de conception à l’égard de ce qui constitue l’architecture comme « problème en soi ». Dans un second temps, la comparaison de ces observations avec ce qui fait, selon Françoise Choay, théorie chez Alberti, a conforté l’idée de ce que cette construction doctrinale était propre à sous-tendre et qualifier un mode de conception et d’en confirmer, pour une part, les moyens de son ambition “émancipatrice”.<p><p>Dans le chapitre 5, nous avons procédé à l’examen de quatre références procédurales de conception que nous avions précédemment identifiées :la re-programmation, la dissociation, l’inversion et la réconciliation des contraires. L’intérêt était double. Il s’agissait, d’une part, de comprendre —et de vérifier— en quoi et comment ces procédures permettaient de rencontrer les objectifs d’une libre conception du projet —ce que nous avons traduit là par leur capacité à innover sur le plan formel et spatial et à assurer une relative autonomie du concepteur— et, d’autre part, de saisir —et montrer— en quoi et comment ils servaient le point de vue de Le Corbusier sur la modernité. Le corpus considéré ici était constitué d’une sélection de réalisations architecturales des années 20. Leur examen permit de saisir concrètement ce vers quoi les procédures conduisaient en examinant ce qu’elles construisaient dans l’œuvre. Bien que non exemptes d’observations personnelles, ces analyses se sont appuyées sur divers travaux antérieurs menés par les exégètes de l’œuvre corbuséenne dont, en particulier, Alan Colquhoun, Colin Rowe, Jacques Lucan, etc, auprès desquels nous avons trouvé matière à étayer nos hypothèses par l’articulation de leurs points de vue au nôtre, réduisant également quelques-unes des fractures de compréhension énoncées dès l’introduction.<p><p>Le chapitre 6 a, quant à lui, été plus particulièrement réservé à l’observation des références substantielles présentes dans le système de conception corbuséen au moment des Cinq points, que ce soit sur un plan concret ou à un horizon théorique. Dès l’exposé introductif de nos hypothèses, nous avions en effet relevé la relative incompatibilité que l’on pouvait discerner dans la mise au point d’un système de conception dont on attendait, d’un côté, qu’il puisse en permanence apporter des réponses innovantes en l’appuyant, de l’autre, sur des références de formes —celles des Cinq points— qui ne pouvaient qu’en restreindre l’ordre des possibilités. Deux discussions nous ont permis, sur le plan théorique au moins, de saisir les raisons de cette incompatibilité :celle de l’autoréférentialité du système d’une part et celle du miroir de l’inversion d’autre part, toutes deux conduisant nécessairement à restreindre le champ de la création à l’ordre d’une forme d’imitation. <p><p>Le chapitre 7, de conclusion, est revenu plus spécifiquement sur la discussion de l’objectif —et des conditions— dans lesquelles Le Corbusier poursuit cette volonté d’autonomie propre à la posture de l’artiste moderne, et l’objective. Si l’on s’accorde à reconnaître que le processus de modernisation à conduit à l’effritement des traditions stabilisatrices sur lesquelles se fondait ce qui faisait “sens commun”, la question est posée, entre autres, de savoir comment créer et objectiver ce “sens commun” à partir d’une vision subjective du “moi” créateur. La démonstration porte là sur la mise en exergue des invariants sur lesquels Le Corbusier fonde ses discours de validation :les principes pérennes qu’il “reconnaît” dans l’histoire, tout autant que les invariants de “l’homme”, qu’ils soient de nature socio-anthropologique, anthropomorphique ou psycho-physiologique. De la sorte, la posture émancipatrice de Le Corbusier se révèle fondée sur le respect d’un cadre normatif, intemporel, par lequel il tente d’objectiver sa propre subjectivité.<p><p>Cette approche duale nous est finalement apparue récurrente à tous niveaux de son processus de conception, et donc comme forgeant l’une de ses spécificités. Quel que soit le niveau auquel on l’envisage, Le Corbusier fonde son approche sur la mise en tension de termes, d’idées ou de figures qu’il oppose et entre lesquels il semble tout à la fois réfléchir, résoudre et exprimer les questions particulières de la conception, visant au final un nouvel équilibre entre les pôles identifiés, ce qu’énonce de manière métaphorique l’oxymore “plan libre”.<p><p><p> / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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