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Où sont nos chefs? L’absence de généraux canadiens-français combattants durant la Deuxième Guerre mondiale (1939-1945)

Sawyer, Alexandre 18 March 2019 (has links)
Le nombre d’officiers généraux canadiens-français qui ont commandé une brigade ou une division dans l’armée active durant la Deuxième Guerre mondiale est presque nul. On ne compte aucun commandant de division francophone dans l’armée outre-mer. Dans les trois premières années de la guerre, seulement deux brigadiers canadiens-français prennent le commandement de brigades à l’entrainement en Grande-Bretagne, mais sont rapidement renvoyés chez eux. Entre 1943 et 1944, le nombre de commandants de brigade francophones passe de zéro à trois. L’absence de généraux canadiens-français combattants (à partir du grade de major-général) durant la Deuxième Guerre mondiale s’explique par plusieurs facteurs : le modèle britannique et l’unilinguisme anglais de la milice, puis de l’armée canadienne, mais aussi la tradition anti-impérialiste et, donc, souvent antimilitaire des Canadiens français. Au début de la Deuxième Guerre mondiale, aucun officier canadien n’est réellement capable de commander une grande unité militaire. Mais, a-t-on vraiment le choix? Ces officiers sont les seuls dont dispose le Canada. Quand les troupes canadiennes sont engagées au combat au milieu de 1943, des officiers canadiens, plus jeunes et beaucoup mieux formés prennent la relève. À plus petite échelle, le même processus s’opère du côté francophone, mais plus maladroitement. Il est plus difficile de dénicher, en raison du petit nombre d’officiers de langue française qualifiés, des chefs canadiens-français capables de commander un bataillon ou une brigade. Les efforts soutenus de la part du gouvernement fédéral et de l’armée permettront de former et d’instruire un bon nombre d’officiers francophones. Ces mesures ont donné quelques résultats, mais ils arrivent trop tard pour voir un Canadien français prendre le commandement d’une division avant la fin de cette guerre. Quel rôle ont joué les chefs militaires francophones durant la Deuxième Guerre mondiale? Quels postes ont-ils occupés? La réponse à ces questions permet de faire un portrait type de l’officier canadien-français entre 1939 et 1945. Elle tend aussi à expliquer les raisons de l’absence de généraux francophones combattants. Enfin, elle permet de mieux comprendre le cheminement que les jeunes officiers subalternes canadiens-français de 1939-1941 ont dû suivre – le même d’ailleurs que les anglophones — pour obtenir le commandement d’une brigade dans les dernières années de la guerre. Les difficultés sont les mêmes, mais elles sont sans doute accentuées pour les Canadiens français par le caractère britannique et anglophone de l’armée canadienne et le particularisme du Canada francophone. L'insensibilité au fait francophone du système militaire canadien de l'époque a eu des répercussions. Pourtant, les cadres n'étaient pas systématiquement anti-francophones; ils ne bloquaient pas leurs progressions à cause de leur langue. Pour le démontrer, nous avons reconstruit à partir d’une approche biographique les expériences des officiers francophones des grades supérieurs de l’armée outre-mer. L’étude des officiers francophones apporte une nouvelle perspective sur la présence et la participation canadienne-française dans les rangs de l’armée active pendant la Deuxième Guerre mondiale. Au final, nous usons d'un angle novateur pour améliorer nos connaissances le problème des officiers francophone dans l’armée canadienne pendant la guerre de 1939 à 1945. Notre étude démontre que l’absence de commandant de division francophone s’explique par l’âge avancé, la mauvaise santé ou l’incompétence des officiers supérieurs francophones dans les premières années de la guerre. Cette absence n’a pas été causée par une discrimination directe de la part des hauts gradés anglophones basée sur la langue ou l’ethnicité. Par contre, il est clair que l’institution militaire canadienne, calquée sur le modèle britannique et anglophone, n’a pas aidé la cause des officiers francophones. À partir de 1943, des officiers canadiens-français, plus jeunes et mieux formés, réussiront beaucoup mieux que leurs prédécesseurs.
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"Notre tâche est de rendre les hommes prêts au combat": La formation des sous-officiers de renfort d'infanterie du Canada pendant la Seconde Guerre mondiale

D'Amours, Caroline January 2015 (has links)
Cette thèse propose une analyse de la formation des sous-officiers de renfort d’infanterie au cours de la Seconde Guerre mondiale dans le but d’exposer la création et l’administration de l’organisation d’instruction de ces hommes en plus d’étudier la nature de l’enseignement donné. Afin de maintenir l’efficacité au combat de ses unités et formations sur le théâtre opérationnel du nord-ouest de l’Europe à partir de juin 1944, la Première Armée canadienne devait fournir des caporaux de renforts d’infanterie aptes à faire face aux défis du champ de bataille. En raison de l’importance de leur tâche sur le champ de bataille moderne, ces hommes constituent véritablement l’épine dorsale de l’efficacité militaire des bataillons d’infanterie canadiens. L’analyse des politiques et des développements à l’origine de la filière d’instruction de masse pour des renforts d’infanterie montre que les déficiences du système encore présentes au début de la campagne de Normandie étaient dues en grande partie à la négligence du haut commandement militaire canadien. Cette condition retarda l’adoption de mesures essentielles à la dissémination d’un enseignement uniforme et en concordance avec les développements du champ de bataille moderne jusqu’à l’automne 1944. Malgré l’implication canadienne au côté de la Grande-Bretagne de 1914 à 1918, les politiques adoptées dans l’entre-deux-guerres par les hauts dirigeants militaires canadiens gênèrent le développement de l’expertise militaire des membres de la force régulière en plus de limiter considérablement l’attention accordée à la préparation de la milice. L’absence d’un cadre d’instruction compétent au moment du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale entrava la mise sur pied d’une formation réaliste. L’expansion massive entreprise à la suite du changement dramatique du contexte stratégique en 1940 ne fit qu’aggraver la carence en ressources matérielles et humaines en plus de détourner l’attention des généraux canadiens de l’organisation de la filière d’instruction des sous-officiers de renfort d’infanterie. Malgré tout, l’introduction de nouvelles méthodes d’instruction et d’entraînement dans l’organisation destinées aux sous-officiers de renfort à partir de 1942 constitua un progrès sensible dans le savoir communiqué aux nouveaux caporaux pour leur survie sur le champ de bataille. Cependant, sa mise en œuvre fut retardée par la collaboration difficile entre les différents quartiers généraux et par la diversité des approches adoptées pour disséminer une doctrine d’infanterie jusqu’en 1944. La révision de la politique d’instruction des sous-officiers de renfort et de sa structure d’organisation au Royaume-Uni au début de l’année 1944 eut progressivement pour effet de garantir l’envoi de candidats de qualité aux unités au front tout comme l’introduction des leçons tirées de l’expérience au front, plus particulièrement après le déclenchement des opérations en Europe du Nord-Ouest. Enfin, les mesures adoptées à la suite des importantes pénuries de fantassins connurent un succès indéniable pour la poursuite de la campagne. La mise en œuvre d’une coordination véritablement efficace entre les quartiers généraux responsables de la formation et l’intérêt manifeste de l’état-major de la Première Armée canadienne à partir du mois d’août 1944 pour la formation de ses renforts d’infanterie constituèrent les éléments indispensables à l’arrivée de sous-officiers de qualité au sein des bataillons canadiens pour le reste de la durée de la campagne. Au final, l’analyse de l’organisation d’instruction des renforts apporte une nouvelle perspective sur la crise des effectifs de renfort et sur la nécessité du recours à la conscription à l’automne 1944.
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Les infirmières militaires canadiennes pendant la Première Guerre mondiale

Allard, Geneviève 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire porte sur la nature et l'importance du travail des infirmières militaires canadiennes en service outre-mer pendant la Première Guerre mondiale. L'histoire de ce groupe, composé de 2003 infirmières, une proportion d'environ 37% de l'ensemble des infirmières pratiquant leur métier à cette époque, reste largement méconnue. Par l'analyse d'entrevues (25) effectuées avec ces pionnières au sein des Forces armées entre 1914 et 1918, cette étude veut démontrer que la contribution majeure des infirmières à l'effort de guerre canadien tient à la spécificité de leur travail de soignante, un travail alors associé à un ensemble de qualités dites "féminines" et à un savoir spécialisé acquis dans le cadre des écoles d'infirmières. Le prestige dévolu à ces "héroïnes" de la Première Guerre rejaillira finalement sur toute la profession d'infirmière. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La campagne de libération de l'Europe de l'Ouest (6 juin 1944-8 mai 1945) à travers les récits autobiographiques et les romans publiés par des combattants québécois francophones

Vincent, Sébastien 04 1900 (has links) (PDF)
Entre 84 000 et 90 000 Québécois francophones ont servi outre-mer dans l'Armée canadienne durant la Seconde Guerre mondiale. Ces hommes ont été pour la plupart des engagés volontaires longtemps négligés par les historiens et marginalisés dans la mémoire collective québécoise francophone. On assiste cependant au Québec à un renversement de perspective depuis environ une décennie. L'étude des représentations de ces combattants constitue une avenue peu explorée par les historiens d'ici. Pourtant, il s'agit d'un domaine en pleine effervescence dans le monde anglo-saxon et en France, notamment. Nous avons voulu savoir comment les fantassins et les artilleurs québécois francophones se sont représentés le champ de bataille et le quotidien au front pendant la campagne de libération de l'Europe de l'Ouest (6 juin 1944-8 mai 1945). Nous avons retenu cinq récits, deux romans de guerre et un recueil de lettres évoquant cette campagne, la plus représentée parmi les témoignages publiés par des volontaires québécois francophones. Ces témoignages redonnent vie au conflit à partir de points de vue personnels qui permettent d'appréhender la dimension profondément humaine et intime de la guerre. En ce sens, ils constituent autant de « lieux de mémoire » de l'expérience de ces engagés volontaires. Comme nous le verrons dans le chapitre initial, notre recherche opère un va-et-vient continuel entre l'histoire et la mémoire, entre le témoin et l'historien. Notre démarche s'inspire des travaux de John Keegan, Paul Fussell, Frédéric Rousseau et de ceux de l'Historial de Péronne (Stéphane Audoin-Rouzeau et Annette Becker). Ces historiens proposent un changement de perspective dans l'étude de la guerre, appréhendée sous l'angle sociologique, culturel et anthropologique. Cette approche s'intéresse à la guerre vue « par le bas », ce qui permet l'exploration des représentations des combattants. Notre travail s'inspire aussi des lointains travaux de Jean Norton Cru qui a classé, trié et analysé des centaines de témoignages publiés par des combattants des tranchées dans un ouvrage intitulé Témoins (1929). Après avoir présenté les assises historiographiques et les critères ayant servi à l'élaboration du corpus, nous résumons dans le second chapitre la contribution des Québécois francophones à la campagne, puis nous présentons les huit ouvrages. Le troisième chapitre aborde la violence de guerre, l'armement, les violences interpersonnelles entre belligérants, les blessures, la mort ainsi que la représentation de l'ennemi. Le dernier chapitre évoque la vie quotidienne au front ainsi que la psychologie du combattant soumis aux attaques sensorielles et à la peur. Enfin, nous analysons trois moyens évoqués pour tenir face à la violence et à l'incertitude, soit le moral, l'esprit de corps et la religion. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Guerre mondiale 1939-1945, Canada, Armée canadienne, Récits personnels, Militaires volontaires québécois francophones, Représentations
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Liens entre l'identité morale individuelle et l'expression de comportements de citoyenneté organisationnelle considérés comme dimension informelle de l'éthique : étude appliquée aux Forces armées canadiennes

Fonséca, Félix 24 September 2021 (has links)
Le ministère de la Défense nationale du Canada (MDN) a élaboré un programme d'éthique pour ses employés et les Forces armées canadiennes (FAC) vers la fin des années 1990 afin de remédier à certains problèmes observés dans le milieu de travail et durant des missions outremer dans lesquelles les FAC étaient impliquées. Divers moyens, tels que la formation en éthique et le renforcement du leadership dans le milieu du travail, sont utilisés pour que les militaires canadiens se conforment aux règles éthiques et adhèrent à des normes prescrites dans les codes de conduite. Cependant, malgré l'établissement de ce programme il y a plus de 20 ans, on observe toujours des problèmes éthiques sur le terrain, allant du refus de rapporter des actes non éthiques à la négligence professionnelle grave (Bradley & Tymchuk 2013; Coulthard, 2013; 2013; Deschamps, 2015; Statistique Canada, 2014; Ivey, Blanc, Therrien, &. McCuaig-Edge, 2009). Ainsi, la formalisation éthique par des codes de conduite et sa promotion par la formation n'a permis ni d'éliminer les comportements inappropriés à ce chapitre ni de comprendre comment les individus s'approprient l'éthique au sein d'une organisation. Cette thèse a pour objectif d'apporter un éclairage sur cette appropriation en cherchant à comprendre les liens entre l'identité morale et les comportements de citoyenneté organisationnelle au sein des FAC, cet apport pouvant à son tour permettre à ces dernières de considérer le rôle des comportements extra-rôles et pro-sociaux dans l'établissement et le renforcement des comportements éthiques de ses militaires. Plus spécifiquement, cette thèse vise à vérifier un modèle postulant des relations directes entre l'identité morale et les comportements de citoyenneté organisationnelle, et une modération de cette relation par trois caractéristiques socio-professionnelles retenues à la suite de la recension des écrits : la formation, le nombre d'années de service dans les FAC et le grade (terme utilisé par les FAC et dans cette thèse pour désigner l'échelon hiérarchique ou la séniorité). Le devis de recherche est de nature transversale (synchronique) et quantitative; il se justifie par le fait que les données issues de la littérature montrent qu'il est possible de mesurer et d'analyser les variables prises en compte de façon adéquate. Pour les trois raisons suivantes, cette recherche est réalisée à partir de données secondaires provenant de l'Enquête éthique de la Défense - mesurer le risque éthique au sein du MDN / CAF, 2014-2015 :1. le nombre de répondants qui permet des analyses statistiques performantes; 2. les qualités métriques des instruments utilisés; 3. la possibilité d'effectuer des analyses originales sur l'information collectée. Un total de 1028 militaires de la Force Régulière des FAC ont rempli le questionnaire de l'enquête, soit en version papier ou par voie électronique. La stratégie d'analyse des résultats a reposé sur une combinaison de tests statistiques. Certains, tels que les analyses factorielles confirmatoires et les alphas de cronbach, visaient à vérifier les qualités métriques des instruments utilisés. Les autres (tests univariés d'analyse de variance à l'aide de SPSS, tests multivariés par équation structurelle, à l'aide d'AMOS) avaient pour objectif de vérifier si les données collectées permettaient de trouver des liens allant dans le sens des hypothèses. Les principaux résultats ressortant des analyses se résument ainsi. Premièrement, il y a un lien significatif et positif, chez le personnel militaire consulté, entre la manifestation de traits relatifs à l'identité morale et l'expression perçue de comportements de citoyenneté organisationnelle. Plus spécifiquement, les militaires qui manifestent plus de traits relatifs à l'identité morale sont plus susceptibles d'aider leur organisation et leurs collègues au travail. Deuxièmement, bien qu'elle n'exerce qu'un effet modérateur partiel sur la relation entre l'identité morale du soldat et sa capacité d'expression de comportements de citoyenneté organisationnelle, la formation en éthique contribue à renforcer le lien entre l'identité morale du soldat et sa volonté d'aider son organisation et ses collègues de travail. Troisièmement, le nombre d'années de service n'agit comme facteur modérateur que sur la relation entre l'identité morale et la conscience (conscience sociale à l'égard des FAC et importance accordée à son travail et aux valeurs de FAC) que chez les militaires comptant moins d'années de service. Quatrièmement, le grade ou séniorité n'exerce pas d'effet modérateur sur la relation entre l'identité morale du soldat et sa capacité d'expression des comportements de citoyenneté organisationnelle. Les apports théoriques (liens entre l'identité morale et les comportements de citoyenneté organisationnelle vus comme manifestation de l'éthique informelle) et pratiques (développement, par les FAC, de l'identité morale, prise en compte de l'éthique informelle, formation à l'éthique informelle) de cette recherche sont analysés. Les limites méthodologiques, notamment celles qui ont trait à l'objet de recherche, au devis de recherche et aux instruments utilisés, sont discutées. Enfin, des pistes de recherche sont suggérées, que ce soit pour compléter ou améliorer l'information étudiée dans le cadre de cette recherche. / The Canadian Department of National Defense (DND) developed an ethics program for its employees, including for the Canadian Armed Forces (CAF), in the late 1990s to address some of the problems observed in the workplace and during overseas missions in which the CAF was involved. Various ways, such as training and strengthening leadership in the workplace, are used to ensure that Canadian military members comply with ethical rules and adhere to standards prescribed in codes of conduct. However, despite the implementation of this program over 20 years ago, there are still ethical issues in the field, ranging from refusal to report unethical acts to gross professional negligence (Bradley & Tymchuk 2013; Coulthard, 2013; 2013; Deschamps, 2015; Statistics Canada, 2014; Ivey, Blanc, Therrien, &. McCuaig-Edge, 2009). Thus, the formalization of ethics through codes of conduct and its promotion through training has not made it possible to eliminate inappropriate behaviour in this area or to understand how individuals engage with ethics within an organization. This thesis aims to shed light on this engagement by seeking to understand the relationship between moral identity and organizational citizenship behaviours within the CAF. This contribution may in turn enable the CAF to consider the role of extra-roles and pro-social behaviours in establishing and strengthening its soldiers' ethical behaviour. More specifically, this thesis aims to verify a model postulating direct relationships between moral identity and organizational citizenship behaviours, and a moderation of this relationship by three socio-professional characteristics retained following the literature review: training, number of years of service in the CAF and rank (term used by the CAF and in this thesis to designate the hierarchical level or seniority). The research design is transversal (synchronic) and quantitative in nature; it is justified by the fact that the data from the literature show that it is possible to measure and analyze the variables taken into account adequately. For the following three reasons, this research is carried out using secondary data from the Defense Ethics Survey - measuring ethical risk within DND / CAF, 2014-2015 : 1. the number of respondents which allows to perform efficient statistical analyzes; 2. The metric qualities of the instruments used; 3. the possibility of carrying out original analyzes on the information collected. A total of 1,028 CAF Regular Force members completed the survey questionnaire, either in hard copy or electronically. The results analysis strategy was based on a combination of statistical tests. Some, such as confirmatory factor analyzes and cronbach's alphas were aimed at verifying the metric qualities of the instruments used. The others (univariate analysis of variance tests using SPSS, multivariate tests by structural equation, using AMOS) aimed to verify whether the data collected made it possible to find links going in the direction of the hypotheses. The main results emerging from the analysis can be summarized as follows. First, there is a significant and positive association, among the military members consulted, between the manifestation of traits relating to moral identity and the perceived expression of organizational citizenship behaviours. More specifically, military members who exhibit more traits relating to moral identity are more likely to help their organization and colleagues at work. Second, although it exerts only a partial moderating effect on the relationship between a soldier's moral identity and their capacity to express organizational citizenship behaviours, ethics training helps to strengthen the relationship between the soldier's morale identity and his willingness to help his organization and co-workers. Third, the number of years of service acts as a moderating factor on the relationship between moral identity and conscientiousness (social conscience towards the CAF and the importance given to one's work and CAF values) only for military members with fewer years of service. Fourth, rank or seniority does not have a moderating effect on the relationship between the soldier's moral identity and his capacity to express organizational citizenship behaviours. Theoretical contributions (relationship between moral identity and organizational citizenship behaviours seen as a manifestation of informal ethics) and practical contributions (development, by the CAF, of moral identity, taking into account of informal ethics, informal ethics training) of this research are analyzed. The methodological limits, in particular those relating to the research objective, the research design and the instruments used, are discussed. Finally, avenues of research are suggested, whether to supplement or improve the information studied in the context of this research.
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Les Voltigeurs de Québec dans la Milice canadienne (1862-1895)

Gravel, Jean-Yves 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Les fusiliers Mont-Royal au débarquement de Dieppe : doctrine et entraînement au Canada et en Angleterre, 1939-1942

D'Amours, Caroline 16 April 2018 (has links)
Cette recherche porte sur l'entraînement de la 2e Division d'infanterie canadienne pendant la Seconde Guerre mondiale et, plus particulièrement, sur le régiment des Fusiliers Mont-Royal. Il est possible de voir que l'Armée canadienne n'a pas été en mesure de fournir une formation adéquate à ses troupes pour l'opération Jubilee. Forts de leur victoire au lendemain de la Première Guerre mondiale, il semble que les membres de la Force permanente n'aient pas été en mesure de remplir leur tâche : préparer les troupes au combat pour la guerre à venir. Certes, une amélioration du contenu a permis aux fantassins de la 2e Division canadienne d'être mieux préparés. Cependant, ce progrès tardif ne saura protéger les soldats lors du débarquement à Dieppe. Nul doute que leur formation déficiente a provoqué tant chez les officiers subalternes que chez les hommes du rang des lacunes fatales pour plusieurs.
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La préparation pré-déploiement de l'infanterie canadienne avant le débarquement allié en Sicile : doctrine et entraînement des armées canadiennes et allemandes 1919-1944

Fournier, Ismaël 23 April 2018 (has links)
Le présent mémoire porte sur l’entraînement de l’infanterie canadienne lors de la Deuxième Guerre mondiale jusqu’à l’invasion de la Sicile par les troupes alliées en 1943. Malgré une puissance militaire incomparable, les Alliés déployés sur le Front de l’Ouest eurent énormément de difficulté à vaincre une armée allemande déjà passablement affaiblie par le Front russe. Malgré des effectifs militaires inférieurs et l’absence d’appui aérien soutenu, les troupes hitlériennes résistèrent avec acharnement aux offensives initiées par les Alliés qui furent surclassés à maintes reprises par les divisions de la Wehrmacht. À cet effet, les troupes d’infanterie canadiennes ne firent pas exception. La contre-performance inhérente aux opérations offensives canado-britanniques en Europe fut la résultante de nombreux facteurs de nature tactique, opérationnelle et politico-stratégique. La présente recherche se penche spécifiquement sur la culture militaire, la constitution de la doctrine tactique britannique et le syllabus d’entraînement pré-déploiement des troupes d’infanterie de l’armée canadienne. Une fois ces éléments comparés au modus operandi tactique de la Wehrmacht, il ne fait aucun doute que la doctrine et l’entraînement des troupes d’infanterie canadiennes ne furent tout simplement pas aptes à assurer une suprématie tactique sans failles de l’armée canadienne sur le continent européen.
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« As-tu peur de moi ? » : trouble de stress post-traumatique et réintégration à la vie civile des militaires franco-canadiens au sein de la société québécoise

Roupnel, Servane 18 January 2023 (has links)
Une question traverse les siècles et ancre le questionnement de ma recherche doctorale : la guerre peut-elle rendre fou ? Car la guerre ne fait pas que des morts. Elle laisse derrière elle des hommes et des femmes blessés dans leur chair et dans leur esprit, un enjeu central dans nos sociétés contemporaines. Actuellement, le trouble de stress post-traumatique (TSPT) est un diagnostic reconnu et officiel qui vient médicaliser les conséquences de la violence dans le champ des maladies mentales. Le traumatisme de guerre devient alors un langage qui permet de rendre compte de la violence. Mais c'est aussi et surtout un jugement moral qui met en place des enjeux de reconnaissance sociale. Cette thèse examine la façon dont est appréhendée et expérimentée la réintégration à la vie civile des militaires post-traumatisés franco-canadiens, au sein de la société québécoise. Notamment, comment la médicalisation du trouble de stress post-traumatique telle qu'elle est mise en place actuellement rend cette réintégration illusoire. Travailler sur ces questions requiert de se pencher sur les multiples enjeux que sont les traumatismes et la violence de guerre, la médicalisation des comportements et les effets universalisant des régimes politiques, ou encore les enjeux moraux de la participation au fait militaire. Ayant pour cadre le Canada, le bilinguisme du pays a influencé la construction de mon objet de recherche en questionnant l'expérience des militaires franco-canadiens qui, au cours du terrain, se réduira d'elle-même à celle des Québécois. La langue n'influence donc pas uniquement l'expérience du trouble mental, mais également la réintégration à la vie civile dans les différences de représentation de la profession militaire entre le Québec et les autres provinces canadiennes. La recherche se base sur des entretiens de type récit de vie et semi-dirigés auprès de 13 militaires ou anciens combattants post-traumatisés, 5 conjointes/ex-conjointes de militaires post-traumatisés, 2 anciens combattants non post-traumatisés et 7 professionnels de la santé. Cette thèse démontre que, pour articuler une possible réintégration des militaires franco-canadiens au sein de la société québécoise, il est important de dépasser le seul spectre médical du TSPT. Pour cela, je m'attelle à explorer les tensions en présence entre les différents acteurs qui jouent un rôle et qui produisent un discours face au TSPT. Les enjeux de la médicalisation du TSPT sont ainsi interrogés dans leur articulation entre la prise en charge des anciens combattants, la construction d'un discours globalisant et la légitimation d'une expérience. J'ouvre alors la réflexion sur la possibilité de repenser l'expérience même de la guerre et de ses traumatismes en tenant compte de la spécificité militaire afin d'articuler la démobilisation et la réintégration de ces soldats dans une approche ontologique du post-traumatisé de guerre. / A question crosses the centuries and anchors the questioning of my doctoral research: can war make one mad? Because war does not only kill people. It leaves behind men and women wounded in their flesh and in their minds, a central issue in our contemporary societies. Currently, post-traumatic stress disorder (PTSD) is a recognized and official diagnosis that medicalizes the consequences of violence in the field of mental illness. War trauma thus becomes a language that allows us to account for violence. But it is also, and above all, a moral judgment that sets up issues of social recognition. This thesis examines the way in which the reintegration of post-traumatized Franco-Canadian soldiers into civilian life is approached and experienced within Quebec society. In particular, how the medicalization of post-traumatic stress disorder, as it is currently implemented, makes this reintegration illusory. Working on these questions requires examining multiple issues such as war trauma and violence, the medicalization of behaviors and the universalizing effects of political regimes, as well as the moral issues of participation in the military. The bilingualism of Canada has influenced the construction of my research object by questioning the experience of Franco-Canadian soldiers, which, during the fieldwork, ended up Quebecers. Language therefore influences not only the experience of mental illness, but also the reintegration into civilian life in the differences in the representation of the military profession between Quebec and the other Canadian provinces. The research is based on life story and semi-structured interviews with 13 post-traumatized military personnel or veterans, 5 spouses/ex-spouses of post-traumatized military personnel, 2 non-post-traumatized veterans and 7 health professionals. This thesis demonstrates that, in order to articulate a possible reintegration of Franco-Canadian military personnel into Quebec society, it is important to go beyond the medical spectrum of PTSD. To this end, I explore the tensions between the different actors who play a role and produce a discourse on PTSD. The stakes of the medicalization of post-traumatic stress disorder are thus questioned in their articulation between the care of veterans, the construction of a globalizing discourse and the legitimization of an experience. I then open the reflection on the possibility of rethinking the experience of war and its traumas by considering the military specificity in order to articulate the demobilization and the reintegration of these soldiers in an ontological approach of the post-traumatized military personnel.
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La vie domestique des officiers britanniques et canadiens résidant dans la maison Maillou au XIXe siècle : étude de la collection archéologique

Sheehan, Virginia 24 April 2018 (has links)
La vie domestique des officiers britanniques et canadiens à Québec au XIXe siècle est peu connue et n'a que très peu été abordée dans les études historiques et archéologiques. La collection archéologique de la Maison Maillou, située au 17 de la rue Saint-Louis à Québec, nous a permis d'étudier la vie domestique de ces maisonnées à partir des objets qui ont été utilisés et jetés. Les maisonnées en question sont celle d'un officier britannique ayant occupé la Maison Maillou au début du XIXe siècle (ca. 1818-1823) et celle d'un officier canadien-français du nom de Théodore Juchereau Duchesnay ayant habité la maison à la fin du XIXe siècle (ca. 1877-1896). La présente étude permet de connaître davantage la vie domestique et familiale de ces deux maisonnées à partir de la collection archéologique et de tirer des conclusions sur leur statut social et économique grâce à l'assemblage de céramiques. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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