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Emerging hierarchies : processes of stratification and early state formation in the Indonesian archipelago : prehistory and the ethnographic present /

Slamet-Velsink, Ina E., January 1995 (has links)
Texte remanié de: Th.--University of Leiden. / Bibliogr. p. 253-276. Index.
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L'éthos régalien et guerrier des Rajputs du Rajasthan : représentations, rituels et changement social

Deschamps, Hugo January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Indigenous political systems of western Malaya

Gullick, J. M. January 1958 (has links)
"Submitted and accepted as a thesis for the academic postgraduate diploma in anthropology of the University of London. Some minor alterations ... have been made." / Includes bibliographical references.
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Afrika entwickeln und modernisieren : Paradigmen, Identitätsbildung und kleinbäuerliche Überlebensstrategien /

Sottas, Beat. January 1992 (has links)
Diss.--Universität Freiburg Schweiz, 1991. / Bibliogr. p. 301-322.
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Des hiérarchies de dominance au gouvernement des hommes. Considérations naturalistes sur l'origine de l'État.

Dubreuil, Benoît 07 June 2007 (has links)
Cette thèse vise à fournir un élément de réponse à un problème politicoanthropologique classique, celui de l'origine de l'inégalité parmi les hommes. Plus précisément, elle vise à déterminer deux choses: 1) pourquoi des hommes, capables de culture, ont vécu pendant des centaines de milliers d'années dans des petits groupes de chasseurs-cueilleurs nomades et égalitaires 2) pourquoi l'apparition de sociétés de grande taille au cours du Néolithique s'est systématiquement accompagnée d'une différenciation sociale accrue, de l'apparition de hiérarchies de statuts et, éventuellement, de la centralisation du pouvoir politique. La réponse proposée est que la taille des sociétés humaines est sensible à un effet de plafonnement. Ceci s'explique par le caractère conditionnel de la coopération humaine et par la mémoire limitée des humains en contexte social. Ce plafonnement de la taille des groupes ne peut être surmonté que si les humains créent des institutions qui permettent une division sociale du travail de sanction, ce qui à son tour dépend de l'émergence chez l'homme d'un langage et d'une théorie de l'esprit complexes. L'argument proposé est de type fonctionnaliste et vise à appuyer les théories en sciences sociales qui s'intéressent à l'évolution de la culture et des formes politiques.
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Construction nationale et néo-ritualisation : analyse anthropologique de la célébration du nouvel an kurde (Newroz) / Nation building and neo-ritualisation : an anthropological analysis of the celebration of the Kurdish New Year (Newroz)

Wallis, Caroline 04 December 2015 (has links)
Construction nationale et néo-ritualisation : analyse anthropologique de la célébration du nouvel an kurde (Newroz).Cette étude traite de la transformation progressive des représentations, des croyances et despratiques associées à la célébration du nouvel an Newroz par le mouvement national kurde enTurquie. La recherche aborde Newroz comme une tradition inventée et explore les fonctionsde cette forme de néo-ritualisation dans la construction de l'identification collective à lanation kurde.La première partie situe l'intégration de cette fête aux origines zoroastriennes dans lerépertoire symbolique du nationalisme ethno-culturel kurde et décrit les fonctions qu'elleassure dans le contexte de recomposition des frontières étatiques du Moyen-Orient post-ottoman. Dans un deuxième temps, la recherche se concentre sur les réaménagementssymboliques subis par la tradition Newroz, suite à l'adoption d'une idéologie marxiste parcertaines factions du mouvement national kurde à partir des années 60. La recherche estcentrée d'une part sur la modification des représentations et croyances associées au nouvel anet d'autre part sur la modification des pratiques associées à sa célébration dans la décennie 90,désormais arènes d'affrontements violents avec les forces de l'ordre. L'étude se concentreensuite sur l'institutionnalisation de la tradition Newroz par deux nationalismes concurrents.Dans un premier temps, la recherche aborde la réintégration de la tradition inventée,désormais orthographiée Nevruz, dans le répertoire symbolique du nationalisme turc endétaillant les fonctions inédites de la tradition (ré) inventée dans ce nouveau contexte. Dansun deuxième temps, la recherche explore les politiques culturelles actuellement menées parles élus du parti pro-kurde légal détenant le pouvoir municipal dans le sud-est de la Turquie etpropose une analyse anthropologique de la célébration contemporaine du nouvel an par lemouvement national kurde en Turquie.L'intérêt théorique principal de cette étude est de reposer la question de la rigidité destraditions inventées en montrant comment une tradition a été soumise à des réaménagementssymboliques au sein d'un mouvement national particulier et en abordant les modalités de sontransfert dans le répertoire symbolique d'un nationalisme concurrent.Mots cléfs : invention de la tradition, néo-ritualisation, nationalisme, identificationscollectives, mobilisation ethno-culturelle kurde en Turquie. / National construction and neo-ritualization: anthropological analysis of the celebration of the Kurdish New Year (Newroz). This study deals with the gradual transformation of representations, beliefs and practices associated with celebration of New Year Newroz by the national Kurdish movement in Turkey. The research looks at Newroz as an invented tradition and explores the functions of this form of neo-ritualization in the construction of collective identifications with the Kurdish nation.Part 1 positions the integration of this festival with Zoroastrian origins in the symbolic repertoire of Kurdish ethno-cultural nationalism and describes the functions it performs in the context of the recomposition of state frontiers in the post-Ottoman Middle East. In the second part, the research focuses on the symbolic redevelopments undergone by the Newroz tradition after adoption of a Marxist ideology by certain factions of the Kurdish national movement starting in the 1960s. The research centres on the one hand on modification of the representations and beliefs associated with the New Year and, on the other, on the modification in practices associated with its celebration in the 1990s, from which point it became the arena of violent clashes with the security forces. The study then focuses on institutionalisation of the Newroz tradition by two competing nationalisms. The research initially focuses on the reintegration of the invented tradition, now written Nevruz, in the symbolic repertoire of Turkish nationalism, by detailing the unprecedented functions of the (re)invented tradition in this new context. In a second phase, the research explores the cultural policies currently implemented by elected members of the legal pro-Kurdish party holding municipal power in the south-east of Turkey and proposes an anthropological analysis of the contemporary New Year celebration by the national Kurdish movement in Turkey.The main theoretical interest of this study is that it resituates the question of the rigidity of invented traditions by showing how a tradition was subjected to symbolic redevelopments within a particular national movement and exploring the ways in which it was transferred into the symbolic repertoire of a competing nationalism.Key words : invention of tradition, neo-ritualization, nationalism, collective identifications, Kurdish ethno-cultural mobilisation in Turkey.
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Les pouvoirs du danger. Zone indsutrielle de Fos-sur-Mer. Anthropologie politique des risques industriels et du conflit de l'incinérateur.

Girard, Tobias 05 July 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse s'intéresse à la construction politique des conflits environnementaux liés au traitement des déchets, à la gestion des risques industriels et des pollutions. La recherche s'interroge sur les usages politiques du danger, c'est-à-dire sur les processus à l'aide desquels les puissants, hommes politiques, firmes multinationales, représentants de l'État ou leaders associatifs, peuvent à la fois combattre les menaces environnementales, mais aussi les produire de par leurs décisions, les amplifier de par leurs absences de décisions, ou encore les occulter et les instrumentaliser. Pour chercher des éléments de réponse, une enquête de terrain a été réalisée de fin 2004 à fin 2007 dans la zone industrielle de Fos-sur-Mer, où toutes ces menaces se trouvent cristallisées autour d'un conflit particulièrement politisé, celui portant sur la réalisation d'un incinérateur à Fos-sur-Mer par la Communauté Urbaine de Marseille. Malgré une quarantaine d'actions en justice intentées contre lui, l'incinérateur est entré en service en 2010 au terme d'une vingtaine d'années de luttes, d'avancées, de reculs et de multiples rebondissements. La thèse cherche à décrypter l'influence des jeux de pouvoirs sur le conflit : guerre commerciale des majors du déchet, tactiques des leaders associatifs, rivalités politiques, revirements électoraux, scandales nationaux, réseaux d'influence, soupçons de corruption, etc. Elle prend alors pour objet les détraquements du politique qui finissent par former de véritables politiques du détraquement. Pour étudier ces mécanismes complexes, il a fallu mettre en place un cadre théorique et méthodologique spécifique. Le premier s'appuie sur les travaux de Mary Douglas, Georges Dumézil, Michel Foucault, Gilles Deleuze et Félix Guattari. Le second propose une analyse croisée de l'histoire politique du conflit, du contexte, des discours et des pratiques. Au lieu de s'attacher aux représentations sociales du risque et de la pollution pour interpréter les raisons du conflit, la recherche s'emploie à mettre en lumière les similitudes de comportements, de styles et de pratiques que l'on peut observer de part et d'autre du conflit, quelque soit la cause défendue ou les intérêts représentés. Selon les formes que prennent les menaces et les usages, observés sur le terrain, qui en sont faits, c'est une typologie des dispositifs de pouvoir qui est ainsi proposée. La thèse distingue alors le danger, du risque et du péril pour leur associer respectivement des dispositifs de pouvoir, de contrôle et de puissance. Cette méthode fige les formes de pouvoir pour analyser le montage des politiques et stratégies employées dans le conflit. Il devient ainsi possible de rendre compte des enjeux de pouvoir, par exemple d'une procédure de concertation ou d'une stratégie de communication, en étudiant sa manière de faire, c'est-à-dire sa manière de sélectionner les menaces et de travestir ou d'agencer ensemble les dispositifs de pouvoir, de contrôle et de puissance.
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Les chefferies de Maré (Nouvelle Calédonie) : étude d'ethno-histoire : confrontation des traditions autochtones et des documents européens /

Dubois, Marie-Joseph, January 1977 (has links)
Thesis--Paris V, 1973. / Includes bibliographical references (p. 809-815).
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Les chefferies de Maré (Nouvelle Calédonie) étude d'ethno-histoire : confrontation des traditions autochtones et des documents européens /

Dubois, Marie-Joseph, January 1977 (has links)
Thesis--Paris V, 1973. / Includes bibliographical references (p. 809-815).
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Les ingouvernables : la faillite du gouvernement des roms en bidonvilles : Lyon, 2005-2012 / The ungovernables : the governmentality’s failure of romanian roma’s slums in Lyon between 2005 and 2012

Ott, Thomas 29 January 2015 (has links)
Ce travail s'intéresse aux politiques locales de gestion des bidonvilles à Lyon entre 2005 et 2012. J'ai tenté d'interroger ce qui mène à penser la situation des bidonvilles et des squats de roms comme une situation en même temps spécifique et ingérable. Cette spécificité amène sans cesse à questionner les roms plutôt que les modes de gestion de cette situation, ce qui fait des occupants des bidonvilles des « ingouvernables ». Le problème n'est bien entendu pas celui des roms mais un problème qui concerne le fonctionnement du collectif et notre rapport à ces situations. Parlant « d'occupation » lorsqu'un squat ou un bidonville s'installe entre les mailles du filet urbain, j'ai interrogé ce qui nous occupe tant lorsque des roms occupent une parcelle de vie urbaine. J'ai voulu montrer la répétition et l'insistance avec laquelle on est rivé sur cette présence étrange et étrangère. J'ai essayé de montrer à quel point il est nécessaire aux acteurs et observateurs des situations d'occupation de cerner, discerner et déterminer ce qui se passe et dépasse les attentes de conformation qui définissent la gouvernementalité contemporaine. C'est ce que j'ai tenté de documenter en tant que moments de « la faillite du gouvernement des roms en bidonvilles ».L'objet de ce travail est ce qu'il y a « d'ingouvernable » dans une situation. Ce qui « résiste » au gouvernement dans les situations des bidonvilles et des squats n'est pas une population en particulier, mais l'impossibilité d'en considérer une avec assurance et efficacité. Le problème n'est pas de savoir comment les roms « font » pour ne pas être identifiables à ce point, mais ce qui fait qu'il est nécessaire au gouvernement d'une situation de déterminer ce sur quoi il s'agit d'agir. En d'autres termes, il s'agit d'interroger le rapport qu'entretient l'exercice de la gouvernementalité avec les processus de subjectivation mais aussi les processus d'objectivation. De quelle manière l'exercice du pouvoir détermine un sujet agissant et en quoi les nécessaires sujets et objets transparents et adéquats à la reconnaissance, lorsqu'ils disparaissent de ce champ de « visibilité » pour atteindre le « hors-champ » des « indiscernables », remettent-ils en question l'exercice du gouvernement?L'une des notions centrales qui intervient dans ce travail est celle de résistance: d'abord, ce qui résiste est la possibilité d'objectiver ces situations, qui apparaît dans la perception de l'espace du bidonville, l'état des corps ou encore les recensements des occupants et les cartographies de l'habitat précaire, en tous les cas la possibilité de généraliser et de saisir globalement ce qui se passe; ensuite, ce qui résiste se situe dans l'action même de gestion des « situations de crise » et des bidonvilles, c'est la « crise » même qui est autant celle de l'institution qui ne peut qu'imparfaitement gérer les choses et la crise de son ambition à disposer des corps et du temps de ceux qui déborde du cadre institué; enfin, ce qui résiste s'adosse plus que s'oppose aux dispositifs par des manières de faire qui récupèrent ou conservent une marge de manœuvre tout en se situant en marge des subjectivités domestiques où s'investit avec plus ou moins de succès la gouvernementalité contemporaine. / This work deals with slums management local policies in Lyon between 2005 and 2012. I tried to interrogate what is leading to think roma’s slums situation as a specific and unmanageable situation. This specificity lead constantly to question roma people rather than the management’s policies of the situation. It produce roma people as not governed people or, as i said, « the ungovernables ». The problem is not obvioulsy roma’s problem, but a problem concerning the operation of social life and our own relation with these situations. Speaking about « occupation » when a settlement is occuring in the city’s cracks, I asked what is « occupying » us so much when roma occupy a plot of our city. I wanted to show with wich repetition and insistance we are binding on this strange and foreign presence. I tried to show how much it is necessary for the observers and actors of the situation to indentify, to distinguish and to establish what is going on and what is going over the expectations of conformation, wich are defining the contemporary governmentality. That is what i tried to document it as moments of « governmentality’s failure of roma’s slums».The purpose of this work is what it is « ungovernable » in any kind of situation. What resists to the governement of squats and slums situations is not a population in particular, but the impossibility to consider one with assertivness and effectivness. The problem is not to know how roma people are doing to be unidentified at this point but what is leading to be necessary for the governement of the situation to establish what it is needed to intervene on. In other words, the question is the relation between the practice of governement and the production’s process of subjectivity, as well as objectivity : in wich way the practice of power produce an acting subject and how necessarily transparent and appropriate-to-recognition subjects and objects, when they disappear of the field of « visibility » to get « off the limelight » the field of the « indinstinguishables », are calling the practice of governement in question ?One of the central notions in this work is the notion of resistance : first of all, what resists is the possibility of objectivize these situations, wich is appearing in the tricky perception of the space or the body’s conditions in slums, or the difficulty of population census and precarious housing mapping in the whole city, in all cases the possibility to generalize and to understand globaly what happens ; then, what resists is situated in the management of a « crisis situation » as a slum, it is the « crisis » itself wich is instituion’s one who is imperfectly able to govern things, and in the same time the crisis of its ambition to state and order body’s and time’s of whom overflows the established framework ; finally, what resists lean on apparatus more than is opposed to, with some ways of operating recovering or keeping a « room for maneuver », situated in the edge of the domestic subjectivity where the contemporary governmentality try, with more or less succes, to invest.

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