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Constituting "Community" at the onset of the Pascua Lama Mining Project

Campisi, Christina January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Segmentation et exclusion des Gitans de Perpignan : émergence d'une élite politique?

Grimard, Léon 08 1900 (has links)
Dans la dernière décennie, une abondante littérature a documenté la situation des Rroms d'Europe Centrale et de l'Est, où a émergé une nouvelle élite politiquement activiste. Mais chez les Tsiganes d'Europe de l'Ouest, l’activisme politique d’une élite semblait absent. Cette étude de terrain a été réalisée chez Gitans de Perpignan, à la recherche d’une action et d’une élite politique chez ce groupe, dans le contexte culturel d’une société segmentaire à pouvoir diffus, frappée d’exclusion par la société majoritaire. En effet, je propose que le concept de société segmentaire puisse s’appliquer aux Gitans, et que l’exclusion des Gitans par les païos (non Gitans) constitue un déni de la réalité relationnelle des Gitans avec la majorité païa. Enfin, l’enquête a révélé la position de «médiateurs culturels» des différents agents qui interviennent entre le monde des Gitans et celui des païos. C’est à travers le rôle de «médiateurs culturels» qu’émerge peut-être une élite politique. / In the last decade, a wealth of literature has documented the situation of Rroma living in Central and Eastern Europe, in a context in which there has emerged new elite and new forms of political action. Among Western Europe’s Romani, political activism and elites seemed to be absent. This fieldwork has been done with certain types of elites among the Gypsies of Perpignan seeking to encourage political action, in the cultural context of a segmentary society with diffuse power which is faced with various forms of socio-economic exclusion by mainstream society. In this analysis, I suggest that exclusion by the païos (non Gypsies) is a denial of the relational reality of the Gypsies with the païa majority. Finally, this fieldwork has revealed the position of the cultural brokers, a role played by various agents intervening between Gypsies and non gypsies worlds. I argue that it is through the cultural broker’s role that political elite may emerge.
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Constituting "Community" at the onset of the Pascua Lama Mining Project

Campisi, Christina January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Étude sociojuridique des représentations de la laïcité indienne et des positionnements à l’égard de lois différenciées selon l’appartenance religieuse.

Lévesque, Sarah-Émilie 09 1900 (has links)
En 1947, après l’obtention de l’indépendance, l’Inde est devenue une république séculière et démocratique proposant ainsi une nouvelle organisation de la société. Sans faire l’unanimité, des lois familiales différenciées selon l’identité religieuse ainsi que des droits socioéconomiques associés à l’appartenance à un groupe ont été reconnus par l’État. Dans le climat politique des années 90, le secularism et les droits de groupe ont été le sujet de débats. À partir d’une considération du contexte sociohistorique, cette recherche porte sur les manières de se représenter la laïcité indienne et sur ses rapports potentiels avec des lois différenciées selon l’appartenance religieuse. À travers la notion d’égalité, cette recherche explore les droits et les devoirs associés à la juste approche de la diversité religieuse en Inde indépendante. Une attention particulière est accordée à la période contemporaine et aux droits des Indiens musulmans. Dans cette recherche, les représentations juridiques qui se dégagent de l’analyse des débats publics et intellectuels sont mises en parallèle avec les points de vue de dix-sept répondants de la classe moyenne de Kolkata (été 2011). À travers cette démarche, cette analyse du discours informe sur les conceptions du secularism débattues en Inde indépendante et dans la période contemporaine. Parallèlement à un accent mis sur l’amour de la diversité, les droits individuels, les devoirs et l’auto régulation, les droits différenciés pour les musulmans sont, pour la majorité des répondants, rejetés. Deux approches de l’État sont soulevées dans les définitions du secularism, une version plus dirigiste et l’autre laissant plus de souveraineté aux groupes. / In 1947, India became a secular democratic republic proposing a new organization of society. Family laws, established according to religious affiliation and affirmative action policies, were recognized by the state without unanimity. In the political climate of the nineties, such secularism and group rights were questioned. From a socio-historical perspective, this research focuses on the practices & representations of Indian secularism and its potential relationship with laws differentiated by religious affiliation. Based on the notion of equality, the present research explores the rights and obligations associated with the just approach to religious diversity in independent India. Particular attention is given to the contemporary period and to Indian Muslims’ group rights. In this research, legal representations that emerge from the analysis of public and intellectual debates are paralleled with the viewpoints of seventeen of Kolkata’s middle-class informants (summer 2011). Using this approach, the discourse analysis informs the reader on the conception of secularism discussed in contemporary, independent India. Recognising the value of diversity, duties and self regulation, the majority of respondents reject differentiated rights for Muslims. Two approaches of the state emerge; one in which the State is more directive and one which provides more autonomy to the group.
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Migrations internationales, restructurations agraires et dynamiques associatives en pays soninké et haalpulaar (1975-1990), essai d'anthropologie du changement social et du développement

Lavigne Delville, Philippe 27 June 1994 (has links) (PDF)
Ce travail propose une interprétation des dynamiques actuelles de changement social dans la zone sahélienne d'émigration internationale (pays soninké et haapulaar, à cheval entre le Sénégal, le Mali et la Mauritanie), resituées dans une perspective de longue durée. La ruine des formations sociales précoloniales soninke et haalpulaar a réorienté leurs économies vers les migrations, et, depuis les années 60-70, les migrations vers la France. Les transferts financiers des migrants sont devenus le coeur de la régulation de l'économie domestique. Le contrôle de ces transferts est devenu un enjeu, que les notables ont cherché à contrôler, à travers le regroupement des migrants dans des "villages-bis" dans les foyers d'immigrés. Au niveau villageois, les revenus migratoires ont recomposé les stratégies économiques des familles, que ce soit pour accumuler, ou éviter la désaccumulation. L'agriculture occupe désormais un rôle secondaire, même là où, comme au Fuuta Toro, les périmètres irrigués créés par l'Etat ont permis d'accroître la capacité de production. La relative marginalisation de l'activité agricole n'est cependant pas un effet mécanique de la dépendance à la migration, mais le fruit de stratégies différenciées. Les projets de développement financés par les migrants sont à la fois des investissements collectifs et des façons de gérer l'extraversion. En migration comme au village, les associations locales apparaissent comme de nouveaux modes d'action collective, sur les affaires publiques locales. Elles sont en même temps des arènes dans la compétition politique et sur le sens du terme "développement"
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Une ethnographie de la gestion de la population rom en Albanie

Sula Raxhimi, Enkelejda 12 1900 (has links)
No description available.
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«Ils viennent pour travailler» : l'utilitarisme migratoire et les ouvriers agricoles saisonniers au Québec

Castracani, Lucio 09 1900 (has links)
No description available.
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Étude sociojuridique des représentations de la laïcité indienne et des positionnements à l’égard de lois différenciées selon l’appartenance religieuse

Lévesque, Sarah-Émilie 09 1900 (has links)
No description available.
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Monáitaga úai – Palabra que se hace amanecer : el cambio en las formas de “gobierno propio” entre la Gente de Centro del medio río Caquetá, Amazonia colombiana

Andrade, Camilo A. 06 1900 (has links)
Depuis la fin du XIXe siècle, des dynamiques sociales diverses – holocauste du caoutchouc, colonie pénale, missions catholiques, présence d’institutions gouvernementales et non gouvernementales — ont reconfiguré les formes d’organisation sociale des habitants du moyen fleuve Caquetá, dénommés Gens de centre. Nous nous arrêterons en particulier sur l’effet de ces changements sur leurs formes d’autonomie. Avec la reconnaissance par l’État, au cours des années 1980 et 1990, des peuples indigènes en tant que minorités ethniques, surgit une dichotomie entre ce qui est « traditionnel » autochtone, par opposition à ce qui est « moderne », étant donné les processus d’acculturation et inclusion de ces groupes dans la société majoritaire. Dans le présent travail, on établit une comparaison des figures « d’autorité traditionnelle » et de « leader », une différenciation faite dans la région du moyen fleuve Caquetá. Dans un premier temps, on donne un aperçu théorique de la figure de chef dans les terres basses de l’Amérique du Sud et sa validité et pertinence dans la situation du moyen fleuve Caquetá. Puis, l’on présente comment se forme l’autorité traditionnelle et ses champs d’action. On montre, de la même façon, les différents processus qui ont donné lieu à l’apparition de la figure de leader et les espaces où celle-ci évolue. La relation entre les deux figures est à la fois contradictoire et complémentaire. Finalement, on expose, avec des exemples concrets, les rapports entre les Gens de centre et les institutions gouvernementales et la remise en question de l’autonomie accordée aux groupes minoritaires dans la Constitution politique de la Colombie de 1991. / The inhabitants of the Middle Caquetá river, called People of the Center, have experienced a series of varying impacts since the late nineteenth century –rubber holocaust, Penal Colony, catholic missions, presence of governmental and non-governmental institutions. These reshaped their forms of social organization. In this particular case, their forms of “self-government”. With the recognition of the indigenous people as ethnic minorities in the 1980s and 1990s, a dichotomy arose between what is “traditional” in relation to the indigenous as opposed to the “modern”, given the processes of acculturation and inclusion of these groups into mainstream society. In this sense, this work compares the figures of “traditional authority” and “leader”, as differentiated in the context of the inhabitants of the Middle Caquetá River. The first part is a theoretical revision of the figure of the chief in the lowlands of South America and its validity and relevance in the context of the Middle Caquetá River. Next, the context of formation of a traditional authority and its contexts of action are presented. Likewise, the different processes leading to the emergence of the figure of leader and the spaces in which it operates are shown. The relationship between these two figures is at once contradictory and complementary. Finally, some contexts that illustrate the relationship between the People of the Center and governmental institutions are considered. This leads to a questioning of the autonomy of minority groups recognized in the Colombian Political Constitution of 1991. / Los pobladores del medio río Caquetá, denominados Gente de Centro, vivieron desde finales del siglo XIX diferentes dinámicas –holocausto cauchero, Colonia Penal, misiones católicas, presencia de instituciones gubernamentales y no gubernamentales- que reconfiguraron sus formas de organización social; para este caso particular, sus formas de “gobierno propio”. Con el reconocimiento de los pueblos indígenas como minorías étnicas entre las décadas de 1980 y 1990 por parte del Estado colombiano, se plantea una dicotomía entre lo que es “tradicional” en relación a lo indígena, por oposición a lo “moderno”, dados los procesos de aculturación e inclusión de estos grupos a la sociedad mayoritaria. En este sentido el presente trabajo muestra de manera comparativa las figuras de “autoridad tradicional” y “líder”, diferenciación que se hace en la región del medio río Caquetá. En un primer momento se hace una revisión teórica de la figura del jefe en las tierras bajas de Suramérica y su vigencia y pertinencia en el contexto del medio río Caquetá. Acto seguido, se presenta el contexto de formación de una autoridad tradicional y sus contextos de acción. De la misma manera, se muestran los diferentes procesos que llevaron a la aparición de la figura de líder y los espacios donde se desenvuelve. La relación entre estas dos figuras es a la vez contradictoria y complementaria. Finalmente, se exponen algunos contextos donde se muestra la relación entre la Gente de Centro y las instituciones gubernamentales, contextos donde se pone en cuestión la autonomía reconocida para los grupos minoritarios, en la Constitución Política Colombiana de 1991.
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En quête de dignité : essai d’une anthropologie de la reconnaissance sociale : le mouvement des Sans Terre au Brésil / In search of dignity : essay of an anthropology of social recognition : the Landless workers' movement in Brazil / Em busca da dignidade : ensaio de uma antropologia do reconhecimento social : o movimento Sem Terra no Brasil

Martig, Alexis 13 December 2011 (has links)
Cette recherche de thèse de doctorat se propose de réaliser une anthropologie de la reconnaissance sociale au Brésil à partir des revendications de « dignité » du Mouvement social des travailleurs ruraux Sans Terre (MST).Pour comprendre cette exigence de reconnaissance (Taylor, 1992), et définir dans quelle mesure l’engagement des travailleurs ruraux dans la lutte du MST résulte d’une motivation affective issue d’expériences de mépris social (Honneth, 2000), la réflexion se centre dans un premier temps sur les conditions sociohistoriques de constitution des travailleurs ruraux au Brésil. L’étude de l’historiographie brésilienne permet ainsi de mettre en lumière comment les valeurs de la société brésilienne, la nature de la structure agraire héritée de la colonie portugaise, les rapports de domination entre grands propriétaires terriens et travailleurs ruraux basés sur la « domination personnelle » ainsi que les représentations des travailleurs ruraux ont participé de la construction de cette population comme une population subalterne (Spivak, 1988). La recherche s’intéresse ensuite aux pratiques développées par le MST pour reconquérir une dignité. Basées sur un usage politique de l’artistique, ces pratiques sont instituées dans le mouvement social au sein du « Setor de Cultura » (Secteur de la Culture) et combinent les deux aspects des théories de la reconnaissance sociale : l’« auto-reconnaissance » en termes d’estime de soi (Honneth, 2000), et, la reconnaissance sociale en termes de politiques publiques (Fraser, 2005). C’est pourquoi, l’analyse de ces pratiques s’appuie dans un premier temps sur l’ethnographie des moments de socialisation développés par le « Setor de Cultura » pour saisir jusqu’où ils permettent de créer un sentiment d’identification au MST et donnent aux travailleurs ruraux l’opportunité de se constituer en tant que sujets politiques. L’analyse interroge ensuite les usages de la musique et du théâtre visant à transformer la représentation dominante des « Sans Terre » dans la société brésilienne, et à rendre ainsi légitime la réalisation de la Réforme Agraire aux yeux de l’opinion publique. / This research takes aim to realize an anthropology of social recognition in Brazil based on the study of the Landness social mouvement’s (MST) revendications of « dignity ».To understand these recognition’s demands (Taylor, 1992), and how the commitment of peasants into the MST’s struggle is based on an affective motivation determinated by experiences of social comtempt (Honneth, 2000), this reflexion focus at first on the sociohistorical conditions of the peasant’s constitution in Brazil. The study of brasilian historiography allows to determine how the brasilian society’s values, the land structure’s nature inherited from the portuguese colony, the domination’s relations between the big landowners and the peasants based on the « personal domination » and the social representations of the peasants had participed to build this population as a subaltern population (Spivak, 1988). Then, this research take an interest in the pratices developped by the MST to recover a dignity. Making a politic use of the artistic, these pratices are instituted in the social movement in the « Setor de Cultura » (Culture’s Sector) and combine the two aspects of the social recognition’s theories : the « auto-recognition » in terms of self’s esteem (Honneth, 2000), and, the social recognition in terms of publics policies (Fraser, 2005). That’s why, the analysis of these practices is first based on the ethnography of the socialisation’s moments developed by the « Setor de Cultura » to understanding however they allow to create an identification’s feeling within the MST and give an opportunity to the peasant to form them as politic subjects. Then, the analysis questions the music and theater’s uses aiming to transforme the Landless dominant representation in brazilian society, making like this as legitimated the achievement of the Land Reform for the outside word. / Essa tese de doutorado tem como objetivo de realizar uma antropologia do reconhecimento social no Brasil a partir das reivindicações de « dignidade » do Movimento social dos trabalhadores rurais Sem Terra (MST).Para entender essa exigência de reconhecimento (Taylor, 1992), e tentar esclarecer de que maneira o engajamento dos trabalhadores rurais na luta do MST é o resultado de uma motivação afetiva alimentada de experiências de desprezo social (Honneth, 2000). Nossa reflexão se concentra num primeiro tempo sobre as condições socio-históricas de constituição dos trabalhadores rurais no Brasil. O estudo da historiografia brasileira permite salientar como os valores da sociedade brasileira, a natureza da estrutura agrária herdada da colonização portuguesa, as relações de dominação entre os latifundiários e os trabalhadores rurais baseadas na « dominação pessoal » assim como as representações dos trabalhadores rurais participaram da construção dessa população como uma população subalterna (Spivak, 1988). Depois, a pesquisa se interessa nas práticas desenvolvidas pelo MST pela reconquista de sua dignidade. Baseadas no uso político do artístico, essas práticas foram formalizadas no movimento social dentro do « Setor de Cultura » e combinam os dois aspectos das teorias do reconhecimento social : o « auto reconhecimento » em termos de autoestima (Honneth, 2000) e, o reconhecimento social em termos de políticas públicas (Fraser, 2005). No entanto, a análise dessas práticas se apoia num primeiro tempo sobre a etnografia dos momentos de socialização desenvolvidos pelo « Setor de Cultura » para entender até onde eles permitem de criar um sentimento de identificação ao MST e dão aos trabalhadores rurais a oportunidade de se constituir como sujeitos políticos. A análise interroga num segundo tempo os usos da música e do teatro que tem como objetivo transformar a representação dominante dos « Sem Terra » na sociedade brasileira, e assim defender e mostrar a legitimidade da realização da Reforma Agrária aos olhos da opinião pública.

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