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Des hiérarchies de dominance au gouvernement des hommes. Considérations naturalistes sur l'origine de l'État.

Dubreuil, Benoît 07 June 2007 (has links)
Cette thèse vise à fournir un élément de réponse à un problème politicoanthropologique classique, celui de l'origine de l'inégalité parmi les hommes. Plus précisément, elle vise à déterminer deux choses: 1) pourquoi des hommes, capables de culture, ont vécu pendant des centaines de milliers d'années dans des petits groupes de chasseurs-cueilleurs nomades et égalitaires 2) pourquoi l'apparition de sociétés de grande taille au cours du Néolithique s'est systématiquement accompagnée d'une différenciation sociale accrue, de l'apparition de hiérarchies de statuts et, éventuellement, de la centralisation du pouvoir politique. La réponse proposée est que la taille des sociétés humaines est sensible à un effet de plafonnement. Ceci s'explique par le caractère conditionnel de la coopération humaine et par la mémoire limitée des humains en contexte social. Ce plafonnement de la taille des groupes ne peut être surmonté que si les humains créent des institutions qui permettent une division sociale du travail de sanction, ce qui à son tour dépend de l'émergence chez l'homme d'un langage et d'une théorie de l'esprit complexes. L'argument proposé est de type fonctionnaliste et vise à appuyer les théories en sciences sociales qui s'intéressent à l'évolution de la culture et des formes politiques.
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Histoire et évolution de la vannerie et des cordages sur la côte du Pérou préhistorique

Perreault, Charles January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Musique et intégration à Montréal : le cas de l’Orchestra Rapsodia Româna

Leblanc, Sébastien 12 1900 (has links)
No description available.
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Les mécanismes de l'évolution culturelle cumulative / Mechanisms of cumulative cultural evolution

Derex, Maxime 05 December 2013 (has links)
Le succès remarquable -écologique et démographique- de l'espèce humaine est largement attribué à notre capacité pour la culture cumulative, i.e. l'accumulation d'innovations culturelles à travers le temps. L'absence ou du moins la rareté de la culture cumulative chez les autres animaux a conduit à de nombreuses spéculations à propos des facteurs nécessaires à son émergence. La culture cumulative dépend étroitement de processus permettant de générer de l'information, et de mécanismes permettant à cette information d'être fidèlement transmise entre les individus. A l'aide d'une approche expérimentale basée sur l'utilisation de jeux sur ordinateur, nous montrons que la capacité d'imitation des patrons comportementaux peut grandement faciliter la fidélité de transmission des informations culturelles. De même, une grande taille de population contribue à la stabilisation des informations culturelles, particulièrement dans le cas d'informations complexes. Cependant, la culture cumulative requiert également la production d'innovations qui ne peut résulter de ces seuls facteurs. D'un point de vue théorique, les innovations sont généralement plus coûteuses à produire qu'à copier, de sorte que la sélection peut difficilement opérer au profit des innovateurs. Nos résultats nous permettent cependant d'avancer que l'émergence d'objets culturels technologiquement opaques pourrait permettre aux innovateurs de bénéficier plus largement de leurs innovations. L'émergence de l'opacité technologique pourrait ainsi constituer un pivot dans l'évolution de la culture cumulative, permettant de favoriser à la fois l'innovation et les mécanismes fidèles de transmission d'information. Les capacités à hiérarchiser et planifier ses actions étant essentiel à la production d'objets culturels technologiquement opaques, il est possible que l'absence apparente de culture cumulative chez les animaux non-humains soit due à un moindre développement de ces capacités cognitives. Finalement nous proposons que la complexité de la culture humaine repose sur quatre facteurs principaux : capacité à hiérarchiser et planifier ses actions, capacité à imiter, collaboration interindividuelle et grande taille de population. / The remarkable success – both ecological and demographic- of the human species is widely attributed to our capability for cumulative culture, i.e. the accumulation of innovations over time. The lack or at least the rarity of cumulative culture in non-human animals has led to much speculation about factors enabling its emergence. Cumulative culture strongly depends on processes allowing generating information, and mechanisms allowing information to be efficiently transmitted between individuals. Using a computer-based experimental approach, we show that process-copying ability improves the fidelity of cultural information transmission. Also, population size contributes to the stability of cultural information, especially for complex information. However, cumulative culture also requires the creation of new innovations, which cannot be the outcome of these factors. From a theoretical point of view, innovations are generally costlier to produce than to copy, so that selection hardly favours innovators. From our results, we propose that the emergence of technologically opaque cultural traits may allow innovators to more widely benefit from their innovations. Thus, the emergence of technological opacity could be pivotal in the rise of cumulative culture, allowing favouring innovation and faithful copying mechanisms. Because the ability to plan actions in a hierarchical way is pivotal to produce technologically opaque cultural artefacts, the lack of cumulative culture in non-human animals could be due to limitations of these cognitive skills. Finally, we propose that human cultural complexity depends on four main factors: the ability to plan actions in a hierarchical way, the ability to process-copy, inter-individual collaboration and large population size.
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Évolution et transmission des savoir-faire céramiques au cours du Sylvicole (-1000 à 1550 de notre ère) : la station 3-avant de Pointe-du-Buisson (BhFl-1d), Haut-Saint-Laurent, Québec

Méhault, Ronan 02 1900 (has links)
No description available.
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Epidemiology of representations : an empirical approach / Epidemiology of representations : an empirical approach / Epidemiología de las representaciones : un enfoque empírico

Lerique, Sébastien 27 October 2017 (has links)
Nous proposons une contribution empirique aux tentatives récentes d'unification des sciences cognitives et des sciences sociales.La Théorie de l'Attraction Culturelle (CAT) propose de s'atteler à des questions interdisciplinaires en utilisant une ontologie commune faite de représentations.D'après la CAT, malgré des transformations au niveau micro, la distribution globale des représentations peut rester stable grâce à des attracteurs culturels.Cette hypothèse est difficile à tester, mais les technologies du web permettent de combiner les avantages des techniques existantes pour étendre le champ des études possibles.Nous présentons deux études de cas sur de courts énoncés écrits.La première examine les changements que des citations subissent lorsqu'elles sont copiées en ligne.En combinant psycholinguistique et fouille de données, nous montrons que les substitutions de mots sont cohérentes avec l'hypothèse des attracteurs culturels, et avec les effets connus de variables lexicales.La deuxième étude étend ces résultats, et utilise une expérience web permettant de récolter des chaînes de transmission de qualité et en grande quantité.En étendant un algorithme bioinformatique, nous décomposons les transformations en des opérations plus simples, et proposons un premier modèle descriptif du processus qui relie les connaissances psycholinguistiques sur la transformation de phrases aux tendances de haut niveau identifiées dans la littérature sur l'évolution culturelle.Enfin, nous montrons que la compréhension de l'évolution de telles représentations nécessite une théorie du sens des énoncés, une tâche pour laquelle nous explorons les approches empiriques possibles. / We propose an empirical contribution to recent attempts to unify cognitive science and social science.We focus on Cultural Attraction Theory (CAT), a framework that proposes a common ontology made of representations for cognitive and social science to address interdisciplinary questions.CAT hypothesizes that in spite of important transformations at the micro-level, the overall distribution of representations remains stable due to dynamical attractors.Testing this hypothesis is challenging and existing approaches have several shortcomings.Yet, by taking advantage of web technologies one can combine the advantages of existing techniques to expand the range of possible empirical studies.We develop two case studies to show this with short written utterances.The first examines transformations that quotations undergo as they are propagated online.By connecting data mining tools with psycholinguistics, we show that word substitutions in quotations are consistent with the hypothesis of cultural attractors and with known effects of lexical features.The second case study expands these results, and makes use of a purposefully developed web experiment to gather quality transmission chain data sets.By extending a bioinformatics alignment algorithm, we decompose transformations into simpler operations, and propose a first descriptive model which relates psycholinguistic knowledge of sentence transformation to evolutionary trends elicited in the cultural evolution literature.Finally, we show that further understanding the evolution of such representations requires an account of meaning in context, a task for which we flesh out possible empirical approaches.
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Co-évolution dans les Réseaux Epistémiques<br />- Un exemple de reconstruction en sciences sociales

Roth, Camille 19 November 2005 (has links) (PDF)
Des agents produisant, manipulant et échangeant des connaissances constituent un système complexe socio-sémantique, dont l'étude représente un défi à la fois théorique, dans la perspective d'étendre la naturalisation des sciences sociales, et pratique, avec des applications permettant aux agents de connaître la dynamique du système dans lequel ils évoluent.<br /><br />Cette thèse se situe dans le cadre de ce programme de recherche. Parallèlement et plus largement, nous nous intéressons à la question de la reconstruction en sciences sociales. La reconstruction est un problème inverse comprenant deux volets complémentaires: (i) la déduction d'observations de haut-niveau à partir de phénomènes de bas-niveau; et (ii) la reproduction de l'évolution des observations de haut-niveau à partir de la dynamique des objets de bas-niveau.<br /><br />Nous affirmons que plusieurs aspects significatifs de la structure d'une communauté de savoirs sont principalement produits par la dynamique d'un réseau épistémique où co-évoluent agents et concepts. En particulier, nous résolvons le premier volet du problème de la reconstruction en utilisant des treillis de Galois afin de recréer des taxonomies de communautés de savoirs à partir de simples relations entre agents et concepts; nous obtenons de fait une description historique se rapportant à la progression des champs, leur déclin, leur spécialisation ou leurs interactions (fusion ou scission). Nous micro-fondons ensuite la structure de ces communautés de savoirs en exhibant et en estimant empiriquement des processus d'interaction au niveau des agents, en co-évolution avec les concepts au sein du réseau épistémique, qui rendent compte de la morphogenèse et de l'émergence de plusieurs faits stylisés structurels de haut-niveau - il s'agit là du deuxième volet.<br /><br />Nous défendons finalement un point de vue épistémologique concernant la méthodologique générale de reconstruction d'un système complexe qui appuie notre choix d'un cadre co-évolutionnaire.
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Métadynamiques en Cognition Sociale<br />Quelle définition de meilleur est la meilleure ?

Chavalarias, David 25 October 2004 (has links) (PDF)
Quels sont les principes fondateurs de l'auto-organisation des sociétés humaines ? Produits d'une évolution culturelle rapide, qui a pris le pas sur l'évolution biologique, celles-ci réclament une approche par des formalismes radicalement différents de ceux utilisés généralement dans l'étude des autres sociétés animales.<br /><br /><br />Concrètement, la modélisation des rapports entre individus et collectif considère le plus souvent des agents qui peuvent être représentés sous la forme d'une hiérarchie de règles, chacune se plaçant en position méta par rapport aux règles du niveau inférieur. Celles-ci peuvent s'interpréter, selon les niveaux, comme des règles de comportement, des règles de décision, des règles de transmission culturelle ou génétique.<br /><br />L'émergence de régularités au niveau collectif peut alors s'interpréter comme la sélection d'une distribution particulière sur l'ensemble des règles et métarègles définissant les agents. Dès lors, le problème de l'auto-organisation dans les systèmes économiques et sociaux se reformule autour de la question suivante : « Peut-on endogénéiser les distributions des métarègles de comportement de manière à ce qu'elles soient le produit des dynamiques collectives qu'elles définissent ? ».<br /><br />Nous montrons dans cette thèse que la prise en compte, dans les modèles formels, de la spécificité de l'imitation humaine permet de répondre positivement à cette question, un point essentiel étant qu'une règle d'imitation peut être sa propre métarègle. Nous proposons ainsi un cadre formel pour l'étude de sociétés d'agents mimétiques auto-organisées, les jeux métamimétiques ; le concept d'équilibre correspondant est alors l'état contrefactuellement stable : aucun agent ne peut s'imaginer mieux qu'il n'est en se mettant contrefactuellement à la place de l'un de ses voisins. Nous étudions ensuite les propriétés de ces jeux en prenant comme champs d'application le problème de l'émergence de la coopération dans un dilemme de prisonnier spatialisé. Nous montrons au passage, que cette approche permet d'échapper au dilemme.<br /><br /><br />Plus généralement, nous nous plaçons dans le cadre de la théorie des jeux stochastiques et nous explicitons le rôle structurant des perturbations dans ce type de système dynamique, les structures spatio-temporelles émergentes étant le produit du couplage entre la dynamique endogène des systèmes métamimétiques et la structure interne des perturbations. En rupture avec l'approche traditionnelle, ceci nous amène à interpréter l'hétérogénéité auto-organisée des systèmes sociaux humains comme une différenciation par un processus de co-évolution d'une multiplicité de critères possibles, plutôt que par un processus d'optimisation global d'un critère unique.
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Métadynamiques en cognition sociale. Quelle définition de meilleur est la meilleure ?

Chavalarias, David 25 October 2004 (has links) (PDF)
Quels sont les principes fondateurs de l'auto-organisation des sociétés humaines ? Produits d'une évolution culturelle rapide, qui a pris le pas sur l'évolution biologique, celles-ci réclament une approche par des formalismes radicalement différents de ceux utilisés généralement dans l'étude des autres sociétés animales. Concrètement, la modélisation des rapports entre individus et collectif considère le plus souvent des agents qui peuvent être représentés sous la forme d'une hiérarchie de règles, chacune se plaçant en position méta par rapport aux règles du niveau inférieur. Celles-ci peuvent s'interpréter, selon les niveaux, comme des règles de comportement, des règles de décision, des règles de transmission culturelle ou génétique. L'émergence de régularités au niveau collectif peut alors s'interpréter comme la sélection d'une distribution particulière sur l'ensemble des règles et métarègles définissant les agents. Dès lors, le problème de l'auto-organisation dans les systèmes économiques et sociaux se reformule autour de la question suivante : « Peut-on endogénéiser les distributions des métarègles de comportement de manière à ce qu'elles soient le produit des dynamiques collectives qu'elles définissent ? ». Nous montrons dans cette thèse que la prise en compte, dans les modèles formels, de la spécificité de l'imitation humaine permet de répondre positivement à cette question, un point essentiel étant qu'une règle d'imitation peut être sa propre métarègle. Nous proposons ainsi un cadre formel pour l'étude de sociétés d'agents mimétiques auto-organisées, les jeux métamimétiques ; le concept d'équilibre correspondant est alors l'état contrefactuellement stable : aucun agent ne peut s'imaginer mieux qu'il n'est en se mettant contrefactuellement à la place de l'un de ses voisins. Nous étudions ensuite les propriétés de ces jeux en prenant comme champs d'application le problème de l'émergence de la coopération dans un dilemme de prisonnier spatialisé. Nous montrons au passage, que cette approche permet d'échapper au dilemme. Plus généralement, nous nous plaçons dans le cadre de la théorie des jeux stochastiques et nous explicitons le rôle structurant des perturbations dans ce type de système dynamique, les structures spatio-temporelles émergentes étant le produit du couplage entre la dynamique endogène des systèmes métamimétiques et la structure interne des perturbations. En rupture avec l'approche traditionnelle, ceci nous amène à interpréter l'hétérogénéité auto-organisée des systèmes sociaux humains comme une différenciation par un processus de co-évolution d'une multiplicité de critères possibles, plutôt que par un processus d'optimisation global d'un critère unique.
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Des hiérarchies de dominance au gourvernement des hommes: considérations naturalistes sur l'origine de l'Etat

Dubreuil, Benoît 07 June 2007 (has links)
Cette thèse vise à fournir un élément de réponse à un problème politicoanthropologique classique, celui de l'origine de l'inégalité parmi les hommes. Plus précisément, elle vise à déterminer deux choses: <p>1) pourquoi des hommes, capables de culture, ont vécu pendant des centaines de milliers d'années dans des petits groupes de chasseurs-cueilleurs nomades et égalitaires<p>2) pourquoi l'apparition de sociétés de grande taille au cours du Néolithique s'est systématiquement accompagnée d'une différenciation sociale accrue, de l'apparition de hiérarchies de statuts et, éventuellement, de la centralisation du pouvoir politique.<p><p>La réponse proposée est que la taille des sociétés humaines est sensible à un effet de plafonnement. Ceci s'explique par le caractère conditionnel de la coopération humaine et par la mémoire limitée des humains en contexte social. Ce plafonnement de la taille des groupes ne peut être surmonté que si les humains créent des institutions qui permettent une division sociale du travail de sanction, ce qui à son tour dépend de l'émergence chez l'homme d'un langage et d'une théorie de l'esprit complexes. L'argument proposé est de type fonctionnaliste et vise à appuyer les théories en sciences sociales qui s'intéressent à l'évolution de la culture et des formes politiques. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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