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« Écrire, c’est bien s’inscrire dans le monde » : une lecture d’Art poétique d’Eugène Guillevic

Bascik, Teresa 12 1900 (has links)
Ce mémoire propose une lecture du recueil Art poétique d’Eugène Guillevic. Art poétique parait non seulement comme un livre où se développe la recherche patiente d’un principe directeur, mais aussi comme « l’autoportrait d’un poète qui continue de s’interroger et d’interroger le monde » . Le poète a résumé cette double interrogation dans l’expression suivante : « Écrire, c’est bien s’inscrire dans le monde » . Cette formule inspire notre réflexion sur le recueil et nous amène à avancer l’hypothèse suivante : la reprise du genre de l’art poétique par Guillevic s’accorde paradoxalement avec sa recherche d’une expression subjective et singulière. Au cours de ce mémoire, nous allons examiner les relations que le sujet guillevicien entretient avec l’espace et le temps. Nous allons chercher notre appui dans la théorie du discours, telle que la décrit Émile Benveniste. / This dissertation will develop an interpretation of Art poétique by Eugène Guillevic. This anthology in not only a treatise on poetry, but also a “self-portrait of a poet who continues to interrogate himself, and interrogates the world” . This issue is expressed by Guillevic himself: “Writing means making ourselves part of the world” . This sentence leads to the following hypothesis: the genre of “ars poetica” is a means that paradoxically leads Guillevic to write in an intimate manner. This dissertation is an outline of the relations that the poetical subject attempts to maintain with space and time. The theory of discourse of Emile Benveniste will constitute the primary theoretical background for this analysis.
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Présences, traces, échos de la culture grecque et latine dans l’œuvre de Czesław Miłosz. Questions d’intertextualité. Répétition. Création / Signs, traces, echoes of Greek and Latin cultures in Czesław Miłosz’s works. Intertextuality. Repetition. Creativity

Bouvard, Marie 17 November 2012 (has links)
Dans notre travail, nous étudions les références intertextuelles grecques et latines dans l’œuvre de Czesław Miłosz sous l’angle, en premier lieu, de la pratique de la citation, dans une moindre mesure comme phénomène de dérivation ou de transformation. Citer, c’est répéter, mais par le jeu des recontextualisations, de confrontations de textes différents, on crée des effets de surprise, et l’on crée du nouveau. Miłosz déploie une architecture complexe de reprises, de répétitions, d’échos, — c’est une définition possible de l’art poétique comme « reflet » du « monde », et des textes. La langue tente de « spéculer » le réel, et de le re-présenter. Nous avons regroupé les thèmes et motifs récurrents dans trois parties, respectivement consacrées au mythe, ensuite à l’histoire et à la tragédie, et enfin à l’art poétique. Plus en profondeur, ces présences sont le signe d’une préoccupation de la mémoire, du long temps de la culture, des rapports à la tradition, des problèmes de sa transmission, de sa place, de sa valeur. Elles articulent des enjeux esthétiques et éthiques de premier plan. / In this work we study intertextual references to Greek and Latin cultures in Czesław Miłosz’s works, analysing at first the practice of quotation, and further the phenomena of derivation and transformation. Quoting is repeating, but thanks to the games of recontextualisations and of reciprocal tension between different texts, new and often surprising effects are created. Miłosz builds a complex architecture of recurrences, repetitions and echoes, interactions which could lead to a definition of poetic art as a reflection of world and words. Language tries to mirror reality and to re-present it. We have reassembled themes and motives into three parts — respectively myth, history and tragedy, and art of poetry. In a deeper way, the references to Greek and Latin cultures reveal a concern for memory, for cultural evolution, as well as for tradition and problems of its transmission, its place and value. They articulate key aesthetic and ethic issues and challenges.
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Poétique(s) de la poésie : Le cas Tristan Derème / Tristan Derème's poetics of poetry

Cypres, Amandine 21 December 2012 (has links)
Figure éminente du groupe des Fantaisistes, Tristan Derème (1889-1941) est surtout connu pour sa production poétique. Y réduire son œuvre serait, cependant, faire fi d’une masse de livres (Le Quatorze juillet ou petit art de rimer quand on manque de rimes, Le Poisson Rouge, L’Onagre Orangé, La Libellule Violette, parmi beaucoup d’autres) qui constituent, sous la forme spéciale d’une réflexion à plusieurs voix, autant d’essais sur un très grand nombre de questions, surtout d’ordre formel, touchant la poésie française.Il s’agit d'abord de voir en quoi et comment ce massif ignoré de la littérature du XXe siècle se situe au carrefour d’une tradition très classique, qu’il prolonge, et des perspectives les plus modernes, qu’il préfigure, aussi bien à travers son « dit » (les conceptions et positions développées, qui font l'objet d'une première partie), qu’à travers son « faire » (les créations, avec diverses contraintes inédites d'écriture et de réécriture, analysées dans un deuxième temps). Cette réflexion polylogale, menée dans un salon littéraire fictif, interroge de façon essentielle la théorie littéraire. La forme ludique et originale de ce « dire » occupe la troisième et dernière partie de l'étude, avec pour horizon une perspective métathéorique : et si une poétique de la poésie ne pouvait s'écrire que dans la fantaisie ? / An eminent figure in the group of French writers known as the « Fantaisistes », Tristan Derème (1889-1941) is best known for his poetical works. However, limiting Derème’s achievement to his poetry implies putting aside a considerable number of books (Le Quatorze Juillet ou petit art de rimer quand on manque de rimes, Le Poisson rouge, L’Onagre orangé, La Libellule Violette, to name but a few) which constitute a series of essays employing multiple voices to explore a wide range of questions relating to French poetry, particularly its formal properties.This thesis first explores the ways and means by which this little-commented opus of twentieth century literature operates at a theoretical crossroads, extending an undoubtedly classical tradition whilst anticipating strikingly modern perspectives. Consideration is given both to the substance of Derème’s writing (the conceptions and positions which he develops, which are the subject of the first part of the thesis) and do the literary form of his work (his formal innovations, experimenting with diverse writing and re-writing constraints, which are analyzed in the second part). Set in a fictional literary salon, Derème’s polyvocal reflections raise fundamental questions concerning literary theory. The ludic and original form of these reflections is the subject of the last part of the study, which opens up a meta-theoretical perspective: what if a poetics of poetry could only be written as fantasy ?
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« Écrire, c’est bien s’inscrire dans le monde » : une lecture d’Art poétique d’Eugène Guillevic

Bascik, Teresa 12 1900 (has links)
Ce mémoire propose une lecture du recueil Art poétique d’Eugène Guillevic. Art poétique parait non seulement comme un livre où se développe la recherche patiente d’un principe directeur, mais aussi comme « l’autoportrait d’un poète qui continue de s’interroger et d’interroger le monde » . Le poète a résumé cette double interrogation dans l’expression suivante : « Écrire, c’est bien s’inscrire dans le monde » . Cette formule inspire notre réflexion sur le recueil et nous amène à avancer l’hypothèse suivante : la reprise du genre de l’art poétique par Guillevic s’accorde paradoxalement avec sa recherche d’une expression subjective et singulière. Au cours de ce mémoire, nous allons examiner les relations que le sujet guillevicien entretient avec l’espace et le temps. Nous allons chercher notre appui dans la théorie du discours, telle que la décrit Émile Benveniste. / This dissertation will develop an interpretation of Art poétique by Eugène Guillevic. This anthology in not only a treatise on poetry, but also a “self-portrait of a poet who continues to interrogate himself, and interrogates the world” . This issue is expressed by Guillevic himself: “Writing means making ourselves part of the world” . This sentence leads to the following hypothesis: the genre of “ars poetica” is a means that paradoxically leads Guillevic to write in an intimate manner. This dissertation is an outline of the relations that the poetical subject attempts to maintain with space and time. The theory of discourse of Emile Benveniste will constitute the primary theoretical background for this analysis.
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"La fin sans fin, le commencement sans fin" de l'écriture : l'art poétique de Marguerite Duras dans ses écrits, films et entretiens

Merciecca, Lou 19 October 2013 (has links) (PDF)
La grande variété et l'hybridité de l'œuvre durassienne ne sont plus à prouver. Dès lors, la question de l'art poétique de Marguerite Duras se pose de manière particulièrement probante ; elle est l'occasion de réenvisager différemment cette pratique artistique hétérogène, de dépasser les clivages traditionnels pour découvrir une conception intérieure et injonctive de l'écriture. Cette thèse propose d'analyser l'art poétique de Marguerite Duras à travers tous les modes d'expression utilisés par l'écrivain : écrits, films, mais aussi entretiens de toutes natures. L'objectif est de montrer que cet art poétique se construit dans la pratique et donc au fil de l'œuvre. L'écriture y devient métadiscours, elle est pensée comme processus incessant de dénaturation et de réécriture et ainsi confrontée à la métamorphose perpétuelle de sa forme. Ce travail aura pour fondement le phénomène de l'ombre interne, métaphore récurrente du métadiscours durassien, processus originel de l'écriture, déterminé par le mouvement, le commencement et la fin sans fin. Dans un premier temps, nous verrons que le paratexte durassien commente le phénomène de l'écriture mais se livre aussi à un véritable travail de création. Nous montrerons ensuite que les œuvres de nature générique indécidable et les pratiques extralittéraires de Marguerite Duras contribuent à faire du lieu de l'écriture un lieu en mouvement permanent, recourant à une altérité poétique fondamentale. Enfin, les textes fictionnels seront étudiés au regard de cette notion de fiction qui s'insinue dans le discours et dans le narratif et place l'écriture dans une zone particulièrement instable, requérant une absence indispensable.
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"La fin sans fin, le commencement sans fin" de l'écriture : l'art poétique de Marguerite Duras dans ses écrits, films et entretiens / « The ending without end, the beginning without end » of writing : marguerite Duras ’ars poetica in her writings, films and interviews

Merciecca, Lou 19 October 2013 (has links)
La grande variété et l’hybridité de l’œuvre durassienne ne sont plus à prouver. Dès lors, la question de l’art poétique de Marguerite Duras se pose de manière particulièrement probante ; elle est l’occasion de réenvisager différemment cette pratique artistique hétérogène, de dépasser les clivages traditionnels pour découvrir une conception intérieure et injonctive de l’écriture. Cette thèse propose d’analyser l’art poétique de Marguerite Duras à travers tous les modes d’expression utilisés par l’écrivain : écrits, films, mais aussi entretiens de toutes natures. L’objectif est de montrer que cet art poétique se construit dans la pratique et donc au fil de l’œuvre. L’écriture y devient métadiscours, elle est pensée comme processus incessant de dénaturation et de réécriture et ainsi confrontée à la métamorphose perpétuelle de sa forme. Ce travail aura pour fondement le phénomène de l’ombre interne, métaphore récurrente du métadiscours durassien, processus originel de l’écriture, déterminé par le mouvement, le commencement et la fin sans fin. Dans un premier temps, nous verrons que le paratexte durassien commente le phénomène de l’écriture mais se livre aussi à un véritable travail de création. Nous montrerons ensuite que les œuvres de nature générique indécidable et les pratiques extralittéraires de Marguerite Duras contribuent à faire du lieu de l’écriture un lieu en mouvement permanent, recourant à une altérité poétique fondamentale. Enfin, les textes fictionnels seront étudiés au regard de cette notion de fiction qui s’insinue dans le discours et dans le narratif et place l’écriture dans une zone particulièrement instable, requérant une absence indispensable. / One does not need to prove anymore that Marguerite Duras’ work is of great variety and hybridity. Therefore, questioning Marguerite Duras’ ars poetica is especially relevant : it offers the opportunity to rethink differently this artistic and heterogenic method, and to cross the traditional borders to discover an internal and injunctive conception of writing. This thesis proposes to analyse Marguerite Duras’ ars poetica through every medium of expression used by the writer: texts, films but also all kinds of interviews. The aim is to show that this ars poetica constructs itself in the writing process. There, the writing becomes metadiscourse, it is thought of as never-ending process of denaturation and rewriting and thus, it is confronted with the perpetual metamorphose of its form. This work will be based on the phenomena of the internal shade, the recurrent metamorphose of the metadiscourse and the original process of writing determined by the movement, the beginning of the end without ending. First, we will see that the paratext comments on the phenomena of writing but also allows a real work of creation. Then, we will show that her works whose generic nature is undecided and Marguerite Duras’ extraliterary practices contribute to transformthe place of writing into one of permanent movement, using a fundamental poetic alterity. Finally, the fictional texts will be studied through the notion of fiction that insinuates in the discourse and in the narrative and places the writing on a particularly instable zone, needing a necessary absence.
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Poésie et spirituel : les notions de symbole et de rythme dans les pensées poétiques de Claudel, Yeats et Hofmannsthal / Poetry and the Spiritual : notions of symbol and rhythm in the poetical thinking of Claudel, Yeats and Hofmannsthal.

Valère, Marie 29 September 2011 (has links)
Claudel, Yeats et Hofmannsthal définissent la création poétique comme une pratique spirituelle. Tous trois écrivent, autour de l’année 1900, des textes théoriques donnant pour procédés fondamentaux de l’écriture poétique le symbole et le rythme. L’étude des notions de vision et de symbole dans leur système de pensée spirituelle révèle le fait que cette expérience de la vision, qui se définit en grande partie comme une vision symbolique du monde terrestre, constitue à leurs yeux la source de la création poétique. L’œuvre poétique est ainsi conçue comme le fruit de la vision symbolique et comme un moyen de la faire partager au récepteur. Les pratiques poétiques du symbole et du rythme chez Yeats, de la métaphore et de l’ïambe chez Claudel, de l’image et du rythme chez Hofmannsthal, acquièrent ainsi un sens d’ordre spirituel. L’étude de la conception du langage propre à chacun des auteurs et l’examen détaillé de quelques textes – tirés de La Mort et le Fou, La Mort du Titien, Électre, de La Cantate à trois voix, Tête d’Or, et de Cathleen ni Houlihan et Le Seuil du palais du roi – permet de déterminer les modalités de l’application pratique de leurs principes théoriques d’écriture poétique. / Claudel, Yeats and Hofmannsthal define poetical creation as a spiritual practice. Around year 1900, the three of them wrote theoretical texts in which they pointed out the use of symbol and rhythm as fundamental procedures to poetical writing. The study of notions such as vision and symbol in their system of poetical thinking reveals that the very experience of vision, which largely defines itself as a symbolic vision of the earthly world, is the source of poetical creation. The poetical work is therefore thought as both the fruit of a symbolic vision and a means of sharing with the reader. The poetical practices of symbol and rhythm in Yeats, of metaphore and iambus in Claudel, of image and rhythm in Hofmannsthal thus acquire a meaning within the spiritual range. The study of each of these authors’ particular language conception, together with a detailed examination of some texts from Der Tor und der Tod, Der Tod des Tizian, Elektra, La Cantate à trois voix, Tête d’Or, Cathleen ni Houlihan and The King’s Threshold, allow us to bring out links between their theoretical principles and their poetical writing.
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Étude de la métaphore séminale dans les commentaires bibliques de Paul Claudel / The symbol of the germ in Paul Claudel’s biblical commentaries

Devaux, Emmanuelle 18 September 2015 (has links)
L’image du germe, du développement organique, est très importante dans l’œuvre poétique et dramatique de Claudel. Dans ses écrits en prose qui constituent la seconde partie de son œuvre, et sont principalement consacrés à l’étude de la Bible et de ses mystères, cette métaphore devient centrale. Elle est le vecteur privilégié de l’interrogation du poète sur la vocation de l’homme, le sens de sa vie, les réalités spirituelles qui le déterminent souterrainement. La semence devient plus largement le symbole d’un monde dynamique, divinement orienté vers un achèvement parfait tout en restant acteur de son développement et ainsi véritablement créateur. À travers le travail sur cette métaphore, le poète atteint ainsi un équilibre entre la valorisation de la vitalité qu’il admire et célèbre, et la recherche d’une forme parfaite, liée à la reconnaissance d’un Dieu créateur. La mise au point de ce nouvel « art poétique » passe par un travail poétique sur les images et les motifs rencontrés dans la Bible, autour notamment de l’annonce de l’Incarnation. Pour les interpréter, Claudel puise dans la Tradition chrétienne, reçue à travers la liturgie, mais aussi par la lecture des Pères de l’Église ou de théologiens comme saint Augustin et saint Thomas. Mais il exploite également les découvertes scientifiques les plus récentes, et dialogue avec des philosophies plus modernes. L’insistance sur le mouvement et la prise en compte de la spontanéité du vivant et des obscurités de l’homme qu’exprime la métaphore séminale permettent ainsi de rapprocher Claudel, malgré son apparent isolement, de ses contemporains. / The symbol of the germ, and the model of the organic development, play a very important role in Paul Claudel’s poetical and dramatical works. When the poet devoted himself to the study and the poetic commentary of the Bible in the last part of his life, this metaphor becomes central. Claudel uses it particularly in questions such as the meaning of human life and its links with spiritual realities. More broadly speaking, the image expresses the energy and the power of development contained in a world that aims at its complete achievement. Through this image, Claudel celebrates the vigor he admires in nature, and, at the same time, the perfection of a divine realisation. The reading of the Bible leads him to renew his approach of these themes. We also have to consider the influence on him of other sources, especially the Fathers of the Church, great theologists as Thomas Aquinas or Saint Augustine and other spiritual books which he frequently refers to. Nevertheless, we should not forget that he exploits as well the more recent scientific discoveries and discusses contemporary issues. The image of the germ allows Claudel to stress the dynamism of the world, the spontaneity of living things and to illustrate the mystery of man; thus, it is at the heart of his poetical world.
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Néstor Perlongher, une écriture en transe / Néstor Perlongher, writing in trance

Cid Alarcón, Jorge Ignacio 22 November 2013 (has links)
Néstor Perlongher (1949 Buenos Aires - 1992 Sao Paulo) est l'auteur d'une oeuvre poétique aussi impressionnante par ses thèmes que par son style. Sa poétique est fondée sur des opérations linguistiques variées tels qu'une mixité des niveaux de langue, l'utilisation des jargons et des argots régionaux, l'exaltation du pouvoir suggestif du son, la prolifération des références ambiguës dans le cadre d'une esthétique néobaroque, entre autres. Nous estimons que son oeuvre constitue un des travaux les plus intéressants dans le domaine de l'écriture néo-baroque argentine, tant par la radicalité de son travail avec la matérialité du signe linguistique que par la construction d'une poétique qu'actualise les valeurs esthétiques néo-baroques en les combinant avec des faits historiques et épiques. Cette étude propose de lire l'oeuvre de Néstor Perlongher à la lumière des concepts théoriques en provenance du néo-baroque cubain, ainsi que des ouvrages issus de philosophes poststructuralistes. L'analyse de cette problématique sera faite moyennant l'identification et la description des opérations symboliques et sémantiques que constitue le processus d'artificialisation de l'énoncé et qui finalement permettent l'inscription de ces oeuvres dans le style « néobarroso ». / Néstor Perlongher (1949 Buenos Aires - Sao Paulo in 1992) is the author of a work of impressive themes and tones. His poetry is based on various linguistic operations such as mixing levels of language, the use of jargon and regional slang, the exaltation of the suggestive power of sound, the proliferation of ambiguous references in the context of an aesthetic Neo-Baroque, among others. We believe that his writing is one of the most interesting work in the field of literature Argentine neo-baroque, considering that his work is radical to the materiality of the linguistic sign and build a vision that combines neo-baroque aesthetics with historical facts. This study proposes to read the work of Nestor Perlongher in the light of the theoretical concepts of the Cuban neo-baroque and post-structuralist philosophers. The analysis of this issue is made through the identification and description of the symbolic and semantic operations of artificiality process that allows the inclusion of these works in the style "neobarroso".

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