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Entre temps réel et temps différé - Pratiques, techniques et enjeux de l'informatique dans la musique contemporaine

Barkati, Karim 27 March 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse examine les notions de temps réel et de temps différé telles qu'on les rencontre en informatique musicale et dans la musique contemporaine. La première partie commence par une approche historique, montrant la concomitance de leur apparition avec l'essor de l'informatique au début des années 60. Puis elle développe une critique du cloisonnement du temps réel et du temps différé en tant que catégories dichotomiques, à partir de définitions du seuil de latence qui sont incompatibles entre elles. Elle formalise enfin une représentation alternative : un axe " latentiel ", qui intègre temps réel et temps différé. Cette représentation est illustrée par trois analyses axiales, utilisant un logiciel d'aide au classement relatif et subjectif. À la suite de cette réflexion théorique, la seconde partie présente cinq collaborations musicales dans lesquelles j'ai réalisé la partie informatique avec Max/MSP : CBox avec le compositeur Mario Lorenzo, sur un projet d'exploration des possibilités de la circularité ; Mimi et Rose amère avec l'altiste Stéphanie Réthoré, sur un projet d'alto augmenté pour l'improvisation ; FeedItBack et Iviv avec le compositeur Santiago Quintáns, principalement sur la pièce In Vivo / In Vitro, pour caisse claire augmentée ; a2m, Loterie, Emzed et Nappe avec le compositeur Mauricio Meza, sur la pièce Woes-war-sollichwer-den, pour clarinette, public, et ordinateur ; Plugiscope, Ifso, et Ultraviolette avec le clarinettiste et compositeur Iván Solano, sur un premier projet pour voix, un deuxième pour clarinette basse, et un troisième pour percussion. La thèse s'achève avec une brève réflexion sur le réalisateur en informatique musicale.
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Le Québec en autoreprésentation : le passage d'une dramaturgie de l'identitaire à celle de l'individu

Leroux, Patrick 12 March 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse trace et interroge le passage qui s'est opéré au cours des quarante dernières années dans la dramaturgie québécoise, soit le passage d'une écriture de l'identitaire à celle de l'individu. La lecture privilégiée sera de l'ordre de la sociocritique du texte dramatique et elle permettra d'identifier les stratégies discursives et poétiques autoréflexives d'une pratique théâtrale qui puise ses tropes aux littératures de l'intime. Ainsi, les pièces à caractère biographiques et les relectures historiques sont étudiées au même titre que celles qui se revendiquent de l'autobiographie, de l'autofiction et de l'autoreprésentation. Ces dernières caractérisent la production théâtrale québécoise récente. Après avoir été résolument politique et axée sur la langue, la dramaturgie québécoise, longtemps considérée écriture-miroir d'un peuple dont la nation est en perpétuel devenir, aujourd'hui s'intéresse d'abord à elle-même, à sa littérarisation, voire à ses praticiens préoccupés par la place qu'ils occupent dans un milieu plus exiguë, plus marginalisé dans l'ensemble de la société québécoise. Le devenir sociétal a-t-il été substitué par la préoccupation du devenir individuel, non pas comme exemplum, mais comme manifestation d'un sentiment d'unicité? La thèse examine l'émergence d'une dramaturgie tributaire des pratiques autographiques de ses praticiens. Le discours théâtral est à nouveau en accord avec le discours social, sauf que cette fois, le reflet que renvoie le miroir est celui d'une société d'individus préoccupés par leur propre devenir.
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Le film d'ascension à l'épreuve du genre cinématographique

Seguin, Gilles 13 December 2013 (has links) (PDF)
Le présent mémoire de thèse a pour objet l'analyse d'une parenté formelle et symbolique susceptible de constituer en genre les œuvres cinématographiques particulières que nous nommons "films d'ascension". Cette volonté de mettre en évidence une structure narrative proche nous a amené à interroger la notion de genre cinématographique, ses caractéristiques, sa pertinence, ses limites. Les situations d'hybridation avec des genres tels que le mélodrame, le film policier, le film d'espionnage, par exemple, sont également évoquées. La singularité du "film d'ascension" nous a invité à examiner les contextes socio-historiques qui favorisèrent sa naissance et sa pérennisation malgré la disparition de son avatar historique qu'est le Bergfilm. D'autre part, la fonction sociale du film d'ascension a nécessité que nous nous penchions sur sa dimension symbolique et sur les ressorts mythiques qui le sous-tendent ainsi que sur son éventuelle adéquation avec les valeurs de représentation de l'imaginaire social des époques qu'il a traversées. Sont enfin abordées les questions que soulèvent le devenir, dans le contexte de l'appréhension nouvelle de la nature et des espaces naturels, d'un genre étroitement lié à la perception de la haute montagne.
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L'inversion temporelle du cinéma

Odin, Paul-Emmanuel 07 December 2011 (has links) (PDF)
Jean Epstein place l'inversion temporelle au cœur de la révolution cinématographique. Le cinéma est la seule expérience qui nous donne non seulement le temps mais aussi l'inversion temporelle comme une perception. Il s'agit de reprendre et de continuer la pensée de Epstein par une redéfinition du temps propre au cinéma à partir de la notion d'inversion temporelle conçue de la façon la plus transversale : de l'inversion pelliculaire à la rétrotemporalité narrative, au temps de la pensée. On convoque la relecture de grands textes classiques, l'analyse de films et de vidéos expérimentales, la musique, des exemples littéraires.Les points d'ancrage théoriques sont le mythe rétrotemporel du Politique de Platon, la conception du temps irréversible de Vladimir Jankélévitch, les écrits théorico-poétiques de Jean-Louis Schefer, la notion d'Aiôn chez Gilles Deleuze, la psychanalyse issue de Jacques Lacan.On aborde d'abord le cinéma comme un contre-temps inséparable de renversements philosophiques, esthétiques, moraux, politiques. En partant de Platon, on explore ensuite les différentes formes de retours dans le passé, de la rétrotemporalité narrative aux voyages dans le temps. Puis on approche les images sans causes, avec les aberrations burlesques ou oniriques, l'unité des temps contraires, l'inversion temporelle qui se spatialise. Enfin, l'inversion temporelle du cinéma non seulement nous montre que penser c'est régresser dans le temps, mais concerne le dur mystère d'une pensée à rebours. La réversibilité de l'acte intellectuel est le seuil ultime où apparaissent les idées, sans envers et sans endroit.
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L'effet couleur au cinéma - Manifestations chromatiques du temps

Pereira Barbosa, Lenice 12 November 2012 (has links) (PDF)
Ce travail vise à penser les événements couleurs, activés par la projection, comme effets chromatiques, en considérant que ceux-ci peuvent engendrer des perceptions temporelles de durée et d'instant. Il s'agit de penser la couleur en tant que cinéma, son interférence sur la relation avec le temps à l'intérieur et à l'extérieur des plans, ainsi que sa relation avec le spectateur comme part constituante de l'oeuvre. Celui-ci est livré à une expérience de l'ordre de la sensation esthétique. L'objectif principal de ce travail est d'élargir le sens attribué à l'élément couleur au cinéma et de mettre en exergue le rapport entre les manifestations chromatiques et la perception du temps. À partir de ces points, il est également possible de reconsidérer certaines problématiques existant entre la couleur, l'espace et le temps, inspirées par l'évidence de la continuité-discontinuité qui, en tout cas au cinéma, n'est pas nécessairement un dilemme. Ainsi, il s'agit alors de faire coexister dans une approche phénoménologique certaines conceptions de Bergson et de Bachelard concernant la perception du temps. Dans cette démarche, nous ne procéderons pas en isolant les éléments des théories, mais plutôt en les analysant dans une cohabitation transdisciplinaire avec les autres dispositifs cinématographiques. Cette étude permet non seulement de tisser une compréhension sur l'action de l'effet couleur dans le cinéma et dans l'Art contemporain, mais rend possible également d'élargir la compréhension autour de ce sujet et d'approfondir les modalités de la jonction du visuel et du sensationnel dans les chambres de projections.
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L'espace dans l'oeuvre de Luchino Visconti / The Use and Apprehension of Space by Luchino Visconti

Castagné, Esther 02 June 2012 (has links)
Appréhender l’oeuvre de Luchino Visconti à partir de la notion d’espace, alors même que l’homme et le corps de l’acteur semblent être au centre de l’art du metteur en scène, permet de dégager aussi bien les correspondances existant entre théâtre, cinéma et opéra et les spécificités de chacun de ces arts que le dialogue qui s’établit entre les éléments et les influences de chaque création. La polysémie du terme “espace” autorisera en outre à l’envisager tant d’un point de vue matériel (espace scénique, espace(s) cinématographique(s))que temporel (inscription dans un espace-temps caractérisable d’un point de vue historique et/ou social, imbrications de temporalités multiples), tant sous l’angle philosophique(spatialité relative à la perception et à l’idée de finitude, espace mental) qu’artistique(influences littéraires, picturales, musicales notamment). L’espace apparaît ainsi comme une donnée sensible à partir et à l’intérieur de laquelle naît la représentation : il permet alors non seulement de contextualiser l’intrigue à travers des lieux réels se référant à un espace-temps déterminé mais encore de poser une atmosphère propice à l’apparition du personnage et au surgissement d’un monde imaginaire dont l’intensité favorise l’explosion de “vérité”. De cet ensemble se dégagera une esthétique faite de jeux de reflets et d’interpénétration visant à l’établissement d’un spectacle total, en un dialogue des arts toujours renouvelé. / The apprehension of the oeuvre of Luchino Visconti from the perspective of the concept of space –when the actor as man and his corporal presence would seem to lie at the very heart of the director’sart – throws light on both the relations which obtain between theater, cinema and opera and the factors specific to each of these arts, as well as the dialogue which is established between the elements and the influences of each creation. The polysemic nature of the term “space” moreover justifies an approach considering it from both a material point of view (stage space, cinematographic space(s)) and a temporal perspective (as an component part of a space-time identifiable from an historical and/orsocial point of view, the interweaving of multiple temporalities), from both a philosophic angle (a spaciality relative to perception and to the idea of finiteness, mental space) and an artistic perspective(notably literary, pictorial and musical influences). Space thus appears as a perceptible factor ordonnée out of which, and inside which, the performance is born: it allows not only the contextualization of the plot through the real settings referring to a given space-time, but equally thecreation of an atmosphere conducive to the appearance of the character and to the bringing intoexistence of an imaginary world whose intensity furthers the explosion of “truth”. Out of this composite whole emerges an esthetic vision composed of the play of reflections and interpenetrationaspiring to the creation of a total spectacle, in a constantly renewed dialogue of the arts.
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Jean Cocteau et l'Italie : regards cinématographiques croisés

Zemignan, Roberto 14 November 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse, qui croise l'oeuvre de Jean Cocteau avec la culture italienne, a un double but. D'une part, il s'agit de retracer les éléments qui ont contribué à donner vie à la partie italienne de l'imaginaire du poète, au cours de ses séjours dans la Péninsule. D'autre part, elle vise à faire connaître le point de vue italien sur sa présence dans le pays, en particulier pour ce qui concerne ses films et sa réflexion critique. Elle s'articule en trois parties. Dans la première, il s'agit de détecter comment l'imaginaire italien de Cocteau est né, ainsi que de retracer l'historique des relations qu'il a entretenues avec l'Italie. Dans la deuxième partie, elle aborde le domaine cinématographique dans sa spécificité, également sousun double aspect. D'une part, à travers l'analyse des commentaires que Cocteau a écrits après sa découverte des films italiens, pour pouvoir dégager sa conception de ce cinéma sous une forme générale, et comprendre son intérêt pour certains de ses protagonistes en particulier. D'autre part, elle retrace et analyse la place que la presse spécialisée italienne a accordé à son oeuvre dans l'univers cinématographique du Bel Paese. Enfin, la troisième partie examine les liens concrets que Cocteau a noués avec trois cinéastes italiens : Roberto Rossellini pour l'adaptation cinématographique de La Voix humaine; Luciano Emmer, pour la rédaction et la lecture des commentaires français de Venise et ses amants et de La Légende de Sainte Ursule; enfin Michelangelo Antonioni pour la réalisation de son Mystère d'Oberwald, adaptation de la pièce de théâtre L'Aigle à deux têtes.
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L'école de lutherie française au dix-neuvième siècle : Jean-Baptiste Vuillaume : originalité et imitation du modèle de violon crémonais

Xu, Liang 06 January 2012 (has links) (PDF)
Lorsque nous évoquons la fabrication du violon, la majorité des gens ne mentionnent que les trois luthiers italiens les plus célèbres dans le monde : Nicolo Amati, Antonio Giacomo Stradivari, dit Stradivarius, Bartolomeo Giuseppe Antonio Guarneri c'est-à-dire Guarneri del Gesù, dit Guarnerius. Ils sont sans aucun doute les maîtres-lutherie en la matière et également tous issus de l'école crémonaise. De plus, leurs violons ont beaucoup inspiré leurs successeurs et les luthiers contemporains.A la fin du XVIIIe siècle, la fabrication du violon était essentiellement centralisée en France, plus particulièrement à Paris où sont apparus plusieurs luthiers talentueux tels que Jacques Bocquay, Jean-François Aldric, Louis Guersan, Léopold Renaudin, etc. Bien qu'ils soient moins connus que Stradivarius et Guarnerius, ils ont pris en compte les méthodes de conception italiennes et ont mis en place, grâce à celle-ci, l'école française de lutherie. Enfin, au XIXe siècle, Jean-Baptiste Vuillaume est apparu en France ; il a été non seulement un luthier excellent et innovateur, mais aussi un copiste de Stradivarius très célèbre. D'ailleurs, il a été également un grand praticien de l'acoustique et un commerçant hors pair, ce qui fait qu'aujourd'hui il est considéré comme le "Stradivarius français ".Ainsi mon travail est composé de trois parties : l'origine de l'art et analyse de la structure du moule de Stradivarius, la conception du violon chez Jean-Baptiste Vuillaume, la recherche de la structure du violon à partir des fondements acoustiques ; ces parties sont suivies d'une conclusion.
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La compétence interculturelle chez le comédien

Guine-Boucheron, Eliette 27 June 2011 (has links) (PDF)
La thèse se propose d'étudier les conduites de certains professionnels du théâtre dans leur dimension interculturelle. Une observation de type qualitatif a été menée auprès d'une compagnie de théâtre occitan et d'un lieu de diffusion offrant une programmation méditerranéenne, tout deux situés à Montpellier. Une troisième structure théâtrale, installée en Région Provence-Alpes-Côte d'Azur, a complété l'enquête : cette compagnie crée des spectacles à partir d'échanges avec la Palestine. Une étude des conventions de ces entreprises théâtrales démontre un rapport à l'Autre privilégié. Cette parcelle du monde du théâtre élabore et expérimente une compétence de la frontière dans sa volonté d'échanges culturels. Cette compétence conforte le statut particulier du comédien comme citoyen suscitant l'''éveil''. L'analyse du financement de ces structures a permis en outre de préciser les positionnements et actions des différents partenaires publics. La place et la fonction de telles pratiques ont été confrontées à l'émergence d'une politique culturelle européenne
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La réception du cinéma allemand par la presse cinématographique française entre 1921 et 1933

Lavastrou, Marc 12 December 2012 (has links) (PDF)
Avant même la première distribution d'un film allemand en France, la presse spécialisée s'emploie à dénigrer les productions de l'ennemi héréditaire qui sont réduites à des œuvres de propagande. Ce n'est qu'à la fin de l'année 1921 que Louis Delluc parvient à projeter un premier film germanique. Aux réactions chauvines et nationalistes succèdent rapidement des commentaires plus réfléchis. Ces analyses sont construites sur des stéréotypes issus d'une vision romantique de l'Allemagne telle que Madame de Staël a pu la décrire. Pour les critiques, le succès mondial du cinéma d'outre-Rhin montre la supériorité des cultures européennes sur la " jeune " civilisation américaine. Dès lors, les productions allemandes deviennent un modèle pour le cinéma hexagonal. Avec Les Nibelungen ou Faust, le 7ème art allemand apparaît aux yeux de la critique comme l'archétype de la culture européenne. Ces longs métrages sont représentatifs de l'identité allemande mais dépassent les cadres nationaux pour atteindre une forme d'universel qu'atteste les réussites économiques des productions du milieu des années 1920. L'apparition du cinéma parlant renouvelle les relations franco-allemandes. Les collaborations sont désormais le lot commun des réalisations du début des années 1930 ce que symbolise la production de versions multiples. De part et d'autre du Rhin, les professionnels coopèrent à l'édification d'un cinéma européen sans pour autant perdre de vue l'indispensable ancrage national des films. Des transferts culturels franco-allemands seront multiples jusqu'en janvier 1933. Toutefois l'émigration allemande ne trouvera pas un accueil favorable dans les studios parisiens.

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