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"Berlin wird am Mekong verteidigt" : die Ostasienpolitik der Bundesrepublik in China, Taiwan und Süd-Vietnam 1954-1966 /Troche, Alexander, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät I--Erlangen-Nürnberg--Friedrich-Alexander-Universität, 1999. / Bibliogr. p. 482-505. Index.
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Weg in die "Décadence" : Frankreich und die mandschurische Krise 1931-1933 /Wieck, Jasper. January 1995 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--Bonn--Rheinische Friedrich-Wilhelms-Universität, 1994.
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Economic integration as a development device : the case of the EC and China /Huang, Weixin. January 1992 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Nijmeegs instituut voor comparatieve cultuur- en ontwikkelingsstudies--Nijmegen--Katholieke universiteit, 1992. / Bibliogr. p. 175-180.
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Les imaginaires métisses : passages d'Extrême-Orient et d'Occident chez Henry Bauchau et Marguerite Duras /Ammour-Mayeur, Olivier, January 2004 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Lettres--Paris 8, 2002. Titre de soutenance : Portrait de l'autre en fiction : philosophies et poétiques asiatiques chez Henry Bauchau et Marguerite Duras. / En appendice, choix de documents.
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Henry de Feynes (1573-1647) : le premier Français en Extrême-Orient /Beguin Billecocq, Xavier, January 1999 (has links)
Th. doct.--Histoire--Aix-Marseille 1, 1999. / Contient la reprod. en fac-sim. du "Voyage faict par terre jusques à la Chine" d'Henry de Feynes, Paris : P. Rocolet, 1636. Bibliogr. p. 459-480. Index.
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L'Extrême-Orient dans la vie intellectuelle et littéraire en France dans les dernières décennies du XVIIe siècle /Akagi, Fumiko. January 1995 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Lettres--Paris, 1962.
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Pax Anglo-Americana : machtstrukturelle Grundlagen anglo-amerikanischer Asien- und Fernostpolitik in den 1950er Jahren /Lehmkuhl, Ursula. January 1999 (has links)
Texte remanié de: Habilitationsschrift--Fakultät für Sozialwissenschaft--Ruhr-Universität Bochum, 1996. / En annexes, recueil de documents en anglais. Bibliogr. p. 273-302. Index.
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L’Incident du 28 février 1947, dernière bataille de la guerre sino-japonaise ? : legs colonial, sortie de guerre et violence politique à Taiwan / The 1947 February 28th Incident, last battle of the Sino-Japanese War? : colonial legacy, war aftermath and political violence in TaiwanLouzon-Benrekassa, Victor 01 December 2016 (has links)
Cette thèse de doctorat en histoire porte sur l’« Incident du 28 février », la révolte qui agita en 1947 Taiwan contre le pouvoir chinois après que la Chine eut récupéré sur l’île en 1945, après cinquante ans de colonisation japonaise. Cette rébellion, rapidement et très brutalement réprimée, est au cœur des luttes mémorielles qui agitent Taiwan depuis sa démocratisation, l’enjeu étant la légitimité de la souveraineté chinoise sur l’île, et l’identité de cette dernière. L’objet de mon travail est la violence politique, ses modalités et sa genèse. J’analyse l’éruption de violence de 1947 à la lumière de cinquante ans de relations sino-japonaises, en particulier la guerre de 1937-1945. Du côté taiwanais, la révolte s’appuie sur les réseaux et le répertoire d’actions et de symboles développés durant la mobilisation pour l’effort de guerre japonais, tant au niveau des troupes coloniales que des groupes paramilitaires et de jeunesse, sans qu’on puisse pour autant qualifier l’insurrection de pro-japonaise. Le passé colonial, et particulièrement la militarisation de la société taiwanaise qui s’est accompagnée d’une assimilation culturelle intensive, sert de ressource pour l’action politique. La violence employée du côté nationaliste chinois remobilise une riche expérience contre-insurrectionnelle, en particulier celle des années 1930. Son intensité disproportionnée s’explique par la perception de la rébellion comme un acte de guerre prolongeant l’invasion japonaise et déniant à la Chine son statut de vainqueur et de puissance civilisée. Elle solde les comptes de la guerre sino-japonaise à l’échelle locale par victimes interposées et parachève l’épuration des élites coloniales. / This PhD dissertation in history deals with the « February 28th Incident », a 1947 Taiwanese revolt against the Chinese rule restored in 1945, after fifty years of Japanese colonization. This rebellion, swiftly and very brutally quelled, has been central in the memory wars that have characterized Taiwan since it democratized. What is at stake is the legitimacy of China’s sovereignty over the island, and Taiwanese identity. The focus of my work is political violence, its modalities and its genesis. I analyze the outburst of violence of 1947 in the light of fifty years of Sino-Japanese relations, particularly the 1937-1945 war. On the Taiwanese side, the revolt taps into the networks and the repertoire of actions and symbols developed during the mobilization for the Japanese war effort. This mobilization affected colonial troops but also youth and paramilitary groups. This does not mean that the insurrection was pro-Japanese. Rather, the colonial past, more specifically the militarization of Taiwanese society during the war and the intensive cultural assimilation that accompanied it, is used as a resource for political action. The violence exerted by the Chinese Nationalist side remobilizes a rich experience of counter-insurgency, particularly that of the 1930s. Its disproportionate intensity stems from the perception of the rebellion as an act of war in the wake of Japan’s invasion of China, which denies the country its newfound status as a victor and a civilized great power. The suppression settles the accounts of the Sino-Japanese war on a local scale through proxies, and completes the purge of the colonial elite.
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Intégration régionale, développement durable. Quelle économie politique ?Figuière-Rocca, Catherine 25 September 2009 (has links) (PDF)
Les travaux réalisés sont centrés sur trois thématiques. La première, dans le champ de l'économie industrielle et dans une perspective régulationniste, aborde les structures productives nippones, la transférabilité du modèle japonais, puis sa résilience dans la crise qui commence en 1989 (Revue Française de Gestion, Chroniques de la SEDEIS, Japon in Extenso, Economie et Humanisme, Chapitres d'ouvrages chez MacMillan notamment). L'un des principaux résultats est l'élaboration d'une typologie des groupes industriels japonais. La seconde thématique prolonge la première dans un cadre d'Economie Politique Internationale. Le rôle du Japon dans le processus d'intégration régionale en Asie Orientale est discuté. Ces travaux, qui ont donné lieu à co-encadrements de thèse et publications (Revues Tiers-Monde, Région et Développement, Mondes en Développement, chapitres d'ouvrages) caractérisent empiriquement (modèle de gravité) le processus et proposent une typologie des modalités de l'intégration régionale (régionalisation, régionalisme, intégration économique régionale). Sur un plan méthodologique, ces travaux établissent une complémentarité entre les outils quantitatifs de l'économie internationale et les concepts d'une économie politique internationale en institutionnalisme libéral (régime, bien public régional, leadership). La troisième thématique développe une approche du développement durable (DD) dans un cadre d'économie politique. Plus récente, elle a déjà donné lieu à publication (VertigO) et communications dans des colloques internationaux. Les premiers résultats portent à la fois sur la caractérisation des emplois ouverts à des "économistes du développement durable", les enjeux du développement durable pour les pays du Sud ainsi que sur la compatibilité entre le régime financier actuellement en vigueur et les objectifs du DD. Les travaux à venir devraient tout d'abord permettre d'approfondir la caractérisation de la démarche en économie politique. Cet approfondissement doit permettre de progresser dans l'analyse de deux objets : le développement durable et le rôle de leader environnemental potentiel du Japon en Asie Orientale. Le mémoire d'HDR précise les fondements donnés à cette démarche.
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Voyage vers un autre Japon. Le département d'Okinawa comme laboratoire du tourisme des étrangers au Japon / Travel to another Japan : Okinawa Prefecture as a Laboratory of Inbound Tourism in Japan / 異なる日本を旅する。日本国内外国人観光の実験地とした沖縄県Perez, Mike 07 May 2015 (has links)
Si le Japon est reconnu comme un pays émetteur de touristes internationaux durant la seconde moitié du XXe siècle, son gouvernement met en œuvre dès le début du XXIe siècle des politiques visant à inverser cette tendance : l’Archipel veut s’imposer comme une destination touristique majeure au niveau international. L’enjeu que représentent les touristes étrangers dans les politiques nationales est souligné à travers l’histoire du pays. Un état des lieux sur la situation actuelle du tourisme des étrangers sur le territoire japonais est ensuite proposé sur la base de plusieurs indicateurs, débouchant sur des modèles structuraux. Parmi eux, le département d’Okinawa apparait comme la zone la plus touchée par le phénomène touristique, d’autant plus que la structure spatiale des espaces touristiques dans ce petit archipel reproduit le système observé à l’échelle nationale, justifiant de focaliser l’analyse sur cette collectivité territoriale. Pour évaluer la pertinence du tourisme international à Okinawa, l’approche adoptée repose sur une analyse cartographique et des travaux de terrain. Centrés sur le chef-lieu d’Okinawa, la ville de Naha, ces travaux regroupent des enquêtes d’opinion à propos des touristes étrangers menées auprès des commerçants, des entretiens avec des fonctionnaires et des entreprises, mais aussi des relevés relatifs à l’affichage des langues étrangères dans les boutiques. Les résultats de ces travaux sont ensuite décomposés en quatre catégories : l’impact économique, les rapports sociaux, les représentations symboliques et les échanges culturels. Des disparités émergent au sein de la ville, ainsi qu’un manque d’adaptation de la part des locaux vis-à-vis de la clientèle étrangère, notamment en matière de communication. L’appareil touristique local est conçu pour répondre à une clientèle domestique et, en ce sens, la croissance des arrivées de voyageurs étrangers s’accompagne d’une série de problèmes. Néanmoins, une « proximité culturelle » s’établit à l’égard de certaines nationalités de touristes. En parallèle, non seulement une hiérarchie des attraits culturels se dessinent mais aussi l’ensemble du système de représentation touristique se complexifie lorsqu’il est appréhendé à travers le spectre des touristes internationaux.Le champ d’observation prend ensuite du recul afin de recontextualiser cet état des lieux dans la perspective des politiques nationales. Ces dernières ont gagné en cohésion au fur et à mesure qu’émerge au Japon une volonté décentralisatrice. Aujourd’hui, le tourisme relève en grande partie de la responsabilité des collectivités territoriales, vis-à-vis desquelles Okinawa fait figure de précurseur, sinon de pilote. En outre, la gestion publique du tourisme est largement inscrite dans une tendance libérale, marquée par des privatisations et un rapprochement entre acteurs publics et privés. Le tourisme international apparait comme une solution pour résoudre en partie des problèmes internes (baisse démographique, contraction future de la demande intérieure, dynamisme socioéconomique des espaces en déclin), de même qu’il doit amener, du point de vue culturel, une meilleure compétitivité du pays en termes de rayonnement (en particulier par rapport aux autres pays asiatiques), ainsi qu’une « ouverture » identitaire.En somme, cette thèse emprunte essentiellement à la géographie du tourisme, usant de concepts tels que la touristification, l’attrait et l’attractivité culturelle. Elle propose une étude inédite du territoire japonais perçu en tant qu’espace du tourisme international, de même qu’elle intègre dans cette analyse la question du rapport à l’Autre, de l’interaction entre trois échelles (locale, nationale, transnationale). Surtout, elle met en lumière de nouveaux éléments de connaissance sur Okinawa, ce Japon « autre » qui révèle certaines réalités de l’Archipel. / Even though Japan is considered as a providing zone for international tourists during the second half of the twentieth century, since the early twenty-first century its government has been setting up policies aiming to reverse this trend. Japan wants to brand itself as an important tourist destination in the world. Inbound tourism is emphasized in Japanese history as an important stake in its national policies. The analysis on the current situation of inbound tourism in Japan is then proposed by a series of indicators, leading to structural models. In doing so, the Japanese territory “consumed” by foreign tourists is organized through a space trend called “multipolar binuclear”, including a main axis followed by pioneer fronts. In order to evaluate the relevance of inbound tourism in Okinawa, the proposed approach is based on map analysis and fieldworks. This was centered around Okinawa’s capital, Naha city. These fieldworks gathered surveys from shopkeepers about foreign tourists, interviews with the public and private actors and samples concerning the visibility of foreign languages in local shops. The results are divided in four categories: economic impact, social relations, symbolic representations and cultural exchanges. Disparities are revealed among the citizens, but also a lack of adaptation to foreign customer service, particularly in terms of communication. Local tourism production is still targeting toward Japanese customers, which is why the growth of foreign tourists arrivals is accompanied with a range of issues. However, a “cultural proximity” is felt towards two kind of foreign tourists, according to their nationality. Also, a hierarchy is drawn about the inner “cultural appeal elements”. While the entire system of tourist symbols is becoming more complex, it is observed through the prism of inbound tourism.The scope of observation is then widened in order to recontextualize these elements within the processes of national policies. Tourism related policies became gradually a coherent whole as the decentralization measures have developed in Japan. Nowadays, tourism is mainly handled by local governments, among whom Okinawa Prefecture is appearing as a precursor, as a guide. Besides, public administration of tourism is obviously involving in a liberal trend, leading to privatizations and hindered relations between public and private actors.Indeed, national policies are aiming to promote inbound tourism as a response to certain issues. The growth of foreign tourist arrivals is conceived as a solution to internal problems (demographic slump, upcoming contraction of the national demand, socioeconomic revitalization of declining areas). It also must lead to evolutions in terms of culture, meaning a reinforced influence worldwide (particularly towards Asian countries) and an identity-related “openness”.Concerning all these aspects, Okinawa Prefecture provides an important function as an experimental area. Each of its success are being reproduced in other parts of Japan. Furthermore, Okinawa is playing a complementary role, influencing and guiding national models in terms of public management, in symbolic representation, or even in terms of transculturality.In other words, this dissertation borrows some tools to the French geography of tourism, using concepts such as touristification, appealing elements and cultural attractiveness. It provides an unique analysis of the Japanese territory seen as an international tourism destination, including thoughts about the relation with the “Other” in Japan, about interactions between three scales (local, national, transnational). Above all, the thesis enlightens on a new kind of knowledge concerning Okinawa, this distinctive piece of Japan , which reveals unexpected realities of the nation.
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