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Simulacres d'une mémoire de soi : archive, deuil et identité chez Sophie Calle et Catherine Mavrikakis

Gourde, Marie-Claude January 2009 (has links) (PDF)
Selon son étude des diverses expériences du temps et sa réfléxion sur le concept de lieu de mémoire de Pierre Nora, François Hartog présente notre époque comme marquée par un présent perpétuel et multiple qu'il nomme « présentisme ». À partir de cette définition, il est possible de suivre les effets de cette appréhension du temps dans la logique du témoignage et des écrits de soi, plus particulièrement l'autofiction comme espace d'expérimentation d'une mémoire qui se construit à partir des possibilités du simulacre. Les oeuvres Douleur Exquise et Des histoires vraies + dix de Sophie Calle et Deuils cannibales et mélancoliques de Catherine Mavrikakis sont le point d'ancrage de cette étude qui prend comme base analytique la fascination contemporaine pour une identité élective fondée sur une mémoire faite de réel et de fictif. Avec l'utilisation de l'archive, document ayant valeur de témoignage historique, Sophie Calle met en scène une mémoire qui pluralise les traces de sa défaillance pour inscrire en creux l'absent. Ainsi, c'est à partir de la construction archivistique qu'il est possible d'aborder le récit comme stratégie de l'oubli autant que pratique de la remémoration. De ce point de vue, l'oeuvre entière est engagée dans un dialogue temporel irréductible à l'événement passé. Aussi à la recherche des traces de l'oubli et de la perte, Mavrikakis énonce, contrairement à Calle, une parole plus subjective marquée par la répétition du deuil et la réécriture de ces morts. Alors que la mémoire mobilise cette parole, la prosopopée agit comme la seule voix possible qui crée une sépulture de la perte. L'écriture se trouve alors travaillée par un présent cannibalisé et saturé des deuils à faire; l'oeuvre s'écrit enfin pour qu'enfin une crypte puisse s'élever. Cette étude tente ainsi d'établir une équation entre l'inquiétude mémorielle contemporaine marquée par une nouvelle conception du temps et l'attrait pour les écrits de soi qui agissent comme le lieu d'une mémoire individuelle. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Mémoire, Présentisme, Autofiction, Deuil, Identité.
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Vies et oeuvre de Pierre Michon : de l'absence paternelle aux filiations littéraires

Faust, David January 2006 (has links) (PDF)
L'oeuvre de l'écrivain français Pierre Michon (1945-) compte à ce jour dix titres officiels, dont on retrouvera le détail dans la bibliographie qui figure à la fin de ce mémoire. Originaire de la Creuse, un département agricole du centre de la France, Pierre Michon a mis de longues années à surmonter les conflits par lesquels l'écriture lui apparaissait à la fois comme une nécessité absolue et comme un bien, une pratique inaccessibles. Une enfance rurale, marquée par l'absence paternelle et la découverte du langage à travers les fictions des femmes, se pose d'emblée comme la pierre angulaire d'une oeuvre qui, des Vies minuscules (1984) à Corps du roi (2002), a mis dix-huit ans à s'élaborer, se définir et s'affiner au gré d'un parcours d'écriture tout à fait remarquable. Bien qu'il nous soit loisible d'en espérer de nouvelles pages, l'oeuvre de Pierre Michon se laisse déjà appréhender comme un système unique, un monde écrit dont les lois propres invitent le lecteur à remettre en question son rapport intime à l'écrit, sa conception de la chose littéraire, la légitimité du métier d'écrivain. L'objet des pages qui suivent pourrait se formuler ainsi: En quoi consistent ces lois qui fondent la cohésion, le pouvoir d'ébranlement et l'originalité de l'oeuvre de Pierre Michon ? De quelle force, principe ou impérieuse nécessité l'écriture est-elle ici la traduction? Comment « parler, enfin, des qualités propres du texte de Michon : dire pourquoi il marche si bien, possède un pouvoir si singulier d'emportement, un tel entrain »? Notre étude ne prétend nullement à faire le tour de ces interrogations générales, encore moins à livrer le sens d'une oeuvre aussi complexe. Elle tentera néanmoins d'en expliciter les points forts au moyen, dans une première partie, d'un procédé d'analyse thématique -inspiré notamment de la pensée kleinienne, des positions de Freud et de Lacan au sujet de la fonction paternelle et des travaux de Jean-Pierre Richard en critique littéraire -centré sur la question de l'absence du père dans les Vies minuscules, où la mise en scène de l'arrière-pays tient lieu de cadre métaphorique à l'énigme des origines. Projet d'archéologie mémorielle, voire de mise en récit d'une « généalogie fantasmatique », l'écriture cherche ici à transcrire dans un registre symbolique ce qui relève d'un imaginaire des commencements, où la métaphore du lieu, investie de connotations primitives (la campagne profonde, l'animalité mise à nu par l'absence de la lettre, la mécanique élémentaire des passions paysannes), campe le récit d'une histoire personnelle et la recherche de repères ancestraux dans l'universalité du mythe. Aussi les motifs de la fuite masculine, de la transmission maternelle du symbolique et de la nostalgie du corps du père, apparaissent-ils comme des symptômes de l'absence même de ce dernier. Celle-ci, croyons-nous, peut être interprétée comme la matrice non seulement des Vies minuscules, mais de l'oeuvre dans son ensemble: les développements de la première partie proposent de voir cette absence fondatrice comme le principe originaire de l'écriture de Pierre Michon, « [I]a part noire sur laquelle, contre laquelle et grâce à laquelle éclate la gloire de l'écrit ». La seconde partie aborde un versant plus technique ou formel de l'oeuvre michonienne, en questionnant les problèmes de la poétique de l'auteur, « rhétorique de l'hésitation » qui fonde sa technique narrative sur le doute et l'ambivalence. La foi variable de l'auteur-narrateur a notamment pour effet de bousculer les normes et les idées reçues, ce dont résulte un travail de brouillage des genres qui donne lieu à des formes littéraires inédites. Ainsi Jean-Pierre Richard propose de considérer les Vies minuscules comme une « autobiographie oblique et éclatée », et Dominique Viart tient les textes de l'auteur pour des « fictions critiques » qui intègrent, de manière arbitraire et non exclusive, un travail de recherche et de narrativisation de l'archive. Autre élément à souligner dans ce métissage des registres et des genres, l'intertexte judéo-chrétien vient mettre en rapport l'écriture profane de l'homme de lettres avec l'autorité des Saintes Écritures. Mais avant tout, la seconde partie se penche sur la question des filiations littéraires, laquelle se donne à lire comme la contrepartie, la réponse peut-être ou, à tout le moins, la conséquence logique de l'absence fondatrice où l'écriture puise à la fois sa force, son énergie et sa raison d'être. Du modèle écrasant incarné par Rimbaud à la libération accordée par Faulkner, le parcours littéraire de Pierre Michon est semé des mêmes achoppements que ceux auxquels sont confrontés ses narrateurs et leurs biographés : doute, hésitation, ambivalence, honte des origines et sentiment d'indignité par rapport à la Lettre, au « corps du roi » qu'une basse extraction rend aussi désirable qu'inaccessible. En nous appuyant sur les perspectives théoriques de Melanie Klein au sujet de la notion de réparation, nous verrons comment, et dans quelle mesure, la pratique de Michon obéit au fantasme autobiographique d'une écriture réparatrice fondée sur le « désir de renverser [l']indignité en son contraire », avec « rien que de la volonté violente de dire, qui fait par miracle quelque chose avec rien [... ] fait une forme dans laquelle s'installe, en plus, du sens ». ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Absence du père, Autobiographie oblique, Écriture justificatrice, Écriture réparatrice, Filiations littéraires, Généalogie fantasmatique, Honte des origines, Intertexte religieux, Pierre Michon, Rhétorique de l'hésitation.
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Autofiction et culpabilité dans Le livre brisé de Serge Doubrovsky

Thomas, Valérie 09 1900 (has links) (PDF)
Le livre brisé (1989) est le cinquième roman de Serge Doubrovsky et poursuit le projet autofictionnel amorcé dans Fils (1977). L'écriture, le propos, la forme et la lecture de ce livre sont conditionnés par l'exigence de vérité et la fictionnalisation du matériel de l'expérience. Ce mémoire montre comment les modalités et les rouages de l'autofiction constituent un dispositif particulier qui construit le sujet de l'énonciation dans son rapport à une « vérité » dont le texte se fait à la fois la condition et le témoin. Il opte pour une lecture du roman qui montre le fonctionnement interne du texte et son dispositif de lecture, et fait appel à des notions psychanalytiques et narratives. Dans l'introduction, il présente l'autofiction suivant ses diverses définitions (Colonna: 1989, Doubrovsky: 1988, Genette: 1991, Lecarme: 1992, Lejeune: 1975), mais surtout telle que Doubrovsky la définit et la pratique. Dans un premier temps, ce mémoire rend compte des tensions liées au pacte autofictionnel qui animent l'écriture du Livre brisé et qui en caractérisent la lecture. Il s'attache aux tensions qui existent entre Serge et Ilse, qui veulent tous deux être le centre du roman et qui se disputent l'exactitude des faits. Il montre les moments où la narration bascule d'une écriture en prose à des fragments poétiques déliés et où la rédaction de souvenirs alterne avec celle du présent de l'écriture, puis décrit les effets liés à ces déplacements. En relevant et en décrivant les moments du récit où la tension entre expérience vécue et fiction est à son plus fort, ce mémoire montre comment le texte prend à témoin le lecteur, cherche à lui faire reconnaitre et admettre la faute de Serge (celle qui a conduit, pense-t-il, à la mort d'Ilse). Dans un deuxième temps, le mémoire étudie l'enjeu central de cette écriture qui met en acte la culpabilité. Il décrit les lieux où elle se manifeste et fait retour. Il s'intéresse à la représentation du père dans le texte (Freud: 1995) et à celle d'une culpabilité du survivant (Bayle: 2003). Puis, il met en rapport cette culpabilité et la faute que Serge revendique (avoir mené par son écriture sa femme au suicide). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Le livre brisé, Serge Doubrovsky, autofiction, psychanalyse, culpabilité, survivant
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La faille de Wajdi Mouawad

Gareau, Marie-Christie 08 1900 (has links) (PDF)
Les questions de l'identité et du retour aux origines sont des piliers dans l'œuvre de Wajdi Mouawad, dramaturge et metteur en scène québécois d'origine libanaise. Ce sont d'ailleurs des thèmes que nous abordons dans ce mémoire qui a pour principal objet le concept de la faille, élaboré à partir de la pièce Seuls. La présente analyse emprunte ce terme à la géologie afin d'en faire, dans le domaine littéraire, une métaphore de l'état de rupture du sujet face à lui-même. Dans le cas de Wajdi Mouawad, la faille devient la réponse à deux événements majeurs qui se sont produits à l'aube de sa vie et que l'artiste met en scène dans son solo. Le premier chapitre se consacre à une faille d'ordre culturel, c'est-à-dire à la blessure que l'exil a provoquée chez Harwan, personnage principal de Seuls. Cette faille est surtout alimentée par le père du protagoniste - une représentation de la culture d'origine et de ses traditions - et par les personnages québécois - symbolisant la culture d'accueil. Harwan, ainsi tiraillé entre ses diverses appartenances, souffre d'une identité morcelée, si bien qu'il devient étranger à lui-même. Ce chapitre s'attarde donc au morcellement identitaire du personnage provoqué par une vision tribale de l'identité (Amin Maalouf), antithèse d'une conception plurielle de l'identité, ce que proposent François Laplantine et Alexis Nouss avec leur notion de métissage. Le second chapitre porte sur la faille personnelle, qui naît alors que Harwan accède au langage. Les théories de l'autofiction et des écritures personnelles (Georges Gusdorf, Simon Harel et Madeleine Ouellette-Michalska) nourrissent cette analyse qui se penche sur la tentative de réparation visée par la démarche de Mouawad. En effet, les écritures du moi sont souvent un lieu où on expose les blessures, mais aussi où on cherche à les réparer. C'est le cas de la pièce Seuls, au cours de laquelle un auteur, à travers son personnage, tente de comprendre et de réparer la faille qui a changé à jamais son identité. Le troisième et dernier chapitre montre le colmatage de la faille qui s'opère lors de la deuxième partie de Seuls. Cette réparation s'effectue par le biais de l'imaginaire, tant pour le protagoniste que pour son créateur, puisque le premier parviendra à se réconcilier avec lui-même alors qu'il est dans un état comateux, et le second, à travers la fiction. La démonstration de cette réparation s'accomplit au cours d'une lecture poétique de la pièce, et s'articule autour des concepts d'autotélisme (Laurence Bougault) et de totalité (Antonin Artaud). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Wajdi Mouawad, faille, identité, altérité, métissage, autofiction, poéticité, autotélisme, totalité.
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Sophie Calle à l'épreuve du temps et de l'autre : lecture phénoménologique des Dormeurs, Double blind et Douleur exquise

Gallant, Line 04 1900 (has links) (PDF)
Orientée vers « l'art en action », la démarche de Sophie Calle se caractérise notamment par des interventions perpétrées dans l'espace du temps présent et investit des questions relatives à une temporalité sous tension. Les projets Les Dormeurs, Double Blind et Douleur exquise, qui sont les points d'ancrage de cette étude, investissent tous un segment temporel donné dans lequel, par ailleurs, autrui est convié à participer, et qui sont les conditions par lesquelles l'artiste en arrive à transiger une part de son identité personnelle et artistique. Ainsi, c'est par des sorties « hors des sentiers connus de soi » que Sophie Calle se met littéralement à l'épreuve du temps et de l'autre. À partir de la Phénoménologie de la perception de Merleau Ponty où le temps, compris comme une « forme a priori de sensibilité », constituée d'un « réseau d'intentionnalités », il est possible de déceler chez Calle un rapport inquiet à la nature fuyante et hachurée du temps. Aussi, c'est depuis la conception narrative de l'identité développée par Ricœur, qui offre une saisie dynamique des enjeux identitaires, que la question de la médiation de l'expérience vécue est abordée, nous permettant ainsi de décrire le rapport ambivalent de Sophie Calle à l'altérité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : temporalité, intentionnalité, autobiographie, identité narrative, altérité
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Gibbon, Mill und Ruskin : Autobiographie und Intertextualität /

Meyer, Michael, January 1998 (has links)
Habil.-Schr.--Bamberg--Univ., 1996. / Bibliogr. p. 215-245.
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"...Und lerne, von dir selbst im Glauben zu reden" : die autobiographische Theologie Joseph Wittigs.

Kleymann, Siegfried, January 2004 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Katholisch-Theologische Fakultät--Münster--Westfälische Wilhelms-Universität, 1999. / Bibliogr. p. 448-477. Index.
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Masculinity and the English working class : studies in Victorian autobiography and fiction /

Lee, Ying S. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thesis Ph. D.--Kingston, Ont.--Queens's university. / Bibliogr. p. 229-246. Index.
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Das eigene und das fremde Leben : biographische Identitätsentwürfe in der englischen Literatur des 18. Jahrhunderts /

Schwalm, Helga. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Habilitationsschrift--Augsbourg, Allemagne--Universität Augsburg, 2002. / Bibliogr. p. 387-418.
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Das nationale Ich ? : autobiographische Sinnkonstruktionen deutscher Bildungsbürger des Kaiserreichs /

Günther, Dagmar. January 2004 (has links)
Texte remanié de: Habilitationsschrift--Fakultät für Geschichtswissenschaften, Philosophie und Theologie--Bielefeld--Universität, 2003. / Bibliogr. p. 459-481.

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