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Figures de l'animalité et de la bestialité dans "La Bête humaine" d'Émile Zola et "L'Homme qui tue" d'Hector France / Figures of animality and bestiality in Emile Zola’s “ The human beast” and Hector France’s “The man who kill’

Ben Jmaa, Imen 03 December 2010 (has links)
Cette thèse de doctorat porte sur l’analyse du thème de l’animalité et de la bestialité dans L’Homme qui tue d’Hector France, roman écrit en 1878 et La Bête humaine d’Émile Zola, roman qui date de 1890. Ces œuvres constituent deux regards croisés sur la France, l’un sur un pays vu de l’intérieur et l’autre sur un pays diagnostiqué à la lumière de sa politique coloniale. L’enjeu est de mettre en relief jusqu’à quel point ces deux œuvres contemporaines l’une de l’autre, à la fois se répondent mutuellement et se séparent inéluctablement. Dans leurs parcours, dans leurs positions politiques et idéologiques, dans leurs rapports à la France, dans leurs modes d’intervention dans l’actualité brûlante de l’époque, tout sépare France et Zola. Mais à force de creuser dans les différences, des ressemblances peuvent surgir. Au-delà de la parenté thématique de leurs œuvres dans le récit qu’elles font de la condition humaine à l’aune de l’animalité et de la bestialité, des accointances qui se tissent, de près ou de loin, entre les figures auxquelles donne lieu la métaphore de la bête humaine, des destinées similaires sinon identiques de certains personnages, les écarts sont si importants pour oser les occulter par un simple recensement de motifs, de thèmes et de mythes communs aux deux auteurs. Ce sont ces écarts qui sont extrêmement précieux. Plus les disparités se distendent entre les deux écrivains, plus les motivations de ce rapprochement deviennent plus justifiées et plus fécondes. Lire Zola et France l’un par rapport à l’autre, et éventuellement l’un contre l’autre, c’est repenser une partie importante de la carte littéraire de la deuxième moitié du XIXe. Cette redéfinition passe par la nécessité de mettre face à face le centre et la périphérie, le blason et son ombre, le monument et son fantôme / The present doctoral thesis aims at the analysis of the theme of animality and bestiality in Hector France’s The Man who Kills (L’Homme qui tue), a novel written in 1878 and Emile Zola’s The Human Beast (La Bête Humaine) which dates around 1890. These two works represent two crossed visions on France, one on a country viewed from outside and the other on a state diagnosed in the light of its colonial politics. The purpose is to highlight the extent to which these two contemporaneous works at once mutually respond to and yet inescapably break off from each other. In their plots, in their political and ideological positions, their relationships to France, their modes of intervention in the blazing events of the time, everything separates France from Zola. However, digging deep into the differences, certain similarities can come up to the surface. Beyond the thematic link between their works that belies the narration they make of the human condition to either animality or bestiality, the more or less interwoven acquaintances, between the figures resulting from the metaphor of the human beast, or the similar if not identical destinies of certain characters, the gaps are too important to be overshadowed by a mere inventory of motifs, themes, and myths common to both writers. It is these very gaps which are extremely genuine. The more the disparities widen up between the writers, the more the motivations of this merging become more justified and fruitful. To read Zola and France in relation to each other, and eventually the one against the other, is to re-think over an important part of the literary map of the second half of the nineteenth century. This redefinition follows from the necessity of bringing face to face the centre and the periphery, the blazon and its shadow, the monument and its phantom
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« Quelles bestes sont ce là ? » L’humanisme rabelaisien à l’épreuve de ses bestiaires / "Quelles bestes sont ce là ?" Rabelaisian humanism in the light of its bestiaries

Millon-Hazo, Louise 16 December 2017 (has links)
Cette thèse propose une étude globale des bestiaires rabelaisiens à partir de l’exploration de ses sources antiques et médiévales. La focale critique se concentre d’abord sur les torsions qu’impose Rabelais aux genres littéraires rattachés à des figures animales prototypiques : l’inversion des paradigmes épiques du cheval et du porc ; le brouillage et la démultiplication des bêtes charivariques et farcesques ; la mise en crise des animaux exemplaires de la fable. Elle s’ouvre ensuite aux jeux du célèbre humaniste avec les figures animales des écrits savants et sérieux : encyclopédies, littérature gnomique, livres de cuisine. Finalement, le point de vue se renverse pour examiner les effets esthétiques et sensoriels de ces bestiaires sur le lecteur et l’auditeur, et en dégager une certaine esthétique grotesque. Cette enquête débouche sur la redéfinition de l’humanisme rabelaisien, qui se révèle dans l’épreuve et à l’épreuve d’une profusion d’images animales. / This dissertation analyses François Rabelais’ bestiaries through the exploration of its antique and medieval sources. The first part of this thesis focuses on the way Rabelais distorts certain literary genres containing prototypical animal figures by reversing the epic paradigms associated with horses and boars, multiplying and merging farces and charivaris’ animals, and undermining the exemplary animals portrayed in the fables. The next part uncovers how the famous humanist plays with animal figures drawn from scholarly and serious writings such as encyclopedias, gnomic literature, and recipe books. The third part overturns this perspective to examine the aesthetical and sensory impact of these bestiaries on the reader and listener as well as the grotesque aesthetic they seem to thrive from. Overall, this investigation leads to a redefinition of the Rabelaisian humanism, which reveals itself through an abundance of animal images.
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Littérature et réalité : une étude sur la zoophilie et la bestialité

Allard, Fannie 03 1900 (has links)
Bien que les contacts sexuels entre humains et animaux (bestialité et zoophilie) semblent exister depuis le tout début de l’histoire de l’humanité, les écrits scientifiques sur ce sujet demeurent peu nombreux. Au fil du temps, ce phénomène a été illustré dans l’art, dans la mythologie, dans les textes religieux, dans les procès de mœurs, les procès sur la défense des droits des animaux et dans bien d’autres sphères témoignant de la présence et de l’intérêt public pour ce phénomène. Ceci dit, ce n’est que dans les dernières décennies que les chercheurs ont tenté de décrire et de comprendre la zoophilie et la bestialité, et à ce jour, les études demeurent largement descriptives. La perception que les chercheurs ont de la zoophilie et de la bestialité est encore fragmentée et cette étude tente d’ajouter un nouveau morceau à cette mosaïque de connaissances en comparant sur différentes variables des personnes ayant ou ayant eu par le passé des contacts sexuels avec des animaux à des personnes n’ayant pas eu de tels contacts. Pour ce faire, nous nous sommes intéressés aux écrits, anciens et récents, et avons cherché à vérifier certaines des informations répertoriées dans ces écrits, et surtout, nous nous sommes demandé ce qui différenciait les deux groupes (outre les contacts sexuels avec les animaux). Au moyen de questionnaires informatisés et déposés sur un site internet créé pour l’étude, nous avons sondé 440 personnes à travers 27 pays (219 zoophiles et 221 non-zoophiles). Tous les participants ont été recrutés via internet et la participation à l’étude était entièrement anonyme. Les données colligées ont ensuite été analysées à l’aide de statistiques descriptives (moyenne, écart-type, pourcentage), et d’analyses comparatives et exploratoires (ANONVA 2x2, Test-T, Chi-carré, Analyses de fonction discriminante). Plusieurs différences statistiquement significatives ont été observées. Ainsi, les différences observées portaient sur les caractéristiques démographiques, les variables psychosociales et la sexualité. Les principaux résultats ont établi que dans notre échantillon communautaire, les zoophiles étaient moins anxieux et avaient une meilleure estime de soi que les participants du groupe contrôle. Ils étaient aussi moins éduqués, moins fortunés et vivaient davantage en milieux ruraux ou mixte que les participants du groupe contrôle. La présente étude visait donc à contraster les données de zoophiles à celles de non-zoophiles sur des variables mise de l’avant dans des études antérieures afin de les mettre en perspective. Les études sur la zoophilie n’ayant jamais, à notre connaissance, utilisé de groupe contrôle, cette thèse offre un point de vue unique sur les caractéristiques des zoophiles ayant participé à l’étude. Enfin, cette thèse avait aussi pour but de fournir des pistes de réflexion pour de prochaines recherches sur le sujet. / Although sexual contacts between humans and animals (bestiality and zoophilia) seem to have existed since the very beginning of human history, the scientific literature on this subject remains scarce. Over time, this phenomenon has been illustrated in arts, mythology, religious texts, morals’ trials, animal rights’ trials, and in many other fields acknowledging the existence and public interest for the phenomenon. It is only in recent decades that researchers have attempted to describe and understand zoophilia and bestiality, and to date, these studies have remained largely descriptive. The researchers' understanding of zoophilia and bestiality is still fragmented, and the present study attempts to add a new piece to this mosaic of knowledge by comparing different variables of people who have or have had sexual contacts with animals to people who have not had such contacts. In order to do this, we took an interest in recent and older writings, and sought to verify some of the information provided in these writings. More precisely, we attempted to differentiate between these two groups. Using computerized questionnaires, we surveyed 440 people from 27 countries (219 zoophiles and 221 non-zoophiles). All participants were recruited via the internet and their participation to the study was entirely anonymous. The data collected were then analyzed using descriptive statistics (mean, standard deviation, percentage), and comparative and exploratory analyzes (ANONVA 2x2, T-test, Chi-square, Discriminant Function Analysis). Several statistically significant differences were observed in demographic characteristics, psychosocial variables and sexuality. The main findings were that in our community sample, zoophiles were less anxious and had better self-esteem than participants from the control group. They were also less educated, not as wealthy, felt lonelier, and lived more in rural or mixed environments than participants from the control group. This study aimed to contrast the data of zoophiles with those of non-zoophiles on variables put forward in previous studies in order to put them into perspective. Since studies on zoophilia have never, to our knowledge, used a control group, this thesis offers a unique point of view on the characteristics of the zoophiles who participated in the study. Finally, this thesis was also intended to provide some ideas for future research on the subject.

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