Spelling suggestions: "subject:"bien."" "subject:"lien.""
31 |
Shakespeare and the allegory of evil : the history of a metaphor in relation to his major villains /Spivack, Bernard. January 1993 (has links)
Th. Gradua. fac.--English literature--New York--Columbia university. / UMI = University microfilm international. Bibliogr. p. 483-493. Index.
|
32 |
Melchizedek and Melchireša /Kobelski, Paul J., January 1981 (has links)
Texte remanié de: Ph. D. diss.--New York--Fordham university, 1978. / Bibliogr. p. 142-154. Index.
|
33 |
L'espoir d'un mieux-être malgré la schizophrénie : témoignages de personnes utilisatrices de services vivant dans la communauté /Cormier, Cécile. January 2009 (has links) (PDF)
Thèse (de maîtrise)--Université Laval, 2009. / Bibliogr.: p. [162]-[174]. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
|
34 |
Relations entre le sens de la cohérence, le stress, les stresseurs et la santé d'infirmières en salle d'opérationThomas, Lucie January 1996 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
35 |
La causalité du BienCurodeau, Jean-Philippe 27 January 2024 (has links)
Le présent mémoire tente, autant que possible, de trouver une piste de solution au problème du sens de l’existence par le truchement de l’éthique. Plus spécifiquement, la question de la dignité humaine est envisagée comme un indice du sens de l’existence. Toutefois, cette dignité demande d’être démontrée. Les cinq chapitres de ce mémoire constituent ensemble un cheminement progressif vers une réponse au problème de la dignité, notamment en mettant de l’avant celle qu’a offerte Aristote. Puisque le bien semble être connu en étant désiré et aimé, ce sont les expériences de l’amour et du désir qui seront examinées en premier lieu. Une approche trop rationaliste est d’emblée écartée. Par l’étude du rapport de l'homme au temps nous verrons que le bien est effectivement l’objet du désir. Toutefois, de longs développements sont consacrés à l’hypothèse selon laquelle le bien n’est tel que parce qu’il est désiré. Finalement, il sera question de remettre en cause cette dernière perspective grâce aux arguments d’Aristote et de tenter de montrer que le bien en lui-même existe réellement dans les êtres vivants, qu’ils sont donc dignes. / This essay is an attempt to find a solution to the problem of the meaning of existence through ethics. The question of human dignity is treated as a clue to the meaning of existence. However, this dignity needs to be demonstrated. The five chapters of this essay constitute a progressive journey towards a response to the problem of dignity, notably by putting forward the solution offered by Aristotle. Since goodness seems to be experienced by being desired and loved, it is the experiences of love and desire that will be examined first. An overly rationalist approach is rejected from the outset. By studying the human being's relationship to time, we will see that goodness is indeed the object of desire. However, long discussions are devoted to the hypothesis that goodnessis such only because it is desired. Finally, it will be a question of contradicting this last perspective, thanks to Aristotle's arguments, and of trying to show that goodness exists in living beings, that they are therefore worthy of dignity.
|
36 |
Éducation des adultes au bonheur : modélisation du bonheur, caractérisation des modalités et des principes d’apprentissage.Feuvrier Marie-Pierre January 2015 (has links)
Dans un contexte où la demande sociétale de bonheur croît parallèlement aux diverses expressions du mal-être, y compris au travail, le bonheur fait l’objet de propositions éducatives - jusqu’à présent, l’éducation ciblait plutôt sur un bonheur différé. Leur apparition jouxte les découvertes scientifiques en psychologie positive, qui mettent à jour la possibilité d’améliorer son bonheur par des facteurs endogènes. Cette recherche vise la caractérisation des dispositifs d’éducatifs au bonheur. Le bonheur étant un construit polysémique, nous avons analysé les conceptualisations, parfois divergentes, du bonheur, pour aboutir à la proposition d’un modèle intégratif. Le bonheur n’apparaît pas comme un état statique ou un but, mais comme un processus motivationnel contribuant à la gestion de nos ressources, nous permettant d’agir et d’évoluer dans nos environnements. Le modèle est conforté par une première étude auprès un échantillon de 33 personnes. La deuxième étude concerne l’analyse qualitative des principes et modalités d’apprentissage proposé par un échantillon diversifié de cinq éducateurs d’adultes au bonheur. Elle révèle que le bonheur peut s’apprendre et que cela permet d’obtenir un état de bonheur plus durable. Des postulats communs se dégagent, malgré des approches très différentes. Ils concernent la compréhension et la prise de conscience des mécanismes intérieurs en œuvre dans nos actions et nos interactions avec l’environnement, et le développement de capacités essentielles, conatives, émotionnelles et cognitives, non intégrées par l’éducation initiale. L’apprentissage est socioconstructiviste et expérientiel. Les méthodes employées présentent des divergences, et notre modèle s’avère capable de positionner chaque mode d’apprentissage du bonheur, non seulement des cinq cas étudiés, mais, par extension, des multiples représentations du bonheur. Les retombées sont avant tout scientifiques sur l’avancée de la compréhension de la nature et du rôle du bonheur, et pratiques dans le domaine de la formation adulte et de la qualité de vie au travail.
|
37 |
La relation entre le gouvernement et le bonheur : analyse des gouvernements provinciaux canadiensBeaudin, Évelyne January 2015 (has links)
L’objectif de cette recherche est de déterminer si les gouvernements provinciaux canadiens pourraient être en relation avec le bonheur de leur population. Les études antérieures indiquent qu’il n’existe toujours pas de consensus sur la manière dont la taille de l’État et dont les différents secteurs de dépenses gouvernementales interagissent avec le bonheur. La méthodologie de cette recherche utilise une base de données rassemblant des informations sur des Canadiens et Canadiennes de toutes les provinces. Des variables collectives sur la taille de l’État, sur les dépenses gouvernementales et sur le contexte économique sont ensuite associées à chaque individu.
Grâce à des régressions de type probit ordonné, nous arrivons à la conclusion qu’il est plus probable que les variables individuelles soient en relation avec le bonheur que les variables collectives. La taille de l’État ne semble pas être en relation avec le bonheur des individus. Toutefois, bien que plusieurs résultats soient non statistiquement significatifs, ceux qui le sont portent à croire que les dépenses en logement, en loisirs, en environnement, en éducation, en services économiques, en services sociaux et en santé seraient en relation positive avec le bonheur, alors que celles en planification et en aménagement des régions (et possiblement les dépenses sociales prises dans leur ensemble) laissent plutôt transparaître une relation négative. La décentralisation de l’administration provinciale vers les administrations locales semble également être en relation positive avec le bonheur, alors que le service de la dette de l’État provincial serait en relation négative avec celui-ci.
Pour ce qui est des variables individuelles, être marié ou en couple (par rapport à être célibataire), être en bonne santé, avoir une bonne confiance sociale, être satisfait financièrement et accorder beaucoup d’importance à Dieu sont des variables qui, de manière assez robuste, semblent en relation positive avec le bonheur. De plus, les habitants de la Nouvelle-Écosse seraient possiblement plus heureux que ceux vivant en Ontario. À l’inverse, être une personne de couleur, avoir comme plus haut diplôme un diplôme collégial, être sans emploi, être un immigrant et être un homme seraient en relation négative avec le bonheur.
Nous avançons comme explications à nos résultats que dans les analyses du bonheur, les facteurs ayant une répercussion plus concrète dans la vie quotidienne des individus semblent prendre une plus grande importance. Pour l’étude de la relation entre le gouvernement et le bonheur, nous invitons donc les chercheurs à se concentrer sur des politiques ou des secteurs de dépenses plus spécifiques, aux impacts plus directs. Enfin, l’utilisation de variables subjectives pourrait apporter de nouveaux éclairages au domaine de l’analyse des politiques.
|
38 |
Analyse du comportement coopératif pour une consommation durable des ménages : une approche expérimentale / Analysis of cooperative behavior for sustainable household consumption : an experimental approachGroff, Jocelyn 06 April 2018 (has links)
La thèse porte sur les comportements de consommation durable des ménages. Lorsque les comportements de consommation permettent de retirer une utilité individuelle, au détriment de l’intérêt général, ils peuvent être analysés comme un dilemme social. Les expériences de jeu de bien public permettent de tester des comportements en situation de dilemme social. Consommer de manière durable peut être considéré comme une contribution volontaire à un bien public. La problématique est de mieux comprendre les mécanismes de contribution volontaire à des biens collectifs qui génèrent des externalités. Trois expériences nous permettent d’analyser les différences de contributions entre un bien privé et des biens publics, mal(s) publics et biens clubs. Plus particulièrement, nous nous intéressons aux externalités négatives d’un mal public, à l’exclusivité du bien club et aux effets de la présence de biens collectifs multiples. / This thesis focuses on the sustainable consumer behaviour of households. When consumer behaviours allow for individual utility, at the expense of public interest, these can be analysed as a social dilemma. Experiments in public good games allow for testing behaviours of individuals subjected to social dilemma situations. Sustainable consumption can be considered as a voluntary contribution to a public good. The objective is to better understand the mechanisms behind voluntary contributions to public goods that generate externalities. Three experiments will allow us to analyse the differences in contributions between a private good and public goods, public bad(s) and club goods. We focus on the negative externalities of a public bad, the exclusivity of the club good and the effects of multiple public goods.
|
39 |
Hobbes and the problem of the goodFox, Michael T. 04 December 2024 (has links)
On recourt fréquemment en anglais à l'expression « Hobbism » pour signifier une conception où l'homme n'est rien de plus qu'une créature encline à la guerre et à l'auto-destruction. Cette interprétation de Hobbes, quoique peut-être excessive, tire sa vraisemblance de la profonde sollicitude face à la guerre et à la crainte d'une mort violente qu'on trouve chez lui. Mais cela implique-t-il que sa conception de la guerre et de la crainte de la mort soit forcément fondée sur l'idée que l'homme n'est guère qu'une brute et uniquement capable de détruire? Dans l'affirmative, qu'est-ce précisément en la nature humaine qui produit ce type de comportement? Dans cette thèse, nous entendons marquer à quel point chez Hobbes le thème de la guerre et de la crainte d'une mort violente résulte, de façon nécessaire et inévitable, d'un des éléments les plus fondamentaux et centraux de son système philosophique : sa conception du bien.
|
40 |
The dignity of the human person and its relationship to the common goodSmith, Michael A. 18 November 2021 (has links)
Il y a deux thèmes fondamentaux dans les enseignements sociaux de l'Église catholique. Le premier est la dignité de la personne: le fait que, de par sa valeur inestimable, chaque personne a des droits inaliénables qui exigent la protection de la part de la loi positive. Le deuxième thème est le bien commun: une vie éthique vécue en commun, et caractérisée par la justice et l'amitié. À travers une analyse de textes d'Aristote, de Thomas d'Aquin, de Jacques Maritain et de Charles De Koninck, l'auteur se penche sur le rapport entre ces deux principes fondamentaux. Il cherche à montrer que la reconnaissance des droits, loin d'être menacée par le bien commun, dépend de celui-ci afin que les personnes soient capables de bien vivre. C'est le bien commun qui est la fin de la société. Si le bien commun est absent, il y a, non pas une société politique, mais un régime totalitaire, ou encore l'anarchie. Dans le dernier chapitre, l'auteur, apr`ss avoir élaboré une synthèse, applique celle-ci aux droits de la personne en général, aux "trois générations" de droits, et au rapport entre droits individuels et droits collectifs.
|
Page generated in 0.042 seconds