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Modélisation et optimisation des réseaux optiques à plusieurs niveaux de granularité

Ghobril, Paul 04 1900 (has links) (PDF)
La migration d'un réseau optique en anneaux interconnectés vers un réseau arbitrairement maillé et d'un trafic statique vers un trafic dynamique nécessite l'introduction de plusieurs niveaux de granularité pour s'adapter à cette diversité spatiale et temporelle et réduire ainsi la complexité et la taille des brasseurs optiques. Cette taille peut être réduite en traitant en bloc un groupe de longueurs d'onde contiguës. Cette bande d'ondes sera éventuellement traitée comme une seule entité. Par contre, ce traitement en bloc complique l'opération de routage et d'allocation de longueurs d'onde. Quelques ports d'entrée/sortie du brasseur de bandes peuvent éventuellement être connectés à des démultiplexeurs/multiplexeurs pour passer à un brassage par longueurs d'onde. De cette manière, on résout la commutation en bloc et quelques bandes pourront sortir de la continuité des tunnels établis pour passer d'un tunnel à l'autre. Cette notion peut être étendue pour couvrir différentes granularités et différents niveaux de brassage à l'aide de brasseurs optiques hiérarchiques. La coexistence des différents concepts de groupage optique et électronique ainsi que la manipulation de plusieurs niveaux et différentes échelles d'agrégation forment l'idée de base derrière ce qu'on appelle "réseau optique à plusieurs niveaux de granularité". Dans cette thèse, On propose un nouveau modèle graphique adapté au réseau optique à plusieurs niveaux de granularité. Le modèle d'un composant optique est formé par l'interconnexion d'un nombre d'éléments de base (BNE). Chaque BNE est une représentation graphique des supports du trafic. On introduit la notion de "groupes" qui permet l'abstraction des agrégateurs/désagrégateurs et définit par suite la granularité de commutation de chaque côté du BNE. Étant modulable, ce modèle pourra servir au développement d'un outil d'aide à la conception de ce type de réseaux. On propose un nouveau modèle combinatoire du brasseur hiérarchique permettant de comparer différentes réalisations matérielles. Ceci nous a permis d'étudier la réduction de la complexité du matériel et l'augmentation de la complexité opérationnelle quand on remplace un brasseur optique simple par un brasseur optique hiérarchique. On propose le nouveau concept de modifier les canaux de longueurs d'onde sans modifier l'allocation logique des longueurs d'onde et par suite, permettre un réarrangement avec un minimum d'interruptions afin d'optimiser le brassage à plusieurs granularités. Ce réarrangement est réalisé sans changer la distribution du trafic résultant du routage et de l'attribution des longueurs d'onde. On montre l'importance de la gestion des granularités et on propose une nouvelle méthode de contrôler l'allocation des multiplexeurs/démultiplexeurs dans le contexte du trafic dynamique. Dans ce contexte et en utilisant le modèle graphique, on propose de construire une topologie logique multicouche dans le but d'avoir une base d'informations adaptée à la proposition d'ingénierie de trafic. Dans cette solution, on estime la diversité potentielle d'acheminement des tunnels établis par le brassages hiérarchique en considérant une distribution de charge donnant le flot maximal. cette distribution est considérée comme objectif à atteindre et est mise à jour après tout changement. On donne aux tunnels ayant la plus grande diversité potentielle d'acheminement la priorité de passer aux fines granularités. L'ensemble des propositions est renforcé par des analyses et simulations et plusieurs domaines à aborder en perspective sont présentés en conclusion.
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"Ici, c'est le salon du peuple!" : microbrasseries, bières artisanales et communautés de consommation au Québec

Franc¶ur, Iannick 05 March 2020 (has links)
L’industrie microbrassicole est en constante expansion au Québec depuis maintenant une trentaine d’années. Ce mémoire vise à jeter un regard sur les tenants et aboutissants du succès de ce phénomène dans une perspective historique et ethnologique. À la suite d’enquêtes orales menées dans quatre microbrasseries du Québec et de l’étude du journal spécialisé Bières et plaisirs, je propose deux éléments explicatifs de cette réussite de l’industrie microbrassicole. Tout d’abord, le vaste éventail de saveurs, de couleurs et de textures sous laquelle la bière artisanale peut se présenter permet aux artisans-brasseurs de créer une variété impressionnante de produits de qualité. L’industrie microbrassicole peut alors se nourrir du désir constant de nouveauté et de produits innovants manifestés par les amateurs de bière artisanale pour s’établir sur le marché brassicole québécois contrôlé depuis près d’une centaine d’années par une poignée de grandes brasseries industrielles. Ensuite, la bière artisanale, et par extension les microbrasseries, deviennent individuellement des pôles de rassemblement social, de redynamisation économique et d’affirmation identitaire. Grâce à un modèle d’affaires valorisant l’ancrage local et l’originalité, les gens du milieu développent un sentiment d’appartenance puissant envers ces entreprises. Leurs bières, souvent nommées en hommage à l’histoire locale ou brassées avec des ingrédients locaux, deviennent des boissons alcoolisées uniques permettant aux consommateurs de se reconnecter avec leur territoire et leur communauté dans un contexte de mondialisation. / Over the last thirty years, microbreweries have been in constant expansion in the province of Quebec. This thesis aims to delve into the success of this young industry from an historical and ethnological point of view. Following interviews conducted in four microbreweries and the analysis of the specialised paper Bières et plaisirs, I suggest two complementary explanations to the successful situation in which Quebec’s craft beer industry now finds itself into. First, the wide array of flavors, colors and textures craft beers have to offer let brewers create an impressing selection of quality products. The industry is in fact fueled by the consumers constant desire for new and innovative craft beers, a desire which in its turn allow microbreweries to sprout across the province in a market controlled for almost over a century by a few large industrial breweries. Second, microbreweries become social gathering, economic and identity focal points of their respective communities. Through a business plan valorising originality and local distinctiveness, people develop a sense of belonging – a sense of place – towards their microbrewery. Their beers, often named after local historical facts, geographical particularities or famous people and brewed with local ingredients, become unique alcoholic beverages giving the opportunity to their consumers to reconnect with their locality and territory in a globalization context.
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L'industrie de la bière à Québec au XIXième siècle : la famille McCallum, 1813-1875

Roy, André 11 April 2018 (has links)
Cette étude traite de l'industrie québécoise de la bière au XIXième siècle à travers une importante famille de marchands-brasseurs de l'époque, la famille McCallum. En plus de situer la place qu'occupent ces marchands-brasseurs à l'intérieur de l'industrie canadienne et bas-canadienne de la bière, elle les situe à l'intérieur même de leurs entreprises en décrivant la manière dont ils se sont pris pour accaparer la majeure partie de la production et du marché de la bière à Québec. De plus, cette étude fait la lumière sur la façon dont était fabriqué ce produit, sur ceux qui le fabriquait, sur la fluctuation des prix ainsi que les facilités et les difficultés à produire cette denrée dans une économie dépendant encore en majeure partie de la métropole. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Un "îlot brassicole" : brasseurs et brasseries à Lyon et dans le Rhône (fin XVIIIe siècle - 1914) / A « Brewing Islet » : brewers and Breweries in Lyon and the Rhône (End of the Eighteenth Century – 1914)

Thinon, Romain 17 May 2016 (has links)
Le XIXe siècle est en France celui de la bière : production et consommation annuelles passent en l’espace de cent ans de moins de trois à plus de quinze millions d’hectolitres. Profitant de sa position de carrefour commercial et de la qualité de ses eaux, Lyon occupe une place à part dans ce marché de masse en construction. Remettant en question l’hermétisme de supposées frontières alimentaires, la ville se démarque en effet dès les dernières années de l’Ancien Régime par un notable recours à la boisson houblonnée et la fabrication d’un produit aux qualités organoleptiques bien particulières qu’elle exporte en direction d’un large quart Sud-est du pays. Savamment entretenue, cette position originale fait de la cité rhodanienne l’un des principaux centres de production de bière français de la première moitié du siècle. La donne change à compter du Second Empire. Aux évolutions des modes et pratiques alimentaires à l’égard des alcools s’ajoutent décloisonnement des marchés et avancées technologiques affectant de manière irrémédiable l’activité. Le secteur brassicole régional, très largement lyonnais, passe ainsi en quelques décennies d’une structure artisanale voyant coexister une myriade de petits établissements employant quelques individus et produisant chacun annuellement quelques centaines d’hectolitres à une dimension industrielle où un nombre réduit de grandes usines concentrent main-d’œuvre, capitaux et parts de marché. L’encadrement réglementaire lui-même, qu’il s’agisse de législation professionnelle ou de régulation de l’insalubrité, et les politiques fiscales, à l’échelle de la ville comme du pays, participent à cette transition. Alors que la redéfinition des logiques urbaines et commerciales impacte directement les pratiques des brasseurs en les forçant à revoir leurs procédés de fabrication et leurs stratégies de formation, d’approvisionnement et de vente, c’est la progressive structuration d’une filière de la bière qui apparaît en filigrane. Il faut néanmoins se garder de voir ces entrepreneurs comme de simples victimes de mouvements qui leur échappent : plus que spectateurs d’une révolution protéiforme, ils s’en font les acteurs. L’étude prosopographique de 337 parcours considérés dans leurs dimensions individuelles et collectives atteste de la pluralité des destins : quand le modèle de la petite entreprise permet aux artisans les plus audacieux, qu’ils viennent d’un ailleurs professionnel ou géographique (sont notamment mises à jour les origines germaniques et alsaciennes de nombre d’entre eux), de valoriser leur travail et de satisfaire leurs ambitions, celui de l’industrie fait d’une poignée seulement de véritables brasseurs d’affaires. Ce seront les seuls à survivre, la plupart de leurs collègues et concurrents payant à terme les effets conjoints de la conjoncture économique, de la rationalisation du marché et des tragédies familiales. À l’orée du premier conflit mondial, seules six brasseries sont encore opérationnelles : ayant démontré sa précoce capacité d’adaptation en modifiant sa structure afin de donner aux établissements subsistants les moyens d’assimiler la modernisation productiviste, le monde brassicole rhodanien fait figure d’exception parmi les activités pré-industrielles, a fortiori parmi celles relevant du secteur agroalimentaire. / In France, the nineteenth century is the age of beer: in a hundred years, annual production and consumption grow from less than three to more than fifteen million hectolitres. Thanks to its advantageous commercial position and the quality of its waters, Lyon occupies a unique place in this developing mass-market. Calling presumed alimentary boundaries into question, the city distinguishes itself as soon as the end of the Ancien Régime through a wide use of the hoppy beverage and the making of a product with specific organoleptic qualities being exported to the southeast quarter of the country. Skilfully maintained, this original situation turns Lyon into one of the main French beer production centres of the first half of the century. Things change with the advent of the Second Empire. New drinking trends and habits, birth of a European then worldwide consumption market and substantial scientific and technical improvements combine themselves to change the activity into a definite way. Thus, the Rhône brewing sector, leaded by Lyon’s breweries and initially made of numerous and small short-lived handcraft production units selling locally only, becomes in a few decades an industry operating towards foreign markets and formed by a handful of big factories gathering workforce, capitals and market share. Regulatory framework itself (professional legislation or insalubrity control) and fiscal politics on national and municipal scales contribute also to the transition. Since they have to adapt their manufacturing and formation processes, as well as supplying and selling strategies, the redefinition of urban and commercial logics has a direct impact on brewers’ practices: in a wider sense, it is the organization of the beer sector which progressively reveals itself. However, it would be untrue to see these businessmen as powerless victims of an uncontrolled process. More than spectators, they are actors of a protean revolution. The prosopographical study of 337 careers considered in their individual and collective dimensions prove the plurality of fortunes: while the model of the small business allows audacious craftsmen whatever their professional and geographical origins (many of them come from Alsace and Germany) to succeed by highlighting their work and satisfying their ambitions, the industrial model is more selective. In the medium term, only a few businessmen will survive, their smaller colleagues and competitors suffering the joint effects of economic conjuncture, market rationalization and family tragedies. At the edge of World War One, six breweries are still in operation: having proven its early adaptation ability by modifying its structure in order to assimilate the productivist modernization, the Rhône brewing sector can be considered as an exception among the pre-industrial activities, a fortiori among those from the food-processing sector.

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