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L'abbatiale de Baume-les-Messieurs à l'époque romane : histoire d'un chantier. / The abbey of Baume-les-Messieurs during the romanesque period : the history of a construction site

Bassi, Marie-Laure 02 April 2013 (has links)
Le monastère bénédictin de Baume-les-Messieurs, attesté dans les textes à la fin du IXe siècle, est avec celui de Gigny à l’origine de la fondation de l’abbaye de Cluny. Deux siècles plus tard, Balma figure parmi les plus importants établissements monastiques de l’actuelle Franche-Comté, et son église est considérée dans l’historiographie régionale comme un des édifices phares de la période romane. Pour autant, l’église abbatiale attendait toujours une étude monographique que nous avons souhaité développer par les méthodes, notamment, de l’archéologie du bâti. Les investigations archéologiques réalisées entre 2006 et 2012 ont renouvelé pleinement nos connaissances sur le parti architectural primitif de l'église romane et ont permis d’identifier différentes phases de construction. L’étude du bâti, conjuguée aux résultats de la fouille archéologique du chœur, a révélé une première phase constructive datée du début du XIe siècle qui se caractérise par un parti architectural ambitieux et insoupçonné jusqu’alors, où la monumentalité du chevet s’exprimait par cinq chapelles échelonnées, encadrées de deux puissantes tours de clocher érigées à l’extrémité des bras du transept. Une seconde phase romane est identifiée au moment du voûtement de l’ensemble de la nef. Cette solution est révélatrice des expériences précoces sur le voûtement qui se manifesta dans le Jura et, plus largement, dans la vallée de la Saône, dès les années 1020-1030. Cette seconde campagne de travaux se caractérise également par une recherche de nouveaux effets plastiques des parois extérieures, avec la présence d’un registre de lésènes et d’arcatures aveugles. Les choix constructifs et décoratifs adoptés au cours du XIe siècle pour l’abbatiale Saint-Pierre de Baume, placent l’édifice au cœur de cette nouvelle expression architecturale du « premier art roman » qui se diffusa, de manière plus ou moins concomitante, dans plusieurs foyers à travers l’Europe. La reconstruction d’une vaste église abbatiale à partir du début du XIe siècle traduit également les besoins d’une communauté monastique en pleine expansion et reflète la puissance, au moins temporelle, de l’établissement / The Benedictine monastery of Baume-les-Messiers, attested in the textual sources at the end of the ninth century, is, along with Gingy, at the origin of the foundation of the abbey of Cluny. Two centuries later Balma figures among the preeminent monastic establishments in modern day Franche-Comté, and its church appears in the regional historiography as one of the stand out buildings of the Romanesque period. In spite of this, however, until recently the abbatial church still lacked a monographic study of the type that it was our intention to carry out, through the use of methods such as building archaeology. The archaeological investigations carried out between 2006 and 2012 have completely reshaped our understanding of the architectural layout of the earliest phase of the Romanesque church and have allowed us to identify a number construction phases. The study of the upstanding building, allied with the results of the archaeological excavations of the chancel, have revealed an initial phase of construction dateable to the beginning of the 11th century, which is characterised by an ambitious and hitherto unexpected architectural layout, in which the monumentality of the chevet is expressed through a series of five staggered chapels, framed by two imposing bell towers positioned at either extreme of the transept. A second Romanesque phase is discernable at a point in which the nave ensemble undergoes alteration, becoming vaulted. This modification is indicative of the early experimentation with vaulting that came about in the Jura, and more generally in the Saône valley, during the years 1020-1030. This second building campaign is also characterised by a considerable amount of experimentation in new forms of decorative features on the external walls, expressed through the inclusion of a series of lesenes and blind arcades. The architectural and decorative choices adopted throughout the course of the 11th century for the abbatial church of Saint-Pierre of Baume place the building firmly at the forefront of the new architectural expression of early Romanesque art, which was expanding more or less concomitantly, appearing in numerous centres throughout Europe. Moreover, this reconstruction of a large abbatial church from the 11th century onwards, conveys the wishes of a flourishing monastic community and reflects the power, albeit temporary, of the establishment
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Archéologie du bâti mégalithique dans l'ouest de la France / Megalithic building archaeology in Western France

Cousseau, Florian 06 December 2016 (has links)
La recherche mégalithique récente sur les tumulus néolithiques dans l'ouest de la France s'intéresse de plus en plus à l'architecture dans son intégralité. Cependant, nos connaissances restent inégales. Les données architectoniques, liées au chantier de construction, sont quasi inexistantes comparées aux données architecturales, sur les aspects formels et ornementaux. De même, les deux sont plus nombreux pour les blocs de gros module (orthostates et tables de couverture) que pour les maçonneries en pierre sèche qui composent pourtant majoritairement les masses tumulaires. Cette thèse a donc pour but d'équilibrer et d'améliorer notre compréhension de ces architectures grâce au développement d'une méthodologie adéquate à la lecture de l'ensemble des élévations. Elle adapte l'archéologie du bâti, utilisée pour les édifices historiques, aux principes de l'architecture mégalithique. Son application comprend deux étapes. La première concerne des édifices de plan circulaire, peu étudiés. Les sites examinés sont le cairn III du tumulus C de Péré à Prissé-la-Charrière (Deux-Sèvres), l'édifice B de la nécropole de la Boixe à Vervant (Charente) et la Motte de la Jacquille à Fontenille (Charente). Cette étape aboutit à une synthèse globale sur les tumulus de ce type. La deuxième étape vise à comprendre l'évolution à la fois architectonique et architecturale des édifices mégalithiques. Elle inclue l'étude du tumulus de Carn à Ploudalmezeau (Finistère), ainsi que celle du long tumulus sud de Barnenez à Plouezoc'h (Finistère), tous deux mis au jour par P.-R. Giot, dont les fouilles laissaient supposer des phasages complexes. De plus, ces deux édifices contiennent la quasi-totalité des voûtes en encorbellement en bon état dans l'ouest de la France, ouvrant un axe de recherche particulier sur ce type de couverture.La synthèse des études architecturales de ces différents sites permet un bilan sur l'approche méthodologique des architectures mégalithiques, et amène des discussions et des perspectives d'études sur les temps de la construction et l'évolution architecturale pour l'ensemble du mégalithisme dans l'ouest de la France. Cette synthèse offre également une nouvelle vision des sociétés néolithiques qui ont commandé, construit, utilisé, aménagé et abandonné ces architectures. / Recent megalithic research on Neolithic tumulus in western France takes more and more interest in architecture in its entirety. However, our knowledges remain uneven. The architectonic data, related to the construction site, are almost nonexistent compared to the architectural data, about the formal and ornamental aspects. Moreover, both are more numerous for the massive blocks (orthostats and cap stones) than for the dry stone masonry which however is the predominant part of a tumulus. This thesis aspires to balance and improve our understanding of these architectures by developing an appropriate methodology to read all kinds of elevations. It adapts the building archeology, used for historical edifices, to the megalithic architecture principles. Its application has two steps. The first concerns the little studied circular plan buildings. The examined sites are the cairn III of the tumulus C of Péré at Prissé-la-Charrière, the edifice B of Boixe necropolis at Vervant and the Motte de la Jacquille at Fontenille. This step results in a global synthesis on the tumulus of this type. The second step aims to understand both architectonic and architectural evolutions of megalithic buildings. It includes the study of the Carn tumulus at Ploudalmezeau, as well as the south tumulus of Barnenez at Plouezoc'h, both revealed by P.-R. Giot whose excavations had suggested complex phasings. Furthermore, these two buildings contain almost all the corbelled vaults in good condition in the west of France, opening a particular research axis on this type of covering. The architectural studies synthesis of these different sites allows an assessment of the methodological approach of the megalithic architectures and lead to discussions and perspectives of studies about the times of the construction and the architectural evolution for the whole megalithism in western France. This synthesis also gives a new vision of Neolithic societies who ordered, built, used, restructured and abandoned these architectures.
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Recherches sur la datation directe de la construction des édifices : exploration des potentialités de la datation des mortiers archéologiques par luminescence optiquement stimulée (OSL) / Researches on direct dating of constructions : Investigations of the potentials of Optically Stimulated Luminescence to date archaeological mortars

Urbanová, Petra 27 November 2015 (has links)
La datation directe de l’édification de maçonneries est l’objectif archéologique majeur de cette thèse qui s'inscrit dans un contexte interdisciplinaire. Il s’agit de mettre au point une méthode de datation des mortiers, matériaux de choix beaucoup plus représentatifs de la chronologie de l’édification que les briques ou les bois de charpentes qui peuvent être remployés. Les mortiers de chaux, constitués d'un mélange de chaux et de sable, peuvent être datés par luminescence optiquement stimulée : il s’agit en effet de remonter à la fin de la dernière exposition à la lumière des grains de sable qui ont été ajoutés à la chaux par les anciens bâtisseurs, ce qui correspond précisément à la fabrication du mortier au moment de l’édification. Les monuments datés dans ce travail forment un ensemble d’édifices de référence s'étendant de l'Antiquité gallo-romaine jusqu'à la fin du Moyen Âge, bien calés chronologiquement par les approches chronologiques indépendantes. L’objectif est de comparer la chronologie obtenue par OSL à celle connue et démontrer ainsi la validité de la méthode. La procédure de datation des mortiers par OSL est compliquée par plusieurs facteurs. D’abord, le blanchiment optique des grains de quartz du mortier n’est pas uniforme en raison de l’éventuelle faible durée d’exposition à la lumière. En plus, une faible ancienneté des objets à dater (2000 ans au maximum) implique des signaux de faible amplitude et la nécessité d’adapter le protocole de mesure. Enfin, particulièrement les mortiers grossiers peuvent être affectés par les effets microdosimétriques. Ces facteurs sont pris en compte dans le choix de méthodologie de datation qui comprend ainsi les étapes suivantes : la caractérisation du mortier par microscopie optique, par EDX-MEB et par imagerie beta, la mesure des doses archéologiques individuelles par la technique de monograin, la détermination de la dose annuelle et le calcul de la dose archéologique ou bien de l’âge. Cette dernière est une étape délicate car il s’agit de sélectionner dans les distributions des doses archéologiques individuelles les grains bien blanchis qui portent une information chronologique recherchée. Pour cela, les différentes approches statistiques habituellement utilisées en datation par luminescence sont testées. Cette thèse apporte une démonstration de la méthode et montre que dans de nombreux cas, elle peut produire des dates fiables. L’analyse individuelle de chaque grain est ici un seul moyen permettant d’obtenir des informations exactes sur la vraie nature du matériau étudié. / The heart of the proposed research lies in the possibilities of direct dating of historical constructions, the interdisciplinary issues of a high significance. The aim of this research is to put into practice a dating method dealing with mortars, the category of materials more convenient and much more representative for the chronology of buildings in comparison with bricks or wood constructions that may be reused. Lime mortars composed of the mixture of sand and lime can be dated by optically stimulated luminescence: the objective is to determine the last moment when the grains of sand have been exposed to light which corresponds exactly with the fabrication of the mortar at the moment of building. The monuments dated within this PhD. thesis constitute a group of reference structures from the Gallo-Roman antiquity to the Middle Ages well-dated by other independent chronological approaches. The objective is to compare the chronology obtained by OSL with the known one and thereby to proof the validity of the method. The OSL dating procedure of mortars is complicated by numerous factors. First of all, due to the short exposure to light the optical bleaching of quartz grains in mortar is not homogeneous. In addition, the young age of dated material (maximally 2000 years old) implies signals of a weak intensity and the necessity to adapt conveniently the measurement protocol. Finally, especially the coarse-grained mortars can be affected by the microdosimetric effects. All these factors are taken into account when selecting a convenient dating methodology comprising the following stages: characterization of mortar by optical microscopy, by SEM-EDX and by beta autoradiography, the measurement of individual archaeological doses by the single grain technique, the determination of the annual dose and the calculation of the archaeological dose and of the age. The latter stage is a tricky one; it is necessary to select from the measured distribution of archaeological doses the well-bleached grains that contain the right chronological information. In this context, different statistical approaches usually used in luminescence dating are tested. This thesis brings a demonstration of the OSL dating method and shows that in many cases we can get reliable dates. The individual analysis of each grain is here the only way how to get the precise information about the nature of the studied material.
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De briques et de bois: contribution à l'histoire de l'architecture à Bruxelles :étude archéologique, technique et historique des matériaux de construction, XIII - XVIIIe siècle / From brick and wood: contribution to the history of architecture in Brussels :archaeological, historical and technical study of building materials used in the Brussels landscape, 13th-18th century

Sosnowska, Philippe 03 December 2013 (has links)
Cette enquête archéologique et historique vise à mettre en relief les rapports entre matériaux et immeubles au travers de l’histoire du bâti ancien bruxellois. <p><p>Des trois matériaux qui marquent le bâti bruxellois, deux seront étudiés :le bois et la céramique architecturale. Un troisième volet sera consacré à l’étude des remplois, recyclages et remaniements. Dans le temps imparti à ce travail, compte tenu des impératifs méthodologiques, des contraintes factuelles, il n’était pas possible de traiter de manière approfondie et novatrice des trois types de matériau. La pierre domine symboliquement (mais certainement pas quantitativement) le paysage bruxellois :son emploi caractérise en effet la production architecturale des grands ensembles monumentaux tels que l’Aula Magna, l’hôtel de Ville de Bruxelles ou encore la collégiale Saints-Michel-et-Gudule, pour ne citer que ces exemples. D’une manière générale pour l’ancien duché de Brabant, dans sa partie couvrant l’espace belge actuel, c’est le matériau le mieux étudié dans ses aspects divers (extraction, façonnage des blocs, mise en œuvre…). La pierre sera abordée indirectement, lorsque son emploi a des implications directes dans la mise en œuvre des matériaux étudiés. Une approche de l’ensemble des matériaux lithiques ainsi qu’une réflexion sur certaines mises en œuvre et le développement de futures pistes de recherche seront en outre proposées en conclusion.<p><p>Le choix s’est porté sur le bois et la brique, car leur emploi est, de manière générale, moins bien apprécié et moins connu en région bruxelloise par rapport à la pierre. Il fallait en fonder solidement l’étude. L’objectif est donc de pallier à cette lacune en proposant une lecture nouvelle de l’habitat selon des champs d’investigations spécifiques à l’histoire de la construction. La construction de typochronologies pour les planchers, les revêtements de sol, et la brique a pour but d’apporter aux archéologues des marqueurs chronologiques fiables pour l’interprétation et la construction de l’évolution des structures rencontrées. Mais pas seulement. La mise en place de ces typochronologies va de pair avec l’élaboration d’une réflexion sur l’ensemble des chaînes opératoires de la fabrication ou du façonnage des matériaux. Cette production n’est pas uniquement matérielle mais répond à des critères environnementaux, économiques, techniques et sociétaux. Il s’agit donc de comprendre ou d’ouvrir des pistes de réflexion pour appréhender les mécanismes qui ont permis aux bâtisseurs d’utiliser à Bruxelles une large gamme de matériaux et qui par ce biais a façonné le visage urbain bruxellois. L’apport de cette recherche, bien que se focalisant pour l’essentiel sur Bruxelles, a pour objectif de renouveler l’approche des matériaux de construction en apportant une base de références solides dans leur étude pour Bruxelles mais également pour les autres villes et de dépasser ainsi les méthodes traditionnelles d’histoire des formes pour développer une relation dialectique entre matériau, forme, usage et caractérisation sociale de la ville, de son habitat et de ses populations.<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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