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A Technological study and manufacture of ceramic vessels from K2 and Mapungubwe Hill, South Africa

Tiley-Nel, Sian January 2014 (has links)
This thesis investigates the technology of twenty-six complete vessels from the ceramic assemblages of K2 and Mapungubwe in the Limpopo Province of South Africa, from the early second millennium (AD 1000 - AD 1300). Mapungubwe is a significant pre-colonial archaeological site of social and political complexity, which lead to the emergence of one of the first known states in southern Africa. Ceramics are commonly associated with these nationally significant sites and have served mainly as chronological and regional markers to determine the cultural sequence of the Shashe Limpopo Confluence Area. Previous studies on these ceramics have paid little consideration to ceramic technology, as research for decades has focused largely on stylistic typologies. Non-invasive methods, compositional materials analysis, and macroscopic analysis provide a broad technological characterization of physical evidence left by the potter on the complete vessels, and are used to interpret aspects of the chaîne opératoire or sequence of ceramic manufacture. Though primary traces of forming and shaping techniques have often been erased by secondary forming processes such as smoothing, scraping, wiping and finishing, the fundamental technology of the vessels can nevertheless be elucidated based on a range of technical variables. This study is the first of its kind in South African archaeology, where complete vessels from a valuable research assemblage are used as a basis for understanding ceramic technology. The results enhance archaeological views of Iron Age ceramic technology, which are pertinent to the interpretation of how the ceramics were manufactured and contributes to a wider understanding of social and technical choices made by potters and related social implications. Vessels from the K2 and Mapungubwe ceramic repertoire serve to answer questions about ceramic research that relate to (a) characterization of complete archaeological ceramics, (b) evidence of technology (c) compositional data of the vessels (d) to provide anatomical data on the technological and morphological attributes of ceramic manufacture. The preliminary results point to evidence of local manufacture of K2 and Mapungubwe ceramics by means of the analysis of four steps in the chaîne opératoire: fabric, forming, firing and finishing. Tentative conclusions further demonstrate technological continuity and variability of raw materials for ceramic manufacture at K2 and Mapungubwe. The broader archaeological perspective, which emerges is one of an expanding technological society, changing technical commonalities, forms and decorative styles, and in the process, making if only subtle technological choices in the manufacture process of early second millennium AD Iron Age ceramics. / Dissertation (MA)--University of Pretoria, 2014. / gm2014 / Anthropology and Archaeology / unrestricted
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Les traditions techniques lithiques à l'Épigravettien: Analyses de séries du Tardiglaciaire entre Alpes et Méditerranée

Montoya, Cyril 15 December 2004 (has links) (PDF)
Depuis les années 1960, les collections lithiques italiennes sont abordées principalement sur la base d'une grille d'analyse, élaborée par G. Laplace (1964). Cette méthode, portée sur le classement par types des différents outils retouchés, permis de poser un premier cadre évolutif des différentes industries lithiques mises au jour dans la péninsule italienne et en particulier de sa phase post-glaciaire : l'Epigravettien (20 000- 10 000 B.P.). Notre analyse s'est portée sur les traditions techniques lithiques des groupes humains épigravettiens des Préalpes du Sud françaises et de Vénétie (Italie) au Tardiglaciaire (Montoya, 2004). Deux collections de référence ont servi de base à cette étude : la collection lithique de Saint Antoine – Vitrolles dans les Alpes du Sud françaises et celle de Val Lastari dans les Préalpes de la Vénétie en Italie. Pour compléter ces analyses, des éléments techniques de comparaison ont été recherchés dans d'autres séries lithiques des Préalpes italiennes : l'abri Tagliente, les abris Villabruna et l'abri Dalmeri. Contrairement au modèle d'évolution linéaire des industries en vigueur avant cette analyse, notre étude a mis en évidence de nombreuses transformations techniques qui se sont opérées à l'intérieur du système de production lithique et dans une moindre mesure, des changements au sein de l'expression artistique des œuvres d'art mobilier. Les analyses des méthodes et techniques de débitage des supports d'outils et d'armatures ont révélé entre 14 000 et 10 000 BP (non Cal.) une simplification progressive, en trois étapes, des concepts de production lithique des sociétés épigravettiennes. On observe ainsi en diachronie une réduction du nombre de chaînes et de schémas opératoires mis en œuvre. Dans la plus ancienne phase (antérieure à 13 000 BP), les quatre objectifs de débitage identifiés (deux gammes de lamelles, lames, éclats laminaires) sont produits à partir de quatre chaînes opératoires disjointes mises en œuvre chacune, avec un schéma spécifique. Si quatre chaînes opératoires distinctes ont pu être déterminées au cours de la seconde phase (13 000- 11 250 BP), les artisans épigravettiens ont employé seulement deux schémas pour l'obtention de quatre gammes de supports : une méthode pour le débitage de lamelles et de grandes lamelles, et un schéma « facial » pour la production de lames et d'éclats laminaires. Ce concept de débitage « facial », révélé pour le débitage des lames, apparaît comme très original. Lors de l'application de ce schéma, les tailleurs ont conjugué de fortes contraintes techniques qui ont permis de produire des supports larges et robustes avec d'importantes propriétés tranchantes. La dernière étape (11 250–10 000 BP) de cette évolution des concepts de débitage épigravettien est marquée par l'utilisation d'un seul et unique schéma opératoire pour obtenir l'ensemble des supports désirés (lames, lamelles, éclats).<br />A cette simplification des méthodes de taille, s'opère en outre en parallèle des transformations dans les techniques et les modes d'expressions de l'art mobilier. Nous avons ainsi pu mettre en évidence l'existence de deux styles différents de représentations picturales. Le plus ancien, daté de la fin du Dryas ancien (antérieur à 13 000 BP), fait référence à un style naturaliste. A ce titre, les traits de l'artiste semblent reproduire fidèlement la réalité en insistant sur certains détails anatomiques et en conservant le mieux possible les proportions du sujet. A partir de 12 000 BP, on observe une perte de l'exactitude et de la précision lors de la représentation des sujets, avec des figures plus abstraites parfois même schématisées. Ces modifications observées dans les domaines techniques et artistiques témoignent des nombreux bouleversements qui ont affectés la structure des sociétés fossiles tardiglaciaires.
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L'équipement lithique des chasseurs-cueilleurs maritimes de Patagonie australe pendant l'Holocène moyen : fabrication et utilisation des armes et des outils / The lithic tool kits of the maritime gatherers from Southern Patagonia during the middle Holocene : manufacture and use of stone tools and weapons

Huidobro Marín, Consuelo 23 February 2018 (has links)
Ce travail correspond à une étude technique et fonctionnelle de l’équipement lithique taillé des chasseurs cueilleurs maritimes de la région de Magellan entre 6.000-3500 et 3000 BP. Cette période se caractérise par plusieurs changements, notamment dans les industries lithiques, qui ont mené à la définition de deux unités chrono-culturelles : La «Culture d’Englefield», à la période ancienne, caractérisée par une exploitation intensive de l’obsidienne verte ; et la «Tradition culturelle Ponsonby» à la période moyenne, caractérisée par son absence et l’apparition de grandes pointes lancéolées. L’analyse technique et fonctionnelle de l’équipement lithique de trois gisements, l’un appartenant à la période ancienne, et deux à la période moyenne, a permis d’évaluer ces discontinuités techniques et de les traduire en termes de comportements humains. L’analyse fonctionnelle a nécessité d’abord l’élaboration d’un cadre analytique pour l’application de la tracéologie au contexte d’étude, car les groupes canoeros (en canot) de la région ont exploité différents types de roche: obsidiennes, rhyolites, cinérites et RGFO métamorphiques. Ces matières premières réagissent de façon différente à l’utilisation, et leur analyse pose des problèmes méthodologiques différenciés et offre des possibilités interprétatives particulières. Ceci est illustré aussi bien lors de la description des traces d’utilisation expérimentales, que de l’analyse du corpus archéologique. En particulier, l’analyse des trois gisements a donné des résultats de qualité différente et les données concernant ceux de la période moyenne sont moins éloquentes que celles du site de la période ancienne. Ceci reflète des biais dus au type de roches utilisées pour la fabrication de l’équipement et ne répondent pas nécessairement à des comportements préhistoriques. Malgré ces biais, les résultats de l’analyse fonctionnelle ont servi d’abord à mieux comprendre les activités réalisées dans chaque site (boucherie, travail de la peau, des matières végétales, osseuses et minérales…). Dans un deuxième temps, ils ont permis de contribuer à la définition de l’équipement lithique de chaque période, de discuter certains choix techniques de fabrication et des comportements de gestion de l’outillage. Finalement, une comparaison diachronique est tentée, en discutant les changements et continuités dans la composition et gestion de l’équipement lithique taillé, en rapport avec les chaines techniques de fabrication et d’utilisation. / This work corresponds to a technological and functional study of the knapped lithic tool kit of the maritime hunter gatherers from Magallanes region between 6,000-3,500/3,000 BP. This period is characterised by several discontinuities, particularly in the lithic technology, that have led to the definition of two chrono-cultural unites. First, the so called “Englefield Culture” in the old period, characterised by an intensive exploitation of green obsidian. Then, the “Ponsonby Tradition”, in the middle period, which is defined by the absence of obsidian and the onset of big lanceolate bifacial points. The technological and functional analyses of the lithic tool kit of three archaeological sites, one associated to the old period and the other two related to the middle period, contributed to the evaluation of these technical discontinuities, which were seen in terms of human behaviour. The functional analysis required, in first place, of an analytic frame for applying the Traceology to the study context. This is because the canoeist groups exploited different lithic raw materials: obsidian, rhyolites, cinerites and metamorphic FGDR (Fine grain dark rocks). These raw materials respond in a different way to the use, therefore, their analysis implies methodological requirements and special interpretative possibilities. These particularities are evidenced in the description of the experimental use wear as well as in the results of the archaeological material analysis. In relation with the last ones, the analysis of the three sites yielded different results, and the data available for the contexts of the old period is more eloquent than the data of the middle period. This difference reveals a probable bias linked to the types of rocks used for the tool kit manufacture, and does not express necessarily human behaviour. Even though the bias presented above, the results of the functional analysis helped, in first place, to achieve a better understanding of the activities developed in each site (butchering, processing of skin, vegetable, bone and mineral materials). In second place, the data improved the definition of the lithic tool kit for every period, and allowed the discussion of some technical decisions in the manufacture chaine operatoires as well as the management behaviours of the tool kit. Finally, it was attempted to develop a diachronic comparison, discussing the changes and continuities in the composition and management of the lithic tool kit and stablishing the relationships with the manufacture and use chaine operatoires. / Este trabajo corresponde a un estudio tecnológico y funcional del equipamiento lítico tallado de los cazadores recolectores marítimos de la región de Magallanes entre los 6.000-3500/3000 AP. Este periodo se caracteriza por varias discontinuidades, particularmente en la tecnología lítica, que han conducido a la definición de dos unidades crono-culturales. Primero, la llamada “Cultura Englefield” en el periodo antiguo, caracterizada por una explotación intensiva de la obsidiana verde. Luego, la “Tradición Ponsonby”, en el periodo medio, caracterizada por la ausencia de obsidiana y la aparición de grandes puntas bifaciales lanceoladas. El análisis tecnológico y funcional del equipamiento lítico de tres sitios arqueológicos, uno asociado al periodo antiguo y dos al periodo medio, permitió realizar aportes a la evaluación de estas discontinuidades técnicas, vistas en términos de comportamientos humanos. El análisis funcional requirió, en primer lugar, de un marco analítico para aplicar la traceología al contexto de estudio, ya que los grupos canoeros explotaron diferentes materias primas líticas: obsidianas, riolitas, cineritas y RGFO (Rocas de Grano Fino Oscuras) metamórficas. Estas materias primas reaccionan de forma diferente al uso, y su análisis implica requerimientos metodológicos y posibilidades interpretativas particulares. Esto se evidencia tanto en la descripción de huellas de uso experimentales como en los resultados del análisis del material arqueológico. Con respecto a estos últimos, el análisis de los tres sitios arrojó resultados de calidad diferente, y los datos disponibles para el sitio del periodo antiguo son más elocuentes que los de los sitios del periodo medio. Esto refleja probables sesgos asociados a los tipos de roca utilizados para la fabricación del equipamiento, y no necesariamente comportamientos humanos. A pesar de estos sesgos, los resultados del análisis funcional sirvieron en primer lugar para lograr una mejor comprensión de las actividades realizadas en cada sitio (carnicería, trabajo de piel, de materias vegetales, óseas y minerales…). En segundo lugar, los datos permitieron realizar una mejor definición del equipamiento lítico para cada periodo, así como discutir algunas elecciones técnicas en las cadenas operativas de fabricación y los comportamientos de gestión del instrumental lítico. Finalmente, se intentó realizar una comparación diacrónica, discutiendo los cambios y continuidades en la composición y gestión del equipamiento lítico y estableciendo relaciones con las cadenas operativas de fabricación y uso.
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L’industrie osseuse des Iroquoiens du site Mailhot-Curran (BgFn-2) : une étude des déchets de fabrication

Boisvert, Marie-Ève 11 1900 (has links)
Bien que l’os soit une matière première ayant joué un rôle essentiel au sein des activités quotidiennes des Iroquoiens du Saint-Laurent, il existe à ce jour très peu d’analyses systématiques de l’outillage en os et des débris de fabrication retrouvés en Iroquoianie. Afin de pallier ces lacunes, ce mémoire de maitrise porte sur l’analyse des vestiges en os ouvragés récupérés sur le site villageois Mailhot-Curran (BgFn-2), occupé durant le Sylvicole supérieur tardif par une communauté iroquoienne du Saint-Laurent. Plus précisément, l’étude consiste à analyser l’industrie osseuse en portant une attention particulière aux déchets de fabrication. Cet examen attentif a pour principal objectif de documenter les modes de gestion et de sélection de la matière première ainsi que d’améliorer la compréhension des techniques préhistoriques employées pour la fabrication des objets en os. Au moyen d’analyses technologiques, zooarchéologiques et tracéologiques, il sera possible de classifier les déchets de fabrication, de documenter leur origine technologique et, ultimement, de reconstituer un certain nombre de chaines opératoires. Une étude détaillée de la distribution spatiale des artéfacts permettra également de mieux comprendre l’organisation des activités dans l’espace villageois. Ce mémoire a aussi pour objectif de fournir des balises méthodologiques et empiriques relatives à l’étude des déchets de fabrications en os, afin de démontrer la pertinence de considérer ces derniers dans la compréhension des systèmes socioéconomiques et culturels. / The St. Lawrence Iroquoians were very talented producers of bone tools of all kinds but little is known about the ancient technologies involved in the manufacture of these objects. The relevance of this study arises from the fact that there are significant methodological and theoretical gaps in the analysis of the bone objects produced by St. Lawrence Iroquoians. The aim of this thesis is to provide some answers to those specific gaps of information. This research involves various analyses which are characteristic of technological approaches, and zooarchaeological and use-wear methods. These particular methods will allow me to examine and understand more accurately the past technologies associated with St. Lawrence Iroquoians bone tool industries. Through the analysis and classification of the by-products, debris, blanks, rough-outs and finished objects, I hope to provide a method for understanding the sequence underlying the production of bone tools (procurement, selection, treatment, debitage, shaping, finishing, etc.) and to evaluate the investment made in the procurement and selection of the raw materials. A spatial distribution analysis is carried out to better understand the context for the planning and manufacture of bone tools within the village space. The main purposes of this study are to present methodological guidelines regarding the classification of bone refuse and by-products; to reveal morphological and technological characteristics of these archeological remains through macrosopic and microscopic obsevations, and to provide an empirical model adapted to the analysis of the chaines opératoires leading to distinct categories of bone refuse.
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La fin du Dorsétien au Nunavik : l'assemblage lithique de KcFs-2 (Iles Nuvuk)

Gautier-Doucet, Vincent 04 1900 (has links)
Ce mémoire présente l’analyse technologique d’un assemblage lithique du Dorsétien récent provenant des Îles Nuvuk au Nunavik. L’approche technologique et la chaine opératoire ont été employées pour définir le système technique des occupants de la maison 3 du site KcFs-2, daté entre 940±20 ans et 970±15 ans AA. Les analyses technologiques ont permis d’aborder une multitude de sphères comportementales en relation avec la technologie lithique dorsétienne de KcFs-2. Celles-ci concernent l’acquisition des matières, la gestion des supports, les intentions de production, les techniques de taille et enfin, les conceptions volumétriques des occupants du site. Dans le but de questionner le cadre chronoculturel en vigueur et de pallier aux manquements de l’approche typologique traditionnellement employée dans l’Arctique de l’est, ces données ont été comparées à celles des sites GhGk-63 (Kuujjuarapik) et Tayara (KbFk-7) ayant servi à définir la période du Dorsétien classique au Nunavik (Desrosiers 2009). L’analyse comparative des systèmes techniques du Dorsétien classique et du Dorsétien récent a permis de mettre en lumière la continuité des traditions techniques dorsétiennes sur une période d’environ mille ans. / This thesis presents the technological analysis of a Late Dorset lithic assemblage from the Nuvuk Islands in Nunavik. The technological approach and the chaine opératoire have been used to define the “technological system” of the occupants of House 3 at KcFs-2, dated between 940±20 and 970±15 BP. The technological analysis has provided information about many spheres of technological behavior related to the acquisition of raw material, to the management of blanks and preforms, to production objectives, to knapping techniques and finally to the “volumetric conceptions’’ of the site’s occupants. In order to question the actual chronocultural framework and to overcome problems associated with the typological approach traditionally used in the Eastern Arctic, this data has been compared to the data from the GhGk-63 (Kuujjuarapik) and Tayara (KbFk-7) sites, which have been use to define the Classic Dorset in Nunavik (Desrosiers 2009). The comparative analysis of Classic Dorset and Late Dorset “technological systems” has shed light on the continuities that characterise Dorset technological traditions over approximatively a millennium.

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