• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 272
  • 24
  • 12
  • 12
  • 3
  • 3
  • Tagged with
  • 348
  • 196
  • 98
  • 87
  • 69
  • 61
  • 58
  • 44
  • 44
  • 43
  • 40
  • 37
  • 35
  • 34
  • 34
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
111

Le processus de production du discours sur la citoyenneté au Québec à l'aube de l'an 2000 / Le processus de production du discours sur la citoyenneté au Québec à l'aube de l'an deux mil

Bilocq, Marc 12 April 2018 (has links)
Cette thèse met au jour le processus de production du discours sur la citoyenneté au Québec, au cours des années 1989 à 1999. Dans un premier temps, elle permet d'apercevoir les thèmes qui ont été véhiculés par deux organismes gouvernementaux ayant fortement contribué à la production de ce discours, soit l'actuel ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles et le Conseil des relations interculturelles du Québec. Ces thèmes ressortent des documents officiels produits, soit les communiqués de presse, les rapports annuels et enfin, les discours. Parmi ces thèmes, certains se sont maintenus malgré le passage d'une période politique fédéraliste à une période souverainiste, d'autres ont cessé d'être évoqués alors que certaines questions, dont celle des Autochtones et celle des anglophones, ont été occultées. Des informateurs de haut niveau ont également contribué à enrichir cette recherche. Leurs commentaires ont jeté la lumière sur la grande et la petite histoire de cette production discursive. De ces commentaires, il ressort que la genèse du discours sur la citoyenneté est attribuable à deux premiers ministres plutôt qu'à l'élite intellectuelle, communautaire, ou bureaucratique et que le contenu, de plus en plus républicain, a généré de nombreuses réactions invitant à plus de circonspection. De cette analyse, nous concluons que pour qu'une société puisse se représenter sa citoyenneté d'une manière réelle et effective, elle doit d'abord être souveraine et disposer au préalable d'un mode politique permettant la participation à un débat réel et la prise en compte effective de tous ceux et celles qui sont concernés. / This thesis brings to light the production process of the discourse on citizenship that was current in the province of Québec between 1989 and 1999. It allows to see which where the related themes that were promoted by two governmental bodies having largely contributed to the production of the discourse, namely the current « ministère de l'Immmigration et des Communautés culturelles » and the « Conseil des relations interculturelles » of the province of Québec. A relatively large number of official documents emanating from these two agencies have been perused: press releases, annual reports, official speeches. Among the themes that were identified, some have survived the transition from a federalist political era to a sovereignty oriented government era. Others, however, simply sank into oblivion while some highly sensitive matters were past over in silence, specifically the Native People's and the Anglophone's issues. High level informers have also been put to contribution. These people were capable of enriching the findings with their accounts of the official history and more importantly with what really occurred during that construction process. Among the findings, the fact that the genesis of the enterprise is, more than expected, the result of "voluntarist" acts by two Prime Ministers rather than the result of a dynamic and more general contribution of the expected agents i.e. services and/or pressure groups, members of the governmental bureaucracy or intellectuals interested in these matters. As the discourse grew more and more republican, reactions ensued, and prudence had to be exercised. From that analysis, we conclude that in order for a society to realistically and usefully create a representation of its citizenship, it first had to be sovereign and also rely on a political mode that allows full participation to real debates and full consideration of ail those concerned.
112

Vivre ensemble : une notion à préciser avec le personnel scolaire

Lavallée, Noémie 20 April 2018 (has links)
Ce mémoire de maitrise s’intéresse aux représentations sociales que se fait le personnel scolaire d’une école secondaire sur la notion de vivre ensemble. La littérature d’aujourd’hui ne permet pas de donner une définition précise de ce qu’est le vivre ensemble par rapport au personnel des écoles. Ce mémoire sert à mettre de l’avant les différents éléments qui cernent la notion de vivre ensemble à travers les représentations que se font les différents acteurs scolaires. Ici par acteurs scolaires, il est entendu que ce sont les représentations des membres de la direction, des professionnels, des enseignants ainsi que du personnel de soutien dont il sera question. La recherche tente de répondre à la question suivante : Comment les acteurs scolaires d’une école secondaire québécoise se représentent et décrivent la notion de vivre ensemble dans leur pratique de vie professionnelle? À l’aide d’entrevues semi-dirigées, les objectifs suivant seront atteints : analyser les représentations sociales décrites par les différents acteurs scolaires et dresser, par des entrevues, la typologie et les conditions du vivre ensemble. Dans le cadre de cette recherche qualitative, 14 membres du personnel d’une école secondaire sont interrogés sur leur représentation de la notion de vivre ensemble dans leur établissement. Dans le présent mémoire, le genre masculin est utilisé sans aucune discrimination envers les différents acteurs scolaires. C’est une étude de cas exploratoire. Les résultats des entrevues ont été retranscrits sous forme de verbatims et analysés à l’aide du logiciel QDA-miner qui a permis de faire un codage et de faire ressortir certains éléments pertinents à analyser dans ce mémoire. L’analyse des entrevues effectuées avec les participants permet de cerner certaines conditions nécessaires à la présence du vivre ensemble dans un établissement scolaire. L’analyse met aussi en perspective certains obstacles qui peuvent nuire au vivre ensemble. Les éléments importants de la représentation du vivre ensemble sont distincts selon le rôle professionnel des personnes interrogées. La démarche pourrait être utilisable dans un autre milieu scolaire puisque peu d’études abordent cette notion. Toutefois, la recherche comporte certaines limites puisqu’elle ne s’est intéressée qu’à une seule école secondaire québécoise et qu’elle ne permet pas de faire ressortir de définition de la notion de vivre ensemble. En revanche, le mémoire permet d’établir certaines bases claires sur ce qu’est le vivre ensemble dans un milieu scolaire, surtout en ce qui a trait aux conditions propices nécessaires et aux obstacles présents vis-à-vis la mise en place de cette notion.
113

Deux études sur le rôle du climat perçu dans les organisations en contexte de développement durable

Dahmen, Mehdi 15 June 2021 (has links)
En se basant sur les principes de l'échange social, cette thèse par insertion d'articles étudie les déterminants des comportements de citoyenneté environnementale des employés (OCBE), et ce, en mettant en lumière trois sphères sous-explorées de ce champ de recherche : (1) le rôle de la justice et des dynamiques de l'équité en milieu organisationnel dans l'émergence des OCBE ; (2) les relations d'échanges inter-collègues et leur rôle dans l'orientation des comportements organisationnels et (3) le rôle du climat de travail dans l'écologisation des organisations Dans ce cadre, le premier chapitre de la thèse prendra la forme d'un chapitre introductif dans le quel nous présenterons le concept de climat organisationnel, son évolution et certaines de ses variantes. Il s'agit d'un concept fédérateur dans cette thèse et il est important de comprendre les circonstances dans lesquelles des variantes environnementales du climat de travail sont apparues dans la littérature. D'ailleurs, l'une de ces variantes sera étudiée dans le deuxième chapitre de la thèse qui prendra la forme d'un article empirique. Dans cette recherche, nous étudions l'effet des différentes formes de justice ainsi que celui du climat de travail sur la conservation de l'énergie au travail. Les résultats de la recherche montrent que la justice distributive, associée à un climat de travail favorable à la conservation de l'énergie, renforce l'engagement environnemental des employés et contribue à la conservation de l'électricité en milieu de travail. Le troisième chapitre sera aussi présenté sous forme d'article dans lequel nous étudions l'effet des dynamiques d'échange inter-collègues sur l'adoption volontaire des comportements environnementaux au travail. Les résultats indiquent que les employés qui perçoivent un soutien de la part de leurs collègues vont développer un attachement psychologique envers ceux-ci et seront plus susceptibles d'adopter des comportements d'entraide environnementale. Le climat vert de travail perçu par les collègues renforce l'engagement de l'employé envers ses coéquipiers et permet ainsi, indirectement, de promouvoir l'entraide environnementale au sein de l'équipe. Les implications théoriques et managériales de chaque article sont discutées.
114

Citoyenneté postmoderne et didactique des langues anciennes: quel projet d'autonomie intellectuelle pour l'apprenant ? / Postmodern citizenship and teaching methods of ancient languages: what intellectual autonomy for the learner?

Vanhalme, Charlotte 19 December 2011 (has links)
Il s’agit de déterminer si différents constats posés initialement relatifs à l’évolution de la société et du monde scolaire sont les épiphénomènes d’une tendance générale ou s’ils sont simplement issus d’une synchronie fortuite. De l’analyse de ces constats émergent des problématiques qui se cristallisent autour de concepts. D’une part, on identifie la perception de la citoyenneté, de l’autre, le développement d’un projet d’autonomie intellectuelle, assorti d’une conscientisation des apprentissages. Nous traitons d’abord les questions relatives à la citoyenneté dans le cursus scolaire avant d’approfondir les questions concernant la didactique, adoptant l’hypothèse que les liens entre ces constats participent d’une même dynamique mais s’actualisent à des degrés divers. Ainsi, la recherche débute par les différentes situations pédagogiques dans lesquelles les apprenants sont confrontés à la citoyenneté durant leur cursus officiel dans certains pays ou communautés représentatives. Le second chapitre présente l’analyse profonde et minutieuse des dynamiques sociétales sous-jacentes aux écueils mentionnés pour se focaliser ensuite sur le contexte scolaire. Une définition du sens des notions utilisées est nécessaire au troisième chapitre avant d’envisager toute réponse aux questions liminaires en pédagogie puis en didactique des langues anciennes, aux chapitres quatre et cinq. Le travail se concrétise par un corpus de textes accompagnés de pistes d’exploitation avant de conclure et d’envisager les perspectives.<p><p>&9679; Clef :comment les langues anciennes peuvent-elles aider les élèves à s’approprier les concepts de l’éthique citoyenne ?L’autonomie intellectuelle, condition sine qua non de l’éthique citoyenne, ne provient pas ipso facto d’une lecture assidue des auteurs classiques mais elle peut constituer le projet qui sous-tend toute démarche de l’enseignant. Praxéologique à tendance pragmatique, cette recherche ne vise point à un utilitarisme réducteur de leur enseignement mais tente de répondre à un besoin axiologique. <p><p>&9679; Objectif :montrer comment une orientation méthodologique et déontologique précise dans l’apprentissage des langues anciennes sensibilise aux problématiques citoyennes du même type que celles qui caractérisent notre société postmoderne<p><p>& / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
115

Pour un modèle d’éducation à la citoyenneté émancipatrice : les six vertus démocratiques du citoyen de liberté sociale

Bachand, Charles-Antoine 03 1900 (has links)
La recherche théorique et spéculative qui fait l’objet de cette thèse permet de propo-ser un modèle d’éducation à la citoyenneté qui aurait des visées émancipatrices. S’inscrivant dans la tradition des sciences critiques et de la pédagogie critique de Freire (1968), elle défend d’abord l’idée que malgré la charge idéologique ou politique qui y est associée, l’éducation à la citoyenneté, comme toute forme d’éducation formelle ou informelle, devrait poursuivre la liberté et l’autonomie comme finalités. C’est en prenant appui sur les thèses récentes du philosophe Axel Honneth (2015 et 2017), attaché à l’École de Francfort, portant sur le concept de liberté sociale et en exploitant les outils de l’herméneutique défendue par Ricœur notamment, qu’il a été possible dans un premier temps de proposer un modèle de citoyenneté de liberté sociale et, dans un deuxième temps, de définir certaines des caractéristiques des citoyen·ne·s de liberté sociale. Enfin, ce travail a permis de faire émerger des habiletés et des aptitudes que l’éducation à la citoyenneté qui aurait la liberté et l’émancipation comme finalités devrait contribuer à développer ou à entre-tenir. En raison de leur portée, nous nommons ces habiletés des vertus démocratiques. Les six vertus démocratiques que notre travail permet de faire émerger et qui devraient faire l’objet d’un enseignement ou d’un apprentissage sont 1) l’autonomie critique ; 2) la capacité à délibé-rer et à décider collectivement ; 3) la reconnaissance ; 4) la solidarité ; 5) la créativité ; et 6) la capacité d’action. / The theoretical and speculative research that is the subject of this thesis proposes a model of citizenship education that would have emancipatory aims. Following the tradition of critical sciences and Freire's critical pedagogy (1968), it first defends the idea that despite the ideological or political charge associated with it, citizenship education, like any form of formal or informal education, should pursue freedom and autonomy as its goals. By taking as a basis the recent theses of the philosopher Axel Honneth (2015 and 2017), attached to the Frankfurt School, on the concept of social freedom and by exploiting the tools of the hermeneutics defended by Ricœur in particular, it was possible, firstly, to pro-pose a model of citizenship of social freedom and, secondly, to define some of the characteristics of citizens of social freedom. Finally, this work allowed us to identify skills and aptitudes that citizenship education, which would have freedom and emancipation as its goals, should help to develop or maintain. Because of their scope, we call these skills democratic virtues. The six democratic virtues that should be the object of teaching or learning and that our work pro-poses are 1) critical autonomy; 2) the capacity to deliberate and decide collectively; 3) recog-nition; 4) solidarity; 5) creativity; and 6) the capacity for action.
116

Enseigner l'Europe? : défis, potentiel et limites d'une éducation à la citoyenneté européenne

Heimpel, Daniela 05 1900 (has links)
Cotutelle internationale avec l'Université de Nantes (France) / Depuis le début de sa coopération en matière d’éducation, l’Union européenne (UE) s’efforce de former des citoyens européens. En 2015, elle a commencé à orienter ses politiques d’éducation vers la promotion de l’identité, de la citoyenneté et des « valeurs communes » européennes, pour relever les défis du populisme, de la xénophobie et de la radicalisation. L’éducation à la citoyenneté est d’ores et déjà une pratique courante dans de nombreux États. Ceux-ci ont tendance à y recourir afin de renforcer la conscience des citoyens pour leurs droits et devoirs, d’assurer leur loyauté et d’encourager la participation politique. En outre, il s’agit d’un outil qui a été exploité pour renforcer la cohésion sociale et accroître la légitimité démocratique du système politique concerné. S’il est largement admis que les écoles publiques ont joué un rôle important dans la construction de l’État-nation en Europe du 19e siècle, il ne peut pas être pris pour acquis que l’UE devrait à son tour éduquer à la citoyenneté européenne. Ce processus s’est en effet généralement appuyé sur des présupposés étatiques. Comme le montrent les travaux postnationaux, l’UE en revanche doit être comprise comme un projet horizontal et transnational, une « union des États et des peuples » (une « demoï-cratie » (Nicolaïdis, 2006 : 58)), qui préserve les États membres et accorde une place à différentes formes de diversité nationale et culturelle, entre autres (Ferry, 2000 ; Habermas, 1998 ; Lacroix, 2004, 2015). Il convient donc d’interroger dans quelle mesure et à quelles conditions il serait souhaitable que l’UE promeuve l’éducation à la citoyenneté européenne. Adoptant une approche de théorie politique « appliquée » inspirée par Alain Renaut (2003), notre recherche combine la théorie politique normative avec une étude empirique. Ainsi, nous montrons qu’un projet d’éducation à la citoyenneté européenne peut être souhaitable, à la condition qu’il renonce à s’inscrire dans la voie stato-nationale. En d’autres termes, il doit être adapté au cadre transnational, pluraliste et non étatique de l’UE. Au lieu d’éliminer les citoyennetés des États, ce programme doit envisager de les co-construire avec la citoyenneté européenne. Les États membres et les institutions européennes jouent un rôle complémentaire, tout en permettant de s’équilibrer mutuellement. L’UE peut contribuer à promouvoir l’éducation à la citoyenneté européenne, en facilitant la coopération transnationale au niveau des États membres et en encourageant différents programmes transnationaux. Outre l’école publique et les médias, ce sont les think tanks, les fondations, les projets portés par la société civile ainsi que les programmes de mobilité qui articulent un potentiel transnational et jouent donc un rôle central dans ce projet. L’éducation à la citoyenneté européenne devrait suivre des lignes démocratiques, tout en tenant compte des droits et des libertés dont jouissent les individus en tant qu’enfants, (futurs) adultes et citoyens. Les objectifs, contenus et modalités du projet doivent être pensés en conséquence. Ainsi, dans le cadre de ce travail, nous développons un modèle théorique pour une éducation à la citoyenneté européenne transnationale, en précisant comment celle-ci peut se présenter sur le plan des acteurs impliqués, des orientations, des fins légitimes, des contenus et des voies. C’est à partir de cette réflexion que nous examinons les politiques d’éducation de l’UE. Ainsi, ce travail s’appuie sur une analyse qualitative des discours et des politiques de l’UE en matière d’éducation à la citoyenneté européenne (1973-2019). L’étude comprend également des entretiens semi-directifs avec des fonctionnaires travaillant au sein des institutions européennes. Comme le montrent les résultats, l’UE vise à promouvoir l’éducation à la citoyenneté européenne depuis le début de la coopération dans ce champ. Pour ce faire, elle a mobilisé trois approches différentes. Force est de constater que l’absence de précision quant aux objectifs et aux contenus de ce projet engendre certaines tendances problématiques, voire contradictoires. D’un autre côté, l’orientation que nous retenons comme plus pertinente a été peu explorée. Ainsi, nous montrons que l’UE devrait en effet revoir certaines de ses priorités et inscrire l’éducation à la citoyenneté européenne plus systématiquement dans une direction transnationale. Nous concluons notre étude par quelques recommandations pour de futurs ajustements en ce sens. / From the very start of its cooperation in education, the European Union (EU) has tried to foster European citizenship through education. Since 2015, these policies aim at promoting European identity, citizenship, and “common values” to tackle challenges linked to populism, xenophobia, and radicalization. The idea to teach citizenship is well known within the national context. Many states rely on citizenship education to raise awareness about rights and duties, to ensure the citizens’ loyalty and support, and to encourage political participation. These programs are used in order to strengthen social cohesion and to increase the democratic legitimacy of their political system. Whether the EU should try to foster European citizenship through education, however, is far less obvious. It is widely accepted that public schools played a major role in nation-state-building in 19th century Europe. Yet, this process usually builds on state-centric assumptions. As postnational theory shows, the EU for its part is better understood as a horizontal and transnational project that preserves the member states and allows for national, cultural and other forms of diversity (Ferry, 2000; Habermas, 1998; Lacroix, 2004, 2015). The EU is a “demoi-cracy”, a “Union of peoples who govern together, but not as one” (Nicolaïdis, 2013: 351). It rightly differs from the nation-state model. Therefore, it is relevant to investigate whether, to what extent and in what form the EU should promote a European citizenship education. Building on Renaut’s “applied political philosophy” (2003), I take an “applied political theory” approach and combine normative political theory with empirical research. I argue that there are good reasons to foster European citizenship through education. However, to be both possible and desirable, the project must abandon the nation-state model. In other words, it must be adjusted to the EU’s transnational, pluralistic and non-state-based context. Far from replacing member states’ citizenship, a European citizenship education must be conceived in ways to jointly construct European and national citizenship. Both the member states and the EU institutions should play a role in this project and complete and balance each other. The EU should contribute to fostering European citizenship through education, by facilitating horizontal cooperation between the member states. In addition, it has the possibility to set up and to encourage transnational initiatives and programs. Actors and ways of putting this project into practice include not only public schools and media. Think tanks, foundations, civil society projects, and mobility programs bring a transnational dimension and have thus also a major role to play. A European citizenship education project should follow democratic lines, while considering the rights and liberties individuals have, both as (future) adults and as (future) citizens, but also as children. I argue that aims, contents and ways to foster European citizenship through education must be conceptualized accordingly. My dissertation aims at developing a theoretical model for a transnational European citizenship education. It elaborates on possible orientations, on legitimate aims and contents, on potential actors, as well as on suitable settings and places to foster this project. I then use my theoretical framework to study the EU approaches to European citizenship education. This involves conducting a qualitative content analysis of EU education discourses and policies (1973-2019) and semi-structured interviews with EU officials. My analysis demonstrates that the EU promotes European citizenship education initiatives since the beginning of its cooperation in education. I identify three different approaches that have been put forward to this end. I show that the EU lacks a consistent idea of the aims and the contents of a European citizenship education. This leads to unhappy tensions and contradictions. Furthermore, the EU regularly draws upon nation state categories and experiences. I argue that it needs to review certain priorities and more consistently orient its European citizenship education policies in a transnational direction. The latter is more appropriate, but currently remains under-explored. I conclude with some recommendations for future adjustments.
117

La ciudadanía para los niños en situación de calle integrados al Proyecto Axé : de la construcción del discurso a la incorporación de la noción

Alfonso Fabricio, Maria Celeste 12 April 2018 (has links)
Esta disertación trata sobre cómo es vivida la noción de ciudadania por los jóvenes integrados al organismo no gubernamental llamado Proyecto Axé, situado en la ciudad de Salvador, en el Estado de Bahia, al norte del Brasil. Precisamente, este estudio explora las maneras en que la ciudadania es percibida e incorporada por ninos que vivieron una situación de calle. Para alcanzar este objetivo, las historias de vida de los jóvenes son colocadas en perspectiva, mostrando al lector la evolución del pensamiento efectuado a medida que estos ninos y adolescentes participan a la propuesta educativa del organismo. De esta manera, este trabajo realiza un anâlisis multidimensional de las experiencias vividas, identificando los momentos claves y situândolos en un contexto social de violencia estructural y cultural. Diferentes aspectos de la experiencia de la calle son mostrados, a fin de comprender les condiciones estructurales que favorecen la marginalización de estos jóvenes. / Ce mémoire traite de la notion de citoyenneté et de comment elle vécue par les jeunes intégrés à l'organisme non gouvernemental appelé Projet Axé, situé dans la ville de Salvador, dans l'État de Bahia, au nord du Brésil. Plus précisément, cette étude explore les diverses perceptions de la citoyenneté et comment elle est incorporée par les enfants ayant vécu en situation de rue. Pour accomplir cet objectif, les histoires de vie des ces jeunes sont mises en perspective, montrant au lecteur la façon dont s'effectue l'évolution de la pensée au fur et à mesure que ces enfants et adolescents participent au projet éducatif de l'organisme. De cette manière, ce travail fait une analyse multidimensionnelle des expériences vécues, en identifiant les moments clés et en les situant dans un contexte social de violence structurelle et culturelle. Divers aspects de l'expérience de la rue sont montrés, afin de comprendre les conditions structurelles qui favorisent la marginalisation des ces jeunes.
118

L'éducation à la citoyenneté au secondaire : quel effet sur l'intention d'aller voter pour les jeunes Québécois?

Fortier-Chouinard, Alexandre 05 March 2019 (has links)
L’éducation civique a pour objectifs d’augmenter les connaissances politiques et l’engagement citoyen sous toutes ses formes. Au Québec, cette matière était enseignée jusqu’à tout récemment dans le cadre du cours d’HEC (histoire et éducation à la citoyenneté). Ce cours hybride était obligatoire de la première année du primaire à la quatrième secondaire. Aucune étude d’impact publique n’a été faite jusqu’ici au sujet de ce cours et de ses effets. Après une collecte de données auprès de 14 enseignants d’HEC de 4e secondaire et de 1369 élèves de 5e secondaire, ce mémoire montre que la présence plus ou moins grande de l’éducation civique dans le cours, telle que perçue par les enseignants et par les élèves, n’a pas de lien significatif avec les connaissances politiques, l’intérêt politique et l’intention de voter plus tard des jeunes Québécois en cinquième secondaire. Les raisons de cette absence d’effet pourraient être liées à la présence relativement faible de l’éducation civique en général dans les écoles québécoises ou encore à la diversité d’enseignants à laquelle chaque élève a affaire dans son parcours. De plus, une analyse multiniveaux montre que l’intention de voter plus tard, l’intérêt politique et les connaissances politiques des élèves varient beaucoup plus au niveau individuel qu’au niveau de la classe dans laquelle ils se trouvent / Civic education targets an increase in political knowledge and civic engagement in all its ways. That school topic was taught in Quebec until recently in the HEC (histoire et éducation à la citoyenneté) classes, which were mandatory from grade 1 until grade 10. No public study has been done regarding those classes and their effects up to now. After collecting data among 14 10th-grade HEC teachers and 1,369 11th-grade students, this thesis shows that a high or low presence of civic education in HEC – as perceived by teachers and students – has no significant impact on political knowledge, political interest and intention to turn out later for 11th-grade Quebec students. The reasons behind that lack of effect may be due to relatively uniform low presence of civic education in Quebec schools or the diversity of teachers each student gets during his or her school years. Moreover, a multilevel analysis shows that students’ intention to turn out later, political interest and political knowledge vary much more at the individual level than depending on the classroom they belong to.
119

Antécédents et effets de la forme d’engagement organisationnel chez l’employé atypique étudiant

Robitaille, Geneviève January 2014 (has links)
L’emploi atypique constitue une forme d’emploi de plus en plus présente sur le marché du travail, particulièrement chez les étudiants. Certaines études ont démontré que l’engagement organisationnel de ces travailleurs étudiants serait différent de celui des travailleurs occupant des emplois dits traditionnels. Cela implique également des différences sur le plan de la satisfaction au travail, des comportements de citoyenneté organisationnelle ainsi que de l’intention de quitter l’emploi. Toutefois, la compréhension de ces différences reste anecdotique. Les études s’étant penchées sur la question ont relevé l’importance de tenir compte des motifs poussant les employés atypiques à occuper, sur une base volontaire ou non, un emploi atypique. Dans cette perspective, 119 étudiants occupant un emploi atypique ont été sondés afin de répondre aux deux principaux objectifs de la présente thèse : 1) connaître les motifs expliquant le choix des travailleurs étudiants d’occuper un emploi atypique et 2) vérifier l’existence d’un effet de médiation partielle de la forme d’engagement affectif des travailleurs atypiques sur la relation unissant les motifs d’occuper un emploi atypique à la satisfaction au travail, aux comportements de citoyenneté organisationnelle et à l’intention de quitter l’emploi. Les résultats confirment l’existence de seize motifs d’occupation d’un emploi atypique chez les travailleurs étudiants. De même, on observe un effet de médiation partielle de l’engagement affectif sur la relation entre les motifs volontaires et la satisfaction au travail, l’intention de quitter l’emploi et les comportements de citoyenneté organisationnelle, ainsi qu’un effet de médiation partielle de l’engagement normatif sur la relation unissant les motifs volontaires et la satisfaction au travail. L’étude se conclut sur une discussion des implications de ces résultats pour l’avancement des connaissances et la pratique professionnelle.
120

L'expérience post moderne du citoyen brésilien : "Sitoyen" sensible vivant dans la démocratie totalitaire

Cardoso Gonçalves, Ludmille 28 November 2013 (has links) (PDF)
Cette thèse tentera de montrer comment le concept de citoyenneté, élaboré pendant l'époque moderne, n'est pas révélateur de la nature politique de l'être parce qu'elle ne correspond pas aux tendances actuelles illustrant le retour del'animal politique présent dans les manifestations collectives diverses, notamment à travers les réseaux sociaux. La nature politique brésilienne sera observée à travers les expériences vécues au quotidien partagées au sein des réseauxsociaux mais également à travers des mouvements artistiques; musique, photographie, etc. L'animal politique brésilienest celui en quête de sens symbolisant le politique actuel. Bien qu'il vive au sein d'une démocratie il est encore considéré comme étant un comportement déviant qui se distinguerait de la citoyenneté. Cela nous invite à étudier la démocratie brésilienne comme étant un gouvernement ayant des politiques totalitaires. De ce fait nous partons d'un constat où le citoyen brésilien est soumis à une culture de l'action politique issue des théories politiques modernes. Cesdernières auraient contribué au développement d'un modèle de comportement politique domestiquant. Nous avons observé l'expression citoyenne au sein des communautés virtuelles du réseau social Orkut mais également sur le réseau social Facebook. Pour élaborer l'étude sur l'animalité politique des Brésiliens, nous avons établi un schéma de réflexion qui se porte sur des axes théoriques : sociologiques, anthropologiques, paléoanthropologiques, archéologiques et philosophiques qui ont déjà traité le sujet. [etc.]

Page generated in 0.0959 seconds