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Aspect markers in Thai

Viriyasirikul, Pattama January 2003 (has links)
No description available.
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Quantifying Determiners from the Distributional Semantics View / Quantifying Determiners from the Distributional Semantics View

Gutiérrez Vasques, María Ximena January 2013 (has links)
Název práce: Quantifying Determiners from the Distributional Semantics View Autor: Maria Ximena Gutierrez Vasques Katedra: Ústav formální a aplikované lingvistiky Vedoucí diplomové práce: doc. RNDr. Markéta Lopatková, Ph.D. Abstrakt: Distribuční sémanika představuje moderní přístup k zachycení sémantiky přirozeného jazyka. Jedním z témat, kterým zatím v rámci tohoto přístupu nebyla věnována dostatečná pozornost, je možnost automatické detekce logických relací jako vyplývání. Tato diplomová práce navazuje na práci autorů Baroni, Bernar- di, Do and Shan (2012), kteří se zabývají relací vyplývání mezi kvantifikujícími výrazy. Citovaná práce využívá detekce pomocí SVN klasifikátorů natrénavaných na sémantických vektorech reprezentujících relaci vyplývání. Popisované exper- imenty se nezaměřovaly na nastaveni parametrů SVN klasifikátoru, proto se v této práci vracíme k původním experimentům popisujícím relaci vyplývání mezi kvantifikovanýmo jmennými konstrukcemi, navrhujeme nové konfigurace klasi- fikátoru a optimalizujeme nastavení parametrů. Dosaženou přesnost predikce porovnáváme s původními výsledky a ukazujeme, že SVM klasifikátor s kvadrat- ickým polynomiálním jádrem dosahuje lepších výsledků....
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Forensic Source Camera Identification by Using Features in Machine Learning Approach / Identification d'appareils photos par apprentissage

Alhussainy, Amel Tuama 01 December 2016 (has links)
L'identification d'appareils photos a récemment fait l'objet d'une grande attention en raison de son apport en terme sécurité et juridique. Établir l'origine d'un médias numériques, obtenus par un appareil d'imagerie est important à chaque fois que le contenu numériques est présente et utilise comme preuve devant un tribunal.L'identification d'appareils photos consiste à déterminer la marque, le modèle, ou le dispositif qui a été utilisé pour prendre une image.Notre première contribution pour l'identification du modèle d'appareil photo numérique est basée sur l'extraction de trois ensembles de caractéristiques puis l'utilisation d'apprentissage automatique. Ces caractéristiques sont la matrice de cooccurrences,des corrélations inter-canaux mesurant la trace laissée par l'interpolation CFA, et les probabilités conditionnelles calculées dans le domaine JPEG. Ces caractéristiques donnent des statistiques d'ordre élevées qui complètent et améliorent le taux d'identification. Les expériences prouvent la force de notre proposition, car la précision obtenue est supérieure à celle des méthodes basées sur la corrélation.La deuxième contribution est basée sur l'utilisation des CNNs. Contrairement aux méthodes traditionnelles, les CNNs apprennent simultanément les caractéristiques et la classification. Nous proposons d'ajouter une couche de pré-traitement (filtre passe-haut applique à l'image d’entrée) au CNN. Le CNN obtenu donne de très bonnes performances pour une faible complexité d'apprentissage. La méthode proposée donne des résultats équivalent à ceux obtenu par une approche en deux étapes (extraction de caractéristiques + SVM). Par ailleurs nous avons également examines les CNNs : AlexNet et GoogleNet. GoogleNet donne actuellement les meilleurs taux d'identification pour une complexité d'apprentissage plus grande / Source camera identification has recently received a wide attention due to its importantrole in security and legal issue. The problem of establishing the origin ofdigital media obtained through an imaging device is important whenever digitalcontent is presented and is used as evidence in the court. Source camera identification is the process of determining which camera device or model has been used to capture an image.Our first contribution for digital camera model identification is based on the extractionof three sets of features in a machine learning scheme. These featuresare the co-occurrences matrix, some features related to CFA interpolation arrangement,and conditional probability statistics computed in the JPEG domain.These features give high order statistics which supplement and enhance the identification rate. The experiments prove the strength of our proposition since it achieves higher accuracy than the correlation-based method.The second contribution is based on using the deep convolutional neural networks(CNNs). Unlike traditional methods, CNNs can automatically and simultaneouslyextract features and learn to classify during the learning process. A layer ofpreprocessing is added to the CNN model, and consists of a high pass filter which isapplied to the input image. The obtained CNN gives very good performance for avery small learning complexity. Experimental comparison with a classical two stepsmachine learning approach shows that the proposed method can achieve significantdetection performance. The well known object recognition CNN models, AlexNetand GoogleNet, are also examined.
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Applicabilité de la texture couleur à la différentiation des classes d’occupation du territoire sur des images satellitales multispectrales

Boyer, André 08 1900 (has links)
La texture est un élément clé pour l’interprétation des images de télédétection à fine résolution spatiale. L’intégration de l’information texturale dans un processus de classification automatisée des images se fait habituellement via des images de texture, souvent créées par le calcul de matrices de co-occurrences (MCO) des niveaux de gris. Une MCO est un histogramme des fréquences d’occurrence des paires de valeurs de pixels présentes dans les fenêtres locales, associées à tous les pixels de l’image utilisée; une paire de pixels étant définie selon un pas et une orientation donnés. Les MCO permettent le calcul de plus d’une dizaine de paramètres décrivant, de diverses manières, la distribution des fréquences, créant ainsi autant d’images texturales distinctes. L’approche de mesure des textures par MCO a été appliquée principalement sur des images de télédétection monochromes (ex. images panchromatiques, images radar monofréquence et monopolarisation). En imagerie multispectrale, une unique bande spectrale, parmi celles disponibles, est habituellement choisie pour générer des images de texture. La question que nous avons posée dans cette recherche concerne justement cette utilisation restreinte de l’information texturale dans le cas des images multispectrales. En fait, l’effet visuel d’une texture est créé, non seulement par l’agencement particulier d’objets/pixels de brillance différente, mais aussi de couleur différente. Plusieurs façons sont proposées dans la littérature pour introduire cette idée de la texture à plusieurs dimensions. Parmi celles-ci, deux en particulier nous ont intéressés dans cette recherche. La première façon fait appel aux MCO calculées bande par bande spectrale et la seconde utilise les MCO généralisées impliquant deux bandes spectrales à la fois. Dans ce dernier cas, le procédé consiste en le calcul des fréquences d’occurrence des paires de valeurs dans deux bandes spectrales différentes. Cela permet, en un seul traitement, la prise en compte dans une large mesure de la « couleur » des éléments de texture. Ces deux approches font partie des techniques dites intégratives. Pour les distinguer, nous les avons appelées dans cet ouvrage respectivement « textures grises » et « textures couleurs ». Notre recherche se présente donc comme une analyse comparative des possibilités offertes par l’application de ces deux types de signatures texturales dans le cas spécifique d’une cartographie automatisée des occupations de sol à partir d’une image multispectrale. Une signature texturale d’un objet ou d’une classe d’objets, par analogie aux signatures spectrales, est constituée d’une série de paramètres de texture mesurés sur une bande spectrale à la fois (textures grises) ou une paire de bandes spectrales à la fois (textures couleurs). Cette recherche visait non seulement à comparer les deux approches intégratives, mais aussi à identifier la composition des signatures texturales des classes d’occupation du sol favorisant leur différentiation : type de paramètres de texture / taille de la fenêtre de calcul / bandes spectrales ou combinaisons de bandes spectrales. Pour ce faire, nous avons choisi un site à l’intérieur du territoire de la Communauté Métropolitaine de Montréal (Longueuil) composé d’une mosaïque d’occupations du sol, caractéristique d’une zone semi urbaine (résidentiel, industriel/commercial, boisés, agriculture, plans d’eau…). Une image du satellite SPOT-5 (4 bandes spectrales) de 10 m de résolution spatiale a été utilisée dans cette recherche. Puisqu’une infinité d’images de texture peuvent être créées en faisant varier les paramètres de calcul des MCO et afin de mieux circonscrire notre problème nous avons décidé, en tenant compte des études publiées dans ce domaine : a) de faire varier la fenêtre de calcul de 3*3 pixels à 21*21 pixels tout en fixant le pas et l’orientation pour former les paires de pixels à (1,1), c'est-à-dire à un pas d’un pixel et une orientation de 135°; b) de limiter les analyses des MCO à huit paramètres de texture (contraste, corrélation, écart-type, énergie, entropie, homogénéité, moyenne, probabilité maximale), qui sont tous calculables par la méthode rapide de Unser, une approximation des matrices de co-occurrences, c) de former les deux signatures texturales par le même nombre d’éléments choisis d’après une analyse de la séparabilité (distance de Bhattacharya) des classes d’occupation du sol; et d) d’analyser les résultats de classification (matrices de confusion, exactitudes, coefficients Kappa) par maximum de vraisemblance pour conclure sur le potentiel des deux approches intégratives; les classes d’occupation du sol à reconnaître étaient : résidentielle basse et haute densité, commerciale/industrielle, agricole, boisés, surfaces gazonnées (incluant les golfs) et plans d’eau. Nos principales conclusions sont les suivantes a) à l’exception de la probabilité maximale, tous les autres paramètres de texture sont utiles dans la formation des signatures texturales; moyenne et écart type sont les plus utiles dans la formation des textures grises tandis que contraste et corrélation, dans le cas des textures couleurs, b) l’exactitude globale de la classification atteint un score acceptable (85%) seulement dans le cas des signatures texturales couleurs; c’est une amélioration importante par rapport aux classifications basées uniquement sur les signatures spectrales des classes d’occupation du sol dont le score est souvent situé aux alentours de 75%; ce score est atteint avec des fenêtres de calcul aux alentours de11*11 à 15*15 pixels; c) Les signatures texturales couleurs offrant des scores supérieurs à ceux obtenus avec les signatures grises de 5% à 10%; et ce avec des petites fenêtres de calcul (5*5, 7*7 et occasionnellement 9*9) d) Pour plusieurs classes d’occupation du sol prises individuellement, l’exactitude dépasse les 90% pour les deux types de signatures texturales; e) une seule classe est mieux séparable du reste par les textures grises, celle de l’agricole; f) les classes créant beaucoup de confusions, ce qui explique en grande partie le score global de la classification de 85%, sont les deux classes du résidentiel (haute et basse densité). En conclusion, nous pouvons dire que l’approche intégrative par textures couleurs d’une image multispectrale de 10 m de résolution spatiale offre un plus grand potentiel pour la cartographie des occupations du sol que l’approche intégrative par textures grises. Pour plusieurs classes d’occupations du sol un gain appréciable en temps de calcul des paramètres de texture peut être obtenu par l’utilisation des petites fenêtres de traitement. Des améliorations importantes sont escomptées pour atteindre des exactitudes de classification de 90% et plus par l’utilisation des fenêtres de calcul de taille variable adaptées à chaque type d’occupation du sol. Une méthode de classification hiérarchique pourrait être alors utilisée afin de séparer les classes recherchées une à la fois par rapport au reste au lieu d’une classification globale où l’intégration des paramètres calculés avec des fenêtres de taille variable conduirait inévitablement à des confusions entre classes. / Texture is a key element in interpreting remotely sensed images of fine spatial resolution. The integration of textural information in an automatic image-classification process is usually done via textural images, which are often created by calculating gray levels co-occurrences matrices (COM). A COM is a histogram of frequencies of pairs of pixel values present in local windows associated with all pixels in the used image; each pixel pair being formed using a given orientation and spacing. COM allows calculation for more than a dozen of parameters describing in various ways the frequency distribution, creating thus as many different textural images. Texture measurements approach based on COMs had been mainly applied on monochrome images (e.g. panchromatic, single polarisation and frequency radar images). In the case of multispectral images, a single spectral band, among those available, is usually chosen to generate texture images. The question we asked in this research concerns precisely this limited use of textural information in the case of multispectral images. In fact, the visual effect of a texture is created, not only by the spatial arrangement of variable objects/pixels brightness, but also of different colors. Several ways are suggested in the literature to introduce this concept of multi-dimensional texture. In this research, two of them were of particularly interested us. In the first way COMs are calculated spectral band by band and in the second one, generalized COMs are applied involving the joint use of two spectral bands. In the latter case, the pairs of pixel values are defined in two different spectral bands. This allows, in a single treatment, for a broad accounting of the "color" element composing a texture. These two approaches are called integrative techniques. To distinguish them, we call them respectively “gray textures” and “color textures”. Our research concerns the comparative analysis of the opportunities offered by applying these two types of textural signatures in the specific case of an automated land cover mapping using multispectral images. A textural signature of an object or class of objects, by analogy to spectral signatures, consists in a set of texture parameters measured; band by band (grey textures), or by pairs of bands (color textures).This research was designed not only to compare the two integrative approaches, but also to identify the components of textural signatures favouring the differentiation of land cover classes: texture parameters, window sizes and bands selection. To do this, a site within the territory of the Montreal Metropolitan Community (Longueuil) was chosen with a diversity of land covers representative of a semi-urban area. (residential, industrial / commercial, woodlots , agriculture, water bodies…). A SPOT-5 (4 spectral bands) image of 10m spatial resolution was used in this research. Since an infinite number of texture images can be created by varying the design parameters of COM, and to better define our problem, we have decided, taking into account studies published in this field: a) to vary the computation window from 3*3 to 21*21 pixels while setting the pixel spacing and direction to (1,1); that is to say, an spacing of 1 and an orientation of 135 ° between pairs of pixels. b) limit the COM analysis to eight texture parameters (contrast, correlation, standard deviation, energy, entropy, homogeneity, average, maximum probability), all of which are computable by the Unser’s fast-COM-approximation method, c) form the two textural signatures by the same number of elements chosen from a separability analysis (Bhattacharya distance) between land cover classes, and d) analyse the results (confusion matrices, accuracies, kappa) obtained using a maximum likelihood classification algorithm to conclude on the potential of both integrative approaches; classes to be recognized included: low and high density residential, commercial / industrial, agricultural, woodlots, turf (including golf) water bodies, clouds and their shadows. Our main conclusions are as follows a) except maximum probability, all other textural parameters are useful in the formation of textural signatures; mean and standard deviation are most useful in the formation of gray textures while contrast and correlation, are the best in the case of color textures b) the overall classification accuracy achieved an acceptable score (85%), only in the case of color textural signatures. This is a significant improvement compared to classifications based solely on spectral signatures, whose accuracies are often situated around 75%. This score is reached with windows size from about 11*11 to 15 * 15 pixels, c) Textural colors signatures offer higher scores, ranging from 5% to 10%, than those obtained by gray signatures. This is true while using the smaller process windows (5*5, 7*7, and occasionally 9*9) d) For several land cover classes examined individually, the accuracy is above 90% regardless of the used textural signatures e) Only one class is better separated from the rest by gray textures, the agricultural one; f) Classes creating a lot of confusion, which largely explains the overall classification score of 85 %, are the two residential classes (high and low density). As a final conclusion, we can say that the integrative approach by color textures provides a greater potential for mapping land covers using multispectral images than the integrative approach by gray textures. For several land cover classes an appreciable gain computing time of textural parameters may be obtained using smaller size windows. Significant improvements of the classification results (even better than 90%) are expected using calculation windows with sizes better adapted to each classes particular texture characteristics, A hierarchical classification method could then be used to separate each class at a time from all others, instead of a broad classification where the integration of parameters calculated with varying size windows, would inevitably lead to confusion between classes.
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Applicabilité de la texture couleur à la différentiation des classes d’occupation du territoire sur des images satellitales multispectrales

Boyer, André 08 1900 (has links)
La texture est un élément clé pour l’interprétation des images de télédétection à fine résolution spatiale. L’intégration de l’information texturale dans un processus de classification automatisée des images se fait habituellement via des images de texture, souvent créées par le calcul de matrices de co-occurrences (MCO) des niveaux de gris. Une MCO est un histogramme des fréquences d’occurrence des paires de valeurs de pixels présentes dans les fenêtres locales, associées à tous les pixels de l’image utilisée; une paire de pixels étant définie selon un pas et une orientation donnés. Les MCO permettent le calcul de plus d’une dizaine de paramètres décrivant, de diverses manières, la distribution des fréquences, créant ainsi autant d’images texturales distinctes. L’approche de mesure des textures par MCO a été appliquée principalement sur des images de télédétection monochromes (ex. images panchromatiques, images radar monofréquence et monopolarisation). En imagerie multispectrale, une unique bande spectrale, parmi celles disponibles, est habituellement choisie pour générer des images de texture. La question que nous avons posée dans cette recherche concerne justement cette utilisation restreinte de l’information texturale dans le cas des images multispectrales. En fait, l’effet visuel d’une texture est créé, non seulement par l’agencement particulier d’objets/pixels de brillance différente, mais aussi de couleur différente. Plusieurs façons sont proposées dans la littérature pour introduire cette idée de la texture à plusieurs dimensions. Parmi celles-ci, deux en particulier nous ont intéressés dans cette recherche. La première façon fait appel aux MCO calculées bande par bande spectrale et la seconde utilise les MCO généralisées impliquant deux bandes spectrales à la fois. Dans ce dernier cas, le procédé consiste en le calcul des fréquences d’occurrence des paires de valeurs dans deux bandes spectrales différentes. Cela permet, en un seul traitement, la prise en compte dans une large mesure de la « couleur » des éléments de texture. Ces deux approches font partie des techniques dites intégratives. Pour les distinguer, nous les avons appelées dans cet ouvrage respectivement « textures grises » et « textures couleurs ». Notre recherche se présente donc comme une analyse comparative des possibilités offertes par l’application de ces deux types de signatures texturales dans le cas spécifique d’une cartographie automatisée des occupations de sol à partir d’une image multispectrale. Une signature texturale d’un objet ou d’une classe d’objets, par analogie aux signatures spectrales, est constituée d’une série de paramètres de texture mesurés sur une bande spectrale à la fois (textures grises) ou une paire de bandes spectrales à la fois (textures couleurs). Cette recherche visait non seulement à comparer les deux approches intégratives, mais aussi à identifier la composition des signatures texturales des classes d’occupation du sol favorisant leur différentiation : type de paramètres de texture / taille de la fenêtre de calcul / bandes spectrales ou combinaisons de bandes spectrales. Pour ce faire, nous avons choisi un site à l’intérieur du territoire de la Communauté Métropolitaine de Montréal (Longueuil) composé d’une mosaïque d’occupations du sol, caractéristique d’une zone semi urbaine (résidentiel, industriel/commercial, boisés, agriculture, plans d’eau…). Une image du satellite SPOT-5 (4 bandes spectrales) de 10 m de résolution spatiale a été utilisée dans cette recherche. Puisqu’une infinité d’images de texture peuvent être créées en faisant varier les paramètres de calcul des MCO et afin de mieux circonscrire notre problème nous avons décidé, en tenant compte des études publiées dans ce domaine : a) de faire varier la fenêtre de calcul de 3*3 pixels à 21*21 pixels tout en fixant le pas et l’orientation pour former les paires de pixels à (1,1), c'est-à-dire à un pas d’un pixel et une orientation de 135°; b) de limiter les analyses des MCO à huit paramètres de texture (contraste, corrélation, écart-type, énergie, entropie, homogénéité, moyenne, probabilité maximale), qui sont tous calculables par la méthode rapide de Unser, une approximation des matrices de co-occurrences, c) de former les deux signatures texturales par le même nombre d’éléments choisis d’après une analyse de la séparabilité (distance de Bhattacharya) des classes d’occupation du sol; et d) d’analyser les résultats de classification (matrices de confusion, exactitudes, coefficients Kappa) par maximum de vraisemblance pour conclure sur le potentiel des deux approches intégratives; les classes d’occupation du sol à reconnaître étaient : résidentielle basse et haute densité, commerciale/industrielle, agricole, boisés, surfaces gazonnées (incluant les golfs) et plans d’eau. Nos principales conclusions sont les suivantes a) à l’exception de la probabilité maximale, tous les autres paramètres de texture sont utiles dans la formation des signatures texturales; moyenne et écart type sont les plus utiles dans la formation des textures grises tandis que contraste et corrélation, dans le cas des textures couleurs, b) l’exactitude globale de la classification atteint un score acceptable (85%) seulement dans le cas des signatures texturales couleurs; c’est une amélioration importante par rapport aux classifications basées uniquement sur les signatures spectrales des classes d’occupation du sol dont le score est souvent situé aux alentours de 75%; ce score est atteint avec des fenêtres de calcul aux alentours de11*11 à 15*15 pixels; c) Les signatures texturales couleurs offrant des scores supérieurs à ceux obtenus avec les signatures grises de 5% à 10%; et ce avec des petites fenêtres de calcul (5*5, 7*7 et occasionnellement 9*9) d) Pour plusieurs classes d’occupation du sol prises individuellement, l’exactitude dépasse les 90% pour les deux types de signatures texturales; e) une seule classe est mieux séparable du reste par les textures grises, celle de l’agricole; f) les classes créant beaucoup de confusions, ce qui explique en grande partie le score global de la classification de 85%, sont les deux classes du résidentiel (haute et basse densité). En conclusion, nous pouvons dire que l’approche intégrative par textures couleurs d’une image multispectrale de 10 m de résolution spatiale offre un plus grand potentiel pour la cartographie des occupations du sol que l’approche intégrative par textures grises. Pour plusieurs classes d’occupations du sol un gain appréciable en temps de calcul des paramètres de texture peut être obtenu par l’utilisation des petites fenêtres de traitement. Des améliorations importantes sont escomptées pour atteindre des exactitudes de classification de 90% et plus par l’utilisation des fenêtres de calcul de taille variable adaptées à chaque type d’occupation du sol. Une méthode de classification hiérarchique pourrait être alors utilisée afin de séparer les classes recherchées une à la fois par rapport au reste au lieu d’une classification globale où l’intégration des paramètres calculés avec des fenêtres de taille variable conduirait inévitablement à des confusions entre classes. / Texture is a key element in interpreting remotely sensed images of fine spatial resolution. The integration of textural information in an automatic image-classification process is usually done via textural images, which are often created by calculating gray levels co-occurrences matrices (COM). A COM is a histogram of frequencies of pairs of pixel values present in local windows associated with all pixels in the used image; each pixel pair being formed using a given orientation and spacing. COM allows calculation for more than a dozen of parameters describing in various ways the frequency distribution, creating thus as many different textural images. Texture measurements approach based on COMs had been mainly applied on monochrome images (e.g. panchromatic, single polarisation and frequency radar images). In the case of multispectral images, a single spectral band, among those available, is usually chosen to generate texture images. The question we asked in this research concerns precisely this limited use of textural information in the case of multispectral images. In fact, the visual effect of a texture is created, not only by the spatial arrangement of variable objects/pixels brightness, but also of different colors. Several ways are suggested in the literature to introduce this concept of multi-dimensional texture. In this research, two of them were of particularly interested us. In the first way COMs are calculated spectral band by band and in the second one, generalized COMs are applied involving the joint use of two spectral bands. In the latter case, the pairs of pixel values are defined in two different spectral bands. This allows, in a single treatment, for a broad accounting of the "color" element composing a texture. These two approaches are called integrative techniques. To distinguish them, we call them respectively “gray textures” and “color textures”. Our research concerns the comparative analysis of the opportunities offered by applying these two types of textural signatures in the specific case of an automated land cover mapping using multispectral images. A textural signature of an object or class of objects, by analogy to spectral signatures, consists in a set of texture parameters measured; band by band (grey textures), or by pairs of bands (color textures).This research was designed not only to compare the two integrative approaches, but also to identify the components of textural signatures favouring the differentiation of land cover classes: texture parameters, window sizes and bands selection. To do this, a site within the territory of the Montreal Metropolitan Community (Longueuil) was chosen with a diversity of land covers representative of a semi-urban area. (residential, industrial / commercial, woodlots , agriculture, water bodies…). A SPOT-5 (4 spectral bands) image of 10m spatial resolution was used in this research. Since an infinite number of texture images can be created by varying the design parameters of COM, and to better define our problem, we have decided, taking into account studies published in this field: a) to vary the computation window from 3*3 to 21*21 pixels while setting the pixel spacing and direction to (1,1); that is to say, an spacing of 1 and an orientation of 135 ° between pairs of pixels. b) limit the COM analysis to eight texture parameters (contrast, correlation, standard deviation, energy, entropy, homogeneity, average, maximum probability), all of which are computable by the Unser’s fast-COM-approximation method, c) form the two textural signatures by the same number of elements chosen from a separability analysis (Bhattacharya distance) between land cover classes, and d) analyse the results (confusion matrices, accuracies, kappa) obtained using a maximum likelihood classification algorithm to conclude on the potential of both integrative approaches; classes to be recognized included: low and high density residential, commercial / industrial, agricultural, woodlots, turf (including golf) water bodies, clouds and their shadows. Our main conclusions are as follows a) except maximum probability, all other textural parameters are useful in the formation of textural signatures; mean and standard deviation are most useful in the formation of gray textures while contrast and correlation, are the best in the case of color textures b) the overall classification accuracy achieved an acceptable score (85%), only in the case of color textural signatures. This is a significant improvement compared to classifications based solely on spectral signatures, whose accuracies are often situated around 75%. This score is reached with windows size from about 11*11 to 15 * 15 pixels, c) Textural colors signatures offer higher scores, ranging from 5% to 10%, than those obtained by gray signatures. This is true while using the smaller process windows (5*5, 7*7, and occasionally 9*9) d) For several land cover classes examined individually, the accuracy is above 90% regardless of the used textural signatures e) Only one class is better separated from the rest by gray textures, the agricultural one; f) Classes creating a lot of confusion, which largely explains the overall classification score of 85 %, are the two residential classes (high and low density). As a final conclusion, we can say that the integrative approach by color textures provides a greater potential for mapping land covers using multispectral images than the integrative approach by gray textures. For several land cover classes an appreciable gain computing time of textural parameters may be obtained using smaller size windows. Significant improvements of the classification results (even better than 90%) are expected using calculation windows with sizes better adapted to each classes particular texture characteristics, A hierarchical classification method could then be used to separate each class at a time from all others, instead of a broad classification where the integration of parameters calculated with varying size windows, would inevitably lead to confusion between classes.
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Discours de presse et veille stratégique d'évènements. Approche textométrique et extraction d'informations pour la fouille de textes / News Discourse and Strategic Monitoring of Events. Textometry and Information Extraction for Text Mining

MacMurray, Erin 02 July 2012 (has links)
Ce travail a pour objet l’étude de deux méthodes de fouille automatique de textes, l’extraction d’informations et la textométrie, toutes deux mises au service de la veille stratégique des événements économiques. Pour l’extraction d’informations, il s’agit d’identifier et d’étiqueter des unités de connaissances, entités nommées — sociétés, lieux, personnes, qui servent de points d’entrée pour les analyses d’activités ou d’événements économiques — fusions, faillites, partenariats, impliquant ces différents acteurs. La méthode textométrique, en revanche, met en œuvre un ensemble de modèles statistiques permettant l’analyse des distributions de mots dans de vastes corpus, afin faire émerger les caractéristiques significatives des données textuelles. Dans cette recherche, la textométrie, traditionnellement considérée comme étant incompatible avec la fouille par l’extraction, est substituée à cette dernière pour obtenir des informations sur des événements économiques dans le discours. Plusieurs analyses textométriques (spécificités et cooccurrences) sont donc menées sur un corpus de flux de presse numérisé. On étudie ensuite les résultats obtenus grâce à la textométrie en vue de les comparer aux connaissances mises en évidence au moyen d’une procédure d’extraction d’informations. On constate que chacune des approches contribuent différemment au traitement des données textuelles, produisant toutes deux des analyses complémentaires. À l’issue de la comparaison est exposé l’apport des deux méthodes de fouille pour la veille d’événements. / This research demonstrates two methods of text mining for strategic monitoring purposes: information extraction and Textometry. In strategic monitoring, text mining is used to automatically obtain information on the activities of corporations. For this objective, information extraction identifies and labels units of information, named entities (companies, places, people), which then constitute entry points for the analysis of economic activities or events. These include mergers, bankruptcies, partnerships, etc., involving corresponding corporations. A Textometric method, however, uses several statistical models to study the distribution of words in large corpora, with the goal of shedding light on significant characteristics of the textual data. In this research, Textometry, an approach traditionally considered incompatible with information extraction methods, is applied to the same corpus as an information extraction procedure in order to obtain information on economic events. Several textometric analyses (characteristic elements, co-occurrences) are examined on a corpus of online news feeds. The results are then compared to those produced by the information extraction procedure. Both approaches contribute differently to processing textual data, producing complementary analyses of the corpus. Following the comparison, this research presents the advantages for these two text mining methods in strategic monitoring of current events.
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Smart City and Related Implementation Challenges - Case Study: Kakinada and Kanpur

Gupta, Khushboo 13 February 2020 (has links)
With advancement in information and communication technologies (ICT), Smart Cities are becoming a popular urban development strategy amongst policymakers and city managers to respond to various threats posed by rapid urbanization such as environmental degradation and increasing inequality (Hartemink, 2016). Therefore, globally, regions ranging from small towns to megacities are proposing and investing in smart city (SC) initiatives. Unfortunately, the prolific use of this term by city managers and technology vendors is clouding the view on what it really takes to become a SC (Van den Bergh and Viaene, 2015). Consequently, cities are experiencing multiple implementation risks when trying to turn a smart city ambition into reality. These implementation risks reflect the gaps or missing pieces in the current organizational structure and policies designed for implementing SC projects at the city level. They can be understood better if the process of SC transformation is explored using diverse cases of cities undergoing such a transformation. However, the current studies on SC initiatives at the local, regional, national, and international level have focused on: 1) strengthening the SC concept rather than understanding the practical implementation of the concept – i.e., discussing SC characteristics and outcomes rather than focusing on the challenges faced in implementing SC projects; 2) cases that have already been developed as a SC or are soon to become a SC, leaving out the opportunity to study cities undergoing SC transformation and the identification of implementation risks; and 3) cases from more advanced economies. Taken together, these observations reveal the need for research that focuses on SC initiatives in a developing nation context. More specifically, there is a need for researchers, city managers, and policymakers in these regions to focus on the process of SC transformation to identify implementation risks early on in the process. Understanding these risks may help the development of better risk mitigation strategies and result in more successful SC projects. This research explores SC implementation risks in two cities currently undergoing a SC transformation in India – Kakinada and Kanpur. While examining the risks landscape in these two cities, the research also explores what city officials are focused on when implementing SC projects. This research finds that: 1) implementation risks such as Institutional, Resource and Partnership, and Social are crucial for implementing SC projects; 2) in the cities of Kakinada and Kanpur, Institutional risks that relate to gaps and deficiencies in local urban governance such as overlapping functions of multiple local urban development agencies, have causal linkages with other risks such as Resource and Partnership risks and Financial risks, which further delay project implementation; and 3) city officials and industry professionals implementing SC projects in Kakinada and Kanpur have a slightly different perspective on smartness, however both the groups focus on External smartness of the city – i.e., projects related to physical infrastructure such as mobility and sanitation – rather than Internal smartness of the city – i.e., strengthening local urban governance, increasing citizen engagement, etc. Overall, this research proposes that there is a need to frame the concept of a SC around both Internal and External Smartness of the city. This research will be of special interest to: 1) cities (in both developed and developing nations) currently implementing SC projects by providing a framework to systematically examine the risk landscape for successful project implementation; and 2) communities/institutions (especially in developing nations) proposing SC initiatives by helping them focus on components, goals, and enablers of a SC. / Doctor of Philosophy / The concept of a Smart City (SC) revolves around "using Information and Communication Technologies (ICT) to increase workability, liveability, and sustainability" of a city (Smart Cities Council, 2014). SCs are becoming a popular urban development strategy amongst policymakers and city managers to respond to various threats posed by rapid urbanization such as environmental degradation and increasing inequality (Hartemink, 2016). Unfortunately, city managers see SCs as a readymade solution to urban challenges. As a consequence, cities are experiencing multiple implementation risks when trying to turn a smart city ambition into reality. These implementation risks reflect the gaps or missing pieces in the current organizational structure and policies designed for implementing SC projects at the city level. They can be understood better if the process of SC transformation is explored. However, the current studies on SC initiatives at the local, regional, national, and international level have focused on: 1) strengthening the SC concept rather than understanding the practical implementation of the concept; 2) cases that have already been developed as a SC or are soon to become a SC, leaving out the opportunity to study cities undergoing SC transformation and the identification of implementation risks; and 3) cases from more advanced economies. Taken together, these observations reveal the need for research that focuses on SC initiatives in a developing nation context. More specifically, there is a need for researchers, city managers, and policymakers in these regions to focus on the process of SC transformation to identify implementation risks early in the project development process. Understanding these risks may help the development of better risk mitigation strategies and result in more successful SC projects. This research explores SC implementation risks in two cities currently undergoing a SC transformation in India – Kakinada and Kanpur. This research finds that: 1) implementation risks such as Institutional, Resource and Partnership, and Social are crucial for implementing SC projects; 2) in the cities of Kakinada and Kanpur, Institutional risks that relate to gaps and deficiencies in local urban governance such as overlapping functions of multiple local urban development agencies, have causal linkages with other risks such as Resource and Partnership risks and Financial risks, which further delay project implementation; and 3) city officials and industry professionals implementing SC projects in Kakinada and Kanpur have a slightly different perspective on smartness, however both the groups focus on the External smartness of the city – i.e., projects related to physical infrastructure such as mobility and sanitation – rather than the Internal smartness of the city – i.e., strengthening local urban governance, increasing citizen engagement, etc.
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Méthodes de veille textométrique multilingue appliquées à des corpus de l’environnement et de l’énergie : « Restitution, prévision et anticipation d’événements par poly-résonances croisées » / Textometric Multilingual Information Monitoring Methods Applied to Energy & Environment Corpora : "Restitution, Forecasting and Anticipation of Events by Cross Poly-resonance"

Shen, Lionel 21 October 2016 (has links)
Cette thèse propose une série de méthodes de veille textométrique multilingue appliquées à des corpus thématiques. Pour constituer ce travail, deux types de corpus sont mobilisés : un corpus comparable et un corpus parallèle, composés de données textuelles extraites des discours de presse, ainsi que ceux des ONG. Les informations récupérées proviennent de trois mondes en trois langues différentes : français, anglais et chinois. La construction de ces deux corpus s’effectue autour de deux thèmes d’actualité ayant pour objet, l’environnement et l’énergie, avec une attention particulière sur trois notions : les énergies, le nucléaire et l’EPR. Après un bref rappel de l’état de l’art en intelligence économique, veille et textométrie, nous avons exposé les deux sujets retenus, les technicités morphosyntaxiques des trois langues dans les contextes nationaux et internationaux. Successivement, les caractéristiques globales, les convergences et les particularités de ces corpus ont été mises en évidence. Les dépouillements et les analyses qualitatives et quantitatives des résultats obtenus sont réalisés à l’aide des outils de la textométrie, notamment grâce aux analyses factorielles des correspondances, réseaux cooccurrentiels et poly-cooccurrentiels, spécificités du modèle hypergéométrique, segments répétés ou encore à la carte des sections. Ensuite, la veille bi-textuelle bilingue a été appliquée sur les trois mêmes concepts dans l’objectif de mettre en évidence les modes selon lesquels les corpus multilingues à caractère comparé et parallèle se complètent dans un processus de veille plurilingue, de restitution, de prévision et d’anticipation. Nous concluons notre recherche en proposant une méthode analytique par Objets-Traits-Entrées (OTE). / This thesis proposes a series of textometric multilingual information monitoring methods applied to thematic corpora (textometry is also called textual statistics or text data analysis). Two types of corpora are mobilized to create this work: a comparable corpus and a parallel corpus in which the textual data are extracted from the press and discourse of NGOs. The information source was retrieved from three countries in three different languages: English, French and Chinese. The two corpora were constructed on two topical issues concerning the environment and energy, with a focus on three concepts: energy, nuclear power and the EPR (European Pressurized Reactor or Evolutionary Power Reactor). After a brief review of the state of the art on business intelligence, information monitoring and textometry, we first set out the two chosen subjects – the environment and energy – and then the morphosyntactic features of the three languages in national and international contexts. The overall characteristics, similarities and peculiarities of these corpora are highlighted successively. The recounts and qualitative and quantitative analyses of the results were carried out using textometric tools, including factor analysis of correspondences, co-occurrences and polyco-occurrential networks, specificities of the hypergeometric model and repeated segments or map sections. Thereafter, bilingual bitextual information monitoring was applied to the same three concepts with the aim of elucidating how the comparable corpus and the parallel corpus can mutually help each other in a process of multilingual information monitoring, by restitution, forecasting and anticipation. We conclude our research by offering an analytical method called Objects-Features-Opening (OFO).
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O papel das áreas alagáveis nos padrões de diversidade de espécies arbóreas na Amazônia /

Luize, Bruno Garcia January 2019 (has links)
Orientador: Clarisse Palma da Silva / Resumo: Áreas úmidas são ambientes na interface terrestre e aquática, onde sazonalmente a disponibilidade de água pode estar em excesso ou em escassez. A história geológica da bacia amazônica está intimamente relacionada com a presença de áreas úmidas em grandes extensões espaciais e temporais e em variadas tipologias. Dentre as tipologias de áreas úmidas presentes na Amazônia as áreas alagáveis ao longo das planícies de inundação dos grandes rios são possivelmente as que possuem maior extensão territorial. Esta tese aborda o papel das áreas úmidas para a diversidade de árvores na Amazônia. As florestas que crescem em áreas úmidas possuem menor diversidade de espécies arbóreas em relação às florestas em ambientes terrestres (i.e., florestas de terra-firme); possivelmente devido às limitações ecológicas e fisiológicas relacionadas a saturação hídrica do solo e as inundações periódicas. Entretanto, nas áreas úmidas da Amazônia já foram registradas 3,515 espécies de árvores (Capítulo 2), uma quantidade comparável à da diversidade na Floresta Atlântica. Em relação às florestas de terra-firme da Amazônia, as espécies de árvores que ocorrem em áreas úmidas tendem a apresentar maiores áreas de distribuição e amplitudes de tolerâncias de nicho ao longo da região Neotropical (Capítulo 3). A composição florística e a distância filogenética entre espécies arbóreas nas florestas de várzea da Amazônia central mudam amplamente entre localidades (Capítulo 4). O gradiente ambiental contido entre as ... (Resumo completo, clicar acesso eletrônico abaixo) / Abstract: Wetlands are in the interface of terrestrial and aquatic environments, where seasonally water availability may be in excess or scarcity. Geological history of Amazon basin is closely linked with a huge temporal and spatial extents of wetlands. Nowadays, floodplains (i.e., Vázea and Igapó) are the wetlands with greatest coverage in Amazon. The present thesis is focused on the role of wetlands to tree species diversity in Amazon. Wetland forests have lower tree species diversity than upland forests (i.e., Terra-Firme); most likely due to ecological and physiological limitations. Notwithstanding, in Amazonian wetland forests 3,515 tree species already were recorded, (Chapter 2), which is comparable to tree species diversity in the Atlantic Forest. Wetland tree species show greater ranges sizes and niche breadth compared to tree species do not occur in wetlands (Chapter 3). Floristic compositional turnover and phylogenetic distances between floodplain forests in Central Amazon is high (Chapter 4). The most influential driver of floristic compositional turnover was the geographic distances between localities, whereas phylogenetic distances is driven mainly by the environmental gradients between forests. Furthermore, in general, the most abundant species are those that shows greater co-occurrence associations (Chapter 5). Co-occurrence structure is influenced by biotic interactions like facilitation and competition among species, but also by niche similarities indicated in the evol... (Complete abstract click electronic access below) / Doutor

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