• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 5
  • Tagged with
  • 6
  • 6
  • 4
  • 4
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

La présence de stéréotypes dans les articles d'opinion l'exemple de la communauté juive de Montréal

Chouinard, Marie-Pierre January 2010 (has links)
La présente étude analyse l'utilisation des stéréotypes sur les Juifs et les Québécois d'ascendance canadienne-français à travers les articles d'opinion parus dans deux des principaux journaux francophones de Montréal, soitLa Presse et Le Devoir , de 1988 à 2008. Nous comparons la manière par laquelle différents types d'auteurs d'articles d'opinion cherchent à activer ou à désactiver les stéréotypes envers les deux groupes. Nous établissons dans quelle mesure ils véhiculent des stéréotypes envers les membres de l'autre groupe, mais aussi envers les membres de leur propre groupe. Nous montrons finalement que les interventions médiatiques sont largement concentrées autour de polémiques et d'événements médiatiques et nous nous questionnons sur ce que révèle ce type de discours sur l'opinion plus générale qu'entretiennent les groupes les uns par rapport aux autres.
2

Représentations de la minorité juive dans la presse écrite francophone québécoise

Tremblay, Marika January 2009 (has links) (PDF)
Prendre la mesure des frontières de la communauté politique québécoise est le but de ce mémoire. Pour ce faire, nous analysons le discours journalistique d'information sur les accommodements religieux. Nous identifions les représentations véhiculées au sujet de la minorité juive dans la presse écrite québécoise francophone (La Presse, Le Soleil, Le Devoir et le Journal de Montréal) entre mars 2006 et avril 2007, période durant laquelle on remarque une intensification du « débat sur les accommodements raisonnables » (Potvin et al., 2008; Potvin, 2008). Pour marquer la spécificité de cette période, nous considérons aussi les cas de l'érouv (2000-2001) et de la souccah (1998-2004). À l'aide d'une approche culturaliste, le concept de cadre médiatique (frame) est approfondi. Il est ensuite opérationnalisé en vue d'être utilisé pour identifier de façon inductive les représentations de la minorité juive.Nous avons dégagé quatre cadres mobilisés par les journalistes pour traiter de la minorité juive québécoise : les cadres dits de procédure, pluraliste, libéral et «majorité-minorité». Nous avons donc constaté la concurrence, voire les tensions entre différents discours à propos de situations d'accommodement avec des membres de la minorité juive. Pourtant, le cadre pluraliste a été observé seulement lors de la couverture médiatique des cas de l'érouv et de la souccah alors que le cadre «majorité-minorité» a prévalu dans les textes publiés suite à l'affaire des fenêtres givrées du YMCA de l'Avenue du Parc. Ce renversement va de pair avec le glissement du sens du mot «accommodement». «Accommoder» est devenu durant cette période synonyme de «plier». Parce qu'il se construit sur des modalités d'exclusion, le cadre «majorité-minorité» donne plusieurs indices sur les frontières de la communauté politique québécoise. Juger que les individus à l'origine d'une demande d'accommodement pratiquent leur religion de façon radicale suffisait pour rejeter toute demande faite par ce groupe. Il semble donc que le caractère religieux au coeur de l'identité juive ait collaboré ou même provoqué l'oscillation entre différents types de discours à propos de cette même identité juive. Le simple fait d'être Juif a été associé à une forme de radicalité religieuse, radicalité qui en retour serait constitutive d'une extériorité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Presse, Accommodements religieux, Minorité Juive, Cadre médiatique, Communauté politique, Québec.
3

Politique et politiques urbaines dans la Roumanie (post)socialiste. Perdants et bénéficiaires des processus de nationalisation et de restitution des immeubles nationalisés/ Politics and Urban Policies in (Post)Socialist Romania. Winners and Losers of Nationalization and Restitution

Otoiu, Damiana Gabriela 30 June 2010 (has links)
Notre examen de la reconfiguration de la propriété privée durant les régimes communistes et postcommunistes a comme point de départ une interrogation banale qui, depuis l’ouvrage canonique de Laswell, Politics. Who gets what, when, and how ?, est considérée essentielle pour la compréhension des processus politiques : qui sont les principaux bénéficiaires / perdants de ces métamorphoses du régime de la propriété ? Pour formuler une réponse à cette interrogation, nous avons structuré notre analyse en trois parties. La première partie, "La Propriété urbaine dans la Roumanie (post)socialiste. Politique et politiques publiques", dresse un tableau général de la transformation socialiste et postsocialiste de la propriété privée en milieu urbain. Ce tableau général concerne tant le cadre normatif et institutionnel, que les acteurs socio-politiques qui essaient de s’impliquer dans l’élaboration des politiques publiques. Les deux études de cas qui constituent la deuxième et la troisième partie de la thèse examinent la construction juridico-politique des « gagnants » et des « perdants » de ces processus de reconfiguration de la propriété : La propriété et « l’ethno-nation » dans la Roumanie (post)socialiste. Le cas de la communauté juive (2e partie), respectivement Métamorphoses (post)socialistes d’un « quartier rouge ». Propriété et élites politiques en Roumanie (3e partie). Pour analyser la construction des « perdants », le rapport qui s’établit entre "La propriété et « l’ethno-nation » dans la Roumanie (post)socialiste. Le cas de la communauté juive" nous a semblé un observatoire privilégié. La principale raison tient à l’ingéniosité des méthodes d’expropriation imaginées par les communistes pour la spoliation économique des différentes minorités ethniques ou religieuses et à la diversité des raisons invoquées par les législateurs postcommunistes pour différer la restitution de certaines de ces propriétés. Nous présumons que dans l’histoire de la « propriété juive » nous pourrions également appréhender un processus de construction (post)socialiste d’une « communauté imaginée », homogène, ethno-nationale, d’un « rapport particulier qui existerait entre l’État, la propriété et l’identité nationales » (Verdery 1998 : 298). Après des reconfigurations radicales de la sphère économique et l’étatisation des propriétés (industrielles, immobilières, foncières), l’unique catégorie sociale qui pouvait disposer discrétionnairement de la propriété nationalisée était la nomenklatura communiste. La 3e partie de la thèse, "Métamorphoses (post)socialistes d’un « quartier rouge ». Propriété et élites politiques en Roumanie", retrace l’histoire du quartier de la nomenklatura, situé au nord de Bucarest, de ses habitants d’avant 1989 et de leurs avatars postcommunistes. L’histoire politique du quartier se superpose à l’histoire des élites dirigeantes de la Roumanie et est révélatrice pour les rapports entre les différentes factions formées à l’intérieur du Parti, les épurations, les réhabilitations. Elle représente également un observatoire privilégié pour les rapports que le Parti Communiste Roumain entretient avec Kremlin, ainsi qu’avec d’autres partis communistes. Finalement, l’histoire postcommuniste du même quartier peut fournir une réponse à une question apparemment très simple, à savoir « qu’est-ce qui change après 1989 » ? Par cette étude de cas nous nous proposons de « tester » la thèse du « capitalisme politique », selon laquelle on assisterait après 1989 à une transmutation du capital politique que la nomenklatura communiste détenait en capital économique.
4

La sépulture collective 163D de la nécropole nord de Hiérapolis (Phrygie, Turquie, période Augustéenne -VIIe s. de notre ère) : fouille et enregistrement des dépôts, gestes et pratiques funéraires, recrutement / Collective burial 163D in north necropolis of Hierapolis (Phrygia, Turkey, Augustan period – 7th century ad) : excavation, analysis and interpretation of funerary treatment and burial practices

Laforest, Caroline 15 December 2015 (has links)
Les cités antiques d’Asie Mineure comprennent à leurs périphéries de vastes ensembles funéraires dont seulsl’épigraphie et les monuments, pour la plupart pillés anciennement, sont généralement étudiés. Les modalités de dépôts et degestion de ces tombes, a priori collectives, n’ont jusqu’alors pas ou très peu été analysés. La découverte d’une chambresouterraine (tombe 163d) non pillée dans la « Nécropole nord » de Hiérapolis (ancienne province de Phrygie dans le sud-ouestde la Turquie), a été l’occasion de mettre en oeuvre une analyse archéo-anthropologique afin d’aborder le fonctionnement de cetype de tombe. Cette investigation a impliqué de reprendre et d’achever la fouille initiée en 2003, nécessitant quatrecampagnes (2010-2013) au cours desquelles une stratégie d’intervention adaptée aux contraintes de temps imposées a étéélaborée dans le cadre de la Mission Archéologique Italienne de Hiérapolis. Après avoir défini le cadre chronologique del’utilisation de la tombe, notre travail s’est attaché à comprendre les modalités de dépôts des défunts (traitement du corps,milieu de décomposition, mode d’inhumation) mais également les gestes témoignant de la gestion et de la dynamique del’espace funéraire. L’analyse stratigraphique des dépôts a démontré que la tombe avait été utilisée entre la périodeaugustéenne et le début du VIIe siècle, afin d’accueillir les restes de 293 individus. Au IIIe siècle, une famille juive la rachète,comme l’indiquent les inscriptions gravées sur le monument. L’étude taphonomique des squelettes empilés en connexionanatomique a révélé que la majorité des dépôts avait été réalisée dans des cercueils. Il est apparu, d’une part, que la famillejuive a laissé une partie des os des premiers occupants en place, conformément aux lois romaines définissant le sepulchrumcomme locus religiosus, et, d’autre part, que la gestion des os disloqués reposait davantage sur des considérations pratiquesliées au volume des os que sur le souci de conserver l’individualité des sujets inhumés. Ces conclusions permettent d’apporterde nouveaux éléments de discussion sur les relations entre les différents groupes religieux vivant à Hiérapolis à traversl’organisation des espaces funéraires et, plus largement, sur les pratiques funéraires pendant l’antiquité romaine et la périodeprotobyzantine en Asie Mineure. / The roman cities of Asia Minor are surrounded by vast necropolises, amongst which funerary complexes are mostoften plundered. While monuments and inscriptions have been studied in great detail in the past, the depositional context andfunerary treatment of the dead and the management of collective burials have not been submitted to detailed analysis. Thediscovery of Tomb 163d, a subterranean funerary chamber not plundered in the North Necropolis of Hierapolis (ancientprovince of Phrygia, in the South-West of Turkey) provided a unique opportunity to apply archeo-anthropological analysis inorder to understand funerary treatment and burial practices. This study reinvestigated the excavations which took place in2003, to complement another four campaigns (2010-2013). For these excavation campaigns a specific intervention strategywas developed as part of the Archeological Italian Mission of Hierapolis. After discussing the chronological framework, thisstudy analyses funerary treatment (modes of inhumation, body treatment, depositional context) as well as the burialmanagement to the management within the dynamic of the funeral space. The stratigraphic analysis demonstrated that thegrave was utilized from the Augustan period to the 7th century and contained 293 individuals. During the 3rd century, a Jewishfamily rebought the tomb for further use, as indicated by the inscriptions engraved on the monument. The taphonomic study ofthe articulated skeletons revealed that the majority of the deceased were buried in wooden coffins. It appeared that the Jewishfamily left some skeletal remains from the first occupiers in situ, in accordance with the Roman law defining the sepulchrum asa locus religious. However, the management of human remains was more related to practical considerations, linked to thevolume of the remains, than to the concern of respecting the deceased. By analyzing and interpreting the organization offuneral spaces, the conclusions of this study provide new evidence on relationships between different religious groups living inHierapolis, and on aspects of burial practices during Roman Antiquity and Proto-Byzantine period.
5

Les Justes parmi les Nations de la région Rhône-Alpes : étude prosopographique / The Righteous among the Nations in the Rhône-Alpes region : a prosopographic study

Biesse, Cindy 04 December 2015 (has links)
Quelle population hétérogène que celle des Justes parmi les nations de Rhône-Alpes, et, par cette caractéristique même, peu saisissable ! S’ils ne sauraient, à eux seuls, représenter la totalité des situations de sauvetage, les Justes éclairent, par le simple fait qu’ils existent, un pan de la résistance civile sous l’Occupation. Ces hommes, ces femmes, appartiennent à une région originale, comme prédestinée à l’accueil. La diversité de ses paysages en fait le terrain d’expérimentation de toutes les formes de tourisme. Pays pratiquant, Rhône-Alpes est également le terreau d’expériences religieuses nouvelles et le berceau de la démocratie chrétienne. Région carrefour, ouverte, son pouvoir d’attraction se renforce sous l’Occupation, avec l’arrivée de flux nombreux d’exilés, de juifs notamment, qui s’efforcent d’y reprendre une vie « normale ». Les rafles de l’été 1942 font, soudainement, de l’aide dispensée aux réfugiés traqués une question de survie. Des hommes, des femmes, mus par des valeurs communes, encouragés par les ecclésiastiques qui les entourent, se mobilisent. Naissent ainsi de véritables chaînes de solidarité, transformant des bourgs ou des villages en territoires refuges, des individus anonymes en héros « ordinaires ». / What a heterogeneous population that the Righteous among the nations of Rhône-Alpes and, by this way, little comprehensible! If they don’t embody all the situations of the rescue, the Righteous enlighten, only because they do exist, a piece of the civilian Resistance under the Occupation. These people belong to an unusual region, as fated for the welcome. Its various landscapes led to the experiment of all the types of tourism. This practicing country is also the ground of new religious experiences and the cradle of the Christian democracy. The appeal of this crossroads strengthens under the Occupation with the arrival of exiles, Jews in particular, who try to take back their former life. The raids of the summer 1942 make suddenly the help to the pursued people a question of survival. Moved by common values, encouraged by the clerics who surround them, people mobilize. Thus real networks of support arise, transforming villages into sanctuaries, common people into heroes.
6

Politique et politiques urbaines dans la Roumanie (post)socialiste: perdants et bénéficiaires des processus de nationalisation et de restitution des immeubles nationalisés / Politics and urban policies in (post)socialist Romania: winners and losers of nationalization and restitution

Otoiu, Damiana Gabriela 30 June 2010 (has links)
Notre examen de la reconfiguration de la propriété privée durant les régimes communistes et postcommunistes a comme point de départ une interrogation banale qui, depuis l’ouvrage canonique de Laswell, Politics. Who gets what, when, and how ?est considérée essentielle pour la compréhension des processus politiques :qui sont les principaux bénéficiaires / perdants de ces métamorphoses du régime de la propriété ?<p><p>Pour formuler une réponse à cette interrogation, nous avons structuré notre analyse en trois parties.<p><p>La première partie, "La Propriété urbaine dans la Roumanie (post)socialiste. Politique et politiques publiques", dresse un tableau général de la transformation socialiste et postsocialiste de la propriété privée en milieu urbain. Ce tableau général concerne tant le cadre normatif et institutionnel, que les acteurs socio-politiques qui essaient de s’impliquer dans l’élaboration des politiques publiques. <p><p>Les deux études de cas qui constituent la deuxième et la troisième partie de la thèse examinent la construction juridico-politique des « gagnants » et des « perdants » de ces processus de reconfiguration de la propriété :La propriété et « l’ethno-nation » dans la Roumanie (post)socialiste. Le cas de la communauté juive (2e partie), respectivement Métamorphoses (post)socialistes d’un « quartier rouge ». Propriété et élites politiques en Roumanie (3e partie). <p><p>Pour analyser la construction des « perdants », le rapport qui s’établit entre "La propriété et « l’ethno-nation » dans la Roumanie (post)socialiste. Le cas de la communauté juive" nous a semblé un observatoire privilégié. La principale raison tient à l’ingéniosité des méthodes d’expropriation imaginées par les communistes pour la spoliation économique des différentes minorités ethniques ou religieuses et à la diversité des raisons invoquées par les législateurs postcommunistes pour différer la restitution de certaines de ces propriétés. Nous présumons que dans l’histoire de la « propriété juive » nous pourrions également appréhender un processus de construction (post)socialiste d’une « communauté imaginée », homogène, ethno-nationale, d’un « rapport particulier qui existerait entre l’État, la propriété et l’identité nationales » (Verdery 1998 :298).<p><p>Après des reconfigurations radicales de la sphère économique et l’étatisation des propriétés (industrielles, immobilières, foncières), l’unique catégorie sociale qui pouvait disposer discrétionnairement de la propriété nationalisée était la nomenklatura communiste. La 3e partie de la thèse, "Métamorphoses (post)socialistes d’un « quartier rouge ». Propriété et élites politiques en Roumanie", retrace l’histoire du quartier de la nomenklatura, situé au nord de Bucarest, de ses habitants d’avant 1989 et de leurs avatars postcommunistes. L’histoire politique du quartier se superpose à l’histoire des élites dirigeantes de la Roumanie et est révélatrice pour les rapports entre les différentes factions formées à l’intérieur du Parti, les épurations, les réhabilitations. Elle représente également un observatoire privilégié pour les rapports que le Parti Communiste Roumain entretient avec Kremlin, ainsi qu’avec d’autres partis communistes. Finalement, l’histoire postcommuniste du même quartier peut fournir une réponse à une question apparemment très simple, à savoir « qu’est-ce qui change après 1989 » ?Par cette étude de cas nous nous proposons de « tester » la thèse du « capitalisme politique », selon laquelle on assisterait après 1989 à une transmutation du capital politique que la nomenklatura communiste détenait en capital économique.<p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished

Page generated in 0.0612 seconds