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« Je ne suis pas ton compagnon mon frère ». Ayllus, syndicats et métis : construction de l’altérité et changement social dans le Nord Potosi, Bolivie / « I'm not your companion my brother ». Ayllus, syndicates and mestizo : construction of alterity and social change in Northern Potosi, Bolivia

Le Gouill, Claude 08 March 2013 (has links)
En Bolivie, si les victoires électorales d’Evo Morales - le premier président « indigène » du pays - ont confirmé la force du mouvement rural bolivien, celui-ci ne reste pas moins divisé. Dans les Andes, l’organisation indigène des ayllus affronte l’organisation paysanne syndicale pour le contrôle et la définition du monde rural. La recherche présentée ici analyse ce dualisme organisationnel dans la région du Nord Potosi, à partir du concept d’« économie morale » et de l’étude de la communauté « paysanne-indigène ». La recherche accorde un rôle central au travail de terrain réalisé, tant au niveau régional qu’au niveau local avec l’étude de cas de l’ayllu Chiro, sans oublier les connexions avec le national et l’international. Elle a pour objectif de comprendre les facteurs historiques et structurels de ce dualisme, mais aussi d’analyser les constructions actuelles des catégories sociales « paysanne » et « indigène ». Le dualisme s’amplifie en effet avec l’intégration à l’économie de marché et de la société dominante autour de la gestion de la main d'œuvre et des ressources naturelles. Il s’amplifie aussi avec l’émergence de nouveaux leaders au sein des organisations sociales, qui jouent le rôle d’« intermédiaires » entre la communauté et la société environnante. Formés dans les écoles et institutions de la société environnante, ces leaders sont entrés dans une lutte au sein des différents champs du pouvoir pour représenter le monde rural autant que pour le définir. De cette dynamique, se construit une « frontière symbolique » entre les deux organisations, dont la finalité est la conquête du pouvoir politique et la gestion des projets de développement. / Evo Morales’s electoral victories - the first “indigenous” president of Bolivia - have confirmed the power of the bolivien rural movement, but it’s still stays divided. In the Andes, the Ayllus indigenous organization fights against the rural union organization for the control and the definition of the rural world. The researches analyse here this organizational dualism in the Northern Potosi, thought the “moral economy” concept and the study of the “peasant-indigenous” community. The investigation is mainly based on the fieldwork done, in the regional area, the local case of Chiro Ayllu, and the national and international connexions. Its Goal is to understand here the historical and structural processes of this dualism and analyse the actual constructions of the social categories of “peasant” and “indigenous”.The dualism is growing with the integration to the market economy and to the dominant society about the management of the Labor and natural resources. It also grows with the emergence of new leaders in the social organization, wich plays a role of intermediate between the community and the global society. Educated in shools and institutions of global society, those leaders started a a fight in different space of power to represent and define the rural world. A “symbolic boundary” between the two organizations is building from this actions, which the finality is the conquest of the politic power and the management of the development projects.
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Direito ao desenvolvimento de comunidades indígenas no Brasil / Le droit au développement des communautés indigênes au Brésil

Anjos Filho, Robério Nunes dos 27 May 2009 (has links)
O presente trabalho versa sobre o direito ao desenvolvimento das comunidades indígenas no Brasil, procurando identificar suas fontes, sujeitos e objeto. Para tanto, buscou-se inicialmente examinar o direito ao desenvolvimento no plano internacional, especialmente no que concerne à possibilidade da sua titularidade ser exercida por minorias e outros grupos vulneráveis. Posteriormente, ainda no âmbito do direito internacional, destacou-se a hipótese de as comunidades indígenas, como espécies de minorias, serem titulares de um direito ao desenvolvimento próprio, com características específicas, apontando-se as fontes, os legitimados passivos e o objeto desse direito. A seguir, verificou-se que todos os elementos do direito ao desenvolvimento das comunidades indígenas também se encontram presentes no direito positivo brasileiro. No plano nacional, suas fontes principais são a Constituição de 1988, os tratados de direitos humanos incorporados à ordem jurídica interna com status supralegal e a legislação ordinária. Já a legitimidade passiva diz respeito ao estado brasileiro, às pessoas jurídicas e às pessoas físicas. Integram o objeto do direito ao desenvolvimento das comunidades indígenas no Brasil os mesmos direitos que o compõem no âmbito internacional: a) o direito à autodeterminação indígena; b) o direito à manutenção da própria cultura; c) o direito à opção por um processo próprio de desenvolvimento; d) o direito ao território indígena e à utilização dos recursos naturais; e) o direito à participação; f) o direito à melhoria das condições econômicas e sociais; g) o direito à saúde; h) o direito à previdência social; i) o direito à educação; j) o direito à subsistência, ao trabalho e à obtenção de renda; k) o direito à cooperação. A maior parte dos direitos acima enumerados correspondem a discriminações positivas de natureza permanente. Finalmente, observou-se que o direito ao desenvolvimento das comunidades indígenas não é absoluto, podendo entrar em colisão com outros direitos constitucionais, situação que deve ser solucionada pelos mecanismos adequados, anotando-se que quando for utilizada a técnica da ponderação de interesses há uma tendência no sentido de que a intensidade das limitações impostas aos bens ligados aos princípios do direito constitucional indigenista será menor do que aquela que incidirá sobre os bens que lhes forem opostos. / Le présent travail sagit du droit au développement des communautés indigènes au Brésil, surtout, de ses fondements, sujets et objet. Dabord, le droit au développement a été analysé dans le plan international, principalement la reconnaissance de ce droit aux minorités et aux groupes vulnérables. En suite, encore dans la perspective du droit internacional, on a remarqué lhypothèse des communautés indigènes, comme type de minorité, aient un droit au developpement propre, avec ses fondements, créanciers, débiteurs et objet typiques. Aprés, on a conclu que tous éléments du droit au developpment des communautés indigènes sont trouvés aussi dans le droit positif brésilien. En fait, au plan national, ses sources principaux sont la Constitution de 1988, les traités de droits de lhomme reconnus dans lordre juridique interne et la législation ordinaire. Les débiteurs du droit au développement sont à la fois lEtat bresilien, les personnes morales et les individus. L´objet du droit au développement au niveau nationale est aussi vaste quau niveau internacional, cest à dire: a) le droit à l autodétermination indigène; b) le droit à la préservation de sa culture; c) le droit de loption de se propre processus de développement; d) le droit au territoire indigène et à lexploration de ses ressources naturelles; e) le droit de participation; f) le droit à lamélioration de ses conditions sociaux et économiques; g) le droit à la santé; h) le droit à la Securité social; i) le droit à léducation; j) le droit à la subsistance, au travail e à lobtention de revenu; k) le droit à la coopération. La plupart de ces droits sont espèce de discriminations positives permanentes. Enfin, on a démontré que le droit au développement de communauté indigène nest pas absolu, donc il peut entrer en choc avec dautres droits constitutionels. Ce type de conflit est, en règle, solutionné par la technique de la pondération des intérêts. Dun ce cas, il y a une tendance de favoriser les droits constitucionels des indigènes.
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« Communication communautaire » : pratiques médiatiques des communautés indigènes du nord-ouest argentin / “Community communication” : media practices of indigenous communities in Northwest Argentina

Toulemont, Herlène 02 July 2015 (has links)
Cette recherche s’inscrit dans le champ de la « communication communautaire ». Apparue dans les années 1970, cette notion a évolué sur des controverses, donnant ainsi naissance à des définitions plurielles voire contradictoires. Elle est tantôt associée à la communication pour le développement, tantôt à la communication citoyenne, alternative et populaire. Malgré cette polysémie, la quantité de médias qui se rangent sous cette appellation est en forte expansion. L’objectif est donc d’avancer dans la compréhension de la notion de communication communautaire au prisme des pratiques médiatiques de communautés indigènes. D’abord, d’un point de vue théorique, je réalise une revue critique de la genèse de cette notion et des controverses scientifiques sur lesquelles elle s’est construite, en fonction d’aires culturelles et de positions idéologiques. Ensuite, d’un point de vue empirique, j’analyse des pratiques médiatiques communautaires à partir d’un travail de terrain de type ethnographique réalisé dans sept communautés indigènes situées dans le nord-ouest argentin. Je démontre que leurs pratiques s’élaborent sur trois niveaux : a) intracommunautaire : vers la communauté elle-même, b) intercommunautaire : vers les autres communautés, et c) extracommunautaire : vers « l’extérieur », c’est-à-dire le reste de la société. Elles utilisent et combinent tous les moyens de communication qu’elles ont à disposition (radios VHF, radios FM et Internet) afin de se ré-approprier leur culture et leur identité, porter leurs revendications, développer leur territoire et nouer un dialogue avec l'opinion publique. Finalement, la démarche dialectique, théorique et empirique, m’amène à proposer un nouveau concept : la « communication communautaire indigène ». / The research is about “community communication”. Born in the 1970’s, this notion was developed from controversies, creating various definitions, sometimes even contradictory ones. It is sometimes associated to communication for development, communication for citizens, alternative or popular communications. Despite the polysemy, an increasing number of media refered themselves as “community media”. My aim is to make a better understanding of the notion of community communication, through indigenous communities’ media practices. First, from a theoretical perspective, I executed a critical genealogy of this notion and scientific controversies on which it was built, based on cultural areas and ideological positions. Then, from an empiric perspective, I analyzed media practices from an ethnographic field work carried out in seven different indigenous communities in Northwest Argentina. I demonstrated that their practices are developed on three levels: a) intra community: towards the community itself, b) inter community: towards other communities, and c) extra community: towards the “outside”, meaning the rest of the society. Communities use and combine all communication tools available (VHF radio, FM radio, and the Internet) in order to re-appropriate their culture and identity, express their claims, develop their territories and create a dialogue with the public opinion. At last, this dialectic approach, theoretical and empirical, leads me to introduce a new concept: “the indigenous community communication”.

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