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L'agression dans un monde incertain : une étude expérimentale chez le moineau domestique (Passer domesticus)

Bouchard-Kerr, Phoenix 11 1900 (has links) (PDF)
Lorsque les animaux s'approvisionnent en groupe, ils mangent souvent de la nourriture découverte par leurs congénères. Si la parcelle est divisible, les individus peuvent exploiter par cleptoparasitisme la nourriture découverte par d'autres, soit de manière passive ou de manière agressive. Dans un tel contexte, l'agressivité individuelle (c.-à-d. la probabilité d'être agressif lors d'une rencontre avec un compétiteur) est censée être influencée par plusieurs facteurs écologiques, explorés par des modèles économiques de défense des ressources. Par exemple, le niveau de connaissance que les animaux ont de la localisation des parcelles de nourriture est censé influencer l'agressivité; cependant, peu d'études empiriques se sont penchées sur le sujet. Ce niveau de connaissance devrait influencer 1) le niveau d'agressivité individuelle et 2) l'effet que la densité des parcelles exerce sur le niveau d'agressivité. 1) Un modèle d'optimalité de défense des ressources prédit que l'agressivité devrait être plus élevée lorsque les individus connaissent la localisation des parcelles, parce qu'ils peuvent limiter leur recherche à une aire plus restreinte et donc plus défendable. 2) Des modèles de la théorie des jeux prédisent une diminution de l'agressivité lorsque la densité des parcelles augmente, parce que les parcelles de remplacement deviennent moins coûteuses à trouver. Cependant, lorsque la localisation des parcelles est inconnue, l'agressivité devrait rester inchangée à cause de l'incertitude quant à la disponibilité des parcelles de remplacement. Afin de tester ces prédictions expérimentalement, nous avons observé le comportement agressif de groupes de moineaux domestiques (Passer domesticus) en manipulant simultanément la densité des parcelles ainsi que la signalisation de la localisation de celles-ci. Les changements observés au niveau du taux d'agression semblent appuyer nos deux prédictions: 1) Le taux d'agression était plus élevé lorsque les parcelles étaient signalées. 2) Le taux d'agression diminuait lorsque la densité des parcelles augmentait; cette diminution était plus faible lorsque les parcelles n’étaient pas signalées que lorsqu'elles l'étaient. Cependant, contrairement aux deux prédictions, et donc contrairement aux modèles économiques de défense des ressources, les changements dans le taux d'agression ne résultaient pas de variations de l'agressivité individuelle, mais plutôt de variations du taux de rencontre entre individus. Par conséquent, la densité des parcelles ainsi que la connaissance de la localisation des parcelles n'ont pas influencé l'agressivité individuelle des moineaux domestiques. Cela met en question le rôle de ces deux facteurs dans les modèles économiques de défense des ressources. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : agression, approvisionnement social, cleptoparasitisme, défense des ressources, Passer domesticus
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La théorie de l'esprit à la petite enfance en lien avec les comportements agressifs manifestés à la maternelle

Renouf, Annie January 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse doctorale s'intéresse à la relation entre la théorie de l'esprit avant l'entrée scolaire et les comportements agressifs manifestés lors de la maternelle. La théorie de l'esprit est une habileté sociocognitive qui implique la capacité de comprendre et de prédire les comportements humains en se basant sur les représentations mentales de la réalité. Les comportements agressifs ont longtemps été associés à des déficits au plan des habiletés sociocognitives (Crick & Dodge, 1994). Toutefois, l'agressivité regroupe une variété de comportements hétérogènes dont certains pourraient requérir de bonnes habiletés sociocognitives. Il est proposé que la relation entre la théorie de l'esprit et l'agressivité varie selon la forme d'expression du comportement agressif (physique ou indirecte) ou encore selon la fonction que ce comportement dessert (réactive ou proactive). La théorie de l'esprit est négativement reliée à l'agressivité physique (Capage & Watson, 2001) alors qu'elle pourrait être positivement associée à l'agressivité indirecte (Björkqvist, Österman & Kaukiainen, 2000; Sutton, Smith & Swettenham, 1999a). Lorsque les enfants utilisent l'agressivité indirecte, ils manipulent la représentation mentale de leurs pairs (ex. en induisant une fausse croyance chez leurs pairs par la diffusion de rumeurs diffamatoires au sujet de la victime) afin que ces derniers modifient subséquemment leur comportement envers la victime (ex. exclure la victime du groupe). La prédiction des comportements d'autrui et la manipulation des représentations mentales pourraient nécessiter la théorie de l'esprit. De même, un lien différentiel pourrait être attendu entre la théorie de l'esprit et les fonctions réactive et proactive de l'agressivité. L'agressivité réactive est une réaction impulsive visant à se défendre contre une menace perçue. Des évidences empiriques démontrent que l'agressivité réactive est associée à des déficits dans les habiletés sociocognitives, comme des difficultés dans la résolution de problèmes (Day, Bream & Pal, 1992), et pourrait également être associée à une faible théorie de l'esprit. L'agressivité proactive, qui est motivée par l'obtention de gains personnels ou la domination des autres, n'est pas associée à de tels déficits (Crick & Dodge, 1996). À date, aucune étude ne s'est penchée sur l'étude du lien entre la théorie de l'esprit et l'agressivité en tenant compte de la nature multidimensionnelle des comportements agressifs. Le présent projet a pour but d'examiner la relation entre la théorie de l'esprit et l'agressivité selon les formes et fonctions des comportements agressifs. Par ailleurs, la relation entre la théorie de l'esprit et l'agressivité est sûrement plus complexe qu'un simple effet linéaire. Un deuxième objectif consiste à vérifier des modérateurs potentiels de ces relations. D'une part, l'effet modérateur des comportements prosociaux dans la relation entre la théorie de l'esprit et l'agressivité indirecte/physique sera évalué. D'autre part, l'effet modérateur de l'intimidation par les pairs dans la relation entre la théorie de l'esprit et l'agressivité réactive/proactive sera également examiné. Un échantillon de convenance de 287 paires de jumeaux, provenant d'une étude longitudinale, a été utilisé pour vérifier les hypothèses. De plus, la première étude utilise un échantillon de 119 singletons provenant d'une étude longitudinale d'enfants de naissance unique. À l'âge de cinq ans, la théorie de l'esprit et le vocabulaire réceptif ont été évalués par des tâches standardisées. L'année suivante, lors de la maternelle, les formes et les fonctions de l'agressivité, les comportements prosociaux ainsi que l'intimidation par les pairs ont été évalués par des questionnaires aux enseignants. Tel qu'attendu, les résultats concernant les formes d'agressivité démontrent un lien positif entre la théorie de l'esprit et l'agressivité indirecte, ce lien varie selon le niveau de comportements prosociaux. La théorie de l'esprit n'est pas reliée à l'agressivité physique, alors que les comportements prosociaux sont négativement reliés à celle-ci. Les résultats concernant les fonctions de l'agressivité montrent que la théorie de l'esprit est négativement reliée à l'agressivité réactive mais seulement pour les enfants victimes d'intimidation par leurs pairs. Un lien positif est trouvé entre la théorie de l'esprit et l'agressivité proactive, ce lien varie selon le niveau d'intimidation par les pairs. Ces relations s'appliquent aux garçons et aux filles, et également aux jumeaux et aux enfants à naissance unique. L'ensemble de ces résultats démontrent qu'entre l'âge de cinq et six ans, la théorie de l'esprit joue un rôle dans l'explication des comportements agressifs. Toutefois, ce rôle diffère selon les formes et selon les fonctions de l'agressivité, ce qui appuie l'importance de tenir compte de la multi-dimensionnalité de l'agressivité afin de mieux la comprendre. Elle permet de nuancer l'hypothèse des déficits cognitifs souvent associés à l'agressivité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Comportements agressifs, Théorie de l'esprit, Comportements prosociaux, Intimidation par les pairs.
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L'utilisation des mesures de contrôle auprès des personnes présentant une déficience intellectuelle au Québec

Mérineau-Côté, Julie 01 1900 (has links) (PDF)
Les personnes présentant une déficience intellectuelle (DI) sont plus à risque de manifester des comportements problématiques dû, entre autres, à des déficits de communication, des syndromes génétiques, des problèmes de santé associés avec cette clientèle. Lorsque des personnes présentant une DI manifestent des comportements agressifs, la probabilité qu'elles soient blessées, isolées et qu'elles subissent des interventions plus restrictives est plus élevée. En outre, on observe une augmentation du risque de blessures chez leurs proches, une augmentation du stress des intervenants, ainsi qu'une augmentation des coûts reliés aux services dont la personne a besoin. On sait, par ailleurs, que des interventions adéquates et planifiées diminuent ces conséquences négatives pour la personne présentant une DI et son entourage. Le premier volet de cette thèse visait à identifier les variables personnelles, comportementales et environnementales reliées à l'utilisation des mesures de contrôle auprès des personnes présentant une déficience intellectuelle (DI) et manifestant des comportements agressifs. Pour ce faire, des questionnaires ont été envoyés dans les centres de réadaptation en déficience intellectuelle et trouble envahissant du développement (CRDITED) au Québec. Des données concernant 81 adultes présentant une DI et manifestant des comportements agressifs ont été obtenues. Les résultats révèlent que 63 % des participants ont vécu une mesure de contrôle dans les trois derniers mois. Plus précisément, 44,4 % ont subi une mesure d'isolement, 42 % une contention physique et 27,2 % une contention mécanique. De plus, le mode de communication, la prise d'anxiolytiques, la sévérité des comportements agressifs, la présence d'une analyse fonctionnelle au dossier ainsi que le fait d'avoir un intervenant ayant moins d'années d'expérience auprès de la clientèle se sont avérés des prédicteurs de l'utilisation d'une mesure de contrôle auprès des participants. Le second volet de cette thèse visait à documenter les perceptions des personnes présentant une DI et des intervenants envers l'utilisation des mesures de contrôle. Pour ce faire des entrevues ont été effectuées auprès de huit personnes présentant une DI et huit intervenants ayant participé au premier volet de cette thèse et ayant reçu ou appliqué une mesure de contrôle dans le dernier mois. Les entrevues portaient sur leur compréhension des mesures de contrôle, l'impact sur la relation, les émotions ressenties lors des interventions ainsi que les interventions alternatives possibles. Les résultats révèlent que les participants présentant une DI ainsi que les intervenants vivent beaucoup d'émotions négatives en lien avec les mesures de contrôle. Néanmoins, la majorité des participants semblent comprendre le but des mesures de contrôle et ont été en mesure d'identifier des interventions alternatives. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : déficience intellectuelle, comportements agressifs, mesures de contrôle, contention, isolement.
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Modulateurs, médiateurs et effets à court et long terme des jeux vidéos violents sur les conduites agressives / Video games and violence : experiments on the short and long term effects of violent video games on aggressive cognition and behavior

Hasan, Youssef 08 December 2012 (has links)
Les jeux vidéo violents sont considérés comme un facteur favorisant les violences. Un consensus relativement large est aujourd'hui partagé par une majorité des chercheurs. Une nouvelle génération de travaux doit désormais travailler à déterminer 1. s'il existe des profils plus exposés de joueurs 2. par quels mécanismes causaux les jeux violents augmentent les conduites d'agression. A travers 6 études comprenant une recherche transversale et cinq recherches expérimentales, nous apportons un éclairage nouveau concernant les modulateurs et les médiateurs des effets des jeux vidéo violents sur l'agression humaine. / Violent video games are considered as a risk factor for violence. A fairly broad consensus today is shared among the majority of researchers. A new generation of research must now work to determine 1. if there are more at risk player profiles 2. causal mechanisms by which violent video games increase aggressive behavior. Through six studies including a cross-sectional research and five experimental research studies, we provide a new perspective on the mediators and moderators of violent video game effects on human aggression.
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Le rôle médiateur du biais d’attribution d’intention hostile dans la relation entre l’agressivité et la personnalité antisociale : une étude des potentiels reliés aux évènements

Ursulet, Adriana 08 1900 (has links)
Tous les jours, dans le monde, des comportements agressifs sont commis à l’égard d’individus, causant des préjudices physiques, psychologiques et financiers. En réponse à une provocation, ces agressions sont dites réactives et peuvent être alimentées par des biais cognitifs d’attribution d’intention hostile et des styles de personnalité antisociale. Comblant un trou dans la littérature scientifique, cette étude a pour but d’évaluer le biais d’attribution d’intention hostile ainsi que son rôle dans la relation entre la personnalité antisociale et l’agressivité réactive. Dans cette perspective, les participants étaient invités à répondre à des questionnaires évaluant la personnalité, les processus cognitifs et l’agressivité. Puis, pendant l’enregistrement de leur activité cérébrale, ils devaient lire des scénarios d’interactions sociales et attribuer une intention aux comportements décrits comme ambigus et provocateurs. Nous avons analysé la N400, une composante de potentiels reliés aux évènements, associée à la présentation d’intentions inattendues hostiles ou non hostiles après chaque scénario. Des analyses de corrélations de Pearson et de régressions linéaires multiples ont été réalisées pour examiner la validité de notre modèle de médiation. Les résultats montrent que la N400 est plus forte lors de la présentation d’intention non hostile inattendue que lors de la présentation d’intention hostile inattendue dans les régions centropariétales. La personnalité antisociale et la violation des attentes hostiles étaient reliées positivement à l’agressivité réactive. La personnalité antisociale prédisait l’agressivité réactive même à l’ajout de la violation des attentes hostile (Z = .30, p = .76) ou de la violation des attentes non hostiles (Z = -.32, p = .75) comme médiateur. En somme, le rôle médiateur du biais d’attribution d’intention n’est pas confirmé et d’autres études sont nécessaires pour mieux comprendre le lien entre la personnalité antisociale et l’agressivité réactive. / Every day, around the world, aggressive behaviors are committed against individuals, causing physical, psychological and financial harm. In response to provocation, these assaults are said to be reactive and can be fuelled by cognitive biases of attributing hostile intent and antisocial personality styles. Filling a gap in the scientific literature, the purpose of this study is to evaluate hostile intent bias and its role in the relationship between antisocial personality and reactive aggression. To this end, participants were asked to complete questionnaires assessing personality, cognitive processes and aggression. Then, while recording their brain activity, they were asked to read scenarios of social interactions and to attribute intent to behaviors described as ambiguous and provocative. We analyzed the N400, an event-related potential component associated with the presentation of unexpected hostile or non-hostile intentions after each scenario. Pearson correlation and multiple linear regression analyses were performed to examine the validity of our mediation model. The results show that the N400 is stronger in the presentation of unexpected non-hostile intent than in the presentation of unexpected hostile intent in the centro-parietal regions. Antisocial personality and violation of hostile expectations were positively related to reactive aggression. Antisocial personality predicted reactive aggression even with the addition of hostile expectation violation (Z = .30, p = .76) or non-hostile expectation violation (Z = -.32, p = .75) as a mediator. In sum, the mediating role of intention attribution bias is unconfirmed and further studies are needed to better understand the link between antisocial personality and reactive aggression.

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