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Les enjeux de l'entrepreneurship social : le cas de Cooperative Coffees, une entreprise du commerce équitable au Nord

Hervieux, Chantal 04 1900 (has links) (PDF)
Le but de notre recherche est d'analyser la gestion de l'entrepreneurship social afin d'en ressortir les défis et enjeux apportés par l'union de deux mondes opposés, deux mondes distingués par Boltanski et Thévenot (1991) et entre lesquels ils ne voient pas de compromis possibles. Il s'agit d'analyser les tensions entre ces deux mondes dans le contexte de l'entrepreneurship social. La définition de l'entrepreneurship social est encore en cours d'élaboration (Zahra et al., 2006) et l'étude de cas que nous présentons contribue au développement de ce concept, que nous comparerons aussi à ceux d'économie sociale et de commerce équitable. Le cas étudié est celui de l'entreprise Cooperative Coffees. La collecte de données s'est faite par observation participante, entrevues et analyse documentaire, suivant les principes de la méthode ethnographique. L'analyse des enjeux de gestion a été effectuée par la méthode inductive à l'aide du logiciel Atlas ti, et est complétée par une analyse stratégique, utilisant le modèle de chaîne de valeur ajoutée (Porter, 1985). Notre recherche nous amène à proposer une définition hiérarchisée de l'entrepreneurship social. En outre, nous constatons que, dans son ensemble, le mouvement du commerce équitable est une initiative d'entrepreneurship social de type ingénieur social schumpetérien (Schumpetarian social engineer) (Zahra et al., 2006) mais que les organisations qui constituent ce mouvement correspondent à divers types d'entrepreneurship social. Les résultats nous amènent à questionner la conception de Boltanski et Thévenot (1991) selon laquelle il n'y a pas de compromis possibles entre les cités, notamment entre le monde marchand et le monde civique. Au contraire, dans le cas étudié, le compromis serait permanent mais le consensus sur le type de compromis à privilégier, lui, semble impossible. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Entrepreneurship social, commerce équitable, économie sociale, développement durable, chaîne de valeurs
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Articuler autogestion, agroécologie et territoire. Une analyse des organisations de coopération agricole au stade de la production en Belgique

Plateau, Lou 31 August 2021 (has links) (PDF)
La thèse porte sur les organisations de coopération agricole au stade de la production (OCAP) en Belgique. Elle s’inscrit dans le champ de l’économie institutionnelle, de l’économie sociale et de l’économie politique agraire. À partir d’une enquête empirique, la recherche s’efforce d’étayer la thèse de la complexité du fonctionnement interne des OCAP en Belgique étant donné la multiplicité des objectifs poursuivis par leurs membres et la nature des relations sociales dans lesquelles sont insérées ces structures coopératives de production agricole. En tant qu’objet d’étude, les OCAP sont définies comme les formes volontaires de coopération qui portent sur les processus biologiques de la culture des plantes et de l'élevage des animaux. Ces arrangements institutionnels sont caractérisés par la construction d'un ensemble de règles collectives qui organisent la mise en commun de ressources et d’activités et par la négociation entre associés des critères de répartition des résultats monétaires et non monétaires issus du travail. Les OCAP se distinguent des coopératives agricoles largement développées depuis le 19e siècle en Europe de l’Ouest pour offrir des services en amont ou en aval de la production. Ces coopératives de services ont été constituées pour faciliter l’intégration verticale sur les marchés d’exploitations indépendantes tandis que les OCAP, en intervenant au stade de la production, organisent la coopération horizontale entre agriculteurs associés.Les OCAP sont relativement peu développées en Europe et ailleurs dans le monde. Pourtant, les arguments pour coopérer au stade de la production agricole sont multiples et articulent des motivations d’ordre économique, social, politique, écologique et idéologique. Elles relèvent notamment de la volonté d’accéder aux ressources productives, de bénéficier d’économies d’échelle, d’améliorer les conditions de travail ou de renforcer les interdépendances des exploitations avec leur environnement biophysique et socioéconomique. Plusieurs raisons peuvent toutefois expliquer le fait que les OCAP sont peu répandues, comme l’attachement des agriculteurs à leur terre ou l’apparition de déséconomies d’échelle à partir d’un seuil de dimension relativement bas, liées aux coûts de déplacement des travailleurs et du matériel et aux coûts de coordination du travail. Malgré ces difficultés, depuis les années 2000 en Belgique, de nouvelles initiatives coopératives au stade de la production agricole sont portées par des néo-agriculteurs et coexistent avec les autres types d’exploitations agricoles. Notre recherche interroge en particulier la diversité des pratiques organisationnelles déployées au sein des OCAP à travers l’analyse des conditions sociales de production, des mécanismes qui permettent d’articuler la multiplicité des objectifs poursuivis et des processus de démocratisation de l’économie rurale. Pour cela, nous avons mené trois enquêtes empiriques complémentaires à partir d’une combinaison de méthodes de recherche qualitative. La première permet de caractériser la diversité organisationnelle des OCAP par la construction d’une typologie empirique menée sur la base d’un échantillon de 31 organisations. Trois variables dichotomiques définissent les types d’OCAP :la mise en commun du travail de la terre, le contrôle de la production et l’étendue de la coopération. L’analyse des conditions sociales de production dans chacun des types procède ensuite à l’examen des formes d’accès au foncier et au capital d’exploitation, des modes de prise de décision, des conditions de travail et des modalités de répartition des résultats produits. Cette première étude met finalement en évidence les tensions qui caractérisent la nature des relations que les agriculteurs nouent entre eux et avec d’autres catégories d’acteurs. La deuxième enquête empirique investigue les mécanismes par lesquels les membres des structures intégrales de coopération agricole, dont la particularité est d’organiser en commun le travail de la terre selon des principes agroécologiques, parviennent à construire une cohérence interne à leur organisation étant donné la multiplicité des objectifs qu’ils poursuivent. À travers une analyse comparative de dix organisations, les structures coopératives de production agroécologique sont alors étudiées à travers le prisme des organisations hybrides car, au-delà de la logique commerciale, elles combinent des demandes contradictoires issues de leur engagement dans des logiques d’autogestion, d’agroécologie et d’ancrage territorial. Après avoir défini les propriétés de ces logiques institutionnelles, l’analyse met en évidence les tensions paradoxales qui découlent de leur combinaison et les réponses organisationnelles mises en œuvre pour poursuivre dans la durée les multiples rationalités engagées. La troisième analyse consiste en une monographie d’une OCAP dont la singularité est de répartir le contrôle de la production agroécologique entre agriculteurs et citoyens. L’analyse vise à préciser la notion de démocratie économique à partir des principes qu’elle sous-tend et des principales praxis démocratiques mises en œuvre par les acteurs pour réguler leurs activités économiques. En particulier, nous avons cherché à comprendre les contradictions des pratiques organisationnelles avec les principes de démocratie économique et avec certains fondements du mouvement coopératif, ainsi que les tensions internes qui en résultent. Ce travail nous permet finalement d’appréhender dans une perspective critique et nuancée la transformation du rôle des citoyens dans les activités économiques et la diversification contemporaine des formes coopératives dans le secteur agricole et alimentaire induites par l’émergence d’initiatives aux multiples parties prenantes. / This thesis focuses on agricultural production cooperatives (APCs) in Belgium. It is framed within the fields of institutional economics, social economics, and agrarian political economy. Based on qualitative empirical research, this work seeks to untangle the thesis of the complexity of the internal functioning of APCs in Belgium, given the multiplicity of objectives pursued by their members, and the nature of the social relations in which these agricultural production cooperatives are embedded. APCs are defined here as voluntary forms of cooperation that deal with the biological processes of cropping plants and rearing animals. These voluntary arrangements are premised upon the construction of a set of collective rules that organize the pooling of resources and activities, as well as the negotiation between associates of the criteria for redistribution of monetary and non-monetary working outcomes. APCs are different from the agricultural cooperatives that, since the 19th century, have developed widely in Western Europe to offer upstream or downstream production services. The latter were established to facilitate the vertical integration of independent farms into markets. Instead, APCs, by intervening at the production stage, organize horizontal cooperation between associated farmers.APCs are relatively undeveloped in Europe and elsewhere in the world. However, incentives for cooperating at the agricultural production stage are multiple, and articulate economic, social, political, ecological, and ideological motivations. Such motivations relate to the desire to access productive resources, to benefit from economies of scale, to improve working conditions, or to strengthen the interdependence of farms with their biophysical and socioeconomic environment. Notwithstanding this, various elements may explain the limited presence of APCs such as farmers' attachment to the land or the appearance of diseconomies of scale from low dimension thresholds, linked to the costs of moving workers and equipment and the costs of coordinating work. Despite these difficulties, in Belgium, from the 2000s, new initiatives of agricultural production cooperation have been created by neo-farmers, and coexist with other social types of farms.Our research specifically examines the diversity of organizational practices implemented within APCs through the analysis of the social conditions of production, the mechanisms that allow the combination of the multiple objectives pursued and the processes of democratization of the rural economy. To do this, we conducted three complementary empirical analyses using a combination of qualitative research methods. The first analysis allows us to characterize the organizational diversity of APCs by constructing an empirical typology based on a sample of 31 organizations. Three dichotomous variables define the types of APCs: the pooling of labour on the land, the control of production, and the extent of cooperation. From the analysis of the social conditions of production in each type of APCs, it then proceeds to examine the forms of access to land and capital, the modes of decision-making, the working conditions, and the modalities of outcomes distribution.The second empirical study investigates the mechanisms by which members of the integral structures of agricultural cooperation, whose peculiarity is to organize farming labour collectively according to agroecological principles, manage to build an internal coherence within their organization given the multiple objectives they pursue. Through a comparative analysis of ten organizations, agroecological production cooperatives are studied through the prism of hybrid organizations, as they combine contradictory demands stemming from their commitment to logics of self-management, agroecology, and territorial embeddedness. After defining the properties of these institutional logics, the analysis reveals the paradoxical tensions that arise from the combination and the organisational responses adopted to pursue this multiplicity of rationalities on the long run. The third empirical analysis consists of a single case study on one type of APC, whose singularity is to allocate the control of production between farmers and citizens. Through an in-depth study of a citizen agroecological production cooperative, the analysis aims to clarify the notion of economic democracy by looking at its underpinning principles, and at the main democratic praxis that actors implement to regulate their economic activities. In particular, we unveil the internal contradictions that emerge from the organizational practices with the principles of economic democracy and certain foundations of the cooperative movement. This work finally allows us to grasp, through the adoption of a critical and nuanced perspective, the transformation of the citizen's role in economic activities, and the contemporary diversification of cooperative forms propelled by the emergence of multi-stakeholder initiatives in the agricultural sector. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Régime juridique des coopératives agricoles françaises et brésiliennes : contrastes et convergences / The juridic system in the Brazilian and French agricultural co-operative societies : contrasts and convergences

Ferrazza, Regel Antônio 14 September 2012 (has links)
Cette thèse analyse le régime juridique des coopératives brésiliennes et des coopératives françaises à partir de leur principe plus remarquable: la double qualité d’associé et d’usager de la société coopérative. Elle vérifie la modalité selon laquelle sont réalisés l’engagement sociétaire et l’engagement de coopération dans les deux pays, en présentant les contrastes et les convergences entre les deux systèmes juridiques, ayant comme objectif contribuer à la modernisation du droit coopératif français et brésilien. On remarque les nouvelles modalités de renforcement du capital, tel comme réalisées en France et la notion d’acte coopératif brésilien, inexistant en France. L’adoption du modèle français de contrat de coopération, est présentée comme une alternative pour le système brésilien, dans l’objectif de garantir l’efficacité des engagements opérationnels réalisés par la coopérative et par le coopérateurs. L’adoption des éléments de l’acte coopératif, tel comme pratiqué au Brésil pourra se révéler comme important mécanisme en France lors du processus de qualification du contrat de coopération. / This paper analysis the juridic system of the Brazilian co-operative societies and the French agricultural co-operative societies, from their most remarkable principle: the twofold quality of both owner and user of the members of these societies. It was verified how the society's engagement and the cooperation engagement is done in both countries, presenting the contrasts and the convergences between the two juridic systems, with the finality to contribute to the modernization of the Brazilian co-operative law system, as well as the French. There were highlighted the new ways of capital reinforcement as the practiced in France and the notion of the Brazilian co-operative act, unknown to France. The adoption of the French model of co-operative contract was suggested as an alternative to the Brazilian system, in a sense of guaranteeing the stability of the operational engagements done to both the co-operative society and the co-operators. As to the acceptance of the elements of the co-operative act, such as the practiced in Brazil, will also be able to be revealed as an important mechanism in France, related to the qualifying process of the co-operational contract.
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Régime juridique des coopératives agricoles françaises et brésiliennes : contrastes et convergences

Ferrazza, Regel Antonio 14 September 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse analyse le régime juridique des coopératives brésiliennes et des coopératives françaises à partir de leur principe plus remarquable: la double qualité d'associé et d'usager de la société coopérative. Elle vérifie la modalité selon laquelle sont réalisés l'engagement sociétaire et l'engagement de coopération dans les deux pays, en présentant les contrastes et les convergences entre les deux systèmes juridiques, ayant comme objectif contribuer à la modernisation du droit coopératif français et brésilien. On remarque les nouvelles modalités de renforcement du capital, tel comme réalisées en France et la notion d'acte coopératif brésilien, inexistant en France. L'adoption du modèle français de contrat de coopération, est présentée comme une alternative pour le système brésilien, dans l'objectif de garantir l'efficacité des engagements opérationnels réalisés par la coopérative et par le coopérateurs. L'adoption des éléments de l'acte coopératif, tel comme pratiqué au Brésil pourra se révéler comme important mécanisme en France lors du processus de qualification du contrat de coopération.
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L'économie sociale au Liban : essai d'analyse et enquête sur l'hybridation des ressources financières des coopératives agricoles / The Social Economy of Lebanon : analysis and Investigation of the Hybridization of the Financial Resources of the Agricultural Cooperatives

Khoury, Bechara 08 June 2011 (has links)
L’économie sociale et solidaire (ESS) constitue un champ d’étude très peu exploré au Liban, où ce secteur est méconnu, alors qu’il est supposé constituer l’axe du développement rural de ce pays. Aussi la problématique centrale de cette thèse consiste-t-elle à élucider comment les coopératives agricoles (CA) réussissent à assurer les moyens financiers nécessaires à leur développement. Il s’agit plus précisément de savoir (1) quels sont les modes de financement informel qui soutiennent la croissance du secteur de l’ESS en milieu agricole et (2) quels sont les modes de financement formel desquels dépend la pérennité de ces coopératives. L’étude de la coopération dans les sociétés civiles, de ses modes de gouvernance originaux, des enjeux sociaux et relationnels inhérents à l’interaction de la coopérative avec son environnement et des problèmes d’accès au financement interne et externe des sociétés de l’ES amène à placer au centre de cette discussion la notion d’hybridation des ressources financières internes et externes, entre la contribution du bénévolat, la cotisation des membres, les subventions publiques, nationales régionales ou locales, et les recettes tirées de l’activité elle-même. Les sociétés de l’ESS connaissent en effet un problème particulier : leur forte dépendance envers leurs parties prenantes. Plus particulièrement, le développement des CA se heurte d’une manière régulière : (1) aux problèmes de coûts de production et de commercialisation, portant préjudice à leur marge de profit, donc sur leur capacité d’autofinancement ; (2) aux difficultés du recours à l’emprunt bancaire, généralement associées à des problèmes de collecte de garanties suffisantes pour couvrir les prêts, plus qu’à celle du coût de cet emprunt. Il s’ensuit que les coopérateurs ont du mal à couvrir leurs besoins en fonds de roulement (court terme), en équipements (moyen terme) et en infrastructures (long terme). Cette hypothèse est assise sur deux approches théoriques complémentaires : (1) la théorie de l’agence, permettant de souligner que l’hybridation des ressources financières provient des rapports entre coopérateurs et autres parties prenantes et de mettre en exergue les effets pernicieux des asymétries informationnelles – donc de l’absence de transparence des finalités des coopératives – sur la confiance des pourvoyeurs de fonds, banques et parties prenantes ; (2) la théorie des droits de propriété, laquelle – en conséquence du transfert de ceux-ci à une tierce partie et de la dispersion du capital dans les mains d’un grand nombre d’actionnaires - met en lumière le risque d’adoption de comportements opportunistes par les dirigeants, voire des coopérateurs. Cependant et à l’aune de l’étude du terrain, il apparaît que cette adoption comportementale dépend moins de la géographie du capital que de l’intention préalable des actionnaires. L’étude empirique réalisée dans la seconde partie de cette thèse met en exergue, par-delà la diversité des types d’hybridation des économies des CA libanaises, la nécessité de dépasser l’approche du financement de ces entreprises selon laquelle celles-ci ne mobiliseraient que des ressources marchandes, comme toute entreprise, et des ressources non-marchandes provenant du secteur public pour compenser le manque de productivité ou le manque de rentabilité. Il est question ici d’élargir les perspectives de recherche (1) à la réalité des marchés sur lequel se positionnent les CA grâce à la mobilisation de leurs réseaux sociaux et (2) aux avantages que ces sociétés peuvent tirer en ce qui a trait à l’amélioration de leur développement en termes de réduction de coûts et d’acquisition de connaissances favorables à leur progrès technique... / The social and cooperative economy of Lebanon has been little studied, and this field is little understood, even though it is considered to be a major factor for the development of the country. Therefore, the main issue in this thesis is finding out how the Lebanese cooperatives, and particularly the agricultural cooperatives, manage to assure the funding necessary for their development. To be more precise, it is a question of discovering (1) what are the more informal ways of financing which underlie the growth of the social and cooperative economy especially where farming is concerned and (2) what are the formal ways of financing on which the cooperatives rely in order to endure. The study of cooperation in civil societies, of its original methods of governance, of the social and relational factors inherent in the interaction of a cooperative with its environment, and of the problems of access to internal and external funding shows that central to this discussion is the notion of hybridization of the internal and external financial resources, involving voluntary contributions, the subscriptions of members, the public, national, regional and local subsidies, and the income gained from the actual activity. The cooperative societies in fact face a particular problem, namely their major dependence on their associates. The development of these cooperatives faces (1) problems of production and marketing costs, cutting down their profit margins and so their ability to finance themselves, and (2) difficulties in obtaining bank loans, generally connected with obtaining sufficient guarantees to cover the loans rather than the actual cost of any loan. It follows that the members of cooperatives have difficulty in covering their needs in short-term funding for equipment (medium term) and infrastructure (long term). This hypothesis is based on two complementary theoretical approaches: (1) the theory of agency, allowing emphasis on the fact that hybridization of financial resources comes from relations between cooperative members and other parties involved and showing up the deleterious effects of informational imbalance – with absence of transparency over the aims of the Cooperatives – on the confidence of the providers of funding, such as banks; (2) the theory of the rights of property, which, because of their transfer to a third party and of the dispersion of capital among numerous shareholders, highlights the risk of the adoption of opportunist behavior by the directors or even by the members of the cooperative. However, with study of the terrain, it appears that adoption of this behavior depends less on the geography of the capital than on the original intention of the shareholders. The empirical study made in the second part of this thesis emphasizes, beyond the diversity of the types of hybridization of the economies of the Lebanese agricultural cooperatives, the need to go beyond the question of the funding of these enterprises, according to which these use only marketing resources, like any enterprise, and the non-market resources coming from the public sector in order to make up for the lack of productivity or rentability. There is question here of widening the research (1) to the reality of the markets on which the Agricultural Cooperatives rely thanks to the use of their social networks, and (2) to the advantages that these societies might gain from improving their chances of development by reduction of costs and acquisition of knowledge favoring technical progress. In fact, the public sector shows itself as a provider of resources, while the Cooperatives fail to involve themselves in a mixture of market and redistributive resources, preferring a more complex hybridization based on four types of economic relationships: the market, redistribution, reciprocity and subventions (NGO)...

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