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Die christlich-soziale Bewegung in Deutschland. Krit. Beitr. z. Frage ihres religiösen u. kulturell-gesellschaftl. Untergrunds, ihrer Idee u. Gesch., ihrer Verdichtung in die Gestalt d. christl. Arbeiterbewegung u. ihrer Stellung im modernen Werdeprozess.

Dockhorn, Wilhelm. January 1928 (has links)
Halle, R.- u. staatswiss. Diss. v. 28. Febr. 1928.
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Economía solidaria, acción colectiva y espacio público en el sur de Brasil

Sarria Icaza, Ana Mercedes 06 May 2008 (has links)
Es posible identificar una importante dinámica de crecimiento y diversificación de experiencias de economía solidaria en los últimos diez años, unido a una creciente actuación de organizaciones gubernamentales y no gubernamentales para la promoción y apoyo de las mismas y a una amplia construcción teórica sobre el asunto Esta tesis analiza los procesos de articulación, organización y movilización de la red de actores y organizaciones de la economía solidaria constituidas en el Estado de Rio Grande do Sul, Brasil, buscando entender en qué medida éstas son generadoras de espacios públicos autónomos, capaces de recrear nuevos espacios de relaciones sociales y económicas y de producir transformaciones más amplias, en diferentes esferas (cultural, social, económica, política) y niveles (local, regional, nacional). Se entiende que, en Brasil, las organizaciones y actores de la economía solidaria desarrollan, por un lado, una acción de crítica pautada en un discurso movilizador orientado a la transformación social y, de otro, una acción de legitimación e institucionalización orientada a la participación en los procesos decisorios y de representación política. El análisis retoma las lógicas de acción que se desprenden de esas relacionas y de los discursos construidos por los actores sociales. El trabajo permite identificar un conjunto de contradicciones y desafíos colocados para la economía solidaria hoy, en tanto que espacio de acción colectiva integrada en los procesos de construcción y ampliación de la democracia, en que no es más posible disociar lo social, lo político y lo económico. / Une importante dynamique de croissance et diversification d’expériences d’économie solidaire se développe dans les dix dernières années, en rapport avec l’action d’organisations gouvernementales et non gouvernementales qui les soutiennent et avec une large construction théorique sur le sujet. Cette thèse fait l’analyse des processus d’articulation, organisation et mobilisation du réseau d’acteurs et organisations de l’économie solidaire constituées dans l’État du Rio Grande do Sul, Brésil, tout en cherchant de comprendre dans quelle mesure ceux-ci permettent de développer des espaces publiques autonomes, capables de renouveler des espaces des relations sociales et économiques et de produire transformations plus larges , dans des différents sphères (culturel, social, économique, politique) et niveaux (local, régional, national). Au Brésil, les organisations et acteurs de l’économie solidaire développent, au même temps, une action de critique basée dans un discours mobilisateur orienté vers la transformation sociale et, d’autre, une action de légitimation et institutionnalisation orientée vers la participation aux processus de décision et de représentation politique. L’analyse reprend les logiques d’action et les discours construits par les acteurs sociaux. Le travail permet d’identifier un ensemble de contradictions et défis pour l’économie solidaire aujourd’hui, en tant que espace d’action collective intégrée aux processus de construction et ampliation de la démocratie, dans lequel il n’est plus possible de dissocier le social, le politique et l’économique.
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Une approche régulationniste des mutations de la configuration institutionnelle française des services à la personne / A Régulationniste Analysis of the Mutations of the French Institutional Configuration of Lifestyle and Home Care Services

Gallois, Florence 08 November 2012 (has links)
La thèse interroge la possibilité d'une régulation unique du secteur des services à la personne tel qu'il a été institutionnellement délimité par le Plan Borloo de 2005. Nous y défendons l'idée que, si le Plan Borloo n'a pas permis de générer un secteur unifié, (au sens que lui donne les approches en termes de régulation sectorielle), les dispositifs visant la construction d'un marché des services à la personne, qu'il a introduit, sont mobilisés à la fois par les nouveaux entrants et par les acteurs historiques du champ, mais de façon non homogène et différente de ce que le Plan anticipait.Il en résulte une situation de double crise (crise des enseignes et crises des associations autorisées) que les conclusions de la thèse permettent d'éclairer. / My thesis tests the existence of a unique sectorial-based regulation for lifestyle and domiciliary care services as it was institutionally delimited and thought by the French Plan Borloo (2005). I defend the idea that the Plan Borloo has not generated a unified sector configuration (as defined by sectorial-based regulation approaches). The Plan Borloo has introduced institutional arrangements that aim to constructing a market for lifestyle and home care services. Theses arrangements are mobilised both by new players and by historical suppliers but non-homogenously and differently than expected by the Plan. The consequence is a double crisis (crisis of the new player “brand names” and crisis of the historical third sector actors) that my conclusion explains.
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Capital social, philanthropie et identité : quelles implications pour l’économie sociale ? / Social capital, philanthropy and identity : Implications for social economy

Sibony, Denis 26 November 2013 (has links)
Comment expliquer les variations du niveau de don dans des pays comparables ? Dans tous les pays industrialisés, la crise économique des années 1980 a favorisé la recherche d'alternatives à l'État providence en incitant les organismes du Tiers secteur à jouer un rôle accru dans un partenariat pour la définition et la mise en œuvre des politiques publiques. Parmi les organisations du Tiers secteur, les fondations philanthropiques offrent un cadre juridique qui permet aux personnes qui le souhaitent de réaliser des actes de générosité en affectant une partie de leur fortune personnelle, sous forme de don, à des fins d'intérêt général. Le don peut être ainsi considéré comme une expression concrète de la coopération entre les citoyens en vue du bien commun. Tous les pays démocratiques essaient d’en favoriser le développement. Les explications classiques de la variation de niveau du don entre pays développés ne prennent pas en considération le don comme un fait social. Nous soutenons que le niveau du don dans une société ne peut être expliqué par la somme des dons individuels qui répondent chacun à des motivations personnelles mais bien par ce qui constitue son substrat social : l’état de la société dont la cohésion est déterminée à la fois par la présence de capital social et la représentation des identités. A la différence du capital humain qui regroupe les compétences, les qualifications et les connaissances des individus, le capital social peut être compris comme « l’ensemble des relations, des réseaux et des normes qui facilitent l’action collective ». Le capital social fait ainsi référence aux relations que les individus établissent entre eux au sein des réseaux sociaux ainsi qu'aux normes de réciprocité qui naissent de ces relations. L’hypothèse du don comme variable dépendante de l’état de cohésion sociale ouvre la voie à cette recherche doctorale axée d’une part sur le niveau de capital social dans les pays économiquement développés et d’autre part, sur la signification du don comme mode de représentation de l’identité. Elle contribue à définir les contours théoriques du capital social en mettant en évidence les liens étroits qui unit ce concept au don et par là, à la construction des identités. Cette analyse de la relation entre don, capital social et identité a des implications directes pour la recherche dans le champ de la société civile. La société civile est présentée sous deux perspectives différentes. La première, de tradition nord-américaine, associe le Tiers secteur à la condition exclusive du « non profit». La seconde perspective, de tradition européenne, retient l’idée d’une économie sociale hybride composée d’entreprises et organisations qui relèvent à la fois des secteurs marchand et non marchand. Ces entreprises et organisations de l’économie sociale sont des structures entremêlant dans leurs actions une pluralité de logiques économiques. En se fondant sur l’analyse de Polanyi sur l’encastrement de l’économie et ses différentes formes d’intégration, associée à la logique maussienne du don, nous tentons d’éclairer la dimension socioéconomique, voire politique des initiatives de l’économie sociale. L’économie sociale peut ainsi être appréhendée comme une « économie du don », comprise comme économie plurielle. Par ailleurs, la Nouvelle sociologie économique propose à la fois une analyse réticulaire de l’économie qui se fonde entre autre sur la présence et la densité des liens interpersonnels et une analyse culturelle de l’économie qui relie les marchés aux valeurs. A partir de là, il devient possible d’appréhender l’économie sociale comme une « économie du capital social », entendu comme facteur organisationnel et générateur de sens. / How to explain variations in the level of donation in comparable countries? In all industrialized countries, the economic crisis of the 1980s encouraged the search for alternatives to the welfare state by encouraging third sector organizations to play a greater role in a partnership for the definition and implementation of public policies.Among Third sector organizations, philanthropic foundations provide a legal framework that allows people who wish to carry out acts of generosity by allocating a part of their personal wealth in the form of gift, for the purpose of general interest. Giving can be considered as a concrete expression of the cooperation between citizens for the common good.All democratic countries try to promote giving. The conventional explanations of the variation in level of gift among developed countries do not consider the gift as a social fact. We argue that the level of giving can't be explained by the sum of individual gifts that each respond to personal motives but by the state of the society whose cohesion is determined to both by the presence of social capital and the representation of identities.Social capital can be understood as " relationships, networks and norms that facilitate collective action." Social capital refers to relations that individuals establish them in social networks and the norms of reciprocity that arise from these relationships.This thesis is focused, first, on the level of social capital in economically developed countries and secondly on the meaning of the gift as a mode of representation of identity. It helps define social capital theory by highlighting the close relationship that unites the concept of the gift and hence the construction of identities.This analysis of the relationship between gift, identity ans social capital has direct implications for research in the field of civil society. Civil society is presented from two different perspectives. The first perspective, in a North American tradition, determines the Third sector to the sole condition of "non profit" sector. The second perspective, in an European tradition, consider social economy with organizations or enterprises within both profit and non-profit sector. These organizations and entreprises mix in their actions a plurality of economic logics.Based on the analysis of Polanyi on the embedding of the economy and its various forms of integration, associated with the Maussian logic of the gift, we try to shed light on the socio-economic dimension, or political dimension, of social economy. Social economy can be seen as a "gift economy", understood as a plural economy.Finally, the New Economic Sociology offers both an analysis of the reticular economy based on the presence and density of interpersonal ties and a cultural analysis of the economy that connects markets to values. It is possible to understand the social economy as a “social capital economy". Social capital is understood as an organizational factor and a meaning.
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Solidarité et charité dans la question sociale : les associations en France et les ONG au Brésil / Solidarity and charity in the social question : associations in France and NGOs in Brazil

Eberspächer-Gumz, Aline Mara 17 December 2010 (has links)
Il est possible d’observer que dans les vingt dernières années une nouvelle catégorie d’organisations s’est renforcée dans les sociétés brésilienne et occidentale. Cette catégorie est née de la force unificatrice de la société civile. La société a perçu qu’en travaillant ensemble, de forme associative, avec la participation du volontaire, on renforce les moyens d’atteindre ses objectifs. Au Brésil, ces organisations sont appelées tiers secteur, étant donné qu’elles n’appartiennent ni au premier secteur (l’État), ni au second (le Marché), elles sont populairement nommées de ONG (organisation non gouvernamentale). Dans la société française, ces organisations sont appelées de l’économie sociale et solidaire. Cet modèle économique est née de l’association d’individus qui ont lutté pour une meilleure qualité de vie.La thèse présente une analyse comparative des caractéristiques des organisations du tiers secteur prenant en considération la réalité européenne, à partir de la France et celle de l’Amérique latine à partir du Brésil, focalisant la théorie, l’action professionnelle et le financement des agents responsables du fonctionnement de ces organisations. La thèse présente ainsi les similitudes et différences à travers d’une analyse comparative entre les organisations françaises et brésiliennes qui s’occupent de la question sociale. Cette analyse permet une réflexion à propôs du rôle du citoyen face aux pouvoirs publics et des réels capacités de transformation sociale engendrées par le tiers secteurs. / It is possible to observe that in the last twenty years a new class of organizations has increased in Brazil and Western societies. This category emerged from the unifying force of the civil society. The civil society has seen that by working together in associations, with voluntary participation, it reinforces the means to achieve its objectives. In Brazil, these organizations are called the third sector, since they do not belong to the first sector (the State) or the second sector (the market); they are named NGOs (Non-Governmental Organizations). In France, these organizations are known as the social economy. This economic model was born from the association of individuals who fought for a better quality of life. This thesis presents a comparative analysis of the characteristics of third sector organizations, taking into consideration the European reality from France and the Latin America reality from Brazil, focusing theory, professional action and funding agents responsible for the operation of these organizations. This thesis presents the similarities and differences through a comparative analysis between the Brazilian and French organizations involved in social issues. This analysis provides a reflection on the role of the citizen and the government discussing the real possibilities of the social transformations engendered by the third sector.
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Capital social, philanthropie et identité : quelles implications pour l'économie sociale ?

Sibony, Denis 26 November 2013 (has links) (PDF)
Comment expliquer les variations du niveau de don dans des pays comparables ? Dans tous les pays industrialisés, la crise économique des années 1980 a favorisé la recherche d'alternatives à l'État providence en incitant les organismes du Tiers secteur à jouer un rôle accru dans un partenariat pour la définition et la mise en œuvre des politiques publiques. Parmi les organisations du Tiers secteur, les fondations philanthropiques offrent un cadre juridique qui permet aux personnes qui le souhaitent de réaliser des actes de générosité en affectant une partie de leur fortune personnelle, sous forme de don, à des fins d'intérêt général. Le don peut être ainsi considéré comme une expression concrète de la coopération entre les citoyens en vue du bien commun. Tous les pays démocratiques essaient d'en favoriser le développement. Les explications classiques de la variation de niveau du don entre pays développés ne prennent pas en considération le don comme un fait social. Nous soutenons que le niveau du don dans une société ne peut être expliqué par la somme des dons individuels qui répondent chacun à des motivations personnelles mais bien par ce qui constitue son substrat social : l'état de la société dont la cohésion est déterminée à la fois par la présence de capital social et la représentation des identités. A la différence du capital humain qui regroupe les compétences, les qualifications et les connaissances des individus, le capital social peut être compris comme " l'ensemble des relations, des réseaux et des normes qui facilitent l'action collective ". Le capital social fait ainsi référence aux relations que les individus établissent entre eux au sein des réseaux sociaux ainsi qu'aux normes de réciprocité qui naissent de ces relations. L'hypothèse du don comme variable dépendante de l'état de cohésion sociale ouvre la voie à cette recherche doctorale axée d'une part sur le niveau de capital social dans les pays économiquement développés et d'autre part, sur la signification du don comme mode de représentation de l'identité. Elle contribue à définir les contours théoriques du capital social en mettant en évidence les liens étroits qui unit ce concept au don et par là, à la construction des identités. Cette analyse de la relation entre don, capital social et identité a des implications directes pour la recherche dans le champ de la société civile. La société civile est présentée sous deux perspectives différentes. La première, de tradition nord-américaine, associe le Tiers secteur à la condition exclusive du " non profit". La seconde perspective, de tradition européenne, retient l'idée d'une économie sociale hybride composée d'entreprises et organisations qui relèvent à la fois des secteurs marchand et non marchand. Ces entreprises et organisations de l'économie sociale sont des structures entremêlant dans leurs actions une pluralité de logiques économiques. En se fondant sur l'analyse de Polanyi sur l'encastrement de l'économie et ses différentes formes d'intégration, associée à la logique maussienne du don, nous tentons d'éclairer la dimension socioéconomique, voire politique des initiatives de l'économie sociale. L'économie sociale peut ainsi être appréhendée comme une " économie du don ", comprise comme économie plurielle. Par ailleurs, la Nouvelle sociologie économique propose à la fois une analyse réticulaire de l'économie qui se fonde entre autre sur la présence et la densité des liens interpersonnels et une analyse culturelle de l'économie qui relie les marchés aux valeurs. A partir de là, il devient possible d'appréhender l'économie sociale comme une " économie du capital social ", entendu comme facteur organisationnel et générateur de sens.
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L’institutionnalisation politique de l’économie sociale et solidaire : l’exemple des régimes intercommunaux de l’ESS dans la région Hauts-de-France / The political institutionalization of the social business : examples of the inter-municipal regimes in the Hauts-de-France

Bouchaert, Michel 16 November 2017 (has links)
L’économie sociale et solidaire est un pan qui représente 10% de l’économie en termes d’emplois et de PIB. C’est un champ composé de structures économiques protéiformes qui s’intègre dans les politiques de développement économique depuis une quinzaine d’années. L’objet de cette thèse est d’interroger les régimes territoriaux de l’économie sociale et solidaire à l’oeuvre dans la construction et la réalisation d’une action publique dédiée au niveau intercommunal : jeux d’acteurs, luttes d’institution, enjeux socio-politiques, interprétations cognitives. L’institutionnalisation politique de l’ESS au niveau intercommunal n’est pas uniforme et admet des réalités très différentes d’un territoire à l’autre. Intégré au sein d’un cabinet de conseil, le chercheur développe une analyse de terrain, concrète qui vise à éclaire les mécanismes à l’oeuvre dans l’institutionnalisation d’une politique publique dont les frontières sontfloues et interprétables. / The social business is a pan which represents 10% of the economy in terms of jobs and GDP. It is a field composed of different economic structures that has been part of economic development policies for the last fifteen years. The aim of this thesis is to examine the territorial regimes of the social and solidarity economy at work in the construction and realization of a public action dedicated to the ntermunicipal level: games of actors, institutional struggles, socio-political issues, cognitive interpretations. The political institutionalization of the social-business at the intermunicipal level is not uniform and recognizes very different realities from one territory to another. Integrated within a consulting firm, the researcher develops a concrete field analysis that aims to illuminate the mechanisms at work in the institutionalization of a public policy whose borders are fuzzy and interpretable.
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Micro-entrepreneurs in Rural Burundi: Innovation and Contestation at the Bottom of the Pyramid

Cieslik, Katarzyna 04 January 2016 (has links)
Present-day development theory and practice highlight the potential of micro-entrepreneurship for poverty reduction in least developed countries. Fostered by the seminal writings of microfinance founder Muhammad Yunus and the bottom-of-the-pyramid propagator Krishnarao Prahalad, the new approach is marked by a stress on participation and sustainability, and the new, market-based development models. With the growing popularity of the new approach there has been an increased demand for research on the efficacy and impact of innovations. What has scarcely been addressed, however, is the legitimacy of the new paradigm within its contexts of application. Since engagement and participation have been made the focal point of the new approach, my research investigates how the innovative, mostly market-based models have been received by the local populations on the ground. This doctoral dissertation is looking up-close at the rural populations of Burundi, describing and explaining their perceptions, behaviors and actions in response to the market-based development innovations: microfinance, rural entrepreneurship and community social enterprise. Do the concepts of entrepreneurship, community engagement and participation find a fertile ground among the poorest rural dwellers of sub-Saharan Africa? Can subsistence farmers be entrepreneurs? How to create social value in the context of extreme resource scarcity? It is investigating these and other questions that guided the subsequent stages of my work. I based my dissertation on extensive field research, conducted periodically over the period of four years in the remote areas of rural Burundi.In the first chapter, I question the applicability of entrepreneurship-based interventions to the socio-cultural context of rural Burundi. Basing my quantitative analysis on a unique cross-section dataset from Burundi of over 900 households, I look into the entrepreneurial livelihood strategies at the near-subsistence level: diversifying crops, processing food for sale, supplementary wage work and non-agricultural employment. I find that the farmers living closer to the subsistence level are indeed less likely to pursue innovative entrepreneurial opportunities, unable to break the poverty cycle and move beyond subsistence agriculture. The paper contributes to the ongoing debate on by analyzing its drivers and inhibitors in the context of a subsistence economy. It questions the idea of alleviating rural poverty through the external promotion of entrepreneurship as it constitutes ‘a denial of the poor’s capacity for agency to bring about social change by themselves on their own terms’.Drawing on these findings, the second chapter focusses on the role of local communities as shareholders of projects. The aim of this paper is to investigate the ways in which the agrarian communities in rural Burundi accommodate the model of a community social enterprise. The project understudy, implemented by the UNICEF Burundi Innovation Lab, builds upon the provision of green energy generators to the village child protection committees in the energy-deficient rural regions of the country. The electricity-producing machines are also a new income source for the groups, transforming them into economically viable community enterprises. Since the revenue earned is to directly support the village orphans’ fund, the communities in question engage in a true post-development venture: they gradually assume the role of the development-provisioning organizations.The third chapter of this work focusses on the complex interaction between the microfinance providers and the population of its clients and potential clients: the rural poor. It draws on the existing research on positive deviance among African communities and explores the social entrepreneurial potential of the rule-breaking practices of microfinance programs’ beneficiaries. Using the storyboard methodology, I examine the strategies employed by the poor in Burundi to bypass institutional rules. My results suggest that transgressive practices and nonconformity of development beneficiaries can indeed be seen as innovative, entrepreneurial initiatives to reform the microfinance system from within, postulating a more participatory mode of MFIs’ organizational governance. The three empirical chapters provide concrete examples illustrating the contested nature of the development process. In the last, theoretical, chapter, I examine how the different conceptualizations of social entrepreneurship have been shaped by the disparate socio-political realities in the North and in the South. I then analyze how the process of constructing academic representation has been influenced by the prevalent public discourses.Since doubling or tripling of the external development finance has not sufficed to bring about systemic change, the assumption that technology, managerial efficacy and the leveraging power of financial markets could be applied to solving the problem of persisting global poverty has a lot of appeal. At the same time, my findings point to the fact that if the ultimate objective of development is broadly defined value creation, the definition of what constitutes value should be negotiated among all the stakeholders. The dissertation makes an important contribution to the understanding of participation, entrepreneurship and community engagement in the context of development studies.I strongly believe that development organizations must have a quality understanding of the social and cultural characteristics of the need or problem they are targeting in order to make productive decisions about the application and scaling of interventions. I very much hope that my work can provide some guidance for their work on the ground. / Doctorat en Sciences économiques et de gestion / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Rôle des réseaux d'acteurs dans la structuration du champ de l'économie sociale et solidaire, dans un contexte de transition / Role of actors networks in the structuring of social and solidarity economy, in the context of transition

Ben Abdallah, Rabeb 16 December 2016 (has links)
L’étude des organisations de l’économie sociale et solidaire est un champ de recherche émergent situé à la croisée des préoccupations des acteurs des réseaux, des pouvoirs publics et du monde académique. Cette recherche doctorale se veut une contribution à l’étude de la structuration de l’ESS, dans un contexte de transition en Tunisie. Elle s‘appuie sur une méthode qualitative combinant deux niveaux d’analyse. Tout d’abord, la construction de ce champ, sous l’angle de ses indicateurs et processus de structuration a été analysée. Ensuite, nous nous sommes intéressés au rôle des réseaux d’acteurs pour enrichir la compréhension de ce processus. La thèse permet de montrer la contribution des pratiques des acteurs à la structuration de l’ESS, dans un contexte d’instabilité institutionnelle. Les résultats accordent une discussion sur le rôle de l’entrepreneur institutionnel dans la construction d’un nouvel ordre institutionnel. Nous montrons également que le lien entre les réseaux et les institutions peut être conceptualisé comme un capital social qui jouerait un rôle déterminant dans la structuration.Mots clés : économie sociale et solidaire, champ organisationnel, isomorphisme, réseau d’acteur, capital social / The study of the social and solidarity economy (SSE) organizations is an emerging field research located across the convergent point for the common concerns of networks actors, public authorities and academic world. This doctoral research is a contribution to the study of the social economy structure in the context of transition in Tunisia. It is based on a qualitative method that combines two levels of analysis. Firstly, we studied the construction of this field, in terms of its indicators and structuring processes. Then, we have moved to study the role of networks actors in order to deeply understand this process. This thesis, leads to highlight the contribution of the practices of actors in the SSE structuring, in the context of institutional instability. Results discuss the role of the institutional entrepreneur in the construction of a new institutional arrangement. We, as well, show that the link between networks and institutions could be conceptualized as a social capital which plays a determinant role in the structuring.Key words: social and solidarity economy, organizational field, network actors, isomorphism, social capital
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Organisation d'une émission obligataire socialement responsable : la perception du gestionnaire d'actifs / Organization of a socially responsible bond issue : the perception of the asset manager

Mayssour, Yasser 17 October 2018 (has links)
L’évolution des nouvelles pratiques de l’investissement socialement responsable ouvre la voie à des modes d’organisation innovants. Un grand marché est né entre l’offre et la demande, de nouvelles « architectures transactionnelles » proposant des émissions obligataires socialement responsables voient le jour. L’objectif étant de créer la liquidité et de contribuer au développement économique et social. L'étude des arrangements organisationnels qui ont abouti à émettre une obligation socialement responsable à destination de la société de gestion se nourrit de deux expériences pionnières. Le contexte organisationnel nous amène à nous interroger sur la place du gérant de fonds dans le financement de l’économie solidaire. La société de gestion de portefeuille, acteur majeur au coeur des modes d’organisations, se positionne entre les émetteurs d’obligations et les investisseurs souhaitant intégrer des critères extra-financiers dans leurs choix de sélection de portefeuille. La problématique de notre travail de recherche s'intéresse à l'étude de l’attractivité des gestionnaires d’actifs face à des mécanismes différenciés d' Economie Sociale et Solidaire. Ainsi, dans le cadre de cette thèse, nous proposons d'étudier la perception du point de vue du gérant de fonds de deux modes d'organisation différents, qui aboutissent à la construction d'un produit qualifié d’ISR dans le sens où il répond aux attentes des investisseurs souhaitant intégrer des dimensions extra-financières dans leurs choix de sélection de produits. Dans cette optique, le gérant de fonds ISR est amené à prendre des décisions quant au choix des produits dans son processus de construction du portefeuille. Il joue un double rôle de constructeur de performance ESG et d'intermédiaire financier et doit faire face à un ensemble de contraintes de gestion mais aussi vis-à-vis de ses partenaires. / The evolution of the new practices of the socially responsible investment opens the way for innovative modes of organization. A big market was born between supply and demand, new "transactional architectures" proposing socially responsible bond issues. The objective being to create the liquidity and to contribute to the economic and social development.The study of the organizational arrangements which succeeded to emit a socially responsible obligation aimed at the management company feeds on two experiences pioneers. The organizational context brings us to wonder about the place of the fund manager in the financing of the united economy. The asset management, at the heart of the organization modes, is positioned between the bond issuer and the investors wishing to integrate extra-financial dimension into their choices of selection of asset.The problem of our research work is interested in the study of the attractiveness of the asset managers in the face of mechanisms differentiated of Voluntary and united Sector.So, within the framework of this thesis, we suggest studying the perception from the point of view of the fund manager of two different modes of organization, which end in the construction of a product qualified as SRI in the sense where he meets the expectations of investors wishing to integrate extra-financial dimensions into their choices of selection of products.From this perspective, the fund manager SRI is brought to make decisions as for the choice of products in its process of construction of the portfolio. He plays double role of construction social performance and financial intermediary and has to face a set of constraints of management but also towards these partners.

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