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Théorie de la concordance perceptuelle dans la satisfaction conjugaleCouturier, Sonia 12 November 2021 (has links)
Le but de cette recherche est d’analyser le niveau de concordance perceptuelle en relation avec la satisfaction conjugale. Les protocoles de 336 couples ont servit à l’analyse de l’Échelle de satisfaction conjugale de Locke-Wallace (Locke et Wallace, 1959) et du “Kansas Marital Satisfaction Scale” (Shumm, Jurich et Bellman, 1986). Les résultats supportent l’hypothèse de la relation positive entre le niveau de concordance perceptuelle et la satisfaction conjugale. Cependant l’étude n’a pas confirmée un niveau de concordance perceptuelle plus élevé sur certains items du questionnaire de satisfaction conjugale. Les résultats sont discutés en regard des connaissances dans le domaine de la concordance perceptuelle ainsi qu’en regard de la nature du questionnaire de Locke-Wallace (1959).
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L'appariement des styles de motivation et l'évolution de la satisfaction conjugaleAimé, Annie 23 August 2021 (has links)
La présente étude longitudinale vise à vérifier si les membres des couples tendent à présenter des styles de motivation semblables et à observer le lien entre l’appariement des styles motivationnels, la satisfaction conjugale et l’issue de la relation amoureuse chez des couples hétérosexuels francophones. L’échantillon à l’étude est constitué de 226 couples. Un total de 87 couples ont de nouveau complété les questionnaires 36 mois plus tard. Les questionnaires utilises sont l’Inventaire des motivations conjugales et l’Échelle d’ajustement dyadique. Les résultats font état de relations significatives entre la motivation à vivre en couple des femmes et celle des hommes. L’appariement des styles motivationnels des conjoints met en évidence une forte majorité de couples formes d’individus dont les styles de motivation sont semblables et autodétermines. Il ressort aussi des analyses effectuées que les appariements des styles motivationnels et la motivation à vivre en couple représentent des précurseurs de l’issue des relations amoureuses et de l’évolution de la satisfaction conjugale travers le temps.
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Régulation émotionnelle et satisfaction conjugale dans la conceptualisation et le traitement du trouble d'anxiété généraliséeBoily, Leslie-Ann 07 March 2020 (has links)
Le trouble d’anxiété généralisée (TAG) est associé à des difficultés conjugales et de régulation émotionnelle. Le modèle de l’intolérance à l’incertitude (II) et le modèle de la régulation émotionnelle dysfonctionnelle (RÉD) ont démontré leur pouvoir prédicteur des symptômes du TAG et le traitement psychologique basé sur ces modèles est efficace pour traiter ce diagnostic. La combinaison de ces deux modèles est encouragée dans la littérature scientifique, pour une meilleure offre de traitement. Parallèlement, la thérapie cognitivecomportementale (TCC) est largement recommandée pour traiter le TAG. La thèse est constituée de deux articles qui s’intéressent aux modèles de l’II et de la RÉD en lien avec la satisfaction conjugale, la régulation émotionnelle et l’efficacité de la TCC pour le TAG. Le premier article étudie les caractéristiques associées à la satisfaction conjugale, issues des modèles de l’II et de la RÉD. Quarante-huit adultes francophones ont complété une série de questionnaires lors d’une rencontre d’évaluation. Les analyses de corrélation montrent des associations entre un faible niveau de satisfaction conjugale et les difficultés dans la régulation émotionnelle ainsi que dans l’orientation négative face aux problèmes. La présence de réactions impulsives en présence d’émotions négatives (modèle de la RÉD) est un prédicteur significatif de la satisfaction conjugale. Il apparaît pertinent d’évaluer l’orientation face aux problèmes ainsi que la sphère comportementale de la régulation émotionnelle chez l’individu insatisfait de sa relation de couple dans le TAG. Le deuxième article compare l’efficacité d’une TCC basée sur le modèle de l’II à une TCC combinant les modèles de l’II et de la RÉD sur le TAG, la régulation émotionnelle et la satisfaction conjugale. Vingt adultes francophones ont complété le traitement. Les analyses par modèles mixtes ont révélé que les deux thérapies sont efficaces pour traiter le TAG. Les analyses de contrastes ont indiqué que la condition combinée se distingue de la condition basée sur le modèle de l’II, entre le suivi 3 et 6 mois, par une continuité de l’amélioration au plan de la régulation émotionnelle. Le niveau de satisfaction conjugale tend à rester stable aux différents temps de mesure. Il semble pertinent de poursuivre l’étude de la combinaison conceptuelle des modèles de l’II et de la RÉD dans le traitement du TAG. Il apparaît aussi important de mieux comprendre le rôle de la satisfaction conjugale dans la présentation clinique et le traitement du TAG.
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Le rôle du pouvoir conjugal comme variable prédictive du retrait des hommes lors de situations conflictuelles avec leurs conjointesTurgeon, Lyse 18 February 2022 (has links)
Plusieurs études indiquent que les hommes évitent davantage les discussions conjugales conflictuelles que les femmes. L'objectif principal de cette étude consiste à examiner le rôle du pouvoir conjugal comme prédicteur du retrait des hommes. Cent trente-deux couples participent à l'étude. Ils complètent des questionnaires évaluant le retrait, le pouvoir conjugal, l'ajustement conjugal, la satisfaction conjugale, ainsi qu'un questionnaire socio-démographique. L'hypothèse principale est testée à l'aide d'une analyse de régression. Trois variables prédisent, ensemble, 49% du retrait des hommes: l'ajustement conjugal, l'asymétrie dans le pouvoir conjugal des femmes et la durée de vie commune. Le retrait des hommes ne semble donc pas associé à leur pouvoir conjugal. Par ailleurs, les résultats de cette étude suggèrent que les hommes et les femmes diffèrent dans leurs sphères d'influence au sein du couple, que les hommes sont plus satisfaits de leur relation de couple que les femmes et que l'ajustement conjugal des hommes est lié à leur pouvoir conjugal.
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Transmission intergénérationnelle et différenciation systémiqueCôté, Pierre 21 January 2022 (has links)
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Déterminants de satisfaction et de persistance conjugale chez des personnes vivant une première union ou une union ultérieureGiguère, Jeannine 25 March 2021 (has links)
Cette thèse examine des déterminants de satisfaction et de persistance conjugale chez des personnes vivant une première et une seconde union conjugale, dans le but de mieux comprendre la disparité du taux de rupture chez ces deux types d'union. Les résultats d'une première étude montrent des différences dans la contribution de la motivation, de traits de personnalité et du fait d'avoir ou de ne pas avoir d'enfants, à la satisfaction conjugale de chacun des types d'union. Une deuxième étude duplique un modèle américain de persistance conjugale en l'enrichissant d'un second modèle et de variables intermédiaires. Elle apporte une traduction française et une validation de trois instruments de mesure. Les résultats d'analyses de régression hiérarchique permettent la conception de deux modèles de persistance conjugale différents adaptés à chaque type d'union: la persistance selon le degré d'engagement et la persistance selon l'engagement par attraction. L'étude souligne finalement l'effet médiateur de variables dans chacun des modèles.
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Types psychologiques jungiens : stratégies d'adaptation et adaptation conjugaleRicher, Chantal 25 January 2022 (has links)
L'objectif principal de la présente recherche est d'examiner la relation entre la typologie jungienne, au regard de la similitude des préférences typologiques entre les conjoints, et l'adaptation conjugale. Cent dix-neuf couples répartis en deux groupes, couples adaptés (n = 63) et couples mésadaptés (n = 56), ont complété l'indicateur des types psychologiques Myers-Briggs (Myers, 1962), l'Échelle d'ajustement dyadique (Spanier, 1976), l'Évaluation des stratégies d'adaptation (Folkman et al., 1986) et l'Inventaire de désirabilité sociale (Paulhus, 1984). Les résultats, obtenus à partir de trois méthodes de cotation, démontrent, d'une part, qu'aucune relation n'existe entre le nombre de préférences typologiques partagées par les conjoints et l'adaptation conjugale et, d'autre part, que la similitude sur les dimensions extraversion-introversion et pensée-sentiment est davantage associée à l'adaptation conjugale comparativement à la dissemblance. De plus, le choix d'un partenaire semble favorisé par une similitude intermédiaire, laquelle n'est toutefois pas déterminante dans l'adaptation conjugale. Un deuxième objectif portant sur le rôle potentiellement médiateur des stratégies d'adaptation dans la relation entre la typologie jungienne et l'adaptation conjugale est réfuté. Les implications cliniques et méthodologiques de ces résultats sont discutées.
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La stigmatisation basée sur le poids et les comportements alimentaires au sein du coupleTalbot, Marie-Ève 24 January 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 23 janvier 2024) / La stigmatisation liée au poids est un phénomène qui gagne en prévalence ces dernières années, suscitant l'intérêt de plusieurs chercheurs. Cette expérience aversive peut être perpétrée par différents individus, dont le partenaire amoureux, qui serait d'ailleurs l'une des plus fréquentes et intenses sources de stigma quotidien lié au poids (Vartanian & al., 2014). Malgré son importance, l'effet du stigma perpétré par le partenaire amoureux a été peu documenté dans la littérature (Puhl, & Brownell, 2006; Schmidt & al., 2022; Vartanian & al, 2014). La présente étude s'intéresse à la stigmatisation liée au poids perpétrée dans la relation amoureuse et aux processus menant à la compulsion alimentaire des deux partenaires amoureux, via l'effet médiateur des émotions négatives ressenties à l'égard du partenaire sur ce lien. L'étude s'intéresse également à la façon dont ces associations diffèrent selon la présence ou non d'un surpoids ou d'obésité chez la femme. Pour ce faire, 58 couples issus de la population générale ont été recrutés. Deux modèles d'interdépendance acteur-partenaire (APIM; Kenny & al., 2006) ont été réalisés; un regroupant les couples où la femme ne présentent pas de surpoids (n=40; Indice de masse corporelle (IMC; kg/m²) <25) et l'autre regroupant les femmes présentant un surpoids ou de l'obésité (n=18; IMC ≥ 25). Dans son ensemble, les résultats démontrent des patrons d'associations différents entre le stigma et la compulsion alimentaire chez les partenaires amoureux, selon l'absence ou la présence de surpoids ou d'obésité de la femme. Chez les couples où la femme présente un surpoids ou de l'obésité, les résultats révèlent que l'expérience de stigma vécue par la femme est associée à sa compulsion alimentaire et à celle de son conjoint, via les émotions négatives qu'elle vit à l'égard de son partenaire. Dans le modèle où la femme ne présente pas de surpoids, l'expérience de stigma vécue chez la femme n'est pas associée à sa compulsion alimentaire, alors que l'expérience de stigma vécue par l'homme est liée à sa compulsion alimentaire, via les émotions négatives ressenties à l'égard de sa partenaire. Ces résultats font ressortir le processus différencié de la réponse à la stigmatisation au sein des couples selon la présence de surpoids ou d'obésité chez la femme. Ils ajoutent à la littérature existante sur le sujet, en donnant un portait différencié des processus pouvant lier l'expérience de stigma perpétrée quotidiennement dans le couple et la compulsion alimentaire dans un contexte dyadique.
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Appariement des traits de personnalité, satisfaction conjugale et désunionHarvey, Marie-Christine 11 March 2021 (has links)
La présente étude vise à déterminer si les couples se composent d’individus dont les traits de personnalité sont similaires ou complémentaires et à observer la relation entre ces appariements et la satisfaction conjugale. De plus, elle différencie les appariements de traits de personnalité fonctionnels des appariements de traits dysfonctionnels selon des critères théoriques et empiriques (Bégin, Sabourin, Lussier & Wright, 1997). Nous examinons aussi le lien entre ces appariements et la désunion. Un échantillon de 312 couples mariés ou cohabitant a complété l’Inventaire de personnalité NEO-FFI (Costa & McCrae, 1991) et l’Échelle d’ajustement dyadique (Spanier, 1976). Les résultats démontrent que les couples dont les traits de personnalité sont similaires sont plus fréquents que ceux dont les traits sont complémentaires. Les couples similaires ne diffèrent pas des couples complémentaires sur les dimensions de l’ajustement dyadique soit le consensus, l’expression affective, la satisfaction et la cohésion. Par contre, les couples similaires fondés sur des traits de personnalité fonctionnels ont un niveau d’ajustement dyadique plus élevé que les couples similaires basés sur des traits dysfonctionnels. Finalement, le type d’appariement ne prédit pas la désunion.
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Associations longitudinales entre la psychopathie et l'attachement selon une perspective individuelle et dyadiqueRocheleau, Cynthia 02 February 2024 (has links)
La présente étude vise à clarifier les associations entre les traits psychopathiques primaires et secondaires et les dimensions de l'attachement romantique soit l'anxiété d'abandon et l'évitement de l'intimité, au sein d'un échantillon de couples de la communauté. La littérature soutient l'existence d'une relation entre la psychopathie et l'attachement sans toutefois parvenir à un consensus sur la nature de celle-ci. Les études récentes s'entendent sur le fait que le manque d'études longitudinales constitue un obstacle important en ce sens. C'est pourquoi la présente étude utilise un devis longitudinal pour investiguer, d'une part, comment les scores de psychopathie et d'attachement s'inter-influencent chez un même individu (effet acteur) et, d'autre part, comment les scores de psychopathie et d'attachement d'une personne peuvent influencer les scores de son partenaire (effet partenaire). L'échantillon est composé de 110 couples, soit 220 participants, et la moyenne d'âge est de 31,88 ans. Les traits psychopathiques ont été mesurés avec la version française de la Levenson's Self-Report Psychopathy Scale, tandis que la version française du Experiences in Close Relationships scale a servi à mesurer l'attachement. Les associations longitudinales acteur-partenaire entre la psychopathie et l'attachement ont été calculées à l'aide de deux modèles d'analyse acheminatoire d'interdépendance acteur-partenaire (APIM). Des effets acteurs marginalement significatifs de taille moyennement faible ont été obtenus entre les scores initiaux d'anxiété d'attachement et les scores de psychopathie obtenus un an plus tard. Quant aux scores initiaux de psychopathie, ceux-ci présentaient des associations acteurs significatives moyennement faibles avec les scores d'anxiété d'attachement obtenus un an plus tard, mais uniquement chez les hommes. Aucun effet partenaire n'a été observé dans les modèles. Il y avait un effet modérateur du sexe sur les associations dans les deux modèles. La relation positive observée entre l'anxiété et la psychopathie primaire chez les femmes, en opposition à la relation négative entre la psychopathie primaire et l'anxiété chez les hommes, souligne l'importance de s'intéresser davantage aux différences de sexe en ce qui a trait à la psychopathie. En outre, les résultats obtenus soulèvent la possibilité que des interventions visant à réduire l'anxiété d'abandon pourraient permettre de traiter les traits psychopathiques présents chez des individus relativement sains. Ces données vont dans le sens du concept de vulnerable dark triad et concordent également avec plusieurs données cliniques intéressantes concernant les approches basées sur la mentalisation.
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