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L’esthétique populaire de l’habitat à Tunis / Popular aesthetics of urban dwellings in Tunis

Khaldi, Leila 09 November 2018 (has links)
La fabrication populaire des habitations et de leur aspect extérieur en particulier font l’objet de discrédit de la part des groupes dominants de la société. Considérée comme illégitime car produite en marge des procès de production officiels et architecturaux, l’esthétique vernaculaire actuelle des habitations populaires constitue pourtant la majeure partie du paysage urbain tunisois. Ce travail se veut une modeste contribution à la réhabilitation symbolique de cette fabrication et de son esthétique en particulier. L’aspect des façades telles qu’elles se présentent à la vue des passants à partir de l’espace public nous a conduite, en tant qu’architecte, à nous questionner au départ sur la façon de faire des habitants constructeurs pour fabriquer une esthétique sur la façade de leur habitation, tout en cherchant à nous enquérir de l’existence ou non d’une conscience de l’image ainsi renvoyée d’eux-mêmes à l’espace urbain. Les nombreux échanges menés avec nos interlocuteurs durant les enquêtes de terrain et l’analyse des données recueillies nous ont progressivement convaincue que les modalités de fabrication esthétique du côté habitant se basaient moins sur des considérations formelles que pratiques, ainsi que d’une considération grandissante de l’image de l’habitation telle qu’elle est renvoyée à l’espace public. / The popular construction of dwellings and their appearance in particular are discredited by the dominant groups in society. Considered as illegitimate as it is produced on the margins of official and architectural production processes, the current vernacular aesthetic of popular dwellings however constitutes a major part of the Tunisian urban landscape. This work is a modest contribution to the symbolic rehabilitation of this production and its aesthetics in particular. The façades as they appear to bystanders from the public space has led me, as an architect, to initially question how the inhabitant builders proceed to create an aesthetic on the facade of their dwelling, while seeking to inquire about the existence or not of an awareness of the image thus returned to the urban space. The numerous consultations with our interlocutors during the field surveys and the analysis of the collected data gradually convinced us that the methods of aesthetic fabrication by the inhabitant were based less on formal than practical considerations, as well as a growing awareness of the image of the dwelling as it is sent back to the public space.
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Infographie, images de synthèse et patrimoine monumental : espace de représentation, espace de médiation / Computer graphics, 3D models and monumental heritage : space of representation, space of mediation

Bideran, Jessica de 15 June 2012 (has links)
La présente thèse pose la question de l’usage des techniques infographiques et images de synthèse pour représenter les vestiges du passé et plus exactement le patrimoine archéologique et architectural. Cette réflexion est bâtie autour d’une approche multiple. Les dispositifs infographiques appartenant, en effet, à l’ensemble des inventions médiatiques et culturelles nées dans la société d’après-guerre, notre étude se veut profondément transdisciplinaire, empruntant des théories à l’Histoire de l’art, l’Archéologie et les Sciences de l’Information et de la Communication. Le parcours suivi consiste à sortir de la dimension purement technicienne afin d’analyser ces dispositifs comme des espaces culturels de représentation, au sein d’une communauté scientifique (les « spécialistes ») et à destination du grand public (les « néophytes »). La figuration du patrimoine monumental à l’aide des outils infographiques n’est assurément pas apparue spontanément en tant que telle du jour au lendemain, que ce soit dans la sphère publique ou dans la sphère plus restreinte de la communauté des chercheurs. Si ce phénomène est évidemment intimement corrélé à l’évolution du secteur informatique, il serait bien trop simpliste de le considérer comme seulement consécutif de cette révolution technologique. En effet, des transformations des espaces médiatiques et scientifiques se jouent parallèlement. La conservation des monuments historiques et sites archéologiques, leur inscription dans l’espace public ou leur mise en exposition suscitent par conséquent débats et controverses au sein de la sphère des chercheurs et des institutionnels. Ces sujets interpellent plus généralement le concept de patrimoine, autant pour des raisons idéologiques qu’historiques. Il s’agit donc de déceler à travers cette étude les éléments socioculturels qui ont engendré l’émergence et le développement de ces pratiques à la fois graphiques, informatiques et scientifiques. Ainsi défini, le contexte nous donne ensuite accès à l’analyse des usages et des appropriations de ces outils par les différents acteurs de la sphère patrimoniale. Il convient enfin de s’attarder sur la matérialité de ces images et de mettre en évidence les espaces de médiation que créent ces dispositifs. En définitive, il semble que ce que nous donnent à voir ces nouvelles représentations, c'est une hybridation des pratiques de communication et des codes signifiants entre culture « savante » et culture « populaire ». / This thesis raises the issue of the use of infographic techniques and synthetic imagery to represent vestiges of the past, in particular archaeological and architectural heritage. Our approach is multidisciplinary. Since infographic systems belong to the category of media-related and cultural inventions that have come into existence since World War II, our study aims to be comprehensive, drawing on Art History, Archaeology, Information and Communications Technology. Our intention is to look beyond the purely technical dimension and to analyse these systems as cultural spaces of representation, within the scientific community (“specialists”) and for the general public (“neophytes”). Representation of built heritage using infographic tools has of course not sprung up spontaneously overnight, whether in the public sphere or in the more restricted sphere of the research community. Although this phenomenon is of course closely correlated with the development of the IT sector, it would be simplistic to regard it only as a consequence of this technological revolution. Indeed, changes in the media and scientific fields have gone hand in hand. The conservation of historic monuments and archaeological sites, their listing as being of public interest and management for exhibition purposes, consequently gives rise to debate and controversy in both the scientific-research and institutional spheres. More generally, these matters raise the issue of “heritage”, as much for ideological as for historical reasons. The purpose, then, of this study is to identify the social and cultural factors that have led to the emergence and development of these practices, which involve a combination of graphics, information technology and scientific research. Thus defined, the context invites us to analyse the ways in which these tools have been used and appropriated by different players in the heritage industry. Finally, we need to consider the material aspect of these images and highlight the areas of mediation which these systems create. In conclusion, it would seem that these new modes of representation exemplify a hybridisation of communication practises and codes of meaning resulting from the mixing of “scientific” and “popular” culture.
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Les styles thématiques locaux : l'interprétation du réel par les physiciens selon leur culture : une étude comparative des physiciens indiens et français autour de l'interprétation de la mécanique quantique / Local thematic styles : physicists’ culture and their interpretation of reality : a comparative study of Indian and French physicists around the interpretation of quantum mechanics

Rabourdin, Sabine 12 December 2016 (has links)
L'objectif de cette thèse est de comprendre l'influence de la culture des physiciens sur leurs représentations mentales profondes du réel. Ces représentations, appelées themata, sont des options ou des présupposés philosophiques : déterminisme, réductionnisme, objectivité, etc. Sont-elles partagées par les scientifiques, au-delà de leurs spécificités culturelles géographiques, reflettant ainsi les valeurs partagées de la science ? Autrement dit, la science est-elle vraiment universelle ? Ou bien la culture locale des scientifiques exerce-t-elle une influence sur leurs représentations du réel dans le cadre de leur travail scientifique ? Nous avons comparé plus de soixante-dix physiciens indiens et français, au sujet de leur représentation du réel, en particulier au sujet de la physique quantique.Les résultats de notre recherche montrent qu'il existe des différences entre certains themata des physiciens indiens et français. Nous avons en particulier observé que les physiciens indiens apparaissent plus déterministes que les physiciens français ; ils sont plus attachés à l'appréhension discrète et non continue de la matière ; ils accordent un rôle plus important au caractère subjectif de la connaissance c'est à dire à l'observateur, ils ont une approche plus systémique des objets et phénomènes physiques et ils conçoivent un ordre sous-jacent aux phénomènes, ce qui est beaucoup moins le cas pour les physiciens français. A l'issue de notre recherche, nous estimons que les physiciens indiens et français adhèrent à des themata différents. Nous pouvons donc parler de spécificités locales (ou nationales) pour les themata, c'est-à-dire de « styles thématiques locaux » (STL), un concept que nous développons spécifiquement pour cette recherche. Nous observons par ailleurs, que dans le cas de la physique quantique, ces « styles thématiques locaux » semblent influencer les choix de représentation et d'interprétation de la théorie quantique / This thesis examines the influence of the cultural background of physicists on their deep mental representations of reality. These representations, called themata, are philosophical presuppositions: determinism, reductionism, objectivity, etc. Are scientist' themata independent of their cultural backgrounds, reflecting instead the shared values of science? Is science universal? Does the scientific culture influences their representations of reality in the context of their scientific work? We compare the themata of seventy Indian and French physicists, with a focus on their interpretation of quantum physics.The results of our research suggest that there are differences between Indian and French physicists with respect to certain themata. In particular, we observe that Indian physicists appear more deterministic than their French counterparts and they are more attached to a discrete rather thana continuous conception of matter. Indian physicists give a greater role to the subjective nature of knowledge (the observer), they have a more systemic approach to physical objects and phenomena, and they have a preference for an order underlying the phenomena. If Indian and French physicists adhere to different themata this justifies talking about specific local (or national) styles for themata, that is to say, "local thematic styles" (STL), a concept that we have developed specifically for this research. We also note that in the case of quantum physics these "local thematic styles" seem to influence scientists' choice of representation and interpretation of quantum theory
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Infographie, images de synthèse et patrimoine monumental : espace de représentation, espace de médiation

Fèvres, Jessica 15 June 2012 (has links) (PDF)
La présente thèse pose la question de l'usage des techniques infographiques et images de synthèse pour représenter les vestiges du passé et plus exactement le patrimoine archéologique et architectural. Cette réflexion est bâtie autour d'une approche multiple. Les dispositifs infographiques appartenant, en effet, à l'ensemble des inventions médiatiques et culturelles nées dans la société d'après-guerre, notre étude se veut profondément transdisciplinaire, empruntant des théories à l'Histoire de l'art, l'Archéologie et les Sciences de l'Information et de la Communication. Le parcours suivi consiste à sortir de la dimension purement technicienne afin d'analyser ces dispositifs comme des espaces culturels de représentation, au sein d'une communauté scientifique (les " spécialistes ") et à destination du grand public (les " néophytes "). La figuration du patrimoine monumental à l'aide des outils infographiques n'est assurément pas apparue spontanément en tant que telle du jour au lendemain, que ce soit dans la sphère publique ou dans la sphère plus restreinte de la communauté des chercheurs. Si ce phénomène est évidemment intimement corrélé à l'évolution du secteur informatique, il serait bien trop simpliste de le considérer comme seulement consécutif de cette révolution technologique. En effet, des transformations des espaces médiatiques et scientifiques se jouent parallèlement. La conservation des monuments historiques et sites archéologiques, leur inscription dans l'espace public ou leur mise en exposition suscitent par conséquent débats et controverses au sein de la sphère des chercheurs et des institutionnels. Ces sujets interpellent plus généralement le concept de patrimoine, autant pour des raisons idéologiques qu'historiques. Il s'agit donc de déceler à travers cette étude les éléments socioculturels qui ont engendré l'émergence et le développement de ces pratiques à la fois graphiques, informatiques et scientifiques. Ainsi défini, le contexte nous donne ensuite accès à l'analyse des usages et des appropriations de ces outils par les différents acteurs de la sphère patrimoniale. Il convient enfin de s'attarder sur la matérialité de ces images et de mettre en évidence les espaces de médiation que créent ces dispositifs. En définitive, il semble que ce que nous donnent à voir ces nouvelles représentations, c'est une hybridation des pratiques de communication et des codes signifiants entre culture " savante " et culture " populaire ".

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