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Relations familiales et incarcération : défis et contradictions

Lalonde, Ninon January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Relations familiales et incarcération : défis et contradictions

Lalonde, Ninon January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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LES RELATIONS FAMILIALES<br />À L'ÉPREUVE DE L'INCARCÉRATION<br />solidarités et sentiments à l'ombre des murs

Ricordeau, Gwenola 01 December 2005 (has links) (PDF)
Cette recherche repose sur une sociologie participante et l'analyse de plus de 130 entretiens semi-directifs, menés avec des personnes incarcérées, des proches de détenu(e)s et des ex-détenu(e)s, sur les thèmes de la famille, de l'intimité et de la sexualité.<br />Les ajustements familiaux aux contraintes de l'incarcération varient pendant le parcours carcéral, selon le type de délit/crime reproché et les ressources (sociales, culturelles, etc.) de l'individu et de son entourage. Les effets tangibles de l'enfermement sur l'intimité et la sexualité (du détenu et de ses proches) révèlent la fonction sociale de la prison (malgré son humanisation) et démentent la notion d'individualité des peines.<br />La socialisation carcérale (« faire son temps ») écarte d'autant mieux le détenu de ses proches que la famille est souvent considérée comme la cause principale de la délinquance et que les proches sont stigmatisés comme coupables par association : les ruptures des liens familiaux incluent donc des formes de protection des proches et de préservation de soi.<br />Enjoint de se montrer apte à la libération, le détenu dispose pourtant, avec ses proches, des meilleurs garants d'une réinsertion réussie. Malgré leur forte stigmatisation et leur faible prise en considération par le système carcéral, les proches de détenus sont pourtant sommés de mettre en œuvre une solidarité familiale.
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La réinsertion sociale du détenu par le maintien des liens familiaux en prison

Takoré Amoi, Michele Angeline Patricia 26 April 2017 (has links)
La réinsertion sociale des condamnés est un impératif qui se rattache à la peine depuis le célèbre aphorisme gravé en 1703 à la demande du Pape Clément IX au fronton de la salle d’honneur de la prison Saint Michel à Rome et selon lequel « soumettre les individus malhonnêtes par le châtiment n’est rien si on ne les rend pas honnêtes par l’éducation ». Comme le Canada et la Belgique, la France a fait de la prévention de la récidive une des priorités de sa politique pénale. Celle-ci sera accentuée par la création d’une nouvelle loi, celle du 15 août 2014 relative à la prévention de la récidive et à l’individualisation de la peine. En effet, cette loi vise à diminuer le nombre de victimes tout en garantissant la réinsertion sociale des personnes condamnées.La réinsertion sociale des délinquants vise les efforts déployés dès après leur arrestation pour soustraire les intéressés au système de justice sociale et les faire condamner de préférence à une peine de substitution, dont par exemple la justice réparatrice ou un traitement adapté. Il s’agit d’appliquer des sanctions de substitution plutôt que de condamner les délinquants à une peine de prison, chaque fois que cela est possible, facilitant ainsi leur réinsertion sociale afin de leur éviter inutilement les effets délétères et désocialisants de l’incarcération. Il peut s’agir en outre, de l’obligation de suivre un traitement pour une toxicomanie par exemple du renvoi vers un centre éducatif ou de développement personnel, ou de l’obligation d’effectuer un travail collectif non rémunéré. Les prisons, quant à elles, font leur apparition très tard en Europe. En effet, ce n’est qu’au 17ème siècle sur l’impulsion de l’église que vont être crées les premières prisons. Avant cette période du 17ème siècle, les sociétés de cette époque avaient organisé leur système de sanction. Ainsi, les sanctions les plus graves étaient l’exécution de l’auteur d’un crime. A côté de cette sanction extrême, existaient des peines de moindre importance. Cependant le trait commun à ces sanctions était son caractère public. Ainsi, le pilori, l’amende honorable et les coups de fouet donnés sur les places publiques étaient fréquents. Les éventuels actes d’humanité décidés par les juges sont tenus cachés : l’ordre donné aux bourreaux d’étrangler le condamné avant qu’il ne soit brûlé vif ou d’abréger discrètement le supplice de la roue est dans un retentum. Il y avait une autre manière moins violente d’assurer l’exemplarité : les exécutions en effigie lorsque la sentence de mort a été rendue par contumace, ce qui arrive souvent car les auteurs d’infraction s’enfuyaient pour d’autres contées ; alors, un peintre rémunéré sur derniers publics compose un tableau à la ressemblance du coupable figurant l’exécution / Social rehabilitation of convicted is imperative that relates to the sentence from the famous aphorism engraved in 1703 at the request of Pope Clement IX on the pediment of the honor hall of the prison Saint Michel in Rome and that "subject individuals dishonest by punishment is nothing if it does not make them honest through education ".Like Canada and Belgium, France has made the prevention of recidivism among the priorities of its criminal policy. This will be enhanced by the creation of a new law, the law of 15 August 2014 on the prevention of recidivism and the individualization of punishment. Indeed, this law aims to reduce the number of victims while guaranteeing the social rehabilitation of sentenced persons.The offender reintegration efforts aimed soon after arrest to avoid interested in social justice and convict preferably to an alternative punishment, including for example restorative justice or appropriate treatment. It is apply alternative sanctions rather than condemn offenders to jail, whenever possible, thus facilitating their reintegration to their unnecessarily and avoid the deleterious effects of incarceration desocialising. This can be further from the obligation to undergo treatment for addiction such referral to an educational center or personal development, or the obligation to perform unpaid labor collective.Prisons, meanwhile, appear very late in Europe. Indeed, it was only in the 17th century on the spur of the church that will be created the first prisons. Before this period of the 17th century, companies of that time had organized their sanction system. Thus, the most severe sanctions were running the perpetrator. Besides this extreme sanction existed lesser sentences. However, the common feature of these sanctions was its public nature. Thus, the pillory, the apology and given lashes in public places were frequent. Potential acts of humanity decided by judges are kept hidden: the order to the executioners to strangle the condemned before it is burned or discreetly shorten the torture of the wheel is in a retentum.There was a less violent way to ensure exemplary: in effigy executions where the death sentence was issued in absentia, which often happens because for criminals fled to other storytelling; then paid painter made public last table in the likeness of sinful listed execution as ordered. Originating in Latin meaning prehensio, prehendere that is to say, take the word prison, means a facility designed to hold persons deprived of their liberty by the effect of a judicial decision.However, the deprivation of liberty has a broader meaning. Although it is shown here as a synonym of imprisonment, it is not just a euphemism for it. In this sense, the deprivation of liberty as a tool to fight against crime, is not limited to imprisonment, which is only one form of deprivation of the utmost freedom. It is possible to limit the freedom of the individual without resorting to prison.
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La réforme pénitentiaire / The prison Reform

Garraud, Astrid 04 December 2015 (has links)
Si la prison fait beaucoup parler d’elle, ses caractéristiques sont trop souvent connues par les données négatives qu’elle reflète. Révélées par de multiples facteurs dont le surpeuplement pénitentiaire, les violences carcérales ou encore la santé fragile des détenus (etc.), les problématiques de la prison remettent en question sa capacité à remplir ses missions de garde et d’accompagnement de la personne détenue. Dans ces conditions, la notion de réinsertion de l’individu incarcéré pourrait être largement compromise. Le sujet de cette thèse est loin d’être anodin : c’est précisément de ces difficultés que semble se nourrir le débat pénitentiaire. Ce sont, en effet, autant d’éléments qui font barrage à l’efficacité de notre réponse pénitentiaire mais qui donnent raison aux préconisations et impératifs européens d’humanisation des prisons. Encouragé par le droit supranational du Conseil de l’Europe, notre droit tiraillé entre deux perceptions sécuritaire et humaniste, se tourne vers d’autres solutions pour satisfaire à la qualité opérante de la politique pénale. Il faut donc faire le constat de l’avancée majeure de la probation, laquelle concurrence la sanction strictement pénitentiaire. Indéniablement, et parce que la peine de prison demeure, toutefois, la peine la plus élevée sur l’échelle de gravité des peines, des réflexions efficaces sont devenues indispensables pour guérir les maux du droit pénitentiaire. Cette thèse permet alors d’analyser la signification, en matière pénitentiaire, du terme « réforme » et souscrit ainsi à la réflexion d’une nouvelle structure émancipatrice du droit de l’exécution de la peine singulière que représente la peine privative de liberté. / If prisons have been under discussion, they all too often find themselves in the public eye as a result of their negative image. Revealed through multiple factors such as overcrowding, violence and poor inmate health, the inherent problems of the prison system cast doubt on its capacity to fulfill its mission of both detention and prisoner support. Under such conditions, rehabilitation of the person incarcerated has little chance of success. The subject of this thesis is therefore by no means insignificant: such difficulties are precisely what appear to feed the prison debate. These are all elements which hamper efforts to find an effective prison solution but which justify European recommendations and imperatives on prison humanization. Encouraged by Council of Europe supranational law and torn between security and humanitarian issues, our domestic law has had to seek alternative solutions to satisfy the functional requirements of penal policy. The major advance provided by probation should be noted here, as opposed to strictly custodial sentencing. Undeniably, however, as prison remains the highest sanction on the sentencing scale, effective reflection is now essential if we are to remedy the wrongs of a scattered and ephemeral prison law. This thesis is therefore designed to analyze the meaning, in penitentiary matters, of the term “reform” and thus reflect on a new emancipatory approach to enforcement law with regard to the singular difficulty of the custodial sentence.
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Le ballon des pèlerins : sociogenèse du recours au religieux dans les trajectoires carcérales. / The jail of the pilgrims : sociogenesis of the use of religion in prison trajectories

Ducloux, Thibault 22 November 2018 (has links)
Partant du constat d’une diversification des comportements des personnes incarcérées, ce travail de thèse se propose de modéliser les processus de socialisation se déployant au sein de la configuration carcérale. En effet, au regard des vies qu’ils ont vécues, les prisonniers adoptent des postures et des pratiques inédites. Mais, en réalité, l’ampleur des effets empiriquement observables de ces dynamiques contredit l’espoir de pouvoir décrire ces dernières en abordant de front le phénomène de la diversification. Comment les prisonniers sont-ils socialement amenés à adopter les pratiques qu’ils adoptent ? Embrassant une démarche indistinctement diachronique et indicielle, l’analyse se dote d’un outil sociologique à même de révéler les mouvements agitant la vie des gens en prison : Le recours au religieux. / Based on the premise of a diversification in inmates’ behaviors, this thesis proposes to model socializing processes within a carceral configuration. Indeed, considering the lives they lived, inmates adopt unprecedentedpostures and practices. But, in reality, the extent of empirically observable effects of those dynamics contradicts the hope of being able to describe those latter in addressing the diversification phenomenon head-on. How are prisoners socially brought to adopt the practices they embrace ? Using an approach both diachronic and semiological, this analysis provides itself with a sociological tool able to reveal the motions agitating peoples’ lives in prison: the fallback on religion.
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La justice réparatrice vue par les personnes contrevenantes et les personnes lésées

Admo, Nina January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Prédire le comportement suicidaire des détenus avec le Suicide Probability Scale et des variables actuarielles

Naud, Hélène January 2008 (has links)
La problématique du suicide en milieu carcéral est connue et décrite dans plusieurs recherches. Toutefois les outils de dépistage du risque suicidaire ont surtout été développés pour des populations à risque non carcérales et la capacité de prédiction de ces échelles n'a été inférée qu'indirectement. Depuis un peu plus de dix ans, le questionnaire Suicide Probability Scale (Cull et Gill, 1988) est utilisée auprès de détenus québécois qui débutent une sentence fédérale. Cependant le survol de la littérature n'a pas permis de retrouver d'étude psychométrique liée à la validité prédictive de ce questionnaire auprès d'une population spécifiquement carcérale. L'objectif de la présente recherche était donc d'évaluer la valeur prédictive du questionnaire Suicide Probability Scale (SPS) auprès d'une population masculine carcérale.La recherche vise à vérifier si les détenus dépistés à risque modéré ou élevé en 1995-1996 par le SPS ont effectivement eu des comportements suicidaires par la suite, pendant qu'ils étaient encore sous la responsabilité des services correctionnels. Les résultats sont basés sur une période d'observation globale de 11 ans et demi (entre 1995 et 2006) et confirment que le SPS, dans sa forme actuelle, permet de prédire le comportement suicidaire. Une amélioration de la prédiction du risque suicidaire est démontrée si le point de découpage est modifié de 50 (point de démarcation actuel des auteurs du SPS) à 40 pour la clientèle spécifique des hommes incarcérés dans un pénitencier. Les résultats obtenus au SPS permettent aussi de dépister les détenus à risque de comportement hétéro-agressif en milieu carcéral. Le deuxième article a évalué la valeur prédictive de 24 variables actuarielles, connues en début de sentence, en combinaison avec le SPS, afin d'augmenter la prédiction et de la rendre plus spécifique en réduisant le nombre de faux négatifs.La capacité de prédiction a été analysée avec des modèles de régression logistique et la valeur sous la courbe ROC. L'ajout d'une ou de deux variables actuarielles permet d'améliorer le dépistage des comportements suicidaires sur une période de 24 mois et même de 120 mois.
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Réinsertion sociale des délinquants âgés : défis à relever

Cusson, Jean-François January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le monde carcéral dans la littérature africaine : lecture de "Toiles d'araignées" d'Ibrahima Ly, "Prisonnier de Tombalbaye" d'Antoine Bangui et "Parole de vivant" d'Auguste Moussirou Mouyama, "Le mort vivant" d'Henri Djombo

Nguimbi, Arnold 14 March 2008 (has links) (PDF)
La notion de prison est obsédante en littérature africaine d'expression française. Le dispositif d'enfermement des hommes dans un espace clos remonte véritablement à la période coloniale. Les nombreuses méthodes punitives qui avaient cours en Afrique précoloniale privilégiaient davantage d'autres formes de sanction que la prison. Il y avait par exemple le bannissement, la réparation immédiate, l'exil et la lapidation. Avec l'installation occidentale, l'habitat africain s'est doté d'une structure particulière et singulière. La prison fait désormais partie des politiques pénales de premier choix. Les écrivains, Ibrahima Ly dans "Toiles d'araignées", Henri Djombo dans "Le mort vivant", Auguste Moussirou Mouyama à travers "Parole de vivant" et Antoine Bangui dans "Prisonnier de Tombalbaye" montrent la complexité de ce nouveau phénomène. Ils évoquent les conditions de vie atypiques à savoir : la surpopulation, l'hygiène, la rareté d'aliments etc. La prison avilit l'homme au lieu de l'aider à prendre conscience de l'intérêt de sa peine par rapport à la société offensée. La resocialisation qui est la logique de justification de la prison qui allie la peine aux principes des droits de l'homme est fortement compromise. Mais malgré ces privations, la prison peut être un véritable chemin pouvant permettre à ceux qui ne succombent aux violences, de repenser la société. Ils combattent tout ce qui peut empêcher à l'homme de s'épanouir. C'est ainsi que l'on peut entendre l'héroïne de "Toiles d'araignées "souhaiter un monde libre

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