• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 1004
  • 40
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 1046
  • 1046
  • 1046
  • 717
  • 510
  • 472
  • 369
  • 205
  • 183
  • 158
  • 142
  • 139
  • 131
  • 129
  • 109
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

Le financement de l'approvisionnement en blé dans les cités grecques

L'Heureux, Daniel 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
12

Politique et lois agraires à la fin de la République romaine (122-59 av. J.C.)

Robertson, Yves 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
13

Les premiers syndicats catholiques canadiens (1900-1921)

Tétu, Michel 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
14

Histoire des amérindiens, du Saint-Maurice jusqu'au Labrador : de la préhistoire à 1760

Parent, Raynald 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
15

Le Père Joseph-Marie Couture, s.j., missionnaire de l'Ontario-Nord et premier prêtre aviateur canadien (1885-1949)

Cadieux, Lorenzo 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
16

La formation d'une communauté rurale en Nouvelle-France : Beaumont : 1672-1740

Cyr, Céline 25 April 2018 (has links)
C’est dans la perspective large d’étudier le modèle de reproduction sociale qu’a été entreprise cette analyse de la fondation d’une communauté rurale en Nouvelle-France. En se situant à ras de terre, près des centres de décisions, on tentera de reconstituer le processus d’aménagement et d’occupation du territoire par le seigneur et les habitants de façon à dégager des pratiques sociales qui règlent d’une certaine façon l’enracinement des hommes. Cette étude a été menée dans la seigneurie de Beamont. Celle-ci, qui constitue un milieu propice au développement de l’agriculture, est située à proximité de de la ville, tout en étant hors des circuits locaux de communication. Elle s’ouvre à la colonisation à la fin du XVIIe siècle. L’étude commence en 1672, année de l’octroi de la seigneurie et se termine en 1740, à un moment ou les étapes de la formation de cette communauté rurale sont complétées. Après avoir situé le cadre physique de l’analyse, on abordera le rôle et l’activité du seigneur dans le processus du développement de Beaumont. On pourra alors cerner ou se situe son intervention dans le choix que fait l'habitant d’acquérir une terre dans la seigneurie, puis de s’y établir ou pas. L’évolution de la propriété foncière de même que les alliances matrimoniales serviront de base à cette étude de la formation d' une communauté rurale en Nouvelle-France. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
17

Les murs d'enceinte et les fortifications à Chypre au deuxième millénaire

Fortin, Michel 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
18

L'école de rang au Québec

Dorion, Jacques 11 April 2018 (has links)
Propagandiste d'une idéologie axée sur la religion, l'agriculture et la famille, l'école de rang, bien souvent la seule institution communautaire du rang, aura jeté les bases du système d'éducation québécois dans nos campagnes. Ces modestes lieux du savoir sont disparus presque complètement de notre paysage rural ainsi que les archives dont ils étaient les dépositaires. C'est là, en effet, qu'on retrouvait dans une armoire placée dans la classe, les documents ayant trait à l'école, qu'il s'agisse des rapports du secrétaire trésorier, du compte-rendu de la réunion des commissaires d'écoles ou des cahiers de l'institutrice. Bon nombre de ces documents ont été brûlés, jetés, perdus, etc., à tel point qu'il est devenu pratiquement impossible de brosser un tableau global de la culture matérielle et spirituelle des écoles de rang pour chacune des régions du Québec; les seuls témoins demeurant les institutrices et inspecteurs d'écoles ayant oeuvré dans ce milieu, ainsi que la correspondance échangée entre le Département de l'Instruction Publique et chacune des municipalités. Afin de nous aider à retrouver des documents traitant de l'école de rang (archives, photographies), à localiser celles-ci géographiquement et à obtenir des noms d'informateurs susceptibles de répondre â nos attentes, nous avons établi un questionnaire que nous avons expédié aux 255 commissions scolaires régionales et locales du Québec. Dans l'ensemble, les réponses furent très favorables à notre projet, si l'on considère que 80% des questionnaires nous furent retournés. Cette démarche accomplie, la matière nous apparaissait suffisamment abondante pour passer à l'enquête ethnographique. Pendant 6 mois, nous avons donc parcouru les principales régions du Québec, enregistrant des témoignages, recueillant et consultant des documents et captant plus de 800 photographies représentant uniquement des écoles de rang. Subséquemment, nous avons passé plusieurs mois aux Archives Nationales du Québec afin de dépouiller le fonds du Département de l'Instruction Publique s'étendant de 1842 à 1964, ce qui totalise plusieurs milliers de documents. Le rôle indispensable qu'ont joué les écoles de rang dans l'évolution sociale du peuple québécois méritait bien qu'on s'y arrête: force nous fut de constater l'absence de véritables études sur ce sujet, les écoles de village, les collèges et les couvents ayant eux seuls retenu l'attention des historiens de l'éducation au Québec. Par ailleurs, nous avons voulu aussi éviter de reconstituer une histoire de l'éducation au Québec; ce que plusieurs historiens ont déjà réalisé avec justesse; tout au plus, avons-nous consacré quelques lignes à cette histoire afin de fournir au lecteur quelques dates déterminantes quant à l'évolution de l'école de rang du Québec. Intrigué à la fois par les aspects architecturaux de ce bâtiment et par les manifestations sociales que cette institution suscitait, l'école de rang a donc été pour nous l'objet d'une double approche; c'est bien volontairement toutefois que nous avons délaissé les méthodes pédagogiques employées à l'intérieur de celles-ci, ainsi que le répertoire des manuels scolaires au programme, ces deux sujets pouvant constituer à eux seuls l'objet d'une autre étude. Au fil des pages, nous avons tenté de "reconstruire" l'école de rang en nous attardant d'abord au choix de l'emplacement. Il nous a fallu aussi considérer les procédés de construction en vigueur à l'époque, l'érection du solage, du carré et du toit, démarches techniques que nous avons illustrées de dessins et de photographies. La description des divisions intérieures et du mobilier complète ce chapitre. L'école de rang construite, il fallait en assumer les frais, en argent ou autrement: taxes, contributions volontaires ou obligatoires poussaient bien souvent les habitants à la création de formules pour le moins originales si l'on désirait en amoindrir le coût. Les usages conférés à l'école de rang ainsi que les moyens de transport utilisés pour s'y rendre ont également retenu notre attention. Etudier l'école de rang sans parler de la maîtresse d'école, serait par exemple, comme parler de la forge sans glisser mot du forgeron. Plusieurs écrits ayant déjà été consacrés à l'institutrice, nous avons voulu encore là éviter les répétitions pour exploiter certains aspects la concernant et omis par nos devanciers, sinon traités rapidement. Les procès intentés à des institutrices ainsi que leurs relations avec les gens du rang ont donc fait l'objet de deux chapitres distincts. Derrière la vie quotidienne de l'école de rang se dessine la mentalité de tout un peuple; de l'école de rang a jailli une foule de traits découlant de rencontres, d'amitiés, de querelles, etc... Au fil des jours et des mois, notre connaissance de l'école de rang s'est donc enrichie par des documents, des témoignages, des photographies que nous allons maintenant tenter de décrire avec le même intérêt et la même émotion que nous avons eus à les découvrir. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
19

Marie de l'Incarnation, une femme supérieure

Marie, Antonia, 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
20

Ludger Duvernay et la Minerve : étude d'une entreprise de presse montréalaise de la première moitié du XIXe siècle

Lebel, Jean-Marie 25 April 2018 (has links)
Si, d'une part, le contenu et l'idéologie de plusieurs imprimés furent l'objet de multiples recherches, d'autre part, les divers aspects de la production et les producteurs de ces Imprimés, les éditeurs et imprimeurs, sont souvent demeurés dans l'ombre. Cette thèse est consacrée à l'étude de l'un des principaux imprimeurs montréalais de la première moitié du XIXe siècle, Ludger Duvernay (1799-1852) et à son entreprise de presse, l'atelier de la Minerve. Né à Verchères, Ludger Duvernay fit son apprentissage du métier d'imprimeur à Montréal sous la direction de Charles-Bernard Pasteur. Après avoir pratiqué son métier durant quelques années à Trois-Rivières, il fut de retour à Montréal en 1827. Il loua alors l'atelier d'imprimerie de Jean Dominique Bernard, devint l'imprimeur du Canadian Spectator et acquit le journal la Minerve fondé quelque temps auparavant par Augustin-Norbert Morin. Sous l'habile direction de Duvernay, la Minerve s'imposa en peu de temps comme étant le principal journal de langue française de Montréal et devint le principal organe d'information du parti patriote. En 1829, Duvernay acquit 1'imprimerie de James Lane et devint le principal producteur montréalais de livres et brochures. Il imprima principalement des manuels scolaires et des almanachs. A cause de la faiblesse du marché, toute autre publication se révélait souvent périlleuse. Duvernay l'apprit à ses dépens lors de la publication du Traité sur les lois civiles du Bas-Canada, ouvrage de plus de 900 pages et qui s'adressait à un public restreint, qui lui causa de nombreux tracas et des pertes financières. Avant 1837, Duvernay, membre du parti patriote, mit souvent son établissement au service des idéaux de ce parti, produisit plusieurs imprimes qui furent déficitaires et fut emprisonne à quelques reprises. Son attitude se transforma lors de son exil, de 1837 à 1842, aux Etats-Unis. A son retour, il fut un homme d'affaires beaucoup plus prudent. Son atelier demeura toutefois comme avant la Rébellion, un lieu de rencontres et de discussions. Il concentra ses efforts dans la publication de la Minerve et délaissa le domaine de la production du livre. Ses concurrents montréalais de langue anglaise, dont plusieurs s'étaient associes, devinrent les principaux entrepreneurs de presse et dominèrent le marché durant quelques décennies. Duvernay, isolé, ruiné lors de la Rébellion, demeura un artisan, tandis que ses concurrents anglophones, qui possédaient des ressources financières plus considérables et un marché plus vaste, se mécanisèrent et devinrent des industriels. La concurrence entre les journaux montréalais de langue française était constante et souvent impitoyable. Si des divergences politiques ou idéologiques les opposaient, ils luttaient d'abord et avant tout pour leur propre survie. La moindre perte d'abonnes ou d'annonceurs pouvait être fatal. Peu de journaux survivaient au-delà de quelques années. Duvernay, habile manoeuvrier, homme de métier r aguerri et homme d'affaires avise, put maintenir en vie son entreprise au cout d'un labeur incessant. Cette étude reconstitue chacun des aspects d'une entreprise de presse: les locaux, le matériel, les techniques, le personnel, les sources de revenus, et analyse la production imprimée. Ludger Duvernay avait surtout attire !'attention auparavant en tant que membre du parti patriote et fondateur de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal. Cette étude nous permet de connaitre un Duvernay qui était demeure méconnu: l'homme de presse. Il mit sur pied, en dépit de conditions socio-économiques difficiles, la première véritable entreprise de presse canadienne-française. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

Page generated in 0.0621 seconds