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La transformation du quartier Saint-Roch de Québec : 1921-1961

Ross, Pierre 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Le chemin de fer de Québec au Lac Saint-Jean (1854-1900)

Gagnon, Rodolphe 23 May 2019 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2019
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La France et les États-Unis dans la vie et dans l'oeuvre de Jules-Paul Tardivel (1851-1905)

Savard, Pierre 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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The makers of Acadian history in the nineteenth-century

Clarke, Patrick D. 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Les Protestants en Nouvelle-France

Bédard, Marc-André 11 April 2018 (has links)
Les premières tentatives de colonisation française en Amérique se déroulent à une époque où la France, gagnée par la Réforme, est le théâtre de conflits politico-religieux suscités par les tenants du protestantisme et du catholicisme. C'est alors que naît chez des hommes comme l'amiral Coligny l'idée d'établir hors de France, mais sous son égide, un foyer de peuplement pour les protestants du royaume. Les expéditions françaises au Brésil, en Floride et en Caroline sont des tentatives conduites par des réformés pour établir un lieu de refuge pour leurs coreligionnaires. Les comptoirs mis sur pied à Tadoussac, Port-Royal et Québec avant 1627 sont des établissements à caractère plus spécifiquement commercial. Il s'agit toujours cependant de tentatives de colonisation entreprises par des protestants sous l'égide de la France. En ce sens, elles se situent dans la même ligne que les précédentes. François-Xavier Garneau est le premier auteur qui voulut insister sur l'importance des protestants au début de la Nouvelle-France. Ce dernier désirait surtout remettre en cause le bien-fondé de leur exclusion de la colonie en 1627 par la charte de fondation de la Compagnie des Cent Associés. Or il se trouvait à exposer des idées qui allaient contre l'image d'une Nouvelle-France entièrement française et catholique; plusieurs passages qui traitent des protestants furent alors remaniés et même coupés dans certaines éditions postérieures de son ouvrage. Pourtant cette exclusion de 1627, regrettée et soulignée par Garneau, ne signifie pas la cessation de l'arrivée des protestants au Canada. Tout au long du régime français, leur présence est signalée par plusieurs écrits civils et religieux. D'où l'intérêt de connaître non seulement les premières tentatives de colonisation effectuées par des réformés avant 1627, mais aussi de suivre la prolongation de cette présence après la fondation de la Compagnie des Cent Associés. Après cette date, les protestants sont théoriquement exclus du territoire de la Nouvelle-France, mais des ressortissants protestants vont quand même venir et réussir à s'installer dans la colonie. Dans le présent travail, nous parlerons d'abord brièvement des premières tentatives de colonisation protestante en Nouvelle-France avant 1627. Nous tenterons d'établir ensuite que la présence protestante se continue dans cette colonie tout au long de la domination française. Nous nous demanderons alors qui sont ces réformés? quel sort leur est réservé dans le pays? et comment ils réagissent à la situation qui leur est faite? Peu d'ouvrages ayant été écrits sur le sujet qui nous concerne, nous avons surtout utilisé les sources pour la rédaction de ce travail. Les témoignages des pères Sagard, Le Clercq, de Charlevoix ainsi que les écrits de Champlain nous ont permis de suivre les différentes querelles opposant catholiques et réformés dans les premiers établissements français. La Série C 11A et la Série B des Archives coloniales françaises conservées sur microfilms aux Archives nationales du Québec ont contribué à retracer les nombreuses allusions à la permanence de la présence des protestants au pays; il en va de même pour les Archives du Séminaire de Québec. Pour retrouver le nom des différents protestants établis tout au long du régime français, nous avons surtout utilisé l'ouvrage posthume du père Archange Godbout complété par M. Roland-J. Auger, "Familles venues de La Rochelle en Canada". Nous avons poursuivi notre cueillette dans le Registre des Abjurations de l'Archevêché de Québec et dans les différents Registre des malades de l'Hôtel-Dieu de Québec. Les autres écrits signalés en bibliographie ont contribué largement à compléter cette information et à esquisser ce portrait des protestants de la Nouvelle-France. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Quelle histoire pour quel avenir du Canada? : le débat sur la mise en histoire du passé du Canada depuis 1990

Latour, Kareen 11 April 2018 (has links)
La présente étude a pour but d'expliquer la nature et l'orientation du débat actuel sur la mise en histoire du passé du Canada. Pour ce faire, de nombreux documents (livres, articles de périodiques et de journaux, actes de colloques, etc.) ont été analysés. Notre mémoire présente les origines de ce débat dans les années 1990 et propose une vue d'ensemble des principaux arguments que défendent les historiens et autres intellectuels canadiens qui y participent. Cette démarche nous permet de faire ressortir la multiplicité des éléments de tension et de division qui structurent le discours sur l'histoire du Canada. Dans un premier temps, nous exposons la perspective des historiens des régions. Par la suite, nous abordons le débat par l'entremise des historiens du national et des historiens du social. Enfin, un dernier chapitre est consacré au cas particulier du Québec, (mi)lieu où le débat n'a pas les mêmes résonances. Globalement, nous analysons le contenu de l'histoire nationale, régionale et sociale, mais aussi l'espace accaparé par ces domaines dans la trame de l'aventure historique canadienne. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Ensemble! : revue de la coopération, 1940-1951

Deschênes, Gaston 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Le répertoire analytique de l'art populaire québécois

Plourde, Cécile 25 April 2018 (has links)
Le domaine de l'art populaire se partage à l'heure actuelle en deux volets. D'un côté prime le discours intellectuel, qui veut définir correctement l'objet, établir un lexique précis du vocabulaire employé concernant la matière. Il dirige en plus ses efforts à cerner une fois pour toutes, les balises de l'art populaire. L'autre volet s'intéresse â la production, pour l'attrait que l'on porte aux objets de fabrication domestique, tellement répandu dans différents milieux contemporains et dans d'autres sociétés. La correspondance entre ces deux volets ne peut s'effectuer que par un rapprochement. Ou bien, l'objet est déraciné de son lieu d'origine et devient la propriété des collectionneurs privés et publics; ou bien les recherches s'orientent vers l'appartenance de l'objet dans son milieu en s'intéressant à la valeur locale, ou plutôt originale, que l'ensemble d'une collectivité veut bien lui accorder. Ainsi au chapitre I, l'étude s'intéresse à la problématique de l'art populaire. Sur quelle définition les chercheurs ont-ils fait le consensus et vers quel avenir veulent-ils orienter leur champ d'intérêt? Un historique des grands inventaires et des cueillettes ethnographiques sur le territoire québécois met en évidence le contexte et l'importance des démarches entreprises jusqu'à maintenant. Ce cheminement historiographique nous amène en quelque sorte au projet d'Inventaire de l'art populaire, corpus de base à ma recherche. La dernière partie du chapitre I fournit des indications sur le contenu de cet inventaire. Cette thèse repose sur ce matériel. Nous pourrons voir les moyens adoptés pour la cueillette et par la suite les méthodes d'analyse qui ont servi à mettre en jeu le répertoire analytique de l'art populaire québécois. Au chapitre II, nous ferons connaissance avec le fabricant créateur. Quel est le profil du personnage, son caractère particulier, le lieu de son imaginaire qui façonne les modèles de sa créativité? Nous rencontrerons en plus le fabricant à son point de départ. Comment s'est acquise la technique d'exécution, forme d'initiation par le savoir ou méthode d'apprentissage? L'étroite filiation qui existe entre la matière et l'outil en vue d'assembler, de tailler et de sculpter les oeuvres que l'on expose pour des fins esthétiques ou utilitaires? Ce chapitre se termine par la présentation d'un fabricant-créateur ayant vécu de la fin du XIX ième siècle jusqu'aux années 1940. Cette histoire de vie racontée par son petit neveu M. Marcel Ladouceur, nous fournit l'exemple des forces qui entraine chaque individu à vouloir créer pour ses propres raisons. Au chapitre III, c'est la rencontre avec les catégories de motifs qui ornent les objets de l'art populaire. Tous les objets inventoriés sont numérotés par rapport aux motifs qui les distinguent, Ces dits motifs permettent ensuite d'énoncer les grands thèmes dont s'approprie le créateur, et les thèmes moins fréquents dus à l'ancienneté de l'objet ou à la rareté de l'oeuvre. Ce répertoire des motifs s'analyse clairement par la lecture de tableaux et de graphiques mettant en relief les thèmes marquants et les thèmes moins significatifs. Compte tenu de l'Inventaire de l'art populaire, cette étude se veut une ouverture à un univers de créativité, fusionné au monde qui l'interprète et à ceux qui veulent le saisir. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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L'enseignement spécialisé au Québec, 1867 à 1965

Charland, Jean-Pierre 25 April 2018 (has links)
Dans sa remarquable synthèse sur l'histoire de l'enseignement au Québec, Louis-Philippe Audet soulignai t que l'histoire de la formation professionnelle restai t à écrire. Pareille absence dans l'historiographie est significative, et c'est ce vide que nous voulons combler. Beaucoup d'auteurs ont souligné la difficulté de la société québécoise de s'adapter au monde industriel. Si certaines politiques du gouvernement, au moins depuis Lomer Gouin, ont visé un développement économique rapide, d'autres secteurs comme l'éducation ont connu un immobilisme déconcertant. Du dernier quart du XIXème siècle aux années soixante, aucune modification majeure n'est apparue. Les divers aménagements apportés au fil des ans apparaissent comme des excroissances à un régime inchangé, de véritable s culs-de-sac. Les premiers effort s du gouvernement peur favorise r la formation de la main-d'oeuvre accompagnent la première phase d'industrialisation. Il s'agi t des cours du soir du Conseil des Arts et Manufactures. Malgré les mémoires de certains intellectuels, les représentation s d'associations d'employeurs et de travailleurs, il faut attendre 1911 avant qu'un premier enseignement professionnel régulier ne soit dispensé dans les écoles techniques de Québec et Montréal. La timidité des initiative s gouvernementales est tell e que des industriel s (Shawinigan, Arvida) ou des édile s locaux, (Sherbrooke, Grand-Mère, La Tuque, Beauceville, Port-Alfred) vont créer des établissements d'enseignement spécialisé. L'État n'a qu'une faible part dans le lent développement du réseau d'enseignement spécialisé. Pourtant depuis Errol Bouchette on considère la compétence technique comme le principal capital des Canadiens-français. Sous Duplessis une législation va même viser le développement du capital humain. Le coup d'envoi vient finalement du fédéral. L'entente Bilodeau-Rodgers, et les ententes qui vent suivre au gré de la guerre, vont faire naître tout un réseau d'écoles gouvernementales à travers la province (écoles techniques, de métiers, hautement spécialisées, de métiers spéciaux). Les établissements étant en place sous Godbout, c'est Paul Sauve qu'il faut attribuer la croissance de la clientèle, la centralisation de l'administration, l'uniformisation des programmes, et surtout la récupération par son ministère de toutes les écoles. Un second bond en avant, tant au niveau des établissements que de la clientèle, sera le fait de Gérin-Lajoie. Si les progrès sont remarquables, le statut de ce type d'enseignement est peu enviable. Il faut compter les articles qui clament la respectabilité des "carrières manuelles" face aux préjugés. On entend déjà parler de poubelle, de parent pauvre de l'enseignement. De plus, malgré les améliorations au régime d'enseignement public, les candidats à l'enseignement spécialise ne sont ni suffisamment prépares, ni suffisamment nombreux. Enfin, tout enseignement supérieur est ferme aux diplômes, et les exceptions (comme Rodrigue Biron) sont bien rares. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Les croix de chemin : un phénomène de comportement en religion populaire

Carpentier, Paul 25 April 2018 (has links)
Dès nos premiers cours en ethnographie traditionnelle, nous avons appris qu'i l y a, au Québec, une culture d'héritage français, mais originale. Depuis ce temps, beaucoup d'autres personnes, souvent moins doctes, nous ont répété la même chose. C'est devenu un leitmotiv national Mais un leitmotiv a parfois le défaut de s'imposer par la répétition sans fournir d'explication. Ici, bien des exemples sont venus l'appuyer. Les librairies s’étalent recueils de contes et de légendes, les disquaires ont un très grand choix de chansons d'autrefois et les spécialistes de l'architecture ou de l'outil nous présentent des volumes illustré s avec soin. L'intéressé qui prend connaissance de tout cela sait ce que cette culture a produit, parfois comment elle le produit, rarement pourquoi. Percevant la thèse de doctorat comme un exercice intellectuel d'abord, nous avons voulu profiter de l'occasion pour faire une exploration dans cette région mal connue du pourquoi. Et nous avons choisi comme sujet de cette expérience un produit esthético-religieux de notre culture, la croix de chemin. Nous allons essayer d'expliquer de quelle manière ce produit s'inscrit dans la culture dont il est issu. Traditionnellement, les étudiants en ethnographie consacrent quelques paragraphes de l'introduction à l'exposition de leur méthode. D'une part, nous avons constaté que plusieurs y présentent des techniques méthodologiques, sans identifie r précisément la méthode qu'ils ont utilisée. D'autre part, quand le lecteur s'attache à découvrir, déductivement, quelle a été cette méthode, il lui apparaît que la majorité des ethnographes ou folkloristes font de la description ou de la comparaison. Parce que nous n'avons pas vu de thèse où l'on exposait clairement une méthodologie reposant sur l'analyse interprétative, celle que nous utilisons, nous avons consacré le premier chapitre a la présentation de cette méthode. Que la croix de chemin soit l'expression d'un trait culturel répandu dans tout le Québec est un fait sinon connu, du moins reconnu de tout le monde. Cependant, peu de gens saurait en expliquer l'origine avec justesse. Et il est important de connaître le caractère de l'objet dont on veut parler. C'est pourquoi un historique s'est imposé. Et même s' l se devait d'être succinct, parce qu'il ne s'agit-là que d'une dimension complémentaire au sujet, il était nécessaire qu'il couvre l'ensemble des grands mouvements évolutifs de l'objet. Il est facile de prétendre à l'analyse, mais il est difficile d'y arriver. Et cette difficulté réside en deux points, celui de trouver la base de cette analyse pour le sujet choisi, et celui d'adapter une méthode â l'objectif visé. La solution au premier problème nous est apparue en identifiant la nature de l'objet comme esthético-religieuse. Les deux aspects qu'il semblait nécessaire d'analyser se dévoilaient: religion et esthétique. A l'étude, il s'est avéré que la seconde était subordonnée â la première pour l'essentiel. Un phénomène religieux peut se définir comme étant un ensemble de croyances qui caractérisent les rapports entre l'homme et un être perçu comme divin. Dans le concret, ce concept se traduit par la perception que l'homme se fait de la divinité, et par les rites auxquels il se livre pour entrer en relation avec cette divinité . Notre travail d'analyse consistait donc à découvrir cette perception et ces rites. Nous ne nous sommes pas laissé obnubiler par notre sujet au point de croire qu'il contenait l'essence de la religion des Québécois. Les choix de chemin, comme phénomène, ne sont qu'une pratique ou un rit e élaboré dans une attitude religieuse. Et i l y a un très grand nombre d'autres rite s et pratiques de nature souvent différente. Mais, parce qu'il procède précisément de l'attitude religieuse, ce rit e ne peut pas ne pas la traduire, du moins en partie. Dans un esprit plus prudent qu'innovateur, nous avons abordé la croix par le biais des cinq questions qui nous font habituellement connaître un objet: qui? quand? où? comment? pourquoi? Les réponses se sont regroupées par affinités, et nous les avons ordonnées selon deux chapitres parce qu'elles exprimaient soit un comportement religieux , soit l'objet lui-même dans sa forme. C'est en effet dans l'exercice de son comportement religieux qu'un individu fabrique et érige une croix de chemin et qu'i l y pose des gestes rituels. Qu'est-ce qui le motive à accomplir ce geste si commun que l'on compte une croix pour deux mille personnes dans une population de six millions? Est-ce que, dans ce geste de portée sociale, il est possible de percevoir les sentiments religieux intimes qui en forment la base? Et pourquoi cet objet devient-i l l'occasion de prières nombreuses et variées par la suite? Après avoir posé ces questions S ceux-là mêmes qui sont au coeur de telle s actions, nous avons tenté d'analyser et d'interpréter le phénomène qui s'était livré de lui-même. Pour les fins de la démonstration rationnelle, i l a été nécessaire de présenter élément par élément les composantes d'un phénomène très intimement unifié. Ainsi, nous avons d'abord exploré le comportement religieux tel qu'il peut être perçu â travers la motivation des gens qui érigent les croix, â travers les raisons qui incitent d'autres gens à faire de ces croix un lieu de pratiques, et 5 travers l'image que ces croix ont laissée dans l'esprit de ceux qui ont été les spectateurs de ce phénomène, en regard de celle des acteurs. Ensuite, nous avons étudié les rapports qui pouvaient exister entre la forme que l'on donne à l'objet et l'idée qu'en a celui qui le fabrique, ou celui qui en fait un lieu de prière. L'analyse a le désavantage de faire ressortir isolément les principaux trait s de caractère du sujet, et de le faire en des temps éloignés l'un de l'autre, de sorte que le portrait d'ensemble est difficile à voir. C'est pourquoi nous tenterons de rassembler toutes ces parties et de les agencer dans une conclusion qui ne retiendra que les points forts dans leurs relations de dépendance. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012

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