61 |
Quelques particularités sociales et politiques de la charte, du système administratif et du personnel politique de la cité de Québec, 1830-1867Plouffe, Marcel 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
|
62 |
Idéologie, traits culturels, plan de réaction, aperceptions et motivations du groupe de pression ultramontain canadiens-français, , ca., 1870-1890Chevrette, Louis 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
|
63 |
La Société Saint-Jean-Baptiste de Québec de sa fondation à 1903 d'après ses archivesFoucart, Éric 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
|
64 |
L'Assemblée législative de la province de Québec : 1867-1878Hamelin, Marcel 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
|
65 |
Les violences verbales à Manosque au tournant du XIVe siècle (1284-1330)Vachon, Christian 25 April 2018 (has links)
A Manosque, ville provençale du tournant du XlVe siècle, près du tiers de l'activité judiciaire est occupé par des contentieux verbaux, conséquence d'un quotidien où la parole pèse lourd et où chacun croit trouver en sa personne l'honneur et la considération dévolus aux nobles. Insultes, propos diffamants, démentis ou défis et menaces, nous renseignent beaucoup sur les sensibilités et les qualités estimables des habitants: intégrité physique et retenue chez les femmes; intégrité morale et honneur de la famille, à l'imitation du monde noble, chez les hommes. La sociabilité manosquine, dense et publique, encourage les atteintes à l'honneur, et les habitants jugent légitimes de préserver leur réputation par des plaintes en justice. Mais les Hospitaliers, seigneurs ecclésiastiques, vont minimiser ces poursuites, puis récupérer, à la faveur de la récession des années 1310, le monopole de l'estime sociale. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
|
66 |
Histoire d'un mot : l'ethnonyme "Canadien" de 1535 à 1691Carpin, Gervais 19 April 2018 (has links)
Ce mémoire raconte l'histoire de l’ethnonyme Canadien depuis sa première rencontre attestée dans un texte jusqu'au moment où il nomme les habitants français du Canada, et de façon suffisamment fréquente pour le considérer définitivement installé dans la langue. Le mot évolue de glissements en transferts de sens: de l'Iroquoien du Saint-Laurent de Cartier à l'habitant français nommé Canadien par le roi Louis xiv lui-même, en passant par le Gaspésien de Champlain et la «Canadoise de cœur» de Marie de l'Incarnation. Chaque sens produit se dégage d'un travail de mise en contexte historique mais aussi linguistique. Cette histoire révèle le moment d'une prise de conscience, au moins chez certains auteurs, d'une identité particulière au groupe de colons. Les sources qui m'ont permis d'écrire cette histoire sont la majeure partie des textes imprimés écrits en français entre 1535 et 1663; à partir de 1663, devant l'abondance des sources, il a fallu choisir et sélectionner une série lisible d'un ensemble de documents pour interpréter la mise en place de Canadien pour désigner un «naturel français né au Canada». / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
|
67 |
Les domestiques au Canada en 1681 : étude d'un groupe à partir du recensement nominatif de la Nouvelle-France de 1681Panzani, Florent 25 April 2018 (has links)
Le groupe des domestiques présents au Canada en 1681 et retrouvés dans le recensement nominatif de cette même année possède des caractéristiques qui lui sont propres. Principalement composé de jeunes hommes, issus en majorité de l'immigration mais aussi des premières générations de Canadiens, il se distingue des autres classes professionnelles et sociales de par la répartition des individus à travers tout le territoire et dans des foyers de toutes classes sociales, ainsi que par ses fonctions très étendues, depuis la simple servante, jusqu'à l'infirmier. De ce métier qui semble n'être qu'un passage dans la vie de beaucoup ressortiront des individus aux destins divers, la plupart devenant agriculteurs, d'autres ayant des opportunités d'ascension sociale plus surprenantes. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
|
68 |
Les transformations de la justice au XIIIe siècle : l'exemple de Manosque (1240-1320)MacCaughan, Patricia 25 April 2018 (has links)
La ville de Manosque en Provence conserve un fonds d'archives judiciaires exceptionnellement rare remontant aux années 1240. Ses registres criminels permettent l'observation de la procédure judiciaire alors en transition, passant d'une procédure accusatoire à un modèle basé sur l'enquête (procédure inquisitoire). Les modalités concrètes de cette transition procédurale et ses implications sur le développement des institutions judiciaires et des conceptions médiévales en matière de justice ne sont pas bien connues. Nos premières recherches ont permis de situer l'implantation de la nouvelle procédure inquisitoire à Manosque à une époque légèrement antérieure à celle des registres étudiés. Ce constat sur la procédure en vigueur à Manosque vient nuancer la thèse généralement admise en histoire qui fixe ce passage pour les justices seigneuriales au tournant du XlVe siècle. Cette étude s'emploie donc à observer la transition procédurale de 1240 à 1320, afin de bien cerner d'une part, l'adoption du nouveau modèle inquisitoire et d'autre part, la modification des institutions et des conceptions médiévales en matière de justice. De plus, cette thèse entend privilégier une approche interdisciplinaire sollicitant l'apport du droit dans l'analyse et la réflexion historiques. Pour ce faire, le support documentaire de la thèse comprend, en plus des registres criminels manosquins, d'autres sources de l'activité juridique de l'époque. Les documents relatifs à la juridiction municipale sont mis à contribution. De plus, des traités de droit écrits à l'intention des praticiens complètent le corpus documentaire en permettant de mieux cerner les relations qui s'établissent entre les modèles juridiques et la pratique d'une cour de justice. L'étude de la justice et de la procédure appliquées à Manosque suggère donc celle du droit médiéval. Contribuer à l'augmentation des connaissances sur la procédure judiciaire du Moyen Age dont les modalités concrètes sont encore mal connues et proposer une analyse historique de la justice médiévale qui n'en néglige pas les aspects juridiques: telles sont les grandes visées de cette thèse. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
|
69 |
Une femme d'affaires en Nouvelle-France, Marie-Anne BarbelPlamondon, Lilianne 11 April 2018 (has links)
De nombreuses études privilégient le rôle des femmes dans la colonisation de la Nouvelle-France mais la plupart d'entre elles s'inscrivent dans un courant historiographique qui favorise l'image de la sainte et de l'héroïne, ou celle de la mère. Les noms de Marguerite Bourgeoys, Marie de l'Incarnation, Jeanne Mance, Marguerite d'Youville et Madeleine de Verchères sont les plus connus. Marie de l'Incarnation, à elle seule, a suscité l'attention d'une quarantaine de biographes, surtout des religieuses. Quand les historiens se détachent de la sainte et de l'héroïne, ils se tournent vers la mère. Elle devient à son tour un objet de vénération comme le proclame Monseigneur Albert Tessier: "Recueillons-nous devant les visages apaisés des mamans dont l'influence continue de s'exercer sur nos façons de penser, de vivre, d'accepter les joies ou les épreuves. Toutes les femmes qui ont aimé, souffert, prié, nous demandent de nous souvenir de la beauté de leur vie, da la droiture de leur âme, de la haute qualité de leur esprit. Ouvrons nos coeurs au message qu'elles nous envoient par-delà l'espace et le temps." Le chanoine Lionel Groulx, pour sa part, parle du prestige de la mère dans la famille à cause "du rôle considérable tenu alors par la femme dans la société de France et même dans la société religieuse. Dans une description frappante, Jean Lemoyne souligne ce mythe de la mère canadienne-française marquant l'univers culturel du Québec jusqu'aux années I960: "(...); la mère canadienne-française se dresse en calicot sur son "prélart", devant un poêle et une marmite, un petit sur la hanche gauche, une grande cuillère à la main droite, une grappe de petits aux jambes et un autre petit dans le ber de la revanche, là, à côté de la boîte à bois". Cette image de la mère canadienne-française est née au XIXe siècle; la religieuse, la dévouée mystique et l'héroïne ont été mises en relief dans une histoire qui se voulait une "épopée". Même si les "saintes" et les "héroïnes" ont joué un rôle indiscutable dans l'édification de la colonie française du Saint-Laurent, il n'y a pas eu que ce type de femmes en Nouvelle-France. Certaines femmes se sont lancées dans les activités commerciales et financières, à la suite de leur mari ou de leur propre initiative. C'est là qu'on retrouve entre autres les Thérèse de Couagne, veuve Poulin de Francheville, Madame de Repentigny, Madame et Mademoiselle de Ramezay, les célèbres demoiselles Desaulniers et Marie-Anne Barbel, veuve Fornel. Rares, très rares sont les historiens qui se sont attardés à l'étude de ces "femmes d'affaires". Parfois citées à l'intérieur d'un article, leurs activités n'ont jamais été l'objet d'une analyse systématique. Pourtant la vie de ces femmes ne présente pas moins d'intérêt; les événements qu'elles ont vécus de façon particulière jettent une lumière nouvelle sur leur milieu par le biais des pressions sociales, économiques et politiques qu'elles ont connues. La richesse de la biographie historique se situe dans cette perspective. Ainsi, l'étude de la vie d'une femme active en affaires comme Marie-Anne Barbel permettra de comprendre certaines facettes du monde colonial à travers ses relations sociales, le cadre juridique, la vie commerciale et financière de la Nouvelle-France. Une documentation assez abondante quoiqu'incomplète nous a assez bien servie* Les minutes de plusieurs notaires de même que les registres de la prévôté de Québec nous ont fourni la plupart des renseignements pertinents. Le fonds Fornel est très pauvre et ne recèle que des copies de quelques actes importants mais facilement retrouvés ailleurs dans leur version originale. Les ordonnances des intendants, les documents de la prévôté de Québec et deux séries des Archives des Colonies sont venus compléter les informations déjà recueillies. Il aurait été très intéressant de retrouver des livres de compte pour pouvoir dresser un tableau des activités marchandes de la veuve Fornel et de son mari. Peut-être ont-Ils brûlé avec la maison de Place Royale lors de l'incendie de 1759. De même n'avons-nous pu retracer aucun compte de gestion de la ferme de Tadoussac par la veuve Fornel et Cie, d'où l'impossibilité d'analyser en profondeur cette administration. Un seul document nous laisse entrevoir le montant des profits qui en ont été tirés. Comme femme active en affaires, Marie-Anne Barbel ne constitue certainement pas une exception pour l'époque. En France, les femmes de marchands bourgeois secondaient assez souvent leur conjoint, et même dans la colonie, des femmes se sont occupées de commerce et d'industrie. Louise Dechêne nous dit d'ailleurs que ce type de femmes existait déjà au XVIIe siècle à Montréal: "Laissées seules, elles se révèlent souvent d'excellentes administratrices, ce qui prouve qu'elles étaient déjà très mêlées à l'entreprise familiale qu'il s'agisse d'un bien rural ou d'un commerce." Marie-Anne Barbel appartient à cette catégorie* Elle s'en distingue cependant par l'ampleur et la variété de ses activités. Marier-Anne Barbel n'est pas seulement femme de bourgeois mais aussi femme d'affaires, ou du moins une femme active en affaires. Son héritage social et économique représente un solide point de départ d'où elle se lance dans des activités commerciales et financières. Les liens étroits entre le politique, l'économique, le social et le juridique tissent la trame sur laquelle s'enfilent les événements de sa vie. La faveur des gens en place dans l'administration coloniale a toujours été une aide précieuse pour les ambitieux: François-Etienne Cugnet, directeur du Domaine d'Occident, le savait; Marie-Anne Barbel l'a appris. Les activités des marchands reposaient en grande partie sur le commerce des fourrures. L'exploitation des postes de l'Ouest ou de la côte du Labrador en attirait plusieurs et l'obtention de ces postes était de loin facilitée quand le marchand ou le négociant avait de bonnes relations avec l'intendant ou le gouverneur. Les relations sociales que se créait un individu avaient aussi une grande importance. Enfin le cadre juridique imposé par la Coutume de Paris laissait, à la femme célibataire et majeure ou à la veuve, un éventail assez vaste de possibilités. Il s'agit d'abord de situer le cadre social et économique dans lequel a vécu Marie-Anne Barbel jusqu'à la mort de son mari. Puis, l'analyse portera sur la nature, la variété, l'ampleur et le degré de succès des activités auxquelles elle s'est consacrée ainsi que sur les causes qui l'ont conduite à se retirer d'une vie commerciale et financière active. Enfin, en examinant les différents aspects de la liquidation de la communauté, il sera possible de saisir la richesse des Fornel que Marie-Anne Barbel a contribué à établir pendant les quinze à vingt années de sa vie de "femme d'affaires". L'histoire retiendra donc le nom de Marie-Anne Barbel, veuve Fornel comme celui d'une femme qui s'est attachée plus particulièrement à la vie commerciale et financière de la Nouvelle-France. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
|
70 |
Le syndicalisme chez les cordonniers de Québec: 1900-1930Charland, Jean-Pierre 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
|
Page generated in 0.0338 seconds