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La fondation de l'enseignement classique féminin au Québec, 1908-1926.

Plante, Lucienne 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Ludger Duvernay et la Minerve : étude d'une entreprise de presse montréalaise de la première moitié du XIXe siècle

Lebel, Jean-Marie 25 April 2018 (has links)
Si, d'une part, le contenu et l'idéologie de plusieurs imprimés furent l'objet de multiples recherches, d'autre part, les divers aspects de la production et les producteurs de ces Imprimés, les éditeurs et imprimeurs, sont souvent demeurés dans l'ombre. Cette thèse est consacrée à l'étude de l'un des principaux imprimeurs montréalais de la première moitié du XIXe siècle, Ludger Duvernay (1799-1852) et à son entreprise de presse, l'atelier de la Minerve. Né à Verchères, Ludger Duvernay fit son apprentissage du métier d'imprimeur à Montréal sous la direction de Charles-Bernard Pasteur. Après avoir pratiqué son métier durant quelques années à Trois-Rivières, il fut de retour à Montréal en 1827. Il loua alors l'atelier d'imprimerie de Jean Dominique Bernard, devint l'imprimeur du Canadian Spectator et acquit le journal la Minerve fondé quelque temps auparavant par Augustin-Norbert Morin. Sous l'habile direction de Duvernay, la Minerve s'imposa en peu de temps comme étant le principal journal de langue française de Montréal et devint le principal organe d'information du parti patriote. En 1829, Duvernay acquit 1'imprimerie de James Lane et devint le principal producteur montréalais de livres et brochures. Il imprima principalement des manuels scolaires et des almanachs. A cause de la faiblesse du marché, toute autre publication se révélait souvent périlleuse. Duvernay l'apprit à ses dépens lors de la publication du Traité sur les lois civiles du Bas-Canada, ouvrage de plus de 900 pages et qui s'adressait à un public restreint, qui lui causa de nombreux tracas et des pertes financières. Avant 1837, Duvernay, membre du parti patriote, mit souvent son établissement au service des idéaux de ce parti, produisit plusieurs imprimes qui furent déficitaires et fut emprisonne à quelques reprises. Son attitude se transforma lors de son exil, de 1837 à 1842, aux Etats-Unis. A son retour, il fut un homme d'affaires beaucoup plus prudent. Son atelier demeura toutefois comme avant la Rébellion, un lieu de rencontres et de discussions. Il concentra ses efforts dans la publication de la Minerve et délaissa le domaine de la production du livre. Ses concurrents montréalais de langue anglaise, dont plusieurs s'étaient associes, devinrent les principaux entrepreneurs de presse et dominèrent le marché durant quelques décennies. Duvernay, isolé, ruiné lors de la Rébellion, demeura un artisan, tandis que ses concurrents anglophones, qui possédaient des ressources financières plus considérables et un marché plus vaste, se mécanisèrent et devinrent des industriels. La concurrence entre les journaux montréalais de langue française était constante et souvent impitoyable. Si des divergences politiques ou idéologiques les opposaient, ils luttaient d'abord et avant tout pour leur propre survie. La moindre perte d'abonnes ou d'annonceurs pouvait être fatal. Peu de journaux survivaient au-delà de quelques années. Duvernay, habile manoeuvrier, homme de métier r aguerri et homme d'affaires avise, put maintenir en vie son entreprise au cout d'un labeur incessant. Cette étude reconstitue chacun des aspects d'une entreprise de presse: les locaux, le matériel, les techniques, le personnel, les sources de revenus, et analyse la production imprimée. Ludger Duvernay avait surtout attire !'attention auparavant en tant que membre du parti patriote et fondateur de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal. Cette étude nous permet de connaitre un Duvernay qui était demeure méconnu: l'homme de presse. Il mit sur pied, en dépit de conditions socio-économiques difficiles, la première véritable entreprise de presse canadienne-française. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La transformation du quartier Saint-Roch de Québec : 1921-1961

Ross, Pierre 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Marie de l'Incarnation, une femme supérieure

Marie, Antonia, 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Le chemin de fer de Québec au Lac Saint-Jean (1854-1900)

Gagnon, Rodolphe 23 May 2019 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2019
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"Le songe est la règle de nos vies" : le rêve chez les Iroquoiens des XVIIe et XVIIIe siècles

Caissy, André 20 April 2018 (has links)
Les Iroquoiens des XVIIe et XVIIIe siècles sont parmi les nombreux peuples qui ont accordé une importance centrale a l'univers onirique. Les songes permettaient un contact fréquent et intense avec le monde surnaturel et leur influence s’étendait dans tous les domaines de la vie iroquoienne. Dans la présente étude, on cherchera à préciser les origines du rêve selon les Iroquoiens ainsi que sa nature et ses fonctions. De plus, les attitudes individuelle et communautaire face aux songes feront l'objet d’une attention particulière. Cette analyse permettra de parvenir à des constats originaux sur les relations entre individus et communauté ainsi que sur certaines valeurs essentielles chez les Iroquoiens de l’époque. Le traitement du rêve s’intègre dans les concepts d’échange et de réciprocité fondamentaux aux sociétés iroquoiennes. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Les Protestants en Nouvelle-France

Bédard, Marc-André 11 April 2018 (has links)
Les premières tentatives de colonisation française en Amérique se déroulent à une époque où la France, gagnée par la Réforme, est le théâtre de conflits politico-religieux suscités par les tenants du protestantisme et du catholicisme. C'est alors que naît chez des hommes comme l'amiral Coligny l'idée d'établir hors de France, mais sous son égide, un foyer de peuplement pour les protestants du royaume. Les expéditions françaises au Brésil, en Floride et en Caroline sont des tentatives conduites par des réformés pour établir un lieu de refuge pour leurs coreligionnaires. Les comptoirs mis sur pied à Tadoussac, Port-Royal et Québec avant 1627 sont des établissements à caractère plus spécifiquement commercial. Il s'agit toujours cependant de tentatives de colonisation entreprises par des protestants sous l'égide de la France. En ce sens, elles se situent dans la même ligne que les précédentes. François-Xavier Garneau est le premier auteur qui voulut insister sur l'importance des protestants au début de la Nouvelle-France. Ce dernier désirait surtout remettre en cause le bien-fondé de leur exclusion de la colonie en 1627 par la charte de fondation de la Compagnie des Cent Associés. Or il se trouvait à exposer des idées qui allaient contre l'image d'une Nouvelle-France entièrement française et catholique; plusieurs passages qui traitent des protestants furent alors remaniés et même coupés dans certaines éditions postérieures de son ouvrage. Pourtant cette exclusion de 1627, regrettée et soulignée par Garneau, ne signifie pas la cessation de l'arrivée des protestants au Canada. Tout au long du régime français, leur présence est signalée par plusieurs écrits civils et religieux. D'où l'intérêt de connaître non seulement les premières tentatives de colonisation effectuées par des réformés avant 1627, mais aussi de suivre la prolongation de cette présence après la fondation de la Compagnie des Cent Associés. Après cette date, les protestants sont théoriquement exclus du territoire de la Nouvelle-France, mais des ressortissants protestants vont quand même venir et réussir à s'installer dans la colonie. Dans le présent travail, nous parlerons d'abord brièvement des premières tentatives de colonisation protestante en Nouvelle-France avant 1627. Nous tenterons d'établir ensuite que la présence protestante se continue dans cette colonie tout au long de la domination française. Nous nous demanderons alors qui sont ces réformés? quel sort leur est réservé dans le pays? et comment ils réagissent à la situation qui leur est faite? Peu d'ouvrages ayant été écrits sur le sujet qui nous concerne, nous avons surtout utilisé les sources pour la rédaction de ce travail. Les témoignages des pères Sagard, Le Clercq, de Charlevoix ainsi que les écrits de Champlain nous ont permis de suivre les différentes querelles opposant catholiques et réformés dans les premiers établissements français. La Série C 11A et la Série B des Archives coloniales françaises conservées sur microfilms aux Archives nationales du Québec ont contribué à retracer les nombreuses allusions à la permanence de la présence des protestants au pays; il en va de même pour les Archives du Séminaire de Québec. Pour retrouver le nom des différents protestants établis tout au long du régime français, nous avons surtout utilisé l'ouvrage posthume du père Archange Godbout complété par M. Roland-J. Auger, "Familles venues de La Rochelle en Canada". Nous avons poursuivi notre cueillette dans le Registre des Abjurations de l'Archevêché de Québec et dans les différents Registre des malades de l'Hôtel-Dieu de Québec. Les autres écrits signalés en bibliographie ont contribué largement à compléter cette information et à esquisser ce portrait des protestants de la Nouvelle-France. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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The makers of Acadian history in the nineteenth-century

Clarke, Patrick D. 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Quelle histoire pour quel avenir du Canada? : le débat sur la mise en histoire du passé du Canada depuis 1990

Latour, Kareen 11 April 2018 (has links)
La présente étude a pour but d'expliquer la nature et l'orientation du débat actuel sur la mise en histoire du passé du Canada. Pour ce faire, de nombreux documents (livres, articles de périodiques et de journaux, actes de colloques, etc.) ont été analysés. Notre mémoire présente les origines de ce débat dans les années 1990 et propose une vue d'ensemble des principaux arguments que défendent les historiens et autres intellectuels canadiens qui y participent. Cette démarche nous permet de faire ressortir la multiplicité des éléments de tension et de division qui structurent le discours sur l'histoire du Canada. Dans un premier temps, nous exposons la perspective des historiens des régions. Par la suite, nous abordons le débat par l'entremise des historiens du national et des historiens du social. Enfin, un dernier chapitre est consacré au cas particulier du Québec, (mi)lieu où le débat n'a pas les mêmes résonances. Globalement, nous analysons le contenu de l'histoire nationale, régionale et sociale, mais aussi l'espace accaparé par ces domaines dans la trame de l'aventure historique canadienne. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Ensemble! : revue de la coopération, 1940-1951

Deschênes, Gaston 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012

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