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L'Université de Montréal de 1852 àe 1865 : tentatives de fondation

Rousseau, Michèle Dumas 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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"Le songe est la règle de nos vies" : le rêve chez les Iroquoiens des XVIIe et XVIIIe siècles

Caissy, André 20 April 2018 (has links)
Les Iroquoiens des XVIIe et XVIIIe siècles sont parmi les nombreux peuples qui ont accordé une importance centrale a l'univers onirique. Les songes permettaient un contact fréquent et intense avec le monde surnaturel et leur influence s’étendait dans tous les domaines de la vie iroquoienne. Dans la présente étude, on cherchera à préciser les origines du rêve selon les Iroquoiens ainsi que sa nature et ses fonctions. De plus, les attitudes individuelle et communautaire face aux songes feront l'objet d’une attention particulière. Cette analyse permettra de parvenir à des constats originaux sur les relations entre individus et communauté ainsi que sur certaines valeurs essentielles chez les Iroquoiens de l’époque. Le traitement du rêve s’intègre dans les concepts d’échange et de réciprocité fondamentaux aux sociétés iroquoiennes. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La technologie traditionnelle du moulin à vent au Québec : mécanisme et fonctionnement

Dionne, Pierre-Yves 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Les ramancheurs Boily au Québec

Gauthier, Serge 25 April 2018 (has links)
Le ramancheur, soigneur empirique qui se spécialise dans le replacement des os défaits, connaît une grande popularité au Québec depuis le XIXe siècle. Des familles entières, qui se transmettent le savoir d'une génération â l'autre, pratiquent cet art dans différentes régions. Parmi ces lignées familiales de ramancheurs, celle des Boily attire davantage l'attention, puisque sa très bonne réputation en ce domaine s'impose un peu partout au Québec. La pratique du ramancheur paraît fort ancienne. Dès la Grèce antique, Hippocrate décrit dans ses traités médicaux sur les fractures et les articulations, des procédés qui s'apparentent 3 ceux des ramancheurs. Jusqu'à l'apparition de la médecine scientifique vers la fin du XIXe siècle, ramancheurs et médecins soignèrent les os d'une manière semblable, malgré les progrès de la science, les méthodes de guéri son employées par le ramancheur n'évoluent toutefois pas. Bien connu dans son milieu social, le ramancheur exerce indistinctement dans les villes et les campagnes. Sa clientèle provient de toutes les classes sociales, même si le milieu populaire requiert le plus fréquemment ses services. Il soigne surtout les entorses, les luxations et les fractures de ce domaine; le ramancheur opère peu. Il prescrit rarement des médicaments. La famille Boily exerce le métier de ramancheur depuis près de 200 ans. Originaire de la région de Charlevoix, cette lignée de soigneurs des os se fait aussi connaître au Saguenay-Lac-Saint-Jean, a Québec et â Montréal. Plusieurs ramancheurs de cette famille détiennent un prestige remarquable. Par ailleurs, les problèmes légaux assaillent les ramancheurs. Leur pratique est interdite clairement par la loi. Ils subissent avec régularité des poursuites judiciaires. Cet état de choses les oblige â transformer l'exercice de leur métier. De façon évidente cependant, la médecine "douce" ou écologique tend actuellement â récupérer â son compte le savoir traditionnel du ramancheur. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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L'historiographie de la Siba au Maroc

Mezouri, Ahmed 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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L'évolution du travail de la femme au Québec de 1940 à 1970

Gosselin, Francine Barry 11 April 2018 (has links)
En cette année internationale de la femme, l'intérêt d'une étude de l'évolution du travail féminin au Québec n'a pas besoin de longue justification, d'autant plus qu'il n'existe aucune étude globale de ce phénomène, pourtant indispensable à la compréhension et à la juste évaluation des transformations de la société québécoise. C'est d'abord par le biais d'une recherche sur les "Mutations récentes de la société québécoise", menée à l'Institut Supérieur des Sciences humaines de l'Université Laval et à laquelle nous avons participé à titre d'assistante de recherche, que notre intérêt pour le sujet s'est manifesté. Cet intérêt s'est par la suite nourri au courant historiographique encore très jeune au Québec qui tente de lever le voile sur l'histoire des travailleurs. Notre recherche a donc un double objectif; d'une part, ajouter une facette a l'analyse de l'évolution de la société québécoise et d'autre part, jeter un premier coup de sonde dans l'histoire d'une catégorie de plus en plus importante parmi les travailleurs québécois. La période que nous avons choisi d'étudier, qui s'échelonne du second conflit mondial au début de la présente décennie, ne marque pas, loin de là, le commencement du phénomène du travail de la femme au Québec. La société rurale traditionnelle du siècle dernier, dont l'organisation économique de base était la famille, laissait en effet une large part au travail de la femme. Le tissage, la confection, la cuisine, le blanchissage, le jardinage et certains travaux aux champs étaient autant d'activités presque exclusivement prises en charge par les femmes à l'intérieur de la cellule autarcique familiale. La responsabilité de l'enseignement, du soin aux malades et des services sociaux revenait de plus aux femmes dont les services n'étaient pas entièrement absorbés par la famille. Le travail de la femme restait cependant presque toujours bénévole et échappait ainsi au calcul statistique de la population active . L'industrialisation est venue transformer profondément la structure du travail féminin en envahissant progressivement les domaines qu'il monopolisait. Le développement de l'industrie textile ou de l'alimentation projetait ainsi hors du foyer la fabrication de produits autrefois réservés à l'artisanat familial; même sur la ferme, la machine commençait à remplacer l'homme. L'urbanisation, corollaire de l'industrialisation, devait également concourrir à la transformation du travail féminin, par l'accroissement des services créant une foule d'emplois rémunérés convenant aux femmes. En quittant l'autarcie rurale, la famille québécoise voyait s'accroître ses besoins en biens de consommation et en services et les jeunes filles étaient ainsi progressivement forcées de participer aux revenus de la famille par un travail rémunéré hors du foyer. Du milieu du siècle dernier au début du XXe siècle, l'industrialisation et l'urbanisation entraînent ainsi les femmes sur le marché du travail rémunéré en dehors de la famille. Au recensement de 1901, 15% des femmes de 10 ans et plus font déjà partie de la population active, constituant un peu plus du dixième de la main-d'oeu2 vre totale au Québec . Cette participation des femmes à la maind'oeuvre s'accroît à un rhythme accéléré jusqu'à la crise économique qui entraîne un ralentissement momentané du taux de croissance de cette participation; en effet, entre 1911 et 1921, l'augmentation de la main-d'oeuvre féminine est de 39.09% et entre 1921 et 1931 elle atteint 46.71%, taux de croissance exceptionnel qui ne sera dépassé que dans la décennie 1961-1971; dans la décennie de la crise, 3 l'augmentation de la main-d'oeuvre féminine n'atteint que 29.11% . Ce ralentissement, dû au chômage généralisé et aux campagnes virulentes contre le travail des femmes, prend fin avec la seconde guerre mondiale qui provoque une nouvelle augmentation de la participation des femmes à la main-d'oeuvre. Les trois décennies qui constituent le cadre chronologique de notre recherche voient le phénomène du travail de la femme prendre de l'ampleur et surtout se transformer profondément par l'entrée des femmes mariées sur le marché du travail. Cette nouvelle ampleur du phénomène et les transformations qu'il connaît entre 1940 et 1970 devaient conduire et le monde du travail et la société globale à réviser ses positions et à s'adapter progressivement à la réalité du travail de la femme. L'optique générale que nous avons choisi de prendre pour la conduite de notre recherche en est une de synthèse plutôt que d'analyse détaillée. Cette synthèse ne s'appuie sur aucun modèle théorique défini, comme le modèle marxiste; il s'agit plutôt d'une analyse factuelle de la situation qui vise à respecter la méthode historique, soit la représentation d'une réalité passée dans son déroulement et sa complexité. Il s'agit avant tout pour nous de dresser un tableau des principaux aspects de l'évolution du travail de la femme au Québec depuis la seconde guerre mondiale. Cette évolution peut être abordée selon trois aspects: l'aspect statistique, l'aspect professionnel et l'aspect social. Par le biais des statistiques, nous pouvons retracer l'évolution quantitative de la participation féminine à la main-d'oeuvre et de sa répartition selon les grandes divisions professionnelles et les caractéristiques personnelles des travailleuses (âge, état civil, scolarité). Les recensements décennaux du Canada constituent la principale source de ce tableau statistique. Nous aurions pu utiliser d'autres données statistiques, beaucoup plus détaillées, comme celles fournies par le ministère du Travail, mais le caractère global de notre recherche nous a incitée à mettre de côté les données trop spécifiques, d'ailleurs souvent difficiles à comparer d'une année ou d'une décennie à l’autre. Le second aspect étudié est celui des conditions de travail des femmes depuis 1940, aspect que nous avons précédemment qualifié de professionnel. Il s'agit avant tout ici de faire ressortir les principaux aspects des conditions de travail qui ont soulevé le plus de revendications tout au long de la période et de tracer l'évolution qualitative de celles-ci. Les revendications syndicales, exprimées dans les procès-verbaux, les mémoires et les journaux de la C.T.C.C. - C.S.N. et de la F.T.Q., et les revendications des mouvements ouvriers, J.O.C. et L.O.C, exprimées dans leurs journaux respectifs ou dans la presse écrite, constituent une première source pour l'étude des conditions de travail. La Gazette du Travail, organe officiel du ministère fédéral du Travail, fournit pour sa part de nombreuses données et études sur les conditions de travail telles que perçues par le gouvernement. L'étude d'un certain nombre de conventions collectives régies par décret permet de vérifier et de compléter l'analyse de l'aspect professionnel du travail féminin. Enfin, les mesures gouvernementales telles qu'enquêtes et législations complètent la base documentaire notre documentation; ainsi nous n'avons pas cru essentiel d'analyser les positions de tous les syndicats, à cause de l'orientation souvent trop spécifique de certains, comme la C.E.Q. L'aspect social de l'évolution du travail de la femme au Québec tente pour sa part de retracer l'attitude de la société face à ce phénomène. A cause de la difficulté de cerner la société d'une façon globale, nous avons privilégié certains groupes sociaux pour l'analyse de leur attitude face au travail féminin; les gouvernements, les syndicats et mouvements ouvriers, l'Eglise et les mouvements religieux, les élites nationalistes et intellectuelles sont ainsi les principaux porte-parole de la société retenus pour l'étude de l'aspect social du travail de la femme. L'opinion publique telle que véhiculée par les journaux et revues vient compléter notre découpage de la société. Ici plus que partout ailleurs dans notre recherche, il était impossible de songer à récupérer de façon exhaustive les prises de position et les opinions de tous les groupes intéressés. Outre les sources utilisées dans les chapitres antérieurs, les périodiques, les études et thèses et enfin, l'ensemble des mémoires québécois soumis à la Commission royale d'enquête sur la situation de la femme au Canada servent d'assise documentaire à ce tableau de l'évolution de l'attitude de la société québécoise face au travail de la femme. Un autre aspect important de l'évolution du travail féminin au Québec a été délibérément mis de côté, du moins en tant que chapitre distinct; il s'agit du syndicalisme féminin. La raison en est fort simple; une thèse de maîtrise en Relations 4 industrielles présentée à l'Université Laval en 1968 et l'étude 5 encore plus récente de Mona-Josée Gagnon font le tour du problème de la place de la femme dans le syndicalisme et de l'attitude du monde syndical face à la participation des femmes au monde du travail. L'aspect syndical n'est donc pas étudié comme tel mais plutôt par le biais des aspects professionnel et social. Le plan du travail reprend un à un les trois aspects retenus et la division à l'intérieur de chacun des chapitres est thématique dans les deux premiers et chronologique dans le dernier. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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L'union à Dieu dans le système hiérarchique du Pseudo-Denys l'Aréopagite

Lefebvre, Arianne 19 April 2018 (has links)
Les écrits du Pseudo-Denys l’Aréopagite (fin Ve siècle) présentent le mariage de deux univers de réflexions concernant le rapport de l’homme avec le divin : le platonisme et le christianisme. Dans un cadre hiérarchique rigoureux où ordres célestes et terrestres collaborent en vue de l’assimilation à Dieu, le Pseudo-Denys développe les modalités de l’union divine non seulement en s’appuyant sur les Écritures saintes, mais en s’inspirant des idées développées par les néoplatoniciens. Chez Denys, la relation avec Dieu est intimement liée aux intermédiaires qui la permettent. Ce sont tantôt les anges, tantôt le rituel ou encore les symboles scripturaires. Certains traités dionysiens laissent pourtant penser qu’il y a plusieurs voies vers l’union : une à l’intérieur de la hiérarchie, et une qui s’en écarte. Explorant le corpus dionysien et différentes lectures de spécialistes, cette recherche propose quelques avenues en faveur d’une compréhension juste de l’union divine dans le système dionysien.
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La Bataille de Châteauguay, d'après les historiens canadiens-français

Moorman, Harold N. 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Race and religion in the early career of Charles Fitzpatrick

Langham, Josephine 25 April 2018 (has links)
Charles Thomas Connolly Fitzpatrick had a spectacularly successful public career. A lawyer by profession, he represented the County of Quebec in the Quebec Legislature from 1890 to 1896. He represented the same constituency in the federal Parliament from 1896 to 1906 serving as Solicitor General and then as Minister of Justice in the Laurier administration. His political success paved the way for further eminence. On his retirement as Minister of Justice in 1906 he became Chief Justice of the Supreme Court. He received a knighthood in 1907, was made a member of the Imperial Privy Council in 1908 and served as Lieutenant Governor of Quebec from 1918 until 1923. For a period of almost forty years, from the time when he first came to public prominence as the defender of Louis Riel in 1885 until his retirement as Lieutenant-Governor of Quebec in 1923, Charles Fitzpatrick was close to the centre of power in Canada and, at times, wielded not inconsiderable influence and authority himself. Yet, despite his sixteen years in politics, despite his association with Honoré Mercier, his friendship with Wilfrid Laurier and his connections with the Borden Government as Chief Justice of the Supreme Court, Charles Fitzpatrick is not a well-known Canadian politician. In studies of the period he is always rather a peripheral figure. Even in his own day he did not attract a great deal of newspaper attention. To a large extent this is due to the personality and character of Charles Fitzpatrick himself. Charles Fitzpatrick was a careerist. Whilst he was interested in political principle and political policy his main efforts were directed towards securing his own advancement and he found it wiser to avoid public controversy. Although a Liberal for most of his life Charles Fitzpatrick was never an ardent partisan. Always publicly urbane and charming, he guarded his independence carefully and, in general, avoided too public a commitment on any issue which might damage his public career. He evaded, as far as possible, the fanaticisms of party principle and showed a remarkable ability to negotiate through the intricacies of racial and religious factionalism. A career of such obvious worldly success in Canadian politics is of Interest to the historian, not only because of the involvement with major national issues and prominent personalities of the day, but also as a study ln the art of political manipulation and political survival of which Charles Fitzpatrick was an extremely skilled practitioner. The last two decades of the nineteenth century, the period in which Fitzpatrick began his political career, were a time of increased racial and religious tension. The trial and execution of Louis Riel; the rise of aggressive Anglo Saxon-Protestantism as typified by the Equal Rights Assocation and the more pernicious Protestant Protective Association; the intensification of French-Canadian nationalism as exemplified by the government of Honoré Mercier; the suppression of Catholic and French rights in Manitoba; all served to increase suspicion and hostility between English and French, Catholic and Protestant, in Canada. In the absence of any over-riding sense of Canadian nationality, all the various racial and religious groups in Canada tended to emphasize their own uniqueness and be wary of outsiders. Charles Fitzpatrick was neither an Anglo-Saxon Protestant nor a French-Canadian Catholic but an Irish Catholic, born in the Quebec village of Ste. Foy close to Quebec City. In Quebec the main political power was in the hands of the French-Canadian majority, whilst the powerful Anglo-Scottish financial élite exercised considerable economic influence. The Irish Catholics were a recognizable cultural entity, largely the descendants of the immigrants who came in great waves to North America in the middle years of the century. Their political influence was mainly confined to certain constituencies which were regarded, particularly by the Irish themselves, as Irish Roman Catholic preserves. Irish Catholic politicians were expected to represent Irish Catholic interests. Charles Fitzpatrick, however, by a fortuitous combination of circumstances, family background, education and social contacts and, no less, by his own ability and talent, not only managed to escape the stereotype of the Irish Catholic politician but, for sixteen years, never defeated, he represented a constituency which was largely French-Canadian at a time of increased French-Canadian nationalism. This study will examine the early career of Charles Fitzpatrick from the trial of Louis Riel to the early days of his experiences as a federal politician when his diplomatic skill, legal ability and extraordinary sensitivity to the delicacy of racial and religious issues paid handsome dividends during the controversy over the Manitoba School settlement and laid the groundwork for his impressive public success. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Le nationalisme acadien dans le journal L'Évangeline, 1949-1960

Daigle, Raymond 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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