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Apprenticeship in early nineteenth century Quebec, 1793-1815

Ruddell, David Terence 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Les armes à feu portatives en Canada sous le régime français

Bouchard, Russel 25 April 2018 (has links)
Les armes â feu portatives plus précisément, ont conquis une certaine noblesse dans l'histoire du Canada car elles ont assuré sans conteste la poursuite de l'exploitation et de la mise en valeur d'un vaste territoire- Elles dépassent le niveau de simple objet pour devenir un véritable phénomène de civilisation. Le Canadien a toujours été difficile de l'imaginer autrement. D'ailleurs, encore aujourd'hui, ce symbole de liberté identifie l'Amérique par rapport au reste du monde. Ici ce ne sont pas uniquement l'armée et les nobles qui ont la possibilité de se défendre. Chaque citoyen, qu'il soit soldat, marchand, habitant, coureur des bois, simple domestique ou amérindien, a été directement mis en présence avec ces objets de mort ou de survie. Les droits reconnus à la protection de la vie et même de ses biens matériels, justifient légalement et moralement l'acquisition d'une arme à feu en vue d'une utilisation non souhaitable mais possible. Afin de bien faire ressortir toute la matière contenue dans le bassin de notre recherche, nous avons cru bon d'élaborer le sujet en tenant compte du circuit normal qu'avait â emprunter le matériel civil et militaire expédié au Canada. Dans un tout premier temps, les pays qui ont été impliqués dans la fabrication d'armes vendues au Canada, y compris un compte-rendu de ce qui s'est réellement fait en matière d'armurerie dans la colonie. En cernant ces quelques pays pourvoyeurs on pourra mieux comprendre l'évolution technique des armes à feu, dont la gamme évolue au gré de la mode, de la chronologie et de l'utilisateur. Par la suite, l'objet étant rendu à destination, c'est la vie même de l'arme à feu qu'il a fallu circonscrire à travers l'esprit des lois et réglementations. Ce sont certainement l'un des artefacts d'utilisation quotidienne qui ont suscité le plus d'attention de la part des autorités tant métropolitaines que coloniales. Partant de cette idée nous constatons que deux palliers de gouvernements, deux sociétés parallèles impliquant métropolitains et colons, deux sociétés totalement différentes bien que d'une même origine, ont exigé la mise en place de deux systèmes restreignant ou encourageant selon le cas l'utilisation des armes à feu. C'est pourquoi il a été nécessaire d'aller jeter un bon coup d'oeil sur ce qui se passait dans la mère-patrie en matière de règlementations et de comparer le résultat avec ce qui se passait au Canada. En dernier lieu, c'est le contact de l'arme à feu et de son propriétaire. Dans cette étape, situer la répartition dans le temps, le lieu et la société a été la grande question à élucider. Ceci nous a amené à établir la description des principaux modelés qui ont été populaires au Canada. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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L'exploitation de la glace naturelle au Québec

Bergeron, Yves 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Le chauffage domestique au Canada : des origines à l'industrialisation

Moussette, Marcel 25 April 2018 (has links)
A partir des données écrites et des objets de collection, l'auteur a décrit et montré l'évolution du chauffage de la maison au Canada depuis la période des premiers contacts entre les Européens et les Amérindiens du XVIe siècle jusqu'à l'industrialisation du pays, choisissant comme date limite 1867. Cet ensemble de traits culturels si importants dans un climat rigoureux comme le Canada a été d'abord regroupé en six points couvrant tout le champ du chauffage domestique: combustibles, production du feu, conservation et transport du feu, appareils de chauffage, accessoires des appareils de chauffage, et chauffage et milieu humain. Cette classification générale a servi de base aux trois premières parties de l'ouvrage auxquelles est venue s'ajouter une quatrième partie plus descriptive. La première partie porte sur le chauffage domestique chez les Amérindiens de l'est du Canada, i.e., ceux qui ont été le plus en contact avec les nouveaux venus français dans la vallée du Saint-Laurent. Pour le moment, â cause des données incomplètes sur le sujet, l'étude néglige les données archéologiques se rapportant à ces populations au moment des premiers contacts et se limite â l'interprétation des données écrites. La deuxième partie porte sur le chauffage domestique en Nouvelle-France. On essaie d'y démontrer comment les Français, abordant cette nouvelle terre d’Amérique, cet environnement physique et biologique, y ont adapté et transformé les traits culturels se rapportant au chauffage. Avec l'arrivée des Britanniques â la Conquête, nous assistons à l'infusion d'idées et de traits culturels nouveaux et surtout â une confrontation d'idées différentes avec la population autochtone qui vont faire que tout ce complexe culturel que constitue le chauffage domestique s'en trouvera profondément modifié au XIXe siècle. Ceci constitue la troisième partie. Enfin, dans le but de faire de cette thèse un véritable ouvrage de références utile aux chercheurs dans le domaine et même aux amateurs, antiquaires et autres personnes intéressées, on a inclu, dans une quatrième partie, toutes les données accumulées au long de la recherche sur les fabricants d'appareils de chauffage du Québec, de l'Ontario et même sur les appareils importés. Ces répertoires, organisés par ordre alphabétique de fabricants ou de manufacturiers, comprennent aussi des index de modèles d'appareils et de noms de personnes et de manufactures. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Les propriétés foncières des Ursulines et le développement de Québec (1854-1935)

LeBel, Alyne 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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La crèche Saint-Vincent-de-Paul et l'enfant né hors mariage (1901-1915)

Picard, Jacqueline 13 August 2019 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2019
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Opération survie : le parti conservateur à la recherche d'une nouvelle identité (1942-1948)

Doyon, J. Michel 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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L'alphabétisation de la Côte-du-Sud, 1680-1869

Hamelin, Pierre 25 April 2018 (has links)
L'alphabétisation peut se définir comme un moyen de communication entre les individus ou les groupes d'individus basé sur l'apprentissage des techniques de la lecture, de l'écriture et du calcul. La diffusion de ces techniques, enseignées séparément et non simultanément jusqu'au XIXe siècle, dépend de multiples facteurs. La situation géographique et climatique du pays ou de la région, son type d'économie, sa structure politique, sociale et religieuse, l'existence ou non d'un réseau d'écoles et la mentalité populaire favorable ou hostile à l'instruction influencent grandement le développement de l'alphabétisation. La Côte-du-Sud est une de ces régions où l'alphabétisation de la population subit ou profite de la conjoncture générale. Situé sur la rive sud du Saint-Laurent, ce territoire s'étend grosso modo de Berthier à Rivière-du-Loup (ouest-est) et du fleuve aux frontières américaines (nord-sud). Son économie repose essentiellement sur l'agriculture. Les ressources de la pêche et de la forêt sont également exploitées. Quelques industries se retrouvent à Rivière-Ouelle (huiles de poisson), mais surtout à Saint-Thomas. La colonisation de la Côte-du-Sud a commencé au milieu du XVIIe siècle, les bonnes terres de la région de Québec étant rapidement occupées. Saint-Thomas deviendra d'ailleurs renommée pour le rendement et la qualité de ses récoltes de blé. Entre 1680 et 1869, l'alphabétisation de la Côte-du-Sud ne diffère pas beaucoup de celle de la province de Québec. Peu de gens signent les registres paroissiaux à l'occasion de leur mariage (moins de 20%). Sur les cinq paroisses que nous avons étudiées, Saint-Thomas, L'Islet et Berthier possèdent les meilleurs résultats (18.9% â Berthier et 21.8% dans les deux autres localités). Cap Saint-Ignace et Rivière-Ouelle suivent avec respectivement 14.1 et 12.6%. Les habitants de ces deux paroisses vivant dispersés sur un territoire assez grand, il leur est plus difficile d'envoyer leurs enfants à l'école, quand il y en a. Les femmes possèdent une alphabétisation presque aussi bonne que celle des hommes (18.3% contre 18.4%). Leur force musculaire étant généralement considérée moins grande que celle des hommes, elles sont davantage disponibles pour aller à l'école. Le garçon, lui, travaille. Aussi, peu à peu, les filles surpassent leurs homologues masculins (XIXe siècle). Seuls les hommes de Berthier signeront toujours plus que leur épouse. L'alphabétisation varie également selon le métier ou le groupe socioprofessionnel des conjoints. Les gens pratiquant une profession qui exige une solide instruction (professions libérales, marchands, etc.) savent très majoritairement signer. Par contre, ceux qui effectuent des travaux manuels (cultivateurs, journaliers, etc.) ignorent pour beaucoup l'usage de l'écriture. Le degré d'alphabétisation d'une personne correspond donc à l'utilité qu'une telle technique, coûteuse et ardue (savoir écrire demande beaucoup d'effort), peut avoir dans la vie quotidienne. L'âge et la nationalité des individus jouent aussi un rôle important dans le développement de l'alphabétisation. Les jeunes filles et les hommes adultes signent d'ailleurs plus que les autres. L'origine ethnique nous montre de son côté des différences de comportement face à l'alphabétisation. Ainsi les Anglais et les Français signent plus que les Canadiens français. Les pays perçoivent plus ou moins bien l'importance de l'alphabétisation et favorisent l'instruction de leurs populations au gré des intérêts nationaux. En Nouvelle-France, l'instruction est laissée entre les mains du clergé, suivant ainsi la tradition venue d'Europe. Il n'existe pas d'écoles à cette époque sur la Côte-du-Sud. Quelques maîtres ambulants et les curés éduquent les enfants. Les premières législations scolaires (1801: Institution Royale, 1824: Loi des écoles de Fabrique) ne donnent pas les résultats escomptés. L’apathie générale n'est guère secouée. La loi de 1829 augmente le nombre des écoles, mais la qualité de l'enseignement demeure médiocre. Il faut attendre 1841 et 1846 pour que le système scolaire prenne forme et dure jusqu'à nos jours. Au début, la population de la Côte-du-Sud, et du Québec en général, a mal accueilli ces lois, surtout à l'imposition d'une taxe pour le maintien des écoles (Guerre des Eteignoirs). Peu à peu, les mentalités se sont cependant transformées et les gens ont perçu l'importance d'instruire leurs enfants. L'alphabétisation populaire en a évidemment beaucoup profité. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La morphologie des grèves au Québec, 1940-1970 : une analyse quantitative

Ouellet, Richard 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Production sociale de l'individualité et médiation juridique dans la transition du féodalisme au capitalisme d'après les recueils de jurisprudence du Parlement d'Aix-en-Provence publiés par Hyacinthe de Boniface

Larue, Richard 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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