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Linodlare, väverskor och köpmän : linne som handelsvara och försörjningsmöjlighet i det tidiga 1800-talets Hälsingland /Jonsson, Inger. January 1994 (has links)
Doktorsavhandling--Department of Economic History--Uppsala, 1994. / Résumé en anglais.
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Divided time : gender, paid employment and domestic labour /Layte, Richard. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Th. Ph. D., 1996. / Bibliogr. p. 184-190.
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The third job : employed couples' management of household work contradictions /Gill, Gurjeet K. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss. Ph. D.--Sociology--University of New England. / Bibliogr. p. 200-209. Index.
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"Geen tweede boer" : gender, landbouwmodernisering en onderwijs aan plattelandsvrouwen in Nederland, 1863-1968 /Burg, Margreet van der, January 2002 (has links)
Texte remanié de: Proefschrift--Landbouwuniversiteit Wageningen, 2002. / Contient un résumé en anglais. Bibliogr. p. 429-443. Index.
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Rmāyniyya : féminisation de l'agriculture et condition féminine dans le Nord-Ouest tunisienLatreille, Martin January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Femmes et sikhisme à Montréal : le cas des représentations des femmes et des rapports homme-femmeVig, Julie January 2009 (has links) (PDF)
La tradition religieuse sikhe prend naissance sur le sol indien au XVe siècle avec son fondateur Gurũ Nãnak (1469-1539). Nés à l'époque médiévale en réaction au système hiérarchique de classes hindou basé sur l'inégalité sociale et religieuse de naissance, les enseignements de Gurũ Nãnak insistaient principalement pour lutter contre toute forme de discrimination entre les humains devant Dieu. Abolition de toute forme de ritualité, insistance sur le principe d'égalité, renforcement du statut des femmes comptent parmi les principales valeurs véhiculées par le premier gurũ. Alors qu'en Inde ces valeurs n'ont pas toujours été mises au premier plan par l'institution, on remarque au sein des communautés sikhes immigrantes de l'Europe et de l'Amérique du Nord une forte volonté de réappropriation. Et le Québec ne fait pas exception. En effet, à Montréal, on remarque à la lecture du mémoire déposé par des représentants de la communauté sikhe montréalaise à la Commission Bouchard-Taylor que la question de l'égalité entre les sexes fait figure d'argument central visant à légitimer les croyances et valeurs sikhes auprès de la société québécoise. Partant du constat que le discours sur l'égalité entre les sexes tenu par la tradition et prescrit par l'orthodoxie aujourd'hui ne s'actualise pas dans l'organisation communautaire de la vie religieuse à Montréal, nous avons cherché à comprendre comment les femmes se situaient par rapport aux orientations traditionnelles sur la question des femmes et des rapports homme-femme. L'objectif de cette recherche de type exploratoire se résume donc à mieux comprendre les représentations des femmes et des rapports homme-femme que se forment les femmes sikhes fréquentant la gurdwãrã Nãnak Darbãr de ville Lasalle.
La démarche méthodologique privilégiée est l'étude de cas et fait appel à deux techniques de collectes de données: l'observation participante et l'entrevue semi-dirigée. Huit femmes issues des première et deuxième générations ont été interrogées à l'aide d'un guide d'entretien d'une vingtaine de points visant à cerner les représentations qu'elles se forment d'elles-mêmes et des rapports homme-femme dans les sphères familiale et religieuse. Enfin, les résultats obtenus ont été analysés sous la perspective des théories des représentations sociales et des concepts de division sexuelle du travail et rapports sociaux de sexe. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sikhisme, Femmes, Représentations sociales, Rapports homme-femme.
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De la cueillette du café à la cueillette du dollar : une étude de cas au Veracruz, Mexique /Desrochers, Sandra. January 2007 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.) -- Université Laval, 2007. / Bibliogr.: f. [125]-133. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Coupled careers : the effects of spouse's resources on success at work /Bernasco, Wim. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss. / La couv. porte en plus la mention : "ICS, Interuniversity center for social science theory and methodology, RUG / UU / KUN" Bibliogr. p. 211-217. Résumé en néerlandais à la fin de l'ouvrage.
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Discours sociaux institutionnels sur la paternité actuelle : analyse épistémologique et espace référentielBouthillier, Geneviève 03 February 2023 (has links)
Cette thèse effectue une analyse exploratoire de l'univers discursif entourant la paternité actuelle depuis les années 1970, traduit en termes « d’engagement paternel » ou plus banalement de « nouvelle paternité ». La mise en débat de la paternité actuelle et sa sémantique - entre positions qui attestent ou contestent l'avènement de la « nouvelle paternité » - se situe au-delà de la nature ou du degré des transformations qu'on lui impute : c'est sa déclinaison positive qui est discutée socialement. Celle-ci éclaire l'appréciation sociale des catégories sexuées quant à ce qui est observé; compris par tous, voire souhaité relativement à l'exercice de la paternité.
En examinant la sémantique sociale du phénomène sociologique des « nouveaux pères » sous le prisme de sa connotation positive - objet d'investigation de la thèse -, nous rejoignons la réflexion à l'origine de la thèse, soit la compréhension sociologique du statut de « majoritaire symbolique » qui renvoie à une norme idéalisée des manières d'être socialement (Guillaumin, 1972; Pietrantonio, 1999). Ce statut de « majoritaire symbolique » a fait l'objet de peu d'études. À travers ce dernier, nous soumettons à l'éclairage des rapports sociaux la mise en débat de la paternité actuelle de manière inédite. Le rapport de sexage, d'abord conceptualisé par Guillaumin ([1978] 1992), constitue l'ancrage théorique principal de notre thèse, s'inscrivant dans une perspective féministe matérialiste. Cette approche autorise l'analyse des enjeux relatifs aux rapports entre les hommes et les femmes en termes de classes de sexe et par la division sexuelle du travail (Kergoat, [2000] 2007; 2011).
Le terrain retenu pour cette analyse exploratoire est celui du discours institutionnel (scientifique et politique) sur la paternité actuelle. Nos résultats d'analyse cernent l'espace référentiel de la paternité actuelle, lequel est limitatif. Il n'y a pas de positions contrastées à l'égard de « l'engagement des pères », souhaité par l'ensemble des termes du débat. Ce caractère limitatif se comprend à la lumière du « majoritaire symbolique » de la paternité actuelle, qui est celui de la « masculinité ». Celle-ci se saisit dans son lien au fil diachronique que nous avons identifié (passé; présent; futur) et par l'entrelacement des trois facettes du majoritaire : concret, institutionnel et symbolique. Nos résultats d’analyse ont également une portée méthodologique. Nous avons forgé ou affiné des notions (« jeu de statuts »; « surindividuation »; « agentivité dématérialisée »), qui permettent la saisie des usages dissymétriques des statuts sociaux selon les rapports de pouvoir et les sphères de travail convoqués, au plus proche des normes d'appréciation sociale de la paternité actuelle. Dotée du cumul des statuts sociaux valorisés à travers le fil diachronique de la paternité, la classe des hommes est la seule qui est l'objet d’attentes sociales. Ces attentes évoquent un projet politique : réformation des institutions; « production » d'une égalité potentielle entre classes de sexe. Par contraste, les pratiques émancipatoires des femmes (leur émancipation sociale et politique, leur entrée sur le marché du travail rémunéré) sont décrites comme reléguées au passé. L'enjeu idéel du potentiel émancipatoire de la division sexuelle du travail dans cet univers sémantique maintient la hiérarchisation des pratiques sexuées, puisque les pratiques de la classe de sexe des femmes sont délestées de toute dimension idéelle, au contraire de celles de la classe des hommes. Cela nous amène à proposer un lien entre la conceptualisation du « travail » et le majoritaire symbolique.
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Les transformations récentes de l'attribution sexuée du soin aux enfants : le cas de la garde physique partagéeCôté, Denyse 03 1900 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / La garde physique partagée se construit à partir d'un partage symétrique du temps parental de
garde des enfants suite à une séparation. Cette symétrie fonde à son tour une présomption de
partage symétrique du soin des enfants entre père et mère, présomption que renforce la
nouvelle mystique de l'équité juridique en matière de garde et un glissement de sens entre
garde physique et garde légale partagée. Si les faits confirment cette présomption, nous
assisterions à une transformation importante de la division sexuelle du travail. Car
l'attribution du soin des enfants aux femmes reste une constante à laquelle on recense peu
d'exceptions et qui fonde l'appropriation des femmes.
Cette recherche a donc pour objet le partage du travail parental de soin aux enfants en garde
physique partagée. L'attribution du soin aux enfants y a été appréhendée comme étant la
conséquence d'une logique d'organisation du social qui est le propre à la fois du jeu
d'acteurs, d'actrices et de structurations sociales. Le concept de série a servi à poser le niveau
inférieur d'une construction théorique. II a été articulé à la théorie de l'appropriation qui pose
la cession non seulement du travail, mais aussi du corps des femmes dans le cadre du
mariage. Le divorce ne libérerait les mères que du soin au mari; elles seraient toujours
contraintes au soin des enfants et s'ajouterait maintenant une nouvelle obligation au pourvoi.
Le concept de travail de soin a été retenu pour la saisie empirique du partage de l'activité de
soins qui fonde le système de garde puisque partagée.
Les mères en garde physique partatée sont libérées de la prise en charge de leurs enfants sur
une base régulière et pour une période de temps substantielle. Le principe de cession
complète de l'individue propre à l'appropriation privée ne s'y retrouve plus. De plus, les
mères en garde physique partagée sont habituellement salariées. La garde physique partagée
marquerait-elle une transformation de l'appropriation des femmes? Ou assisterait-on plutôt à
une transformation des modalités de l'appropriation? Malgré l'importance et la pertinence du
phénomène, aucune recherche n'a été entreprise à ce jour sur cette question; seules quelques
rares recherches sociologiques ont été faites sur le phénomène de la garde physique partagée.
Les configurations empirique et discursive des aspects spatio-temporel et financier de la garde
physique partagée, du partage du soin des enfants entre pères et mères ainsi que des rapports
coparentaux ont été reconstruits. Les activités parentales de soin ont été analysées à la lumière
des représentations et des discours dominants qui les ont marqués, qui leur ont servi et qui leur servent encore d'élément régulateur: la construction sociale de la maternité et de la
paternité, ainsi que des représentations d'équité en matière de garde et de partage des tâches
ont tour à tour été abordés. Vingt-quatre pères et mères ayant formé douze unités de garde de
même que leurs enfants d'âge scolaire ont été interviewés. Les résultats des entrevues ont été
triangulés.
En garde physique partagée, les conduites parentales de consommation et de cohabitation ne
font plus l'objet d'un partage. Les stratégies de partage du temps régulier de garde se fondent
sur l'idée d'une double insertion professionnelle et d'une complémentarité symétrique des
investissements parentaux, tant domestiques que professionnels, sans assignation
formellement sexuée à un espace ou à une fonction. On assiste aussi à la construction de deux
autonomies territoriales de même qu'à l'émergence d'une individualité chez l'enfant et dans la
prise en charge parentale des soins de l'enfant. La volonté d'éduquer l'enfant constitue
l'objectif commun des pères et des mères mais pour des raisons différentes: les pères veulent
maintenir leur lien avec l'enfant après la séparation, et les mères veulent plutôt se décharger
partiellement de la responsabilité des soins.
La comptabilité rigoureuse du temps régulier de garde ainsi que la nature des rapports
coparentaux axés sur la négociation plutôt lue sur une assignation implicite permettent de
conclure à l'existence d'une forme de contractualisation des rapports coparentaux en garde
physique partagée. Tous les pères prennent en charge de façon régulière la plupart sinon tous
les soins de l'enfant pendant leur tour de garde; ceci constitue une transformation majeure des
pratiques de prise en charge des soins de l'enfant. Ces résultats supportent la thèse d'une
atténuation de l'appropriation privée. On ne peut cependant conclure à la disparition complète
de l'appropriation privée puisque les temps non réguliers de garde sont plus fréquemment
pris en charge par les mères et qu'il existe une asymétrie en matière financière qui
désavantage toujours des mères. De plus, si nous avons observé chez presque toutes les
mères et chez plusieurs pères des efforts conscients de se rendre disponibles à l'enfant, ce
sont des pères, en particulier ceux qui ont une nouvelle conjointe qui se rendent beaucoup
moins disponibles physiquement ou émotivement. Les soins à responsabilité commune
(ceux qui ne sont pas associés à un tour parental de garde) sont assumés de façon plus
intensive par une majorité de mères et celles-ci assument aussi plus souvent un leadership en
matière de soin: elles semblent par exemple planifier la réponse aux besoins globaux de
l'enfant indépendamment de leur tour de garde. Et quelques pères délèguent à leur nouvelle
conjointe ou à un autre membre féminin de leur entourage une partie importante de la charge
de soins qu'ils doivent en principe assumer eux-mêmes pendant leur tour de garde.
Si les mères que nous avons interviewées échappent dans une large mesure à l'appropriation
privée, elles n'échappent pas par contre à l'appropriation collective. Elles doivent ainsi faire
plus avec moins, en termes d'accès plus limité aux ressources matérielles (salaire, aide
concrète) et non matérielles (support affectif). L'exercice de la maternité en garde physique
partagée exige par conséquent un investissement supérieur à celui de la paternité. La prise en
charge quotidienne de l'enfant est réelle mais semble demeurer volontaire chez les pères.
Ainsi, les mères compensent souvent le défaut d'accomplir de leur ex-conjoint mais l'inverse
ne se produit pas. Enfin, l'émergence de la garde partagée comme modèle est aussi
constitutive d'un renforcement de l'appropriation collective pour l'ensemble des mères
séparées. Elle met en place une nouvelle contrainte pour celles-ci, celle d'assurer le contact
soutenu de l'enfant avec le père, quelles que soient les circonstances, et de partage
symétrique, en apparence tout au moins, de la garde et des soins des enfants. Ceci se produit
dans un contexte où, on le sait, 80% des familles monoparentales sont dirigées par des
femmes et moins de 10% des arrangements de garde prévoient la garde physique partagée.
On rend ainsi les mères responsables non seulement des soins, mais aussi dans une large
mesure responsables de s'assurer de la présence du père auprès de ses enfants après la
séparation.
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