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La critique fichtéenne du dogmatisme dans l'essai d'une nouvelle présentation de la doctrine de la science (1797-1798) : cinq arguments antidogmatiquesKhoury, Xavier January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Beyond the battle line US air attack theory and doctrine, 1919-1941 /Cox, Gary C. January 1900 (has links)
Thesis--School of Advanced Airpower Studies, Maxwell Air Force Base, Ala., 1994-95. / Title from title screen (viewed Oct. 10, 2003). "April 1996." Includes bibliographical references.
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Strategic attack template controversy and lasting influence /Greene, Jonathan J. January 2004 (has links) (PDF)
Thesis (M.A.A.S.) -- Air University, 2004. / Title from PDF title page (viewed on April 23, 2009). "June 2004." Includes abstract. Includes bibliographical references (leaves 89-93).
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L’idéalisme de Fichte et la question de la philosophie comme science / The idealism of Fichte and the question of philosophy as a scienceChédin, Maxime 26 February 2012 (has links)
Ce travail s’interroge sur le projet, commun à Fichte et à Hegel, de réaliser la philosophie comme système. Pour eux, la philosophie doit se résigner à n’être qu’une curiosité, ou devenir une science. Faut-il pour cela qu’elle imite les mathématiques, les sciences expérimentales ? Ou peut-on faire l’hypothèse qu’il existe un objet qui par nature échappe au savoir des sciences, et en conséquence, un autre savoir que celui des sciences particulières ? Pour Fichte comme pour Hegel, la philosophie a pour tâche d’explorer ce que les sciences ne peuvent pas connaître, d’être une science des « évidences » ou des « préjugés » qui demeurent présupposés dans les autres domaines du savoir. Mais une science absolue est un savoir qui ne présuppose rien, qui ne s’appuie sur aucun fait donné, qui ne tient aucun objet pour assuré. Que reste-t-il alors ? Pour Fichte, rien d’autre que ce qu’il appelle le Moi, c’est-à-dire la pensée ou la conscience en tant qu’activité libre, autonome, activité qui, dans le savoir philosophique, doit se démontrer comme étant la source créatrice du monde objectif qui nous entoure et que nous considérons spontanément comme indépendant de notre conscience. Voilà l’objet ou le savoir « absolu » dont s’occupe en particulier la Doctrine de la science. C’est pourquoi l’exigence d’absoluité de la philosophie ne peut être satisfaite que dans la figure d’un savoir circulaire, qui reprend et justifie à la fin ce qui semblait n’être à son début qu’un présupposé arbitraire. Pourtant, le système de Fichte a ceci de particulier qu’aussi impeccable que soit la chaîne de ses déductions, il débute par une fêlure qui, loin de se résorber dans la suite, est si bien assumée et travaillée, qu’elle prend finalement la forme d’une contradiction fondamentale qui est à la source de toute notre vie consciente : l’activité libre, qui doit se démontrer comme productrice d’objectivité, est en même temps ce qui par essence est le plus impossible à objectiver… / This work examines the project, common to Fichte and Hegel, to establish philosophy as a system. For them, philosophy must either resign itself to being a mere curiosity, or become a science. Should it then imitate mathematics, experimental sciences? Or can we make the assumption that there is an object that by nature remains beyond the realm of scientific knowledge, and consequently, another knowledge than that of particular sciences? For Fichte as for Hegel, philosophy has the task of exploring what science cannot know, to be a science of “truisms” or “preconceptions” that remain assumed in other areas of knowledge. But an absolute science is a knowledge that assumes nothing, that is not based on any particular fact, that does not regard any object as certain. What is left, then? For Fichte, nothing but what he calls the Ego, that is to say, thought or consciousness as a free, autonomous activity, which in philosophy must be proven as the creative source of the objective world that surrounds us and that we spontaneously consider as independent of our consciousness. That is the object or the “absolute” knowledge that the Doctrine of Science specifically deals with. Therefore the requirement of philosophical absoluteness can only be satisfied through the figure of a circular knowledge, which reproduces and in the end justifies what initially appeared to be nothing more than an arbitrary assumption. However, Fichte’s system is unique in that, as flawless as its chain of deductions can be, it starts with a crack which, far from disappearing thereafter, is so completely accepted and elaborated, that it finally takes the form of a fundamental contradiction which is at the source of our entire conscious life: free activity, which has to be proven as a producer of objectivity, is at the same time, by essence, that which is most impossible to objectify…
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La doctrine de la science de Fichte : idéalisme spéculatif et réalisme pratiqueRoy, Manuel January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La doctrine de la science de Fichte : idéalisme spéculatif et réalisme pratiqueRoy, Manuel January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Naissance de l'art performatif : étude sur les prémisses du moment romantique en Allemagne.Ralickas, Eduardo 10 1900 (has links)
Dans cette thèse d'histoire de l'art, nous posons un lien inédit entre la philosophie de Johann Gottlieb Fichte (1762-1814) et quelques pratiques artistiques et/ou littéraires issues du premier romantisme allemand : notamment celles de Friedrich Schlegel (1772-1829), de August Wilhelm Schlegel (1767-1845), de Friedrich von Hardenberg (« Novalis », 1772-1801) et de Caspar David Friedrich (1774-1840). Bien que ce lien ait été posé dans l'historiographie traditionnelle, il l'a été en tenant compte soit des contenus particuliers enseignés dans la Wissenschaftslehre de Fichte (théorie du sujet, théorie de la liberté), soit des opinions politiques de cet auteur (républicanisme, égalitarisme, universalisme du droit). Or, le projet romantique tel qu'envisagé par ces praticiens a pour matrice la dynamique pragmatique du message fichtéen, c'est-à-dire la structure aussi bien communicationnelle que pédagogique de ce dernier. Dans cette optique, en prenant pour cadre de référence la recherche actuelle en études fichtéennes, nous démontrons que Fichte est l'auteur d'un dispositif réflexif original dans lequel l'usager d'un système représentationnel donné (en l'occurrence : les présentations scientifiques de la Doctrine de la science) se trouve indexé par le dispositif qu'il anime. Si bien que les fonctions de réception et de production du système --- qui sont du ressort de sa performativité --- s'avèrent parfaitement identiques.
Afin de proposer un métalangage adapté aux outils épistémologiques de notre champ disciplinaire (l'histoire de l'art), notre lecture de Fichte Fichte se déploie à partir d'un double cadre méthodologique : la sémiologie des représentations (Louis Marin) et la narratologie (Gérard Genette, Mieke Bal). En fonction de cette méthodologie, nous démontrons que le propre du projet romantique, tel qu'envisagé par ses protagonistes de la première heure (les frères Schlegel, Fr. von Hardenberg) et par son peintre le plus abouti (C.D. Friedrich), est d'avoir déployé le dispositif pragmatique fichtéen dans des pratiques littéraires et plastiques, en vue d'engendrer un nouveau rapport entre l'image et la Bildung (esthétique, politique) du spectateur. Dès lors, la finalité de ce travail est de contribuer aux savoirs sur l'efficacité de l'art dans l'économie spectatorielle de la modernité et d'analyser l'apport de Fichte et des romantiques à la problématique actuelle de l' « agentivité » (agency) des images. / The purpose of this art history dissertation is to shed new light on the relation between the philosophy of Johann Gottlieb Fichte (1762-1814) and the artistic practice of some of early German romanticism's leading figures, namely, Friedrich Schlegel (1772-1829), August Wilhelm Schlegel (1767-1845), Friedrich von Hardenberg (“Novalis,” 1772-1801), and Caspar David Friedrich (1774-1840). Although this link has previously been established in the historiography on German romanticism, I contend that Fichte's importance to the romantic movement does not hinge on the content of his philosophical writings (i.e., the Wissenschaftslehre as a theory of subjectivity or as a theory of freedom), nor on Fichte's political beliefs (republicanism, egalitarianism, the universality of Right). Rather, the driving force behind the romantic project resides in the pragmatic dynamics of the Wissenschaftslehre itself, that is, on its communicational and pedagogical framework. In reference to the work of leading Fichte scholars publishing in the field of the history of philosophy, I argue that Fichte's Wissenschaftslehre consists in an original, self-referential representational system whose putative user is indexed within the very system he or she drives. In the final analysis, the reception of such a system coincides with its production, and both are a function of its performative character.
In keeping with the epistemological framework of art history, I propose a reading of Fichte that makes use of two methodological approaches, namely, the semiology of representational systems (Louis Marin) and narratology (Gérard Genette, Mieke Bal). Based on this approach, I contend that the Schlegel brothers', Hardenberg's, and C. D. Friedrich's respective artistic practices make use of the Wissenschaftslehre's pragmatic dynamics in order to rethink the way in which pictorial or textual representations shape their beholders (both aesthetically and politically). Ultimately, this dissertation aims to contribute to current debates on the power of images in the modern context, and to understand Fichte’s and the romantics' heretofore unacknowledged contribution to the theory of the agency of images. / Thèse effectuée en cotutelle avec l'École des hautes études en sciences sociales, Paris. Pour
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Naissance de l'art performatif : étude sur les prémisses du moment romantique en AllemagneRalickas, Eduardo 10 1900 (has links)
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