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Le blocage du signal de la myostatine chez la souris dystrophique stimule l'hypertrophie, améliore la performance du muscle et augmente le succès de la greffe de myoblastes : dystrophie musculaire de DuchenneBenabdallah, Basma Fattouma 13 April 2018 (has links)
La dystrophie musculaire de Duchenne est une maladie héréditaire causée par la mutation du gène DYS qui code pour la dystrophine, une protéine exprimée au niveau des fibres musculaires et qui y joue un rôle important dans le maintient de la stabilité et de l'intégrité des membranes. Elle est caractérisée par la dégénérescence progressive des fibres musculaires ce qui aboutit à l'atrophie de la plupart des muscles. Il n'existe pas pour le moment un remède pour la maladie, mais plusieurs types de thérapies sont étudiés pour mettre au point un traitement. Dans notre laboratoire, on s'intéresse à développer une thérapie cellulaire basée sur la transplantation de myoblastes normaux dans le muscle dytrophique, afin de permettre la restauration de l'expression de la dystrophine au niveau des fibres réparées par la fusion des myoblastes transplantés. Cependant, le succès de cette approche évalué par le nombre de fibres formées après la transplantation qui expriment la dystrophine, est limité. Ce succès limité est dû entre autre à la durée limitée de la période de régénération qui suit le dommage fait au muscle dystrophique. Afin de remédier à ce problème, notre hypothèse de travail est d'augmenter la régénération après le dommage induit par la transplantation de myoblastes, en augmentant la capacité proliférative et la capacité de fusion de ces derniers. Pour cela, l'inhibition du signal induit par une protéine présente normalement dans le muscle, la myostatine, pourrait être bénéfique. Ainsi, les travaux dont fait l'objet la présente thèse démontrent que le blocage du signal de la myostatine dans le muscle de la souris dystrophique, en utilisant des approches différentes, permet en effet d'améliorer le succès de la greffe de myoblastes normaux, mais aussi d'entraîner une hypertrophie musculaire et une augmentation de la force musculaire. / Duchenne muscular dystrophy is a hereditary disease caused by the mutation of DYS gene, which codes for dystrophin, a protein expressed in the myofibers where it plays an important role in the stability and the integrity of membranes. The disease is characterized by the progressive degeneration of the muscle fibers, which induces the atrophy of most of the muscles. To date, there is no cure for this pathology, but several types of therapies are studied to develop a treatment. In our laboratory, we are interested to develop a cell therapy based on the transplantation of normal myoblasts in the dystrophic muscle, to allow the restoration of the expression of dystrophin in fibers repaired by the fusion of the transplanted myoblasts. However, the success of this approach evaluated by the number of fibers formed after the transplantation, which express dystrophin, is limited due in part to the short period of regeneration following the muscle damage. To bypass this problem, our research work presented in the present thesis aimed to increase the regeneration after the damage caused by the myoblast transplantation procedure, by improving the proliferative and fusion capacities of the transplanted myoblasts. This was achieved by inhibiting a protein normally present in the muscle, i.e., myostatin. Thus, the results of this thesis show that the blockade of the myostatin signal in dystrophic mice, using different approaches, not only improved the success of normal myoblast graft, but also induced fiber hypertrophy and increased muscle strength.
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Utilisation de facteurs motogéniques afin d'améliorer le succès de la thérapie cellulaire pour le traitement de la dystrophie musculaire de DuchenneLafrenière, Jean-François 13 April 2018 (has links)
À cause de l’absence de dystrophine, les fibres musculaires d’un enfant atteint de la Dystrophie Musculaire de Duchenne (DMD) sont fragiles et leurs ruptures fréquentes entraînent une dégénérescence progressive du tissu musculaire. Basée sur les mécanismes de la régénérescence musculaire, la transplantation de myoblastes consiste à fournir des précurseurs myogéniques sains afin que ces derniers participent à la réparation du tissu musculaire dystrophique. Bien que cette approche ait permis de restaurer l’expression de dystrophine lors d’études cliniques menées auprès de patients DMD, la faible dispersion des fibres exprimant la dystrophine s’est révélée un problème majeur requérant que des injections de myoblastes soient effectuées à tous les millimètres afin d’obtenir un succès de greffe optimal. Une faible migration des cellules greffées à l’extérieur des sites d’injection étant suspectée comme principale cause de la restriction des fibres hybrides au niveau des sites d’injections, l’objectif de nos travaux fut d’établir que l’IGF-1, le bFGF et l’interleukine-4 présentent des propriétés chémokinésiques et que leur co-injection avec les cellules greffées est une approche physiologique et efficace pour favoriser la migration intramusculaire des myoblastes squelettiques humains ou de singe. Bien que la co-injection de facteurs de croissance fût envisagée dans l’espoir que les cellules ayant migré puissent fusionner avec les fibres retrouvées à l’extérieur de la trajectoire d’injection, les résultats de transplantation obtenus chez le primate suggèrent que l’augmentation du potentiel migratoire n’est pas, à elle seule, une approche suffisante pour accroître la quantité et la dispersion des fibres hybrides. Globalement, nos travaux ont permis de mieux comprendre et de redéfinir les facteurs limitant le succès de la transplantation de myoblastes. Bien que les cellules myogéniques aient effectivement un potentiel migratoire limité, l’absence de fusion entre les cellules greffées et les fibres non endommagées est sans doute la cause réelle de la restriction des fibres hybrides. Tant que ce problème subsistera, toutes les approches permettant d’améliorer la migration des cellules greffées ne pourront se révéler efficaces pour améliorer la dispersion des fibres et pour réduire la quantité d’injections requises pour le traitement d’un patient dystrophique. / Due to the absence of dystrophin, muscle fibers of Duchenne Muscular Dystrophy (DMD) patients are fragile and their constant ruptures induce a progressive lost of muscular tissues. Myoblast transplantation (MT) is an experimental treatment for DMD. Following their intramuscular injection, healthy myogenic precursor cells are able to fuse with host fibers and restore dystrophin expression. Although MT had efficiently restore dystrophin expression in DMD patients; transplantation success following a single injection is limited. The low dispersion of dystrophin expressing fibers is a major problem that requires myoblast injections every millimetre to obtain an optimal graft success. Since poor transplanted cell migration outside the injection sites has been proposed to explain the restriction of hybrid myofibers, motogenic factors were tested to verify whether their co-injection with transplanted myoblasts is a physiological and effective approach to stimulate proteolytic activity as well as myoblast intramuscular migration. Results demonstrated that insulin growth factor-1, basic fibroblast growth factor and interleukin-4 show strong chemokinetic potential for human skeletal myoblasts and increase the migration distances reached by transplanted cells. By improving cell migration through muscular tissue, we hoped that growth factors co-injection would help transplanted cells to fuse with myofibers located outside the injection sites. However, experiments conducted in monkeys suggest that improvement of transplanted cell migration is not, per se, a sufficient approach to increase the quantity and dispersion of hybrid fibers. Generally, our work helped to clarify and redefine a major problem, which limits graft success. Even if short-term observations suggest that transplanted cells are not always trapped inside the injection sites, myofibers including grafted cell nuclei remain restricted to the injection trajectories one month post transplantation. Lack of fusion with undamaged myofibers located outside the injection sites will probably have to be resolved to improve dispersion of hybrid myofibers and thus reduce the number of injections required for the treatment of DMD patients. As long as this fusion problem remains, all approaches, which increase transplanted cell migration, will not be sufficient to increase MT success.
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Identification des facteurs responsables de la mort précoce des myoblastes transplantés dans le muscle squelettique et amélioration du succès des greffes : dystrophie musculaire de DuchenneBouchentouf, Manaf 12 April 2018 (has links)
La dystrophie musculaire de Duchenne est une myopathie récessive liée au chromosome X. Cette pathologie est due à une mutation dans le gène codant pour la dystrophine. Cette protéine est responsable du maintien de l'intégrité de la fibre musculaire. La thérapie cellulaire basée sur la transplantation de cellules souches myogéniques ou myoblastes constitue une approche potentielle pour véhiculer le gène sain de la dystrophine afin de corriger l'absence de la protéine. Cette approche est limitée par la faible migration des myoblastes greffés, le rejet immunitaire des cellules injectées et la mort précoce et massive des myoblastes transplantés durant les 3 premiers jours après la greffe. Nous nous sommes intéressés dans la présente thèse à identifier les différents facteurs qui peuvent être responsables de cette mort importante. Ces facteurs incluent : . la réaction inflammatoire, (2) l'anoikis, (3) le stress physique et (4) l'ischémie/hypoxie. Parmi ces éléments, nous avons évalué le rôle de l'anoikis et de l'hypoxie et nous avons ainsi démontré que ces deux facteurs étaient en partie responsables de la mort des cellules. Dans un second temps, nous avons proposé deux alternatives possibles pour améliorer la survie et le succès des greffes de myoblastes. Une des approches consiste à traiter les myoblastes à un choc thermique avant de les transplanter. Ce traitement a permis d'améliorer le succès des greffes de myoblastes de 4 fois environ. L'exercice physique constitue également une approche qui, associé à une transplantation de cellules myogéniques, potentialise le succès de la transplantation. Par ailleurs, dans le but de faire le suivi des greffes de myoblastes, nous avons développé une technique qui consiste à modifier génétiquement les myoblastes pour qu'ils expriment le transporteur humain du sodium et de l'iode (hNIS). La survie et la prolifération des cellules transplantées sont évaluées en procédant à des injections intrapéritonéale de technétium. On procède ensuite à une radiographie de la région greffée à l'aide d'une camera-y. Nos résultats montrent que la réduction du nombre de myoblastes qui meurent suivant leur transplantation constitue une approche potentielle pour améliorer le succès de greffe.
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Le blocage de la signalisation de la myostatine et des autres ligands de la superfamille des TGF-β augmente le succès de la greffe des myoblastes chez des souris dystrophiquesFakhfakh, Raouia 18 April 2018 (has links)
La dystrophic musculaire de Duchenne est la plus sévère des dystrophies musculaires de l'enfant. De transmission récessive liée à l'X, elle touche 1 nouveau-né masculin sur 3500. L'absence presque complète de la dystrophine, protéine sub-sarcolémique, est le premier marqueur moléculaire de cette myopathie. La transplantation de myoblastes normaux est une approche possible pour introduire une dystrophine fonctionnelle dans les fibres musculaires des patients dystrophiques. Toutefois, cette stratégie a produit des résultats limités au cours de la dernière décennie. L'amélioration de la capacité proliferative et de fusion des myoblastes transplantés ainsi que de leur survie pourrait avoir des effets bénéfiques sur cette approche. La superfamille des TGF-β regroupe des régulateurs négatifs de la croissance du muscle squelettique et de la prolifération et la différenciation des cellules myogéniques. De ce fait, l'objet dans cette présente thèse est de combiner l'inhibition de la signalisation des membres de cette superfamille comme la myostatine et le TGF-β à la transplantation de myoblastes humains, chez des souris dystrophiques immunodéficientes. Au cours de mes travaux de thèse, j'ai eu recours à différentes approches pour bloquer la signalisation de la myostatine et des autres ligands de la superfamille des TGF-β. La première consiste à modifier génétiquement les myoblastes humains à transplanter en exprimant un récepteur de l'activine de type IIB muté, sous la forme dominant négatif. La deuxième approche est de transplanter des myoblastes chez des souris dystrophiques traitées avec du losartan, une molécule qui inhibe l'expression du TGF-β1, et la troisième stratégie consiste à injecter une forme soluble du domaine extracellulaire du récepteur de l'activine de type IIB chez des souris dystrophiques. In vitro, l'inhibition de l'action de ces facteurs augmente la prolifération et la fusion des myoblastes humains avec une diminution de l'apoptose et modulation de l'expression des facteurs régulateurs myogéniques. In vivo, 1'immunodetection de la dystrophine dans des coupes du Tibialis antérieur, 1 mois après la transplantation des myoblastes, démontre une amélioration du succès de la greffe. Ainsi, l'inhibition des facteurs de la superfamille des TGF-β constitue une bonne approche pour améliorer le succès de la thérapie cellulaire de la DMD, en plus de la stimulation de la croissance musculaire.
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Expression de la dystrophine humaine dans le Tibialis anterior de souris Rag/mdx suite à une greffe de cellules myogéniques dérivées d'hiPSCs dystrophiques et corrigées génétiquementGravel, William-Édouard 23 April 2018 (has links)
Les cellules souches embryonnaires humaines (hESCs) et les cellules souches pluripotentes induites humaines (hiPSCs) ont démontré leur capacité d'auto-renouvellement et peuvent potentiellement se différencier en tous les types de lignées cellulaires. Elles représentent donc une source illimitée de cellules pour le développement de thérapies curatives pour les maladies dégénératives, telles que la dystrophie musculaire de Duchenne (DMD). Cette maladie héréditaire est le résultat de diverses mutations dans le gène de la dystrophine. Ces mutations engendrent un changement dans le cadre de lecture du gène de la dystrophine, abolissant ainsi son expression. Elle se caractérise cliniquement par une progression rapide de la dégénérescence musculaire qui débute tôt dans la vie. Les hiPSCs dystrophiques ont été corrigées par notre collaborateur, le Dr. Hotta, en insérant une paire de bases dans l’exon 45 avec les Transcription Activator-Like Effector Nucleases (TALENs) pour rétablir le cadre de lecture du gène. Notre laboratoire a mis au point une procédure en deux étapes pour différencier des hiPSCs en cellules myogéniques. Nous avons d'abord utilisé un milieu de culture myogénique préparé spécialement dans le laboratoire (appelé MB1) pour promouvoir la différenciation des hiPSCs en cellules de type mésenchymateuses. Nous les avons ensuite transduites avec un lentivirus exprimant MyoD, un facteur de transcription myogénique sous le contrôle du promoteur synthétique CAG, afin d'induire leur différenciation en myoblastes. Ces myoblastes modifiés ont été greffés dans le muscle Tibialis anterior d’une souris Rag/mdx, un animal immunodéficient et dystrophique, et ont par la suite fusionné avec les fibres musculaires existantes. La présence de la protéine dystrophine humaine a été confirmée par immunohistofluorescence dans les muscles greffés avec les cellules corrigées génétiquement ainsi que dans le contrôle positif réalisé avec des myoblastes provenant d'un donneur sain. La thérapie cellulaire homotypique à partir de cellules corrigées génétiquement présente de grands avantages pour les patients souffrant de DMD, car elle permet l’expression d’un gène capable de produire une dystrophine fonctionnelle dans les fibres musculaires, de diminuer les risques de rejet de la greffe et d’accroitre la capacité de régénération du muscle et la force musculaire. / Human embryonic stem cells (hESCs) and human-induced pluripotent stem cells (hiPSCs) have shown self-renewal capacity and can potentially differentiate into all types of cell lineages. They represent an unlimited source of cells for the therapy of degenerative diseases, such as Duchenne Muscular Dystrophy (DMD), a disease characterized by a rapid degeneration of muscles that starts early in life. Dystrophic hiPSCs have been corrected by our collaborator, Dr. Hotta, by inserting of a single base pair in the exon 45 with Transcription Activator-Like Effector Nucleases (TALENs) to restore the reading frame of the gene. Our laboratory has developed a two-step procedure to differentiate hiPSCs into myogenic cells. We first used a myogenic culture medium especially developped in the laboratory (called MB-1) to promote the differentiation of hiPSCs into mesenchymal-like precursor cells. We next transduced them with a lentivirus expressing the myogenic transcription factor MyoD under the control of the composite CAG promoter, in order to induce their differentiation into myoblasts. Transduced cells have been grafted in the Tibialis anterior muscle of Rag/mdx mice where they fused with existing muscle fibers. The presence of the human dystrophin protein has been confirmed by immunohistofluorescence in muscles grafted with the genetically corrected cells and in a control graft with myoblasts of a healthy donor. Cell therapy shows great promises for DMD patients since it allows the expression of a normal gene capable of producing a functional dystrophin in muscle fibers and increase the regenerative capacity of the muscle and the muscle strength.
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Développement d'un promoteur efficace et muscle spécifique pour la thérapie génique de la dystrophie musculaire de DuchenneBlain, Marilyne January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Quantificação da força muscular e habilidades motoras de pacientes com Distrofia Muscular de Duchenne, em corticoterapia por período de 1 a 7 anos / Quantification of muscle strength and motor abilities in patients with Duchenne muscular dystrophy on steroid therapy for periods of 1 to 7 yearsParreira, Samara Lamounier Santana 29 April 2010 (has links)
Os objetivos deste trabalho foram: comparar a força muscular (FM) e as habilidades motoras de pacientes com Distrofia Muscular de Duchenne (DMD) em corticoterapia com a evolução natural da doença (Scott, 1982) e identificar a idade ideal de início da corticoterapia. Noventa pacientes com DMD em seguimento ambulatorial no Hospital das Clínicas da Faculdade de Medicina da USP, submetidos à corticoterapia (deflazacort ou prednisolona) por um período variável de um a sete anos, foram avaliados quanto à FM através da escala MRC e quanto às habilidades motoras através da escala Hammersmith motor ability score. Foram incluídos no estudo todos os pacientes com idade entre cinco e 12 anos, que compreendiam comandos verbais e que não haviam sido submetidos a cirurgias ortopédicas corretivas ou interrompido em algum momento a corticoterapia. A relação entre FM e habilidades motoras, a comparação dos dados com aqueles do estudo de Scott et al. e a análise da influência do tempo de tratamento, da idade de início e da idade na avaliação, sobre os valores obtidos nos testes foram submetidas a tratamento estatístico. Concluiu-se que: a progressão da perda da FM e das habilidades motoras em relação à idade foi mais lenta do que a da evolução natural em todas as faixas etárias avaliadas; quanto maior a idade maior a diferença entre os dois estudos; a perda da FM foi mais intensa do que a perda da funcionalidade; a metodologia utilizada não permitiu estabelecer com clareza a influência da idade de início do tratamento sobre os parâmetros avaliados, porém demonstrou a influência positiva do tempo de tratamento sobre a FM e habilidades motoras. / The aims of this study were: to compare muscle strength (MS) and motor abilities of Duchenne Muscular Dystrophy (DMD) patients in use of steroids, with the natural evolution of the disease (Scott, 1982) and to identify the ideal age for starting on steroid therapy. Ninety patients with DMD followed as outpatients at the Clinics Hospital of the University of São Paulo School of Medicine and submitted to steroid therapy (deflazacort or prednisolone) for a period of one to seven years were assessed for MS using the MRC scale, and for motor abilities with the motor ability score from the Hammersmith scale. All patients aged between five and 12 years who understood verbal commands and who had not been submitted to corrective orthopedic surgery and had no interruption in steroid therapy, were included in the study. Statistical analysis was carried out to assess the relationship between MS and motor abilities and to compare our data against results of Scott\'s study. The influence of length of treatment, age at disease onset and first assessment, on values obtained in the tests was investigated. We concluded that: the progression in loss of MS and of motor abilities with age was slower than the natural evolution across all age groups studied; the higher the age the greater the difference between the two studies; loss of MS was more intense than loss of functionality; the methodology used was unable to clearly ascertain the influence of age at treatment on the parameters assessed, but a positive influence of length of treatment on both MS and motor abilities was identified.
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Responsividade do domínio subir e descer escada da escala de avaliação funcional para pessoas com distrofia muscular de Duchenne, no período de um ano / Responsiveness of the domain go up and down stair of the functional evaluation scale for Duchenne muscular dystrophy, in one year follow upAlbuquerque, Priscila Santos 19 April 2016 (has links)
Objetivo: Determinar a responsividade do domínio subir e descer escada da escala de avaliação funcional em distrofia muscular de Duchenne (DMD), no período de um ano. Método: Participaram do estudo 26 pacientes com DMD. A análise utilizou o Tamanho do Efeito (ES) e a Média Padronizada de Resposta (SRM). Resultados: Atividade de subir escada: o ES mostrou responsividade baixa nos intervalos de avaliação de 3 meses (0,26; 0,35; 0,13; 0,17), baixa a moderada em 6 meses (0,58, 0,48; 0,33), moderada em 9 meses (0,70; 0,68) e alta em 1 ano (0,88). A análise com SRM mostrou responsividade baixa nos intervalos de avaliação de 3 meses (0,29; 0,38; 0,18 e 0,19), baixa a moderada em intervalos de 6 meses (0,59 e 0,51, 0,36), moderada em 9 meses (0,74 e 0,70) e alta em 1 ano (0,89). Atividade de descer escada: O ES apresentou responsividade baixa nos intervalos de avaliação de 3 meses (0,16; 0,25; 0,09; 0,08) e 6 meses (0,48; 0,35; 0,18), baixa a moderada em 9 meses (0,59, 0,44) e moderada em 1 ano (0,71). Análise com SRM mostrou responsividade baixa nos intervalos de 3 meses (0,25; 0,35; 0,12 e 0,09) e 6 meses (0,47; 0,38 e 0,21), moderada a baixa em 9 meses (0,62, 0,49) e moderada em 1 ano (0,74). Conclusão: A avaliação da atividade de subir escada, por meio da FES-DMD-D3, deve ser realizada em intervalos a partir de 9 meses, pois a responsividade é de moderada a alta. A avaliação do descer escadas deve ser realizada anualmente, pois houve responsividade moderada somente a partir de 12 meses / Objective: To determine the responsiveness of the domain up and down stair Functional Evaluation Scale for Duchenne Muscular Dystrophy (DMD) in one year follow-up. Method: The study included 26 patients with DMD. The analysis used the Effect Size (ES) and Standardized Response Mean (SRM) tests. Results: Climbing stairs activity: the ES test showed low responsiveness in the 3-month evaluation intervals (0.26; 0.35; 0.13; 0.17), low to moderate at 6 months (0.58, 0 48; 0.33), moderate in 9 months (0.70, 0.68) and high in one year (0.88). The SRM analysis showed low response in the 3 month evaluation interval (0.29, 0.38, 0.18 and 0.19), moderate to low every 6 months (0.59 and 51, 0, 36), moderate in 9 months (0.74 and 0.70) and high in one year (0.89). Down stairs activity: The ES test showed low responsiveness in the 3 month evaluation intervals (0.16; 0.25; 0.09; 0.08) and 6 months (0.48, 0.35, 0, 18), low to moderate at 9 months (0.59, 0.44) and moderate in 1 year (0.71). SRM Analysis showed low response at intervals of 3 months (0.25; 0.35; 0.12 and 0.09) and 6 months (0.47, 0.38 and 0.21), low to moderate 9 months (0.62, 0.49) and moderate in 1 year (0.74). Conclusion: The assessment of stair climbing up should be performed in 9 months or longer intervals, when responsiveness is moderate to high. Going down stairs assessment should be performed annually, because moderate responsiveness was observed in 1 year interval
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Avaliação da responsividade da escala de avaliação funcional para distrofia muscular de Duchenne-domínio marcha / Evaluation of responsiveness of the functional rating scale responsiveness for children with Duchenne muscular dystrophy - gait domainCarvalho, Eduardo Vital de 04 December 2017 (has links)
A marcha é um importante biomarcador na evolução funcional das crianças com distrofia muscular de Duchenne (DMD). A escala de Avaliação Funcional - domínio marcha (FES-DMD-DOMÍNIO MARCHA) foi desenvolvida e teve sua confiabilidade demonstrada em estudo prévio. Atualmente, as escalas funcionais são necessárias para fundamentação da tomada de decisão clínica e como medidas de desfecho em pesquisas científicas e, para tanto, devem ser confiáveis, validas e responsivas. O objetivo do presente estudo foi determinar a responsividade da FES-DMD-domínio marcha no período de um ano, considerando suas três fases e o escore total. Trata-se de estudo observacional, longitudinal e retrospectivo. Foi estudada amostra de 160 avaliações funcionais a partir de filmagens de 32 crianças com DMD (5 a 15 anos). A atividade da marcha foi pesquisada com intervalos de avaliações de 3 meses, totalizando 5 coletas (0, 3, 6, 9 e 12 meses). A responsividade foi analisada por meio dos testes estatísticos tamanho do efeito (TE) e resposta média padronizada (RMP). A responsividade nos intervalos de avaliação de três meses foi considerada de baixa a moderada para as três fases da escala (TE variando de 0.12 a 0.34 e MRP variando de 0.27 a 0.80); de baixa a alta para os intervalos de avaliação de seis meses (TE variando de 0.36 a 0.72 e MRP variando de 0.37 a 1.10); de moderada a alta para os intervalos de avaliação de nove meses (TE variando de 0.70 a 1.0 e MRP variando de 0.50 a 1.43) e alta no período de avaliação de um ano (TE variando de 0.74 a 1.34 e MRP variando de 0.88 a 1.53). O domínio marcha da FES-DMD se mostrou responsivo a partir do intervalo de três meses, aumentado sua capacidade de resposta ao longo das avaliações em até 12 meses. Recomenda-se o uso da FES-DMD-domínio marcha a partir do intervalo de seis meses, que apresenta responsividade, no mínimo moderada para fins de pesquisa, embora seu uso a partir de intervalos de avaliação de três meses possa oferecer informações relevantes nas tomadas de decisão clínico-fisioterapêuticas / March is an important biomarker in the functional evaluation of children with Duchenne muscular dystrophy (DMD). The Functional Scale Evaluation -march domain (FES-DMD-march domain) was developed and its reliability was demonstrated in a previous study. Currently, functional scales are necessary for the reasoning of clinical decision making and as an outcome measure in scientific research and to do so, must be reliable, valid and responsive. The aim of this study was to determine the responsiveness of the FES-DMD-march domain in a one year follow up, considering its three phases and the total score. It is an observational, longitudinal and retrospective study. A sample of 160 functional assessments from filming of 32 children with DMD (5-15 years) was studied. The course of the activity was studied at three monthly intervals evaluations totaling 5 samples (0, 3, 6, 9 and 12 months). Responsiveness was analyzed by statistical tests named effect size (ES) and standardized response mean (SRM). The responsiveness in the three-month evaluation intervals analyzed was considered low to moderate for the three phases of the scale (ES ranging from 0:12 to 0:34 and SRM ranging from 0.27 to 0.80); varied from low to high for the six-months evaluation intervals (ES ranging from 0.36 to 0.72 and SRM ranging from 0:37 to 1:10); varied from moderate to high for the nine-month evaluation intervals (ES ranging from 0.70 to 1.0 and SRM ranging from 0:50 to 1:43) and was high in one year evaluation period (ES ranging from 0.74 to 1.34 and SRM ranging from 0.88 to 1.53). The domain march of the FES-DMD scale showed responsive from the three-month interval, increased their responsiveness during the evaluations within 12 months. It is recommended the use of FES-DMD-march domain from the six-month interval, which presents responsiveness, at least moderate, although its use from three-month evaluation intervals may provide relevant information in clinical-physiotherapeutic decision-making
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Eficácia de diferentes dispositivos de interação em tarefa virtual na disfrofia muscular de Duchenne / Efficacy of different virtual task interaction devices in Duchenne muscular dystrophyFreitas, Bruna Leal de 28 June 2017 (has links)
Introdução: A distrofia muscular de Duchenne (DMD) é uma doença genética recessiva. Caracterizada pelo enfraquecimento progressivo e irreversível da musculatura, levando a um quadro grave de deficiência física. Devido às alterações motoras presentes na DMD, é relevante verificar dispositivos de interação que auxiliem na funcionalidade e participação social, principalmente utilizando tecnologia e atualidades de ambientes virtuais. Objetivo: Identificar qual dispositivo de interação virtual propicia melhor desempenho em uma tarefa virtual em indivíduos com DMD. Método: Foram incluídos no estudo, 120 indivíduos, 60 com DMD entre 9 e 34 anos (média 16 anos) e 60 indivíduos com desenvolvimento típico pareados por sexo e idade (grupo controle). Foi utilizada uma tarefa virtual, que consiste em alcançar o maior número de bolhas, durante as fases de aprendizagem motora (aquisição, retenção e transferência) utilizando diferentes interfaces (Kinect, Leap Motion ou Touch Screen). Para análise estatística utilizou-se o número de bolhas alcançadas para cada participante. Resultados: Todos os participantes tiveram melhora no seu desempenho com a prática, independente da interface usada. Porém o grupo DMD, obteve resultado inferior quando comparado ao grupo controle. Houve melhora significativa no desempenho, em uma das fases, com a utilização da interface Leap Motion para grupo DMD, e Touch Screen para o grupo controle. Conclusão: O desempenho dos indivíduos com DMD é inferior quando comparado ao grupo controle, em todas as interfaces, devido a fraqueza muscular advinda da progressão da doença. Porém, há a possibilidade de melhorar o desempenho em uma tarefa, com a utilização que utilize dispositivo virtual, como o Leap Motion, exigindo funcionalidade de grupos musculares distais, nos indivíduos com distrofia muscular / Introduction: Duchenne muscular dystrophy (DMD) is a recessive genetic disease. Characterized by progressive and irreversible weakening of the musculature, leading to a serious physical disability. Due to the motor alterations present in the DMD, it is important to verify interaction devices that aid in functionality and social participation, mainly using technology and the news of virtual environments. Objective: To identify which virtual interaction device is best to provide performance in a virtual task in individuals with DMD. Methods: The study included 120 individuals, 60 DMD ranging from 9 to 34 years (mean 16 years) and 60 typically developed individuals matched by age and gender (control). A virtual task was used to achieve the greatest number of bubbles during the motor learning (acquisition, retention and transfer) phases, using different interfaces (Kinect, Leap Motion or Touch Screen). For statistical analysis, the number of bubbles reached for each participant was used. Results: All participants improved their performance with practice, regardless of the interface used. However, the DMD group had lower results when compared to the control group. There was a significant performance improvement in one of the phases, using the Leap Motion interface for DMD group, and Touch Screen for the control group. Conclusion: The performance of individuals with DMD is lower when compared to the control group, at all interfaces due to muscle weakness due to disease progression. However, there is the possibility of improving performance in a task using virtual device, such as Leap Motion, requiring functionality of distal muscle groups in individuals with muscular dystrophy
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