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Le dialogue dans les oeuvres théâtrales de Marguerite Duras /

Francesconi, Mireille. January 1984 (has links)
No description available.
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Là-bas, suivi de, Espaces et temps du silence durassien

Tanguay, Johanne January 2003 (has links)
No description available.
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Le cinéma de Marguerite Duras (1970-1982) sous la perspective intermédiale : déambulation, transmédialité et opacité

Guimarães de Oliveira, Luciene 31 May 2021 (has links)
Cette thèse s'avère une réflexion, selon une perspective intermédiale, sur l'espace audiovisuel et la représentation dans le cinéma de Marguerite Duras des années soixante-dix et quatre-vingts. En soulevant des questions qui sont au cœur de l'œuvre filmique de Marguerite Duras, comme la déambulation (écriture et espace), la perception de l'espace audio-visuel (l'écart entre la voix et l'image) et de la représentation du dispositif intermédial, ce travail met aussi l'accent sur le processus créateur. La déambulation sera envisagée sous deux aspects. Le premier se présente comme un motif récurrent dans l'œuvre de Marguerite Duras et se trouve dans les personnages qui marchent ou errent dans les villes fictives de l'imaginaire durassien. Le deuxième aspect inscrit la déambulation comme un mouvement au sein du processus créateur de l'œuvre durassienne, et dans ce sens elle sera traitée comme un procédé. La déambulation s'inscrit également dans une perception de l'espace, faisant émerger une poétique de la flânerie dans les films qui constituent notre corpus, notamment Les Mains négatives, Aurélia Steiner Melbourne, La Femme du Gange, Le Navire Nigth et Césarée. L'espace audio-visuel fait l'objet de la deuxième partie de la thèse. L'écart apparent entre le son et l'image du cinéma durassien sera abordé comme une combinaison audio-visuelle. Ainsi, l'audio et le visuel sont complémentaires; leur combinaison influence et transforme la perception du public. La thèse met l'accent sur la nature transmédiale de l'œuvre durassienne, suivant les emprunts, les échanges, les transferts qui s'opèrent du texte au film et du film au film. Nous considèrerons ces opérations transmédiales comme une forme de poétique du déplacement. Quant à la représentation, certains films de Marguerite Duras, dont Agatha et les lectures illimitées et L'Homme atlantique, oscillent entre les effets d'opacité et de transparence. Ces rapports transmédiaux seront abordés au final selon les phénomènes de la remédiation. / This thesis turns out to be a reflection, from an intermedial perspective, on the audiovisual space and on the representation of Marguerite Duras's cinema of the seventies and eighties. By raising questions that are at the heart of Marguerite Duras' filmic work, such as wandering (writing and space), the perception of audiovisual space (the gap between voice and image) and the representation of the intermedial device, this work also emphasizes the creative process. The déambulation will be considered from two aspects. The first highlights it as a recurring motif in Marguerite Duras's work, making itself felt in the characters who walk or wander in the fictional cities of the Durassian imagination. The second aspect inscribes the déambulation as a movement within the creative process of the Durassian work, and in this sense, it will be treated as a process. Thus, the déambulation is also part of a perception of space by arousing a poetics of strolling in the films that constitute our corpus, in particular Les mains negatives, Aurélia Steiner Melbourne, La Femme du Gange, Le Navire Nigth and Césarée. The audio-visual space is the subject of the second part of the thesis. The apparent gap between sound and image in Durassian cinema will be approached as an audio-visual combination. Thus, the audio and the visual are complementary; their combination influences and transforms public perception. We will again emphasize the transmedial nature of the work, taking into account the exchanges, the transfers that transit from text to film and from film to film. We consider these transmedial operations as a poetics of displacement. As for representation, certain films by Marguerite Duras, such as Agatha et les lectures illimitées and L'Homme atlantique oscillate between the effects of opacity and transparency. These transmedial relationships will be approached according to the phenomena of remediation.
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Le récit érotique, ou, L'écriture de la différence sexuelle : une étude de L'homme assis dans le couloir et de La maladie de la mort de Marguerite Duras

Lebreux, Stéphanie January 2006 (has links) (PDF)
Le présent mémoire porte sur deux courts récits écrits par Marguerite Duras: L'Homme assis dans le couloir paru en 1980 et La Maladie de la mort, en 1982. Il prend son origine dans le contenu de la réception critique ainsi que dans les critiques récentes qui posent la question de l'érotisme par rapport à ces deux textes sans jamais la résoudre. Nous avons tenté de comprendre de quelle façon Duras utilise l'érotisme dans ces deux récits et à quelles fins. A la lumière des textes à l'étude, nous avons cru nécessaire d'aborder l'érotisme à partir de son rapport étroit avec la question de la différence sexuelle puisqu'il nous semble que si Duras reprend le récit érotique dans ces deux textes, elle le fait afin d'ouvrir la question du rapport à l'autre sexe en déconstruisant les concepts traditionnels et phallocentriques de la différence sexuelle. Nous avons d'abord revu les principaux textes qui constituent la réception critique de L'Homme assis dans le couloir et de La Maladie de la mort dans le but de comprendre comment avait été traitée la question de l'érotisme et de la différence sexuelle. Avant même de nous consacrer à l'étude plus approfondie de nos récits, nous avons également tenté de donner des définitions de l'érotisme et de la différence sexuelle. À propos de L'Homme assis dans le couloir, il s'est avéré que l'auteure raconte une histoire empruntée à la tradition érotique. Cependant, par des techniques narratives diverses dont la plus importante est l'usage d'un tiers narrateur et observateur au statut ambivalent, Duras met en échec le fonctionnement du récit érotique. Surtout, elle raconte l'histoire d'un amour passionné qui, passant par l'érotisme, est inévitablement voué au désastre. Dans La Maladie de la mort, l'érotisme est amené dans le récit sous la forme d'un contrat qui confirme le désir érotique du personnage masculin et qui garantit en même temps que la rencontre érotique n'aura pas lieu. Duras oppose l'homme qui tente d'envahir l'espace corporel de la femme et cette dernière qui ne supporte qu'un rapprochement des êtres et des corps. Elle déconstruit l'idée traditionnelle de la différence sexuelle qui oppose l'homme à la femme en montrant que cette femme-objet n'est qu'imaginaire. Son personnage féminin est un sujet impossible à posséder. Ces deux textes ne sont donc pas des récits érotiques traditionnels parce qu'ils ne visent pas à reproduire l'effet érotique chez le lecteur. Surtout, il semble que, pour Duras, l'érotisme ne soit qu'un moyen d'explorer le rapport à l'autre sexe, rapport voué à l'échec. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Marguerite Duras, Récit érotique, Différence sexuelle, Écriture du féminin.
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Désir de vérité et vérité du désir dans la réécriture du souvenir d'enfance chez Marguerite Duras, Georges Perec et Danilo Kis

Morache, Marie-Andrée 11 1900 (has links) (PDF)
L'écriture du souvenir chez Marguerite Duras, Georges Perec et Danilo Kiš présente un phénomène de répétition avec variations, impliquant à la fois le recours (volontaire) à l'invention et le travail (inconscient) du fantasme. L'analyse des textes démontre que ces reprises sont motivées par le désir de donner accès à l'événement passé et à son impact après coup, et par un désir autre, qui est de l'ordre d'une résistance à la rencontre du réel. La thèse saisit la réécriture du souvenir comme le résultat d'un compromis entre ces deux désirs : chez les trois auteurs, le texte autobiographique porte les traces du conflit dont il résulte. À dégager ces traces, on constate qu'une triple faillite de la mémoire, de l'enquête et du témoignage est en partie compensée par la reprise du souvenir. Les modifications apportées, sur le plan de la narration, tendent à donner à voir de plus près l'événement passé, soit en faisant partager au lecteur la perte de repères et le non éprouvé du trauma, soit en cédant la parole à celui qui a vu (par l'extrait de document), soit encore, par une identification du sujet (vivant) à ce témoin direct (mort). L'autorité narrative profite alors d'un sabotage de l'identité, le déni d'un moi se montrant garant de la prétention à parler au nom de l'autre. La représentation de cet autre dans le récit - il s'agit généralement d'un parent mort au cours de l'enfance - oscille entre la saturation de l'image et le blanc laissé vide, entre un « tout dire » et un « dire le rien », pour déboucher finalement sur une construction métaphorique, dont le réseau arborescent rappelle celui du signifiant lacanien tenant lieu d'une représentation absente. De plus, certaines variations apportées au souvenir semblent avoir pour but de satisfaire un désir de maîtrise, par une inversion des rapports de force, qui, dans certains cas, tient de la vengeance. Ainsi, le fantasme et l'invention viennent pallier un manque au sein de l'écriture autobiographique, et rendre possible, d'une part, la transmission d'une vérité factuelle et psychique, d'autre part, une riposte à la réalité de l'expérience, aux faits et au trauma, une réplique aux morts. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Souvenir, Enfance, Fantasme, Répétition, Vérité.
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De L'abject : théorie psychanalytique et Le vice-consul de Marguerite Duras /

Crocker, Sue, January 1999 (has links)
Thesis (M.A.), Memorial University of Newfoundland, 2000. / Bibliography: leaves 98-102.
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Representation of the années noires and the evolution of memory in postwar French literature /

Wilson, Laurie Christine, January 2001 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Oregon, 2001. / Typescript. Includes vita and abstract. Includes bibliographical references (leaves 209-217). Also available for download via the World Wide Web; free to University of Oregon users.
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Violence du réel et fragmentation chez Hubert Aquin et Marguerite Duras

Proulx, Caroline 05 1900 (has links) (PDF)
La présente thèse porte sur la fragmentation comme écriture du sujet aux prises avec la violence du réel dans les œuvres d'Hubert Aquin et de Marguerite Duras. La rencontre des corpus de ces écrivains marquants du XXe siècle - malgré le fait qu'Aquin soit moins connu en dehors du Québec - peut paraître à la fois étonnante et insolite. Les poétiques de ces deux œuvres semblent s'opposer là où la prose aquinienne s'écrit dans un débordement de la parole alors que celle de Duras procède plutôt d'un dépouillement de la langue. Lire conjointement ces deux œuvres permet de prendre en considération différents effets d'une fragmentation dont la source, la cause, est précisément ce que la thèse vise à déterminer. Afin de rendre compte de cette fragmentation dans un corps d'écriture, c'est le rapport du sujet au réel et à sa violence d'effraction qu'il convient d'analyser. On verra, de là, à quel point les poétiques de ces deux écrivains empruntent des voies étonnamment communes. La première partie de la thèse s'interroge sur le statut du sujet en question, et cherche à construire les rapports entre ce que la psychanalyse (Freud et Lacan) a révélé de sa division par l'Autre, dans ce qu'il infère sur le plan pulsionnel, et le sujet tel qu'il est mis en acte dans l'écriture. Cette réflexion se divise en deux chapitres. Le premier porte d'abord sur la représentation du « je » tentée par les textes pararomanesques qui réfléchissent sur l'acte même d'écrire. Il s'agit ensuite de mettre en lumière la mosaïque kaléidoscopique de certains moi imaginaires - personnages-narrateurs -, qui construisent le sujet fictif. Le deuxième chapitre travaille à montrer, à partir de Neige noire (Aquin) et Les yeux bleus cheveux noirs (Duras), deux textes qui convoquent le scénique dans le romanesque, l'obsession du voir et la présence d'une pulsion scopique déterminante. On parvient dès lors à rendre compte d'un sujet divisé par un désir et une jouissance dont le corps poétique est la manifestation singulière. La deuxième partie se consacre au rapport à l'Autre entendu selon ses multiples acceptions, c'est-à-dire l'autre imaginaire, l'Autre symbolique, mais aussi et surtout l'Autre réel. La notion d'Autre telle qu'elle nous vient de Lacan permet d'éclairer avec concrétude comment se joue la fragmentation d'un sujet aux prises avec l'impossible. Car le réel tel que l'entend cette thèse n'est pas conçu comme un synonyme de réalité, mais bien comme ce qui existe au-delà du symbolisable, « lieu » structurant et déstructurant qui fait retour dans le corps textuel des deux auteurs, Aquin et Duras. L'impossible frappe l'écriture, produit des effets d'éclatement, surmultipliant les fractures, et rouvre des trous dans la représentation comme dans la langue; trous que chacune de ces œuvres éprouve et rejoue de manière différente. Ce rapport à l'Autre réel est lisible à partir de certaines figures importantes et centrales pour Aquin et pour Duras : le maternel/féminin, l'Histoire et Dieu. Le troisième chapitre travaille donc à dégager la figure du féminin/maternel, alors que le quatrième et dernier chapitre de la thèse analyse conjointement Dieu et l'Histoire, montrant ainsi que si le réel est, pour ces deux œuvres, le registre central qui permet d'inscrire la force d'une même déliaison, Aquin et Duras entretiennent avec ce réel des rapports bien différents. La thèse révèle que la fragmentation est l'effraction du réel dans l'écriture. Certains sujets en font l'expérience violente au cœur même de ce qui fait écrire. Le sujet dont il est question, celui de l'énonciation et de la poétique, est d'abord et avant tout une construction de l'écriture, que ce soit celle des récits ou de certains textes pararomanesques qui appartiennent à des genres différents. Cette dimension du sujet convoque donc le registre de la jouissance. C'est sur le plan de la jouissance que les œuvres d'Aquin et de Duras nous engagent à les lire, une jouissance problématique qui questionne les fondements mêmes d'une culture traversée par la violence de la haine. Ainsi, par leur écriture, Aquin et Duras mettent à l'avant-scène une vérité universelle et la nécessité de dire la puissance mortifère qui opère. C'est parce que les textes s'en font la transmission qu'ils relèvent d'une éthique singulière. Par un parcours qui emprunte des voies multiples, mais essentielles, la thèse veut éclairer l'éthique d'une écriture qui est finalement transgressive. Sans pouvoir résoudre de manière morale et conceptuelle le problème de la violence et de la jouissance que les œuvres dégagent, c'est au contraire l'ambivalence sur laquelle elles se fondent qui se doit d'être à la fin reconvoquée. La fragmentation qui devient corps dans et par l'écriture est le lieu d'une lucidité qui fait la malédiction des grands écrivains. En cela, Hubert Aquin et Marguerite Duras dialoguent avec plusieurs auteurs et penseurs incontournables de la modernité littéraire. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : fragmentation, psychanalyse, réel, violence, sujet de l'énonciation, modernité, écriture, pulsion scopique, Autre, maternel, féminin, Histoire, Dieu, éthique, malédiction
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Marguerite Duras e Jean Jacques Annaud : visões orientalistas do Oriente e do outro em "O amante"

Tamaru, Marli Naomi 03 August 2018 (has links)
Orientador: Marcius Cesar Soares Freire / Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Artes / Made available in DSpace on 2018-08-03T21:56:38Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Tamaru_MarliNaomi_M.pdf: 312166 bytes, checksum: c98fa18bb34cec3809bed43c47e3a8ae (MD5) Previous issue date: 2004 / Mestrado
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When "I" speak(s) to "you" : the literary subject as an effect of pronominal play in two works by contemporary women writers

Hanafi, Rhoda E.A. January 1987 (has links)
The deictic property of pronouns, words that stand for proper names and only take on referential status in the context of a specific utterance, is a fascinating area of study inasmuch as pronouns are pivotal to the construction of a sense of subject. The process of constructing the literary self is especially problematic as it also involves the equivocal placement in time and space of the written subject. This thesis examines that process In relation to the way two contemporary women writers make use of first- and second-person pronouns in two texts, and in so doing proposes a theory of women's first-person fiction as a subversive strategy to write outside the dominant patriarchal ideology. Part I: When "I" speak(s) to "you", not only does the text mark empty spaces to be filled, offering up literary béances as signposts to ravishment, but reader, text, and writer also participate in a triadic exchange of personal positions that turns the fixed origo of the deictic "I, here, and now" into another twist of the kaleidoscope, a temporary tableau of subjectivity. When "I" speak(s) to "you", language converts into speech by making the personae the dramatic necessity of the linguistic act; but literary speech localizes itself within a context that is endlessly locatable: with every reader and every reading, a different instantiation. By writing letters to their children, diaries to themselves, or literary products that exclude themselves from main-stream genres, women find in the false dialogism of "you"-addressed monologues a way of sustaining the illusion that one can write outside of patriarchal ideologies by denying the arbitrariness of the sign. "S/he" is patently a fictional construct, and the third person the venerable mode of epic and novelistic narration. When I speak to you, we seemingly short-circuit that channel and make of our communication both a detour around the symbolic order and a transparently direct line to the Other. Part II: In Oriana Fallaci's Lettera a un bambino mai nato this direct line is an umbilical cord, and her speech a series of lessons told as fables. The unnamed "you" makes possible the transmission of personal experience in a form that seems harmless and childish. Fallaci makes her work innocuous by stripping it of references to time, place, or person, so that the journalist, a chronicler of public History, is able to don the mask of private writer communicating personal history. This act is made possible by the equivocal functioning of the pronouns. Part III: Marguerite Duras, a self-avowed exile from writing at the time she wrote the three Aurélia Steiner texts, and, above all, from writing as a coherent story with well-crafted characters that develop along the linear exigencies of beginning, middle and end, finds in the peripatetic nomination of "you" and "I", an opening to a "post-Holocaust" solution to narrative. The shifting lines of Aurélia's tri-partite story are paralleled in the proliferation of "shifters" which fracture and disperse the unity of the text, preventing total mastery by the reader, while also frustrating the reader's efforts to construct a monolithic sense of self and Other. / Arts, Faculty of / English, Department of / Graduate

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