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La dyspareunie chez les adolescentes : prévalence, caractéristiques et corrélats biopsychosociaux

Landry, Tina January 2010 (has links) (PDF)
Problématique: Les études épidémiologiques récentes suggèrent que la prévalence de la dyspareunie est de 12% à 21 % chez les femmes adultes et que son incidence augmente. Alors que les données cliniques suggèrent que la dyspareunie débute fréquemment à l'adolescence, sa prévalence au sein de cette population reste inconnue. Par ailleurs, bien que plusieurs variables biomédicales et psychosociales aient été associées à la dyspareunie au cours des dernières années, son étiologie demeure mal expliquée. Alors qu'une majorité de ces variables concerne des manifestations qui se présentent souvent à l'adolescence, elles n'ont jusqu'à maintenant été étudiées que de façon rétrospective auprès d'une population adulte. Objectifs et hypothèses: Cette thèse doctorale a comme objectifs principaux d'explorer la prévalence, les caractéristiques et les corrélats biopsychosociaux de la dyspareunie chez les adolescentes. Il est prédit que la prévalence de la dyspareunie sera d'environ la moitié de celle retrouvée chez les femmes adultes, que les adolescentes en souffrant rapporteront plus de douleur vulvo-vaginale dans des contextes d'insertion non-sexuels que celles du groupe témoin et que leur dyspareunie sera davantage chronique, primaire et douloureuse à l'entrée du vagin. Par ailleurs, il est prédit que les infections urinaires, l'utilisation de crèmes vaginales antifongiques, l'évitement des tampons et des relations sexuelles ainsi que l'agression sexuelle seront significativement corrélés à la dyspareunie chronique chez les adolescentes, alors que les infections vaginales, l'utilisation précoce/prolongée de la pilule contraceptive et l'anxiété seront ses prédicteurs statistiques. Méthodologie: Les participantes ciblées dans cette étude transversale corrélationnelle sont 1425 adolescentes du secondaire 1 à 5 recrutées dans sept écoles francophones de Montréal et de ses environs. Suite à l'obtention de leur consentement écrit, la collecte de données a été effectuée à l'aide de cinq questionnaires auto-administrés: 1-un questionnaire maison portant sur la santé gynécologique/sexuelle, la prévalence/les caractéristiques de la dyspareunie et la violence physique/psychologique/sexuelle, 2-l'Inventaire d'anxiété situationnelle et de trait d'anxiété-Forme Y, 3-l'Inventaire de dépression de Beck-II, 4-l'Inventaire des attitudes envers la sexualité et 5-le Questionnaire de perception de soutien social. La prévalence de la dyspareunie a été évaluée en demandant aux filles actives sexuellement si elles ressentent régulièrement (au moins 75% du temps) de la douleur pendant les relations sexuelles avec pénétration pénis-vagin. Résultats: L'étude 1 s'attarde à la prévalence et les caractéristiques de la dyspareunie tout en examinant la douleur vulvo-vaginale dans des contextes d'insertion non-sexuels et montre d'abord que 20% des filles actives sexuellement rapportent avoir de la douleur régulière pendant les relations sexuelles d'une durée de six mois ou plus. Une forme primaire de dyspareunie est signalée par 67% des adolescentes et significativement plus de filles souffrant de dyspareunie chronique identifient l'entrée vaginale comme étant leur site le plus douloureux. Le groupe dyspareunie rapporte également avoir significativement plus de douleur durant l'insertion de leur premier tampon et durant l'insertion habituelle de tampons que le groupe témoin, alors que les groupes ne diffèrent pas quant à la douleur durant leur dernier examen gynécologique. Par ailleurs, l'étude 2 se penche sur les corrélats biopsychosociaux et le groupe dyspareunie, comparativement au groupe témoin, se différencie à la hausse de façon significative sur les sept variables suivantes: la douleur durant l'insertion du premier tampon, la douleur durant l'insertion habituelle du tampon, l'évitement du tampon, les habitudes hygiéniques vulvo-vaginales potentiellement nuisibles, la peur de l'abus physique, l'agression sexuelle et le trait d'anxiété. Suite à une régression logistique, seule la douleur à l'insertion du premier tampon et le trait d'anxiété ressortent toutefois comme prédicteurs statistiques de la dyspareunie chez les adolescentes. Conclusions et implications: Les résultats reproduisent les estimations de prévalence retrouvées dans les études épidémiologiques auprès des femmes adultes et suggèrent que la dyspareunie est hautement prévalente chez les adolescentes, cette douleur s'étalant au-delà des relations sexuelles aux contextes non-sexuels tels que l'insertion du premier tampon. Pourtant, contrairement aux études effectuées avec les femmes adultes, les groupes ne diffèrent pas sur les variables biomédicales mesurées. Les résultats suggèrent plutôt que, outre la possibilité d'une vulnérabilité intrinsèque à la douleur vulvo-vaginale chronique, les variables psychosociales telles que l'anxiété jouent un rôle important dans la dyspareunie chez les adolescentes. Considérant les conséquences négatives de la dyspareunie et sa prévalence élevée chez les jeunes filles, des stratégies de détection et d'interventions multidimensionnelles ciblées envers cette population sont nécessaires. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Dyspareunie, Douleur vulvo-vaginale, Prévalence, Étiologie, Adolescentes.
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Approche psychodynamique de l’impact de l’épisiotomie : étude longitudinale chez des femmes primipares / Psychodynamic evaluation of the impact of episiotomy : a longitudinal study in primiparous women

Clesse, Christophe 18 November 2018 (has links)
L’épisiotomie est un élargissement chirurgical de l’orifice vaginal réalisé à l’aide d’une incision du périnée au cours de l’accouchement et notamment pendant la dernière étape de l’expulsion. Très souvent étudiée sous un angle somatique, cette pratique chirurgicale a été très peu abordée sous un angle psychologique. Ce manque de donnée est d’autant plus marqué qu’il n’existe aucune étude d’orientation psychodynamique portant sur l’épisiotomie. Le but de ce travail de thèse est d’évaluer l’impact psychique de l’incision du périnée en divisant trois axes d’évaluation : les effets de l’épisiotomie, les facteurs de risques et les facteurs protecteurs inhérents au vécu difficile de l’épisiotomie et enfin le vécu de l’épisiotomie en fonction des caractéristiques individuelles du sujet. Pour ce faire une étude longitudinale comparant l’effet de l’épisiotomie aux autres modes d’accouchement (césarienne, voie basse avec périnée intact ou pseudo-intact et déchirure) a été réalisée sur 43 femmes. Elle s’est appuyée sur une rencontre prénatale 1 mois avant l’accouchement, une évaluation 2 jours et 2 mois après l’accouchement et enfin 3 rencontres post-natales (3 mois, 9mois, 1 an). Chaque rencontre s’est appuyée sur la réalisation d’entretiens (semi-directifs et libres), de questionnaires (SF36, QIC, EPDS, CPQ, WOMBLSQ4, Traumaq) et l’emploi du test de Rorschach. Les principaux résultats montrent que l’épisiotomie implique une satisfaction liée à l’accouchement plus faible 2 mois après l’accouchement. De même, elle est préférentiellement associée à la présence de douleurs, dyspareunies et dépressions 3 mois après l’accouchement. En outre, elle est considérée avec la survenue d’une déchirure comme un des modes d’accouchement les plus difficilement vécus. Notre étude a également montré qu’une qualité de mentalisation effondrée préservait les femmes d’un vécu difficile lié à l’épisiotomie. Enfin, l’analyse qualitative a mis en évidence la présence de dysfonctionnements sexuels et angoisses somatopsychiques spécifiquement liés à l’épisiotomie. Pour finir, nous avons montré que le vécu subjectif personnel colorait la perception de l’épisiotomie notamment au travers de la dynamique transférentielle projetée sur l’équipe médicale mais aussi lors de la reviviscence de traumatismes psychiques. L’ensemble de ces résultats est également commenté en fonction des perspectives théoriques et cliniques soulevées visant à améliorer le bien-être des femmes en salle d’accouchement et en suite de couche / Episiotomy is an enlargement of the vaginal orifice made by a surgical incision of the perineum during the delivery and especially during the last stage of expulsion. Mostly studied in a somatic angle, this surgical practice has been very little studied from a psychological point of view. Moreover, there is no psychodynamic study on episiotomy. The aim of this research is to evaluate the psychical impact of episiotomy with three different types of evaluations: the effects of episiotomy, the risk and protective factors associated with the difficult experience of episiotomy and finally the subjective and individual experiences. We conducted a longitudinal study which was performed on 43 women. It compared the effect of episiotomy with other modes of delivery (caesarean section, vaginal approach with intact or pseudo-intact perineum and perineal injuries). It relied on a prenatal appointment (1 month before delivery), an assessment 2 days and 2 months after the delivery and finally 3 postnatal meetings (3 months, 9 months, 1 year). Each one of them was based on interviews (semi-directive and free), questionnaires (SF36, QIC, EPDS, CPQ, WOMBLSQ4, Traumaq) and the use of the Rorschach test. The main results show that 2 months after delivery, episiotomy implies a lower satisfaction related to childbirth. Perineal incision has stronger correlation with the presence of pain, dyspareunia and depression 3 months after childbirth. In addition, with the perineal injuries group, episiotomy is considered as one of the most difficult ways to give birth. Our study also showed that a low quality of mentalization protect women from a hard experience related to episiotomy. Finally, the qualitative analysis showed that episiotomy is specifically linked to sexual dysfunctions and somatopsychic anxieties. To finish, we have shown that personal subjective experiences influence the perception of episiotomy (particularly through the transferential dynamics projected on the medical team and the revival of psychical traumas). All these results are also commented in a theoretical and clinical point of view which aims to improve the well-being of women in the delivery room and afterwards
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Efficacité de la stimulation transcrânienne par courant direct (tDCS) pour réduire la douleur lors des relations sexuelles chez les femmes atteintes de vestibulodynie provoquée

Morin, Annie January 2017 (has links)
Introduction: Malgré les traitements actuellement offerts aux femmes atteintes de vestibulodynie provoquée (VP), une forte proportion d’entre elles y sont réfractaires. Ceci s’explique probablement par le fait que la physiopathologie de la VP ne se limite pas au niveau vulvaire, mais implique également une altération du système nerveux central. Une étude de cas a rapporté l’efficacité de la stimulation trancrânienne par courant direct (tDCS) pour traiter les douleurs vulvaires. Cependant, aucun essai clinique randomisé n’a confirmé cette observation. Objectif principal: Comparer l’efficacité de la tDCS réelle à la tDCS simulée pour réduire la douleur pendant les relations sexuelles chez les femmes atteintes de VP. Objectif secondaire: Explorer les facteurs prédictifs de succès thérapeutique chez les femmes atteintes de VP ayant reçu un traitement de tDCS. Méthode: Quarante femmes atteintes de VP ont été randomisées à l’un des deux groupes de traitement à l’étude (n=20/groupe), soit 10 séances de tDCS réelle (2mA) ou simulée (application anodique au niveau du cortex moteur primaire). Les évaluations ont été réalisées pré-traitement (T0), deux semaines (T1) et trois mois post-traitement (T2). La mesure d’effet primaire était l’intensité de la douleur lors des relations sexuelles, évaluée sur une échelle numérique à 11 niveaux. Les mesures d’effets secondaires ciblaient la fonction sexuelle et la détresse psychologique. Résultats: Aucune différence significative n’a été observée entre la tDCS réelle et simulée quant à la réduction de la douleur lors des relations sexuelles à T1 (p=0,84) et à T2 (p=0,09). Comparée au traitement placebo, la tDCS réelle n’a pas significativement amélioré la détresse sexuelle à T1 (p=0,26) et à T2 (p=0,19). Des analyses exploratoires ont toutefois montré que les femmes ayant une humeur dépressive plus marquée et moins de pensées génitales incompatibles avec la pénétration vaginales avant les traitements étaient associées avec une meilleure réponse au traitement de tDCS. Conclusion: La tDCS réelle ne semble pas être plus efficace que le placebo pour réduire la douleur lors des relations sexuelles chez les femmes atteintes de VP. Or l’identification de prédicteurs de succès thérapeutique indique que certaines femmes pourraient bénéficier davantage de la tDCS que d’autres.
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Fonction des muscles du plancher pelvien chez les survivantes d’un cancer de l’endomètre atteintes de dyspareunie / Pelvic floor muscle function in endometrial cancer survivors suffering from dyspareunia

Cyr, Marie-Pierre January 2017 (has links)
Contexte : Le cancer de l'endomètre est le plus fréquent des cancers gynécologiques. Il a été suggéré que les traitements oncologiques entraînent des dysfonctions des muscles du plancher pelvien. Ces dysfonctions pourraient contribuer au développement de conditions débilitantes comme la douleur lors des relations sexuelles (dyspareunie) qui atteint plus de la moitié des survivantes. Or, à l'heure actuelle, aucune étude n'a investigué la fonction des muscles du plancher pelvien en lien avec la dyspareunie chez des survivantes d'un cancer de l'endomètre. Objectifs : L'objectif principal vise à explorer les différences quant à la fonction des muscles du plancher pelvien entre des survivantes d'un cancer de l'endomètre atteintes de dyspareunie et des femmes sans douleur ayant subi l'hystérectomie totale pour des raisons bénignes. L'objectif secondaire est d'explorer les différences entre les deux groupes quant aux variables urogynécologiques, sexuelles, psychologiques et sociales. Méthodologie : Dans cette étude comparative exploratoire bicentrique, des survivantes d'un cancer de l'endomètre atteintes de dyspareunie (n=7) et des femmes asymptomatiques (n=7) ont assisté à une séance d'évaluation menée par une physiothérapeute. Les deux groupes ont été équilibrés selon l'âge, l'indice de masse corporelle et le nombre d'accouchements par voie vaginale. La fonction des muscles du plancher pelvien, y compris le tonus, la force maximale, la vitesse de contraction, la coordination et l'endurance, a été évaluée à l'aide du spéculum dynamométrique. Des questionnaires validés ont permis d'évaluer les variables secondaires. Des tests de Mann-Whitney ont été employés pour comparer les deux groupes quant à la fonction des muscles du plancher pelvien et les variables urogynécologiques, sexuelles, psychologiques et sociales (!=0,050). Résultats : Concernant la fonction des muscles du plancher pelvien, les survivantes atteintes de dyspareunie ont démontré un tonus à une ouverture vaginale minimale supérieur (p=0,018) et une endurance inférieure (p=0,048) aux femmes asymptomatiques. Les survivantes ont également présenté plus d'incontinence fécale (p=0,005) et une fonction sexuelle inférieure (p=0,004) comparativement aux femmes asymptomatiques. Aucune différence n'a été détectée pour les variables psychologiques et sociales. Conclusion : Les résultats de cette étude exploratoire suggèrent des dysfonctions des muscles du plancher pelvien, notamment un tonus supérieur et une endurance inférieure, chez les survivantes d'un cancer de l'endomètre atteintes de dyspareunie. D'autres études sont nécessaires afin de confirmer ces résultats. Ces constats préliminaires pourraient servir d'assises pour mieux comprendre les dysfonctions des muscles du plancher pelvien impliquées dans la dyspareunie chez cette population. / Abstract : Context: Endometrial cancer is the most common cancer in gynecological cancers. Oncological treatments are suggested to cause pelvic floor muscle dysfunction that could contribute to the development of debilitating conditions such as pain during sexual intercourse (dyspareunia), which affects more than half of survivors. However, to date, no study investigated pelvic floor muscle function in relation to dyspareunia in endometrial cancer survivors. Objectives: The main objective is to explore differences in pelvic floor muscle function between endometrial cancer survivors with dyspareunia and women without pain who underwent a total hysterectomy for benign conditions. The secondary objective is to explore differences between the two groups on urogynecological, sexual, psychological and social variables. Methodology: In this exploratory, bicentric comparative study, endometrial cancer survivors with dyspareunia (n=7) and asymptomatic women (n=7) attended one evaluation session conducted by a physiotherapist. The two groups were balanced in terms of age, body mass index and number of vaginal deliveries. The pelvic floor muscle function, including tone, maximal strength, contraction speed, coordination and endurance, was assessed with the dynamometric speculum. Validated questionnaires were used to evaluate secondary variables. Mann-Whitney tests were used to compare the two groups on muscular, urogynecological, sexual, psychological and social variables (!=0.050). Results: Concerning pelvic floor muscle function, survivors with dyspareunia demonstrated higher tone at a minimal vaginal aperture (p=0.018) and lower endurance (p=0.048) compared to asymptomatic women. Survivors also presented more fecal incontinence (p=0.005) and lower sexual function (p=0.004) compared to asymptomatic women. No differences were detected for psychological and social variables. Conclusion: The results of this exploratory study suggest impaired pelvic floor muscle function, notably higher tone and lower endurance, in endometrial cancer survivors with dyspareunia. Further studies are needed to confirm these findings. This preliminary evidence can be used as empirical data to better understand pelvic floor muscle impairments implicated in dyspareunia in this population.
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Sexualita pacientek po prosté a radikální hysterektomii pro zhoubné nebo nezhoubné gynekologické onemocnění / Sexuality of patients after simple and radical hysterectomy for bening or malignant gynaecologic disease

Vrzáčková, Petra January 2013 (has links)
Background: Cervical carcinoma is frequently diagnosis of young, sexually active women. Radical hysterectomy, as a basic therapeutic modality of early stages of cervical cancer, has very positive oncogynaecologic results. On the opposite site it has it's significant morbidity including bladder and rectal dysfunctions, lymphedemas, and deterioration in patient's sexual life. Methods: Data of forty one patients undergoing radical hysterectomy for cervical cancer were used for analysis, as well as data of forty nine patients undergoing simple hysterectomy for benign gynacologic disease and fifty three healthy controls Participants filled out sexual function and quality of life questionnaires before surgery and three and six months postoperatively. Results: The most important finding was statistically significant worsening in objective arousal in cervical cancer patients (p = 0,041). Also decrease in libido and higher frequency of dyspareunia was registered. Patients undergoing simple hysterectomy showed decreasing trend in sexual dysfunctions, mainly in severe dyspareunia. Conclusions: Radical hysterectomy for cervical carcinoma has a risk of arousal disorder, libido decrease and worsening of dyspareunia. Psychosexual counselling decreases frequency of early postoperative sexual dysfunctions.
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Technické aspekty druhé doby porodní / Technical Aspects of the Second Stage of Labor

Karbanová, Jaroslava January 2019 (has links)
Obstetrical intervantion`s goal is to normalize an abnormal or pathological course of labour. In a certain case (e.g. fetal distress) this is not fully achievable. Then the goal is to accelerate the delivery without inadequate increase of risk of maternal or neonatal trauma. The aim of this dizertation thesis was to offer an up-to-date definition and to outline a proper performance of these interventions. Therefore, it was necessary to properly and timely describe the labour layout in which the accoucheur and/or the parturient happen to occurr when an intervention is to take place. It was essential to describe the quantity of perineal loading as well as to define the main vector of perineal strain and deformation. Based on the range of this deformation it was subsequently possible to adequately describe and execute some obstetrical interventions (e.g. a variety of types of episiotomy) or to evaluate a variety of modifications by means of computational modelling (e.g. manual perineal protection) that might have so tiny nuances between each other or differences that are difficult to measure because the clinical evaluation is impossible due to interindividual imprecision or very short duration of the intervention. We described the maximum strain on the perineal surface during vaginal delivery that...
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A dyadic perspective on genito-pelvic pain : trauma antecedents and treatment effectiveness

Corsini-Munt, Serena 04 1900 (has links)
La vestibulodynie provoquée (VP) est la forme la plus répandue de douleur génito-pelvienne/trouble de la pénétration et la cause la plus fréquente de douleur vaginale chez les femmes pré-ménopausées. Les femmes qui en souffrent rapportent plus de détresse psychologique ainsi qu’un fonctionnement sexuel appauvri, une diminution de la fréquence des activités sexuelles et du plaisir, et plus d’attitudes négatives à l’égard de la sexualité. Les recherches portant sur les couples souffrant de VP ont montré le rôle prépondérant des variables relationnelles dans la modulation des conséquences sexuelles et psychologiques pour les femmes et leurs partenaires. Cependant, aucune analyse dyadique n’a été appliquée au facteur de risque étiologique le plus robuste, soit la maltraitance durant l’enfance. Par ailleurs, malgré des recommandations répétées pour inclure le partenaire dans le traitement psychologique pour la VP, aucune étude à ce jour n’a examiné l’efficacité d’une psychothérapie qui inclut systématiquement le partenaire et dont la cible est le couple. L’objectif général de cette thèse a été d’utiliser une perspective dyadique afin d’examiner les antécédents de maltraitance et l’efficacité d’une intervention conçue pour améliorer les issues des couples souffrant de VP. Le premier article vise à examiner les liens entre la maltraitance durant l’enfance des femmes souffrant de VP et leurs partenaires, et leur fonctionnement sexuel, leur ajustement psychologique, leur satisfaction conjugale et enfin avec la douleur rapportée par les femmes durant les relations sexuelles. Quarante-neuf couples souffrant de VP ont complété des questionnaires auto-rapportés. La maltraitance durant l’enfance chez les femmes était associée à un fonctionnement sexuel plus faible chez les femmes et les hommes, une augmentation de l’anxiété chez les femmes seulement, et une douleur affective accrue durant les relations sexuelles. La maltraitance durant l’enfance chez les hommes était associée à un fonctionnement sexuel plus faible, moins de satisfaction conjugale, plus d’anxiété chez les femmes et les hommes, et une douleur affective accrue durant les relations sexuelles rapportée par les femmes. En se basant sur les recommandations issues des études empiriques, une thérapie cognitive et comportementale pour les couples (TCCC) souffrant de VP a été développée. Le deuxième article présente les résultats d’une étude pilote testant son efficacité, fidélité et faisabilité potentielles. Neuf couples ont complété des questionnaires auto-rapportés pré- et post-traitement. La TCCC de 12 rencontres était manualisée. Les femmes ont rapporté une amélioration significative de la douleur, du fonctionnement et de la satisfaction sexuels, et les partenaires ont rapporté une amélioration significative de leur satisfaction sexuelle. Les couples ont rapporté des niveaux élevés de satisfaction quant à la psychothérapie, et les psychothérapeutes ont rapporté suivre le manuel de traitement de manière fidèle. Le troisième article, s’appuyant sur les résultats prometteurs de l’étude pilote, décrit le protocole de recherche pour un essai clinique randomisé mesurant l’efficacité de la TCCC comparée à une intervention médicale de première ligne, la lidocaïne topique, pour le traitement de la VP. Enfin, les implications cliniques et théoriques de la thèse sont discutées. / Provoked vestibulodynia (PVD), a chronic, recurrent pain elicited via pressure to the vulvar vestibule or attempted vaginal penetration, is the most common form of pain during intercourse (genito-pelvic pain/penetration disorder), and the most frequent cause of vulvar pain in pre-menopausal women. Because of its deleterious impact on sexuality, it carries a heavy psychosexual burden for afflicted women, who report impoverished sexual function, decreased sexual frequency and pleasure, and more negative attitudes about sex. Research among couples with PVD has demonstrated the prominent role of partner variables in the modulation of PVD-associated consequences for women, and the negative sexual and psychological consequences experienced by partners. Yet, a dyadic analysis has not been applied to the most robust etiological risk factor for adult-onset PVD, childhood trauma or maltreatment. Furthermore, despite repeated recommendations to include the partner in psychological treatment of PVD, no study to date has examined the effectiveness of a treatment that systematically includes the partner and targets the couple. The overarching goal of this thesis was to use a dyadic perspective in examining trauma antecedents of PVD and treatment effectiveness of an intervention designed to improve outcomes for couples with PVD. The first article aimed to examine associations between childhood maltreatment of both women with PVD and their partners and their sexual functioning, psychological adjustment and couple satisfaction, as well as women’s reported pain during sexual intercourse. Forty-nine couples with PVD completed self-report questionnaires. Women’s childhood maltreatment was associated with lower sexual functioning for women and men, increased anxiety for women only, and increased affective pain during sexual intercourse. Male partners’ childhood maltreatment was associated with lower sexual functioning, decreased couple satisfaction and increased anxiety for women and men, and higher affective pain reported by women during sexual intercourse. Drawing from the recommendations in the empirical literature, a Cognitive-Behavioural Couple Therapy (CBCT) for PVD was developed. The second article presents the results from its pilot testing for potential effectiveness, reliability and feasibility. Nine couples completed pre- and post-treatment self-report measures following the 12-session, manualized intervention. Women reported significant improvements in pain, sexual function and satisfaction, and partners reported significant improvements in sexual satisfaction. Exploratory analyses revealed improvements in anxiety, depression and pain-related cognitions, such as pain catastrophizing, for both women and partners. Couples reported high rates of treatment satisfaction and therapists reported good treatment reliability. The third article, building on the promising pilot study results, describes the research protocol for a randomized clinical trial to assess the efficacy of CBCT compared to a first-line medical intervention, topical lidocaine, for the treatment of PVD. In this ongoing trial, couples with PVD are randomized to one of the two treatment options. The clinical and theoretical implications of the thesis are discussed.
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Porodnické intervence ve vztahu k poruchám pánevního dna / Obstetric interventions and pelvic floor disorders

Rušavý, Zdeněk January 2016 (has links)
Obstetric interventions and pelvic floor disorders - Abstract One of the principal objectives of obstetric interventions in the second stage of labor is prevention of pelvic floor trauma and associated pelvic floor disorders. The most commonly used and also most frequently discussed interventions are manual perineal protection and episiotomy. The majority of pelvic floor disorders are of subjective nature. Therefore, tools for objectification and severity quantification of these disorders are the key to reliable comparison and identification of the most effective interventions. The aim of the dissertation was to find the most effective modification of manual perineal protection, to compare two frequently used types of episiotomy regarding all pelvic floor disorders and finally to find a consensus on the most suitable instrument for anal incontinence severity assessment. Our studies concerning manual perineal protection experimentally described the direction and extent of perineal deformation during vaginal delivery. The subsequent studies on biomechanical model demonstrated that the most effective method of manual perineal protection in peak perineal strain reduction is when the fingers are placed on the perineum 6 cm laterally and 2 cm ventrally from the posterior commissure at both sides and are...
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Porodnické intervence ve vztahu k poruchám pánevního dna / Obstetric interventions and pelvic floor disorders

Rušavý, Zdeněk January 2016 (has links)
Obstetric interventions and pelvic floor disorders - Abstract One of the principal objectives of obstetric interventions in the second stage of labor is prevention of pelvic floor trauma and associated pelvic floor disorders. The most commonly used and also most frequently discussed interventions are manual perineal protection and episiotomy. The majority of pelvic floor disorders are of subjective nature. Therefore, tools for objectification and severity quantification of these disorders are the key to reliable comparison and identification of the most effective interventions. The aim of the dissertation was to find the most effective modification of manual perineal protection, to compare two frequently used types of episiotomy regarding all pelvic floor disorders and finally to find a consensus on the most suitable instrument for anal incontinence severity assessment. Our studies concerning manual perineal protection experimentally described the direction and extent of perineal deformation during vaginal delivery. The subsequent studies on biomechanical model demonstrated that the most effective method of manual perineal protection in peak perineal strain reduction is when the fingers are placed on the perineum 6 cm laterally and 2 cm ventrally from the posterior commissure at both sides and are...

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